L’histoire des hommes a été sans cesse marquée, ces derniers siècles, par les découvertes scientifiques et les progrès de la technique. De façon globale, le








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Concernant les dispositions pour réduire le recours à la navigation délictueuse chez les jeunes, 92,82% des répondants savent que la cybercriminalité se pratique en Côte d’Ivoire. 64,11% savent que pour cela, la Côte d’Ivoire figure sur la liste rouge des pays à risque sur Internet. 79,90% des répondants sont favorables à la lutte contre la cybercriminalité et 82,78%, pour l’abandon par les jeunes de ces pratiques illicites. Pour se faire, 45,34% des répondants favorables à cette lutte préconisent de les sensibiliser.

Par ailleurs, 64,11% des répondants sont favorables à la protection des jeunes exposés ou qui s’exposent eux-mêmes aux dangers du Net. 76,08% des enquêtés sont prêts à s’engager dans une action de lutte contre la cybercriminalité, en Côte d’Ivoire. Parmi les enquêtés, 64,11% ne sont pas du tout disposés à recommander ces pratiques à leurs amis, parents et connaissances.

Sur les dispositions pratiques pouvant être mises en œuvre contre la cybercriminalité, 75,80% des répondants sont favorables à l’affichage systématique dans tous les cyberespaces de Côte d’Ivoire d’une interdiction contre les pratiques délictueuses sur Internet. De même, 67,46% des enquêtés sont favorables à la tenue d’un registre de fréquentation dans chaque cybercafé, consignant la pièce d’identité ou d’identification des internautes avec leurs horaires et postes de navigation. 67,94% souhaitent que les mises en garde contre les pratiques délictueuses sur Internet soient à la fois affichées sur les murs des cybercafés et en bande défilante sur les ordinateurs.

En outre, 80,86% des répondants sont favorables à l’introduction de l’éducation à la navigation dans les programmes scolaires. Sur les 169 sujets qui y sont favorables, 57,39% souhaitent que cela se fasse au cycle primaire.

80,86% des répondants sont favorables au recours à une campagne médiatique contre ces pratiques délictueuses. Les répondants ont désigné les spots télé et radio à 42,58% comme le moyen N° 1 (sur une échelle 5) par lequel une campagne contre les pratiques illicites sur Internet pourrait éventuellement être menée.

Pour ce qui est des conditions de renonciation à la navigation délictueuse et des mesures étatiques, 63,64% des répondants qui pratiquent le « broutage », le « formate » ou les deux seraient prêts à renoncer à ces pratiques s’ils avaient les moyens de vivre de façon indépendante. Les enquêtés qui s’adonnent au « broutage », au « formate » ou aux deux (66 sujets) affirment à 28,95% qu’un emploi aurait pu les empêcher de commencer ces pratiques délictueuses.

Par ailleurs, 73,21% des répondants sont favorables à l’interdiction et à la répression des pratiques cybercriminelles par l’Etat de Côte d’Ivoire. De même, 85,17% des répondants se disent favorables à l’interdiction et à la répression de certaines pratiques et activités sexuelles par le biais d’Internet telles que la prostitution, le proxénétisme, l’homosexualité, la pédophilie, la zoophilie et la pornographie.

A propos des dispositions pour réduire l’accès aux sites à risque pour les jeunes, 73,21% des répondants sont favorables à l’interdiction aux enfants de moins de 14 ans, non accompagnés et non assistés devant l’écran, de naviguer dans un cybercafé. En outre, 84,21% des enquêtés sont favorables à l’interdiction d’accès, à partir des cybercafés ivoiriens, à tous les sites pornographiques et à leur verrouillage électronique sur les postes clients. Enfin, 86,60% des répondants sont favorables au contrôle parental sur la navigation des enfants.

CHAPITRE V : DISCUSSION ET INTERPRETATION DES

DONNEES

Dans ce chapitre, nous analysons et interprétons les résultats d’enquête sous l’éclairage des informations contenues dans la revue de littérature et au niveau de la problématique. Il s’agit plus exactement de faire apparaître les similitudes et les divergences entre les perceptions des auteurs et celles des répondants afin de relever les écarts éventuels que nos suggestions, au prochain chapitre, permettrons de rattraper.

A cet effet, la discussion et l’interprétation des résultats se feront autour des variables suivantes, issues de la revue de littérature et qui nous ont guidé dans l’élaboration des instruments d’enquête, à savoir :

  1. Les rapports des jeunes avec la navigation et la cybercriminalité (c’est-à-dire le statut d’internaute et de cybercriminel des jeunes),

  2. Les facteurs psychosociaux susceptibles de favoriser la cybercriminalité des jeunes et celle les ciblant,

  3. Les dispositions pratiques et réglementaires pour décourager l’usage illicite d’Internet et réduire les actes criminels à partir des cybercafés. Nous avons reformulé cette dernière variable en deux variables : Les dispositions pour réduire le recours à la navigation délictueuse chez les jeunes et les dispositions pour réduire l’accès aux sites à risque pour les jeunes.

