Malfaisance typique de l'Éducation Nationale prônant l'illégalité : première contamination massive du quartier








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titreMalfaisance typique de l'Éducation Nationale prônant l'illégalité : première contamination massive du quartier
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AMIANTE
VUE D'ENSEMBLE SUR L'AFFAIRE CENSIER

L'université la Sorbonne Nouvelle à Paris démontre depuis 44 ans les façons dont les poisons, les affaires et la justice, s'administrent ici. Une inertie incrustée y enseigne l'excellence universitaire, mensonges traditionnels f.o.n.c.t.i.o.n.n.a.r.i.s.é.s, et la mort assurée par son coup d'envoi en 1964. Jamais cette Fac n'obtiendra la 500e place sur l'évaluation de Shanghaï, mais une première, nul doute, pour meurtres et médiocrité.
Sur une recherche personnelle de 12 années (juillet 1996), voici en quelques dates l'étendue de la catastrophe sanitaire de cette Faculté qui n'est désormais plus cachée, car propulsée par Internet.
. Avril 1964 : Le Centre Censier fut construit (sans permis !), floqué d'amiante sur 6 km et demi de poutres de fer, tout en ignorant les règles d'urbanisme et de précaution. Malfaisance typique de l'Éducation Nationale prônant l'illégalité :

PREMIÈRE CONTAMINATION MASSIVE DU QUARTIER.
. 1979 à 1983 : Les bâtiments amiantés sont encoffrés (assurés 10 ans), mais en oubliant armoires techniques et puits d'ascenseurs qui continuèrent à polluer de 30 à 35 ans :

AUTRE CONTAMINATION DU QUARTIER.
. 1993-1994 : Travaux de "surélévation de la bibliothèque" accomplis sans précautions (un bâtiment de trois étages implanté dans deux bâtiments reconnus amiantés, sur des poutres floquées). Avec pour résultat la libération de pics de fibres cancérigènes par milliards de milliards sur la Fac et l'environnement.

"Ces travaux ont fait l'objet d'un avis favorable de la Commission de sécurité. Signé la Direction de protection du public, le 3 février 1993", soit six mois avant le début des travaux dangereux.

- Travaux accomplis sous l'œil de la Préfecture de police, la Commission de Sécurité, la SOCOTEC et les officiels de Censier. Preuve accablante de ces catastrophes sanitaires autorisées en France en connaissance de cause, impliquant les pouvoirs publics et la Sorbonne Nouvelle, dont l'intendant Bernard DHOOGE agent ACMO en charge de l'hygiène et de la sécurité, et les architectes responsables. CONTAMINATION MASSIVE DU QUARTIER.
. Avril 1995 : Mort de la technicienne Jacqueline SUZZONI d'un cancer de la plèvre, 31 années après la construction de Censier (suivie d'une dizaine de décès de broncho-pneumonie et de 17 malades). Sans enquête indépendante, même envisagée : la Sorbonne Nouvelle dissimule forcément malades et morts, ce qui propulse davantage le mal.
. Juillet-août 1995 : Déflocage sauvage des cages d'ascenseurs par une entreprise non certifiée (sans sas, sans combinaisons, sans douches, sans précautions, gardant les personnels sur place, les travailleurs en shorts), à la suite des mauvais chiffres de 30 f/l d'air relevés le 2 juin 1995 dans le couloir du 5e et la salle de classe 510, par le laboratoire L.H.C.F.

QUATRIÈME CONTAMINATION DU QUARTIER.
. Décembre 1996 : L'administration reconnaît, après l'expertise du Bureau VERITAS du 13 août 1996 "Coffrages endommagés, zones dégradées, traversées des câbles, têtes techniques non protégées. Envisager des travaux de traitement du flocage en tête des gaines techniques aux R+5" :

- "Un taux élevé de pollution dans le couloir du Cavi". "Présence d'amiante non stabilisé dans les deux ascenseurs par la société OTIS". "État de dégradation de ce flocage". "Déposer les deux trémies par une société spécialisée (juillet-août 95)".

