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Culture et développement durableEn France au XXI siècle.![]() ![]() ![]() ![]() Pablo Campos Garzón Lola Torres cebriá Culture en France au XXI siècle La France a, en 2012, le cinquième plus important produit intérieur brut au monde. Son économie, de type capitaliste avec une intervention étatique assez forte, fait d’elle un des leaders mondiaux dans les secteurs de l’agroalimentaire, de l’aéronautique, de l’automobile, des produits de luxe, du tourisme et du nucléaire. La France est un pays développé, avec un indice de développement humain très élevé.
Le français est la langue très majoritairement parlée en France. La France est le deuxième pays francophone le plus peuplé du monde. La France mène une politique linguistique active en faveur du français. Celle-ci peut être visible entre autres au sein de l'Organisation internationale de la francophonie dont la France fait partie de même qu'au sein de l'Assemblée parlementaire de la francophonie dont la France fait aussi partie.
Depuis la loi du 9 décembre 1905, les Églises sont strictement séparées en droit de l’État en France. La religion catholique est également toujours reconnue dans certains départements et territoires d'outre mer. La notion de laïcité et la réglementation qui en découle sont l’objet de débats comme, en 2003-2004, au sujet de la loi française sur les signes religieux dans les écoles publiques. La France, est un pays de tradition catholique ancienne, mais où le poids de l’Église a considérablement diminué. Seules 51 % à 64 % des personnes interrogées se déclaraient catholiques lors de sondages publiés en 2007. De plus, d’autres religions sont présentes dans des proportions moins importantes, notamment le judaïsme depuis l’Antiquité, différentes branches du protestantisme depuis la Réforme et l’islam depuis l’arrivée en France d’immigrés du Maghreb et du Moyen-Orient au XXe siècle. La perte d’influence des religions est un aspect majeur de l’évolution de la société française aux XIXe et XXe siècles. La Conférence des évêques de France a proposé pour la fête de l'Assomption 2012 une prière pour la France.
En France, l’instruction est obligatoire de six à seize ans, et l’école publique est laïque et gratuite. Si la formation et la rémunération des enseignants, ainsi que le choix des programmes, sont du ressort de l’État, la gestion des établissements scolaires primaires et secondaires est du ressort des collectivités territoriales. L’enseignement primaire se déroule en deux phases. L’école maternelle, qui accueille les très jeunes enfants. Puis, vers l’âge de six ans, les enfants sont accueillis par l’école élémentaire. L’enseignement secondaire se déroule lui aussi en deux cycles. Le premier est dispensé au collège et aboutit au diplôme national du brevet. L’enseignement supérieur français présente la particularité de faire cohabiter les universités et le système des grandes écoles, où l’on entre généralement par concours à l’issue des classes préparatoires. Les Grandes écoles sont souvent considérées comme à la fois plus performantes et plus élitistes que les universités. La France a connu depuis la Libération un élargissement considérable de la scolarisation.
En France, c’est la loi du 29 juillet 1881 qui a institué et en même temps encadré la liberté de la presse. Dès lors, parmi les quatre premières stations de radio en audience cumulée en novembre-décembre 2009, seule la troisième est publique. De même, depuis l’apparition de la première chaîne de télévision privée (Canal +) en 1984, plusieurs centaines de chaînes de télévision privées ont vu le jour, diffusées par le canal hertzien, par câble, par satellite ou plus récemment par la télévision numérique terrestre (TNT). Quant à l’accès au réseau internet, il ne s’est vraiment démocratisé qu’au début des années 2000. En décembre 2009, 65 % des Français de 11 ans et plus étaient internautes. Entre 2002 et 2009, la France est passée de la 11e à la 43e place du classement de la liberté de la presse dans le monde de Reporters sans frontières.
Le sport en France est caractérisé par une tradition sportive ancienne et une grande variété de disciplines pratiquées à haut niveau. La France a un rôle prépondérant dans l’organisation du sport moderne et son palmarès, depuis la fin du XXe siècle, en fait l’une des meilleures nations au monde dans de nombreux sports. Pour l'année 2012, la France est quatrième duclassement mondial établi par Havas Sports & Entertainment (et deuxième nation européenne derrière la Russie) qui comptabilise plus de 1 600 événements sportifs. Le football est le sport le plus populaire, une popularité accrue par la double victoire de la France lors de la coupe du monde en 1998 puis du championnat d’Europe en 2000. Le tennis, l’équitation, les arts martiaux, le basket-ball, le handball et le golf sont également très pratiqués, sans oublier le rugby et la pétanque, essentiellement dans le sud du pays. Le tournoi de tennis international de Roland Garros à la porte d'Auteuil à Paris et le Tour de France cycliste sont des événements annuels importants, ainsi que l'Euro de football attendu en 2016.