5.1 DISCUSSION ET INTERPRETATION DES DONNEES DU QUESTIONNAIRE ADRESSE AUX JEUNES INTERNAUTES

5.1.1 Les rapports des jeunes avec la navigation et la

cybercriminalité ou leur statut d’internaute et de cybercriminel

La pratique de la navigation par les jeunes est une réalité qui ne se démontre plus. En effet, un grand nombre de jeunes, en majorité de 12 à 23 ans (Tableau 4.1), se connectent tous les jours à Internet et parmi ceux-ci, une majorité considère Internet comme son loisir préféré (Tableau 4.3). Les jeunes consacrent en moyenne, 1 à 20 heures de leur temps par semaine à naviguer dans les cybercafés et y vont en moyenne, 1 à 10 fois dans la semaine ; pour ainsi dire, ils y sont quotidiennement. Ils y dépensent environ 5 à 10.000 FCFA par mois et une forte majorité y consacre pratiquement tout son argent de poche (Tableau 4.4). Ce qui révèle une véritable assiduité voire une totale accoutumance de leur part à la navigation, au point de susciter des inquiétudes chez les adultes. Ce que n’a pas manqué de relever ASSOULINE (2008), dans la revue de littérature, quand il a affirmé, à la fin d’une étude commanditée par le Sénat français sur le sujet des nouveaux médias : « Les inquiétudes liées à l’impact d’Internet sur la jeunesse sont inhérentes au fait que la jeunesse se situe au cœur même de cette immense révolution numérique ».

En effet, selon le sénateur David ASSOULINE (2008), dans la recension des écrits, non seulement les jeunes n’ont pas échappé au bouleversement numérique mais ils en sont même les fers de lance : ils sont les principaux utilisateurs des nouvelles technologies; ils ont tendance à les utiliser de manière combinée et ont créé des usages originaux, à tel point que leurs pratiques médiatiques contribuent de manière essentielle à la définition d’une «culture jeune».

Leur pratique du Net, en Côte d’Ivoire, est relativement récente et grandissante quand on considère qu’une nette majorité d’entre eux ont une expérience de moins de 6 ans dans la navigation (Tableau 4.3), si on prend en compte le fait qu’Internet a été ouvert au public en 1994, c’est-à-dire depuis déjà 16 ans en arrière. Leur centre d’intérêt principal sur le Net, ce sont les informations, suivies de la recherche de l’amitié et leurs sites de prédilection, les sites de recherches et de rencontres (Tableau 4.5), qui ouvrent justement le champ libre à la cyber-escroquerie. Car un bon nombre de ces jeunes y trouvent l’occasion de faire des rencontres amoureuses rentables, lucratives et de planifier maints scénarii d’arnaque.

A certains, ces pratiques cybercriminelles rapportent des sommes énormes comme l’affirme un peu moins du tiers de ceux qui se livrent sur Internet à des pratiques qui leur rapportent de l’argent (Tableau 4.6). Comme l’attestent, dans la revue de littérature, les enquêtes des journalistes Y. DOUMBIA (2008) et Daniel BEKE (2009), ainsi que du blogueur CLAUDUS (2009) et les articles de François BECANTHY (2009) et de Serge KASSE (2009) relatifs à ce fléau en Côte d’Ivoire, la cybercriminalité ivoirienne consiste essentiellement en la pratique de l’escroquerie en ligne, avec pour couverture la correspondance amoureuse, la correspondance d’affaire, la correspondance religieuse ou les SPAM ; selon eux, elle serait généralement le fait des jeunes de 12 à 25 ans, ce qui est globalement confirmé par notre étude (Tableau 4.1) qui fait ressortir que l’âge de la majorité des jeunes internautes de Côte d’Ivoire se situe entre 12 et 23 ans. Ces écrits révèlent également que la cybercriminalité ivoirienne se pratique essentiellement à partir des cybercafés, constamment pris d’assaut par les jeunes, constat que nous avons également fait (Tableau 4.3).

Près de la moitié des jeunes internautes enquêtés ont reconnu faire des rencontres amoureuses sur Internet et un nombre non moins important, que ces rencontres leur rapportent de l’argent. Ils reçoivent, pour la majorité de ceux qui ont bien voulu répondre à cette question, des avances à caractère sexuel et un nombre non négligeable parmi eux y répond favorablement (Tableau 4.5). Un peu plus du quart des sujets n’a pas répondu à la question. Cette forte abstention (Tableau 4.5) pourrait être l’expression de la gêne qu’ils éprouvent à parler de cette question très intime et suggérer que le mal est encore plus grand que ce qu’ils ont bien voulu laisser paraître. Le tiers des jeunes enquêtés est prêt à aller vivre à l’étranger avec un(e) correspondant(e) dont il serait tombé amoureux. Cette disposition mentale, psychologique et morale des jeunes internautes constitue la plus grande menace contre eux. Elle fait d’eux des proies faciles et les cibles de choix de la cybercriminalité les visant. Comme l’atteste le témoignage de LOLITA dans la recension des écrits, ces jeunes s’exposent ainsi à des réseaux de trafic international d’enfants, de pornographie, de zoophilie et de prostitution internationale. L’Etat devra donc prendre en compte cette dimension de la cybercriminalité et assurer à l’égard de ces jeunes un rôle régalien de protection morale, par des mesures vigoureuses et immédiatement applicables.
5.1.2 Facteurs psychosociaux susceptibles de favoriser la navigation