Or, il n'y avait pas de "société spécialisée" en 1995.

"Un pied de poteau a relevé une présence d'amiante". "La partie supérieure des gaines techniques n'a pas été traitée et le joint de dilatation entre les bâtiments n'est pas étanche". "Une opération de stabilisation ou de dépose sera entreprise dès cette année (vacances été 1997) sur la partie supérieure des gaines techniques et sur les joints de dilatation" : SANS SUIVI.

"La protection mécanique des poteaux sera améliorée. Ces interventions sont prévues pour les vacances de Noël 1996". SANS SUIVI.
Censier la Sorbonne Nouvelle s'épingle naturellement, ainsi que son Ingénieur expert Alain CARREY qui affirme en 1998, deux ans après, le contraire de ce rapport administratif.
. Mai 1997 : Premier et seul débat sur l'amiante à Censier en 44 ans, organisé par les étudiants, avec Michel PARIGOT et Marie-José VOISIN du "Comité anti amiante Jussieu", Yves HUBERT toxicologue, Jean-Luc PORQUET journaliste au Canard enchaîné, Roger LENGLET journaliste à Charlie Hebdo, Yves FRÉMION député européen. Y assistait le président du C.H.S. Censier, Philippe HAMON, ignorant à l'évidence toute réglementation et l'épidémie de l'amiante. Faits et méfaits tombent pendant trois heures, avec des demandes précises des étudiants. Sans suivi.
. Juin et décembre 1997 : Du labo central de Recherche THOMSON-CFS, FO :

- "Le Tribunal administratif a bien voulu ouvrir le dossier à la requête de M. LANGINIEUX dont nous apprécions hautement l'action, guidée qu'elle est, comme la nôtre, par le seul souci du bien commun. Ainsi, le grand retard toxicologique français : les toxicologues ignorent la voie principale d'exposition, la voie respiratoire", le 26 juin 1997.

- "Le Président LEUTRAT aurait dû s'entourer d'un Service sécurité compétent. L'administration connaissait les dangers, mais se taisait".

- "Elle a poussé l'obscurantisme jusqu'à tenter d'entraver la mauvaise information sur les ascenseurs".

- "Censier se trouve officiellement en quadruple infraction caractérisée. Le problème de l'amiante n'y est pas véritablement pris en compte, pas même du point de vue strictement réglementaire".

- "Les autorités de Censier incapables de traiter correctement le problème de l'amiante".

- "Le Président nie le danger potentiel de 6 km et demi de poutres de fer amiantées au-dessus des étudiants."

- "Un préjudice considérable est non seulement prévisible, mais déjà partiellement perceptible à Censier malgré les délais de latence", le 22 décembre 1997).
. Juillet 1998 : Trois demandes de référés d'urgence déposées par M. LANGINIEUX au Tribunal administratif de Paris pour empêcher un désastre sanitaire pendant. Toutes trois refusées par les magistrats F. JANNIN et A. COCHEMÉ inconscients du risque mortel de l'amiante, et qui, de leurs bureaux, "ne voyaient pas l'urgence".
. Août 1998 : Désastre majeur durant le dépoussiérage des armoires techniques par une entreprise non-certifiée. Taux montant jusqu'à 480 f/l d'air (dix ans plus tard, la Sorbonne Nouvelle refuse toujours de dévoiler les chiffres du labo FLLA sur le papier).

En portant plainte contre le Bureau VERITAS, S.A. COMOBAT et EUROSAN DÉCONTAMINATION, Ordonnances de référé 28 octobre 1998, ref. 62972/98 (KL), 18 novembre 1998, ref. 63550/98 (FF), 13 nov. 1998, ref. 63808/98 (KL), le Maître d'Ouvrage (la Fac Censier) reconnaît implicitement sa responsabilité dans le choix d'une entreprise non-qualifiée (Arrêté 26 décembre 1997, sur l'Article 5.1 du 14 mai 1996 : l'obligation de qualification des entreprises). CINQUIÈME CONTAMINATION DU QUARTIER.
. Novembre 1998 : Note pressente de l'expert judiciaire Marcel DELPORTE : "J'ai conclu à la subsistance d'un risque réel d'exposition et d'inhalation de poussières d'amiante pour les personnes, ainsi qu'à l'existence d'un risque réel de pollution environnementale. J'ai affirmé l'urgence à faire cesser les raisons de l'exposition". Sans effet. Cette note impérative fut cachée par le Président Jean-Louis LEUTRAT qui affiche profusément le contraire sur tous les murs de sa Fac : "Au vu des résultats d'analyses et de ses propres constatations, l'expert judiciaire considère qu'il n'y a pas de danger pour les usagers" (!). Mensonge criminel s'il en est.
. Juillet-août 1999 : En dépit de l'affirmation éhontée : "Aucun risque sanitaire lié à une exposition à l'amiante pour les occupants des locaux" de l'ingénieur expert Alain CARREY en juin 1998, le ministère de l'Éducation nationale assainit finalement les armoires techniques pour un coût d'environ 5,4 millions de francs.
. Évidence criante : le Chef du Service de l'intendance, M. Bernard DHOOGE, fit ouvrir les gaines techniques interdites 25 ans durant sans précautions, assurant "il n'y a pas d'amiante à Censier". Information accessible sur la "requête de Michel LANGINIEUX à la C.E.D.H." page 3.
. Juillet et décembre 1999 : Sur deux procès-verbaux (et des courriers de l'Ingénieur Hygiène et sécurité Daniel MOQUET et du physicien Michel GROSMANN) le directeur de la programmation et du développement au Ministère de l'Éducation Nationale Michel GARNIER, ainsi que le Comité Central Hygiène et Sécurité national de l'enseignement supérieur et de la recherche, dénoncent nommément les chefs de service Bernard DHOOGE et Françoise CHIEZAL pour incompétence ; ainsi que le Président Jean-Louis LEUTRAT, pénalement et juridiquement responsable : "L'administration fait tous les efforts possibles pour ne pas appliquer la réglementation".

- Censier est un bâtiment amianté et il convient de supprimer totalement l'amiante.

- Le C.H.S. de Censier ne se réunit pas sur les problèmes d'amiante avéré.

- Dysfonctionnement notoire.

- Il n'y a pas d'ingénieur hygiène et sécurité.

- Les personnels sont sans protection.

- Deux cas de maladies professionnelles.

- Les pathologies se déclarent de nombreuses années après l'exposition".
En vain. Personne ne réagit, pas même le Ministre Claude ALLÈGRE, averti et responsable.

. Juillet 2000 : Suivant la Commission rogatoire de Philippe COURROYE du 17 décembre 1999, la police judiciaire cerne la responsabilité de Censier sur sept points de :
- non-respect de l'obligation générale des risques (articles 2 et 27).

- non-respect de l'information et la formation des travailleurs (articles 3 et 4).

- non-respect des moyens de protection collective et individuelle (articles 5, 28, 29, 30).

- non-respect du contrôle d'une valeur limite (articles 5 et 30).

- non-respect des mesures d'hygiène (article 6).

- non-respect de l'obligation d'établir une fiche d'exposition (article 31).