La cuisine française est renommée, notamment grâce à ses productions agricoles de qualités: nombreux vins (champagne, vins de Bordeaux ou de Bourgogne etc.) et fromages (roquefort,camembert etc.), et grâce à la haute gastronomie qu’elle pratique depuis le XVIIIe siècle. Le « repas gastronomique des Français » a été inscrit le 16 novembre 2010 à la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'UNESCO.
La France est le pays le plus visité au monde par les touristes étrangers avec près de 82 millions de visites en 2007 , mais le troisième pays au monde pour les recettes liées au tourisme international. Les motifs de ce tourisme sont variés : il s’agit tout à la fois d’un tourisme culturel (Paris), balnéaire (la Côte d’Azur), naturel, d’affaires, de loisirs (Disneyland Paris) et de sports d’hiver (dans les Alpes du Nord) ; quelques sites de province attirent néanmoins de nombreux touristes, comme les châteaux de la Loire, le mont Saint-Michel, Rocamadour, le Château du Haut-Kœnigsbourg, le musée Unterlinden de Colmar, le Centre Pompidou-Metz ou le parc du Futuroscope. Développement durable
Répondre aux besoins du présent sans compromettre la possibilité, pour les générations futures, de pouvoir répondre à leurs propres besoins : telle est l’ambition du « développement durable ». Il inspire différentes initiatives en France cherchant à concilier développement économique et social et qualité de l’environnement.
La définition d'une nouvelle Stratégie nationale de développement durable (SNDD) en 2003 (après une première version adoptée en 1997) répond d'abord à un engagement international de la France pris dans le cadre de l'ONU en 1992 lors du Sommet de la Terre de Rio et réaffirmé en 2002 au Sommet de Johannesburg. Elle vise aussi à intégrer la Stratégie européenne de développement durable adoptée en juin 2001 à Göteborg par les chefs d'Etat et de gouvernement. Elle procède enfin d'une volonté gouvernementale de dépasser le simple "exercice de réflexion sans lendemain opérationnel", en adoptant une approche "résolument tournée vers l'action", avec un "document limité dans ses considérations générales, mais accompagné d'orientations claires pour une mise en œuvre rapide et de programmes d'actions sur cinq ans, comprenant des objectifs concrets et, chaque fois que cela a été possible, des indicateurs de suivi". La stratégie nationale adoptée le 3 juin 2003 par le gouvernement Raffarin, réuni en Comité interministériel pour le développement durable, s'articule autour de six axes stratégiques, recouvrant au total dix programmes d'action (chaque axe comporte au minimum un programme), qui sont assortis d'objectifs, de plans d'actions et d'indicateurs de suivi. Axe 1 : "Le citoyen, acteur du développement durable" Il s'agit de : rendre le concept de développement durable compréhensible pour tous et de sensibiliser le citoyen à ses différentes dimensions ; mettre à disposition du public une information fiable et transparente en matière de développement durable ; développer, dans le milieu scolaire et les activités extra-scolaires, l'éducation à l'environnement pour un développement durable et mieux l'intégrer dans les cursus de formation professionnelle ; faciliter la participation du citoyen au débat public. Axe 2 : "Territoires" Les orientations définies sont les suivantes : prendre en compte dans la gestion du patrimoine naturel les dimensions à la fois urbaine et bâtie, rurale et naturelle des territoires, et préserver les différents milieux naturels ; mieux connaître et réduire les inégalités écologiques et sociales ; mieux associer les collectivités locales à la gestion des territoires (en développant, par exemple, des projets de développement durable). Axe 3 : "Activités économiques, entreprises et consommateurs" ![]() Les objectifs impartis sont les suivants : inciter toutes les entreprises à s'engager dans des démarches de développement durable ; intégrer le développement durable dans les modes de production et de consommation des produits (biens et services) ; développer l'innovation et la création d'entreprises dans les domaines d'activité liés au développement durable ; développer la responsabilité sociale et environnementale des entreprises, et en faire une condition de leur bonne gouvernance ; mettre en place au niveau de l'État un dispositif financier incitatif. Il est également prévu de renforcer la prise en compte du développement durable dans les secteurs de l'énergie, des transports et de l'agriculture, en mettant en œuvre une politique volontariste de lutte contre le changement climatique dans le secteur de l'énergie, en agissant en faveur d'une mobilité "durable" respectueuse de l'environnement dans le secteur des transports, et en promouvant une agriculture "durable". Axe 4 : "Prévenir les risques, les pollutions et autres atteintes à la santé et à l'environnement" Il s'agit de : mettre en place une capacité d'expertise adaptée, indépendante et de qualité ; mieux identifier, juguler et prévenir les risques naturels et technologiques, et mieux y faire face ; renforcer les moyens de contrôle, mieux organiser et professionnaliser la police judiciaire dans le domaine de l'environnement. Axe 5 : "Vers un État exemplaire" L'objectif est d'intégrer le développement durable dans les politiques publiques (notamment dans le cadre de la réforme de l'État...) et dans le fonctionnement de l'administration (démarches d'éco-responsabilité, de formation continue des agents de la fonction publique...). Axe 6 : "Action internationale" Il s'agit de : renforcer la lutte contre la pauvreté par une solidarité accrue en faveur des pays en développement ; maîtriser la mondialisation et renforcer la gouvernance internationale du développement durable ; promouvoir les objectifs et la démarche de développement durable dans toutes les politiques de l'Union européenne.