délictueuse des jeunes ou celle les ciblant

Contrairement à ce qu’on aurait pu à priori penser, ce n’est ni la situation économique et sociale des parents et de la famille ni la pauvreté ni le chômage qui sont les raisons principales de la navigation délictueuse des jeunes, même s’ils entrent en ligne de compte. En effet, les résultats de cette étude montrent, au Tableau 4.2, que l’écrasante majorité des jeunes internautes sont des élèves et des étudiants (donc pas encore confrontés à un problème d’emploi), qu’ils sont issus de père et de mère ayant un niveau d’étude supérieur ou secondaire (Tableau 4.7), que s’agissant de leur situation professionnelle, leurs parents sont, en général, des travailleurs salariés ou des personnes ayant des activités économiques informelles (Tableau 4.7).

En outre, parlant de statut matrimonial, la majorité des jeunes internautes enquêtés sont issus de couples légalement ou traditionnellement mariés et ces parents vivent ensemble. Au demeurant, ils appartiennent essentiellement à des familles réduites (3 à 5 personnes) et les parents du plus grand nombre vivent à Abidjan (Tableau 4.7), avec eux (Tableau 4.8). En clair, pour la grande majorité d’entre eux, ils ne sont pas en situation de déperdition familiale, sociale ou économique, loin s’en faut. Daniel BEKE (2009), dans la recension des écrits, rapporte justement dans son enquête sur le « broutage » que c’est pour se donner bonne conscience que « les brouteurs » évoquent le chômage généralisé comme principale motivation de leurs agissements.

Ils affirment, en majorité, notamment dans le Tableau 4.13, que c’est un emploi qui aurait pu les empêcher de commencer ces pratiques. Il est clair que de tels arguments ne peuvent prospérer. Le véritable mobile de ces pratiques répréhensibles est, comme nous avons pu le voir dans nos résultats, l’attrait du gain facile (Tableau 4.9), c’est-à-dire un problème d’ordre psychologique et moral.

Les autres facteurs psychosociaux qui peuvent influencer les jeunes internautes et les amener aux pratiques délictueuses sur Internet sont le fait, pour la majorité, de vivre avec des personnes qui se connectent, d’avoir des copains qui se connectent et pour un peu moins de la moitié d’entre eux, d’avoir des amis qui gagnent de l’argent en naviguant (Tableau 4.8). La majorité des jeunes internautes ont eu leur premier contact avec Internet par un ami ou un parent et avaient pour première raison de naviguer la curiosité (Tableau 4.8). Tous ces facteurs engendrent une forte ambiance d’émulation à laquelle les jeunes internautes de Côte d’Ivoire n’échappent pas, généralement, et qui justifient l’envahissement par les jeunes des cybercafés abidjanais, comme l’a relevé Daniel BEKE (2008) du Magazine PARENCE dans la revue de littérature. Cette ambiance est aussi cause que la majorité des jeunes internautes qui pratique le « broutage » et le « formate » n’ont aucune envie de les cesser (Tableau 4.9), qu’ils finissent par considérer qu’elles sont une bonne action, qu’elles les valorisent, les rendent financièrement indépendants et utiles à leurs familles et à leur société (Tableau 4.10), surtout quand certains des parents les approuvent dans leurs actions (Tableau 4.10). Le tiers d’entre eux est même prêt à franchir le pas de l’occultisme, à aller voir les marabouts qu’ils appellent les « zamour » ou les « zamouteurs », dans la recension des écrits, pour gagner plus d’argent (Tableau 4.10).
5.1.3 Les dispositions pour réduire le recours à la navigation délictueuse

chez les jeunes
Les jeunes internautes, dans leur grande majorité, savent que la cybercriminalité se pratique en Côte d’Ivoire et que pour cela, ce pays est considéré dans le monde comme une destination à risque. Sylvanus KLA, DG de l’ATCI, ne dit pas autre chose quand, dans la revue de littérature, il affirme, en 2008 à Yamoussoukro, que « La Côte d’Ivoire est devenue la plaque tournante de l’escroquerie sur Internet » et même « le N° 1 de l’escroquerie sur le Net », à la 11ème édition des JNTIC, en Juin 2010. Mais la perception qu’ont ces jeunes du mal qu’ils causent à leur pays se limite à ce que nous avons relevé plus haut, à savoir que la Côte d’Ivoire est devenue une destination à risque, sans plus. Pour Sylvanus KLA, ces «fossoyeurs de l’Economie nationale», trop préoccupés par la recherche du gain facile, ignorent pour la plupart les effets de leurs pratiques. En effet, toujours selon Sylvanus KