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Historique[modifier] Carlyle a été créé en 1987, avec 5 millions de dollars, dans les salons du palace new-yorkais du même nom, à la faveur d’une affaire d’Esquimaux. Au terme d’un accord avec l’État fédéral, des sociétés d’Alaska ont reçu, en 1971, d’importantes subventions du gouvernement fédéral pour créer des entreprises sur place. Quinze ans plus tard, la plupart de ces sociétés ont accumulé des dettes considérables et menacent de déposer le bilan. Le sénateur de l’Alaska, Ted Stevens, parvient alors à faire adopter une clause dans la loi fiscale de 1984 autorisant ces sociétés à vendre leurs dettes à des compagnies américaines florissantes. Ses fondateurs, quatre juristes, dont David Rubenstein (ancien conseiller du président américain Jimmy Carter à la Maison Blanche), ont alors pour ambition de profiter de cette faille de la législation fiscale. Elle autorise les sociétés détenues en Alaska par des Esquimaux à céder leurs pertes à des entreprises rentables qui payent ainsi moins d'impôts. Le groupe végète jusqu'en janvier 1989 et l'arrivée à sa tête de l'homme qui inventera le système Carlyle, Frank Carlucci. Ancien directeur adjoint de la CIA, conseiller à la sécurité nationale puis secrétaire à la Défense de Ronald Reagan, Carlucci et ce dernier étaient colocataires quand ils étaient étudiants à Princeton. Ils se croisèrent ensuite dans de nombreuses administrations et travaillèrent même, un temps, pour la même entreprise[3],[4]. En 1997, le groupe acquiert la société américaine United Defense, gros fournisseur de l'armée américaine en véhicules de combat et en artillerie. ![]() ![]() L'ancien site parisien de l'Imprimerie nationale (rue de la Convention, XVe arrondissement.) En juin 1999, il investit 26,5 millions d'euros le quotidien français Le Figaro (devançant le Groupe Dassault), acquérant ainsi 4,9 % des actions du quotidien ainsi qu'un portefeuille d'obligations convertibles en actions représentant environ 37 % du capital (les 60 % restants étant détenus par la Socpresse)[5]. En 1999, le groupe gérait plus de 4 milliards de dollars d'investissements dans le monde[6]. Le 11 septembre 2001, jour de l'attaque terroriste contre le World Trade Center à New York et le Pentagone à Washington, Carlyle réunit dans cette même ville son conseil annuel comprenant plusieurs centaines d'investisseurs liés au groupe. Parmi les invités figurent notamment George H. W. Bush, 41e président des États-Unis et père du président George W. Bush ainsi que Shafig Ben Laden, le demi-frère d'Oussama Ben Laden dirigeant d'Al-Qaida, la structure accusée de l'agression[7]. Shafig Ben Laden fait partie des 13 membres de la famille Ben Laden qui ont quitté les États-Unis à bord d'un Boeing 727 immatriculé aux États-Unis N521DB le 19 septembre 2001[8]. La proximité des noms Bush et Ben Laden en ce jour précis interpelle les médias[9] et révèle Carlyle au grand public. En 2003, le Groupe Carlyle achète à l'État français les locaux de l'Imprimerie nationale, qui est démantelée, pour 85 millions d'euros. L'État lui rachète en 2007 ces mêmes bâtiments pour en faire le nouveau ministère des Affaires étrangères, pour 376,5 millions d'euros, soit 4,5 fois le prix de départ après environ 120 millions d'euros de travaux[10]. Le 13 mars 2008 est annoncée la faillite de la filiale de fonds d'investissement Carlyle Capital Corporation (CCC) suite à la crise des subprimes, ce qui n'aurait pas d'« impact mesurable » sur la situation financière du Groupe Carlyle. En effet un système de cloisonnement des filiales permet de préserver l'intérêt des actionnaires en diluant le risque financier sur la collectivité[11]. |
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