L'élaboration d'une Charte de l'environnement s'est imposée à la Commission Coppens comme une nécessité, compte tenu de la situation actuelle et des relations entre l'homme et son environnement. La commission a, certes, constaté que les capacités scientifiques et techniques donnent à l'humanité les moyens d'influer durablement sur l'ensemble de la planète, et que leurs impacts grandissant sur les conditions de la vie sur terre se traduit aujourd'hui par des effets néfastes (changement climatique, amincissement de la couche d'ozone, contamination de l'air et de l'eau, destruction d'écosystèmes, diminution de la biodiversité). Mais elle a également souligné que ces évolutions n'avaient rien d'inéluctable, et dépendaient de choix économiques et sociaux.
Le Gouvernement a initié une démarche de consultation, le « Grenelle de l’environnement » (en référence aux accords de Grenelle signés le 27 mai 1968), afin de définir de nouvelles actions pour assurer un développement durable en France. Cette démarche comporte trois phases : une phase de dialogue et d’élaboration de propositions au sein de groupes de travail réunissant l’État et les représentants de la société civile, une phase de consultation avec le public sur internet et en régions, et, enfin, la phase de l’élaboration d’un plan d’action. Après quatre mois de concertation, les conclusions du Grenelle de l’environnement ont été rendues le 25 octobre 2007. Elles devraient donner lieu à 15 à 20 programmes opérationnels, présentés à la mi-décembre. Une loi-cadre devrait être discutée au Parlement au premier trimestre 2008. Le Premier ministre a annoncé que la réalisation des programmes d’actions du Grenelle seraient la priorité du Gouvernement. Ses propositions seron: la mise en place d’une fiscalité environnementale, en particulier sur les transports émettant des gaz à effet de serre, la constitution d’une « trame verte nationale », pour assurer la continuité entre les écosystèmes et permettre ainsi aux espèces de s’adapter au changement climatique, le passage à 6% des surfaces agricoles en agriculture biologique (1,8% actuellement), le renforcement de la recherche publique sur les effets des manipulations génétiques et la création d’une haute autorité indépendante chargée d’évaluer l’impact sur l’environnement et la santé, ainsi que l’intérêt agronomique et économique de chaque organisme génétiquement modifié Article 1 Le Printemps de Bourges proposé à la vente aux collectivités locales Le Monde.fr | 26.04.2013 à 08h31 • Mis à jour le 26.04.2013 à 10h15 Par Frédéric Potet et Véronique Mortaigne Bourges Envoyés spéciaux ![]() Le Printemps de Bourges passera-t-il dans un avenir proche sous la coupe du service public ? Cela fait plusieurs années que Daniel Colling ne fait pas mystère de son souhait de "vendre" le festival qu'il a lui-même co-créé (en 1977) et dont il est aujourd'hui l'organisateur à travers un ensemble de sociétés privées. Le grand patron du Printemps a semble-t-il décidé d'accélérer le mouvement et a entamé des discussions avec un "consortium" de quatre collectivités locales – qui subventionnent déjà l'événement – à qui il aimerait donner la priorité de la cession : la ville de Bourges, la communauté d'agglomération Bourges Plus, le département du Cher et la région Centre. Un premier tour de table a eu lieu à l'automne dernier. Un second plus récemment. La vente porterait principalement sur la marque "Printemps de Bourges" dont M. Colling est le propriétaire. Figureraient également dans la corbeille des sociétés lui appartenant, notamment Réseau Printemps (qui organise les Découvertes) et Coulisses, une SARL ayant la gestion de plusieurs équipements municipaux situés au bord de la rivière Auron (halls d'exposition, salles de spectacle...) à travers une délégation de service public avec la ville de Bourges. Dans l'hypothèse d'une cession, les collectivités devraient alors créer une société d'économie mixte (SEM) afin de réaliser un passage de témoin qui, dans le meilleur des cas, ne se ferait pas avant 2015. Interrogé par Le Monde, M. Colling n'a pas souhaité donner de détail sur les négociations, se contentant de dire qu'il serait encore aux manettes du festival"pendant encore deux ou trois ans" et que sa priorité était de trouver un nouveau directeur artistique au Printemps de Bourges pour remplacer Christophe Davy, en instance de départ. Le président de la région Centre, François Bonneau (PS), a en revanche confirmé à La Nouvelle République l'existence des discussions en cours. Rien n'est cependant encore fait, en raison de plusieurs obstacles. Le premier est le prix : M. Colling réclamerait 3 millions d'euros, un montant que les collectivités jugent excessif. La seconde difficulté tient à la composition du tour de table : deux collectivités sont au centre-droit (ville et agglo), deux autres sont socialistes (département et région). On peut supposer par ailleurs que rien ne se fera avant les municipales de mars 2014 où Serge Lepeltier (UDI), le maire de Bourges, ne se représentera pas. Les élus des quatre collectivités démarchées n'en prêtent pas moins, à ce stade, une oreille attentive à la proposition de M. Colling : comme l'explique l'un d'eux, "un rachat de l'événement empêcherait que celui-ci soit délocalisé dans une autre ville" – risque potentiel s'il était vendu à une entreprise privée. Un dernier obstacle pose problème : l'actuel partenariat entre le Printemps de Bourges et le Crédit Mutuel. Depuis trois ans, le nom du festival et celui de la banque ne font qu'un sur les affiches et les prospectus. Pareille association serait évidemment impensable si l'événement passait sous le giron public. Jeudi 25 avril, le Printemps a renouvelé son contrat avec le Crédit Mutuel pour une durée de quatre ans. Article 2 Energie : le Conseil constitutionnel censure le nouveau bonus/malusLe Conseil constitutionnel a censuré ce jeudi l'instauration d'un bonus/malus sur la facture d'énergie destinée à favoriser les économies, jugeant inégalitaire à plusieurs titres cette mesure phare de la loi énergie qui avait été définitivement votée par le Parlement en mars. Les juges constitutionnels, saisis par les parlementaires UMP sur trois griefs, ont retenu celui concernant l'article 2 sur le bonus/malus. Il est censuré, ainsi que toutes les dispositions rattachées, précisent les juges dans un communiqué. Deux autres griefs relatifs à la procédure d'effacement des consommations d'énergie et aux éoliennes ont été rejetés. La ministre de l'Ecologie ne renonce pas Delphine Batho, ministre de l'Energie et de l'Ecologie, a assuré ne pas renoncer à la tarification progressive de l'énergie. Elle a promis «une solution nouvelle et juridiquement solide» qui sera incluse dans le projet de loi de programmation sur la transition énergétique, qui devrait être présenté «en octobre, a priori». «Le Conseil constitutionnel n'a pas censuré le bonus malus dans son principe mais dans son périmètre d'application» au regard du principe d'égalité, a relevé la ministre. UMP, PC et centristes étaient contre Le Parlement avait adopté, le lundi 11 mars, par un ultime vote de l'Assemblée nationale et après un parcours long et chaotique, la proposition de loi PS instaurant un bonus-malus sur la facture d'énergie, qui avait rencontré l'hostilité des communistes, notamment au Sénat. L'UMP et l'UDI avaient voté contre, de même que le Front de Gauche. Le Front de gauche estime depuis le début qu'il y a atteinte au principe de péréquation tarifaire issu du Conseil national de la résistance qui assure à tous les Français le même tarif sur l'ensemble du territoire national. Quant à l'opposition, elle ne cesse de critiquer une «usine à gaz». La composition du foyer, la région et le mode de chauffage pris en compte Le bonus-malus est calculé en fonction d'un volume de base défini à partir du niveau consommé par le quart des foyers les plus sobres. La composition du foyer, la localisation géographique et le mode de chauffage sont toujours pris en compte. Les résidences secondaires sont concernées, mais avec un volume de base fixé à la moitié de la consommation annuelle d'une personne seule et sont seulement assujetties au malus. |
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