- non-respect de la mise en œuvre d'une recherche médicale appropriée (article 32).
Aucun des magistrats impliqués n'en a tenu compte.
. 76 magistrats - soixante-seize - furent concernés par cette affaire (incluant la chaîne de contrôle) en totale non-application de droit administratif et pénal : l'incapacité de ces spécialistes d'accomplir leur travail juridique se constate sur leurs écrits, avec noms, prénoms, fonctions.
. Mai 2002 : Ordonnance de non-lieu du Juge Michèle VAUBAILLON : "Il n'existe pas de danger pour le personnel et les étudiants de la Faculté", avec en main les deux dossiers médicaux de Jean-Yves BRUAL et Christian DEPUYPER touchés par l'amiante (Non-lieu en contradiction implicite avec les déclarations du ministère en 1999 et de la police judiciaire en 2000). Ordonnance juridiquement incomplète, irrégulière, imprimée sans les notifications requises de délais et recours (Art. 183, 507, 508, C.p.p.). Il s'agit précisément d'un droit constitutionnel européen.
. Mars 2004 : Joëlle LACKMANN, vice-présidente du Tribunal administratif de Paris, réussit l'exploit de clore son instruction sans avoir une seule fois l'idée - mais pas une seule fois après 7 années d'instruction - de mentionner le mot-clef du dossier, le mot "amiante" ! Rejet cependant notifié avec les notifications de délais et recours.
. Février 2006 : Malades et morts de cancers du poumon persistent et s'additionnent, d'où la recherche de Michel LANGINIEUX envoyée au Président de l'Assemblée Nationale M. Jean-Louis DEBRÉ. Sans suivi. Ce dernier avait pourtant à cette date, posé une question aux Ministres Gilles de ROBIEN et Xavier BERTRAND sur l'état des lieux, impliquant les dégâts.
. Septembre 2007 : Malgré une centaine de preuves et les signaux d'alarme lancés aux plus hauts officiels comme l'actuel Président de la République, rien ne bouge (sauf une reconnaissance personnelle et nombre remerciements). L'incivisme de ce système poussif, perclus d'indifférence, s'avère total, totalitaire, criminel.
. Mai 2008 : Plainte adressée à Monsieur le Procureur du Tribunal pénal international à La HAYE par Michel LANGINIEUX - étudiant à Censier de 1993 à 1997 - à l'encontre de l'État français, avec comme exemple notoire l'Université la Sorbonne Nouvelle et tous responsables impliqués, y compris l'avocate Anne WILLIÉ qui, depuis dix ans gagne sa vie sur la vie des étudiants (Conseil autant que complice d'empoisonnements de nature à tuer, cette experte cacha sciemment à des populations entières les mauvais chiffres de 480 f/l d'air d'août 1998, ainsi que le signal d'alarme du 23 novembre 1998 de l'expert judiciaire Marcel DELPORTE), pour :
Atteinte systématique aux droits de l'Homme, aux droits fondamentaux des citoyens :

Abus de confiance. Meurtres autorisés. Abus d'autorité. Corruption. Faux et usage de faux. Atteinte à la liberté d'expression. Atteinte à l'action de la justice.
Non-assistance à personne en danger. Mise en danger délibérée de la vie d'autrui. Administration de substances nuisibles. Empoisonnement par exposition forcée de poussières d'amiante contre les personnes (ou tout autre chef pouvant apparaître au cours de l'instruction).
Plainte également contre les associations nationales des victimes de l'amiante, ANDEVA, COMITÉ ANTI AMIANTE JUSSIEU, BAN ASBESTOS, ainsi que leurs avocats et experts, qui se sont tus sur ce drame de Censier en toute connaissance de cause pendant onze ans, pour :
Non-assistance à personnes en danger, indifférence, népotisme, incapacité d'action et de compassion. Inexistence civique et morale. Désinformation.
Face à un drame sans précédent - l'amiante en France - où l'on ne peut obtenir ni police ni justice dans un pays pratiquant un hors-la-loi systématique et des morts d'hommes par centaines de milliers ; pays qui cache et ment profusément ; où ne se trouve personne en charge ; où règnent l'inertie et le faire semblant ; où l'organisme humain se voit traité en sous-produit ignoré par des hordes de fonctionnaires aux ordres et l'incurie des pouvoirs exécutifs et du ministère public ; il devient aujourd'hui nécessaire de s'adresser aux instances internationales avant qu'il ne soit trop tard.

Michel LANGINIEUX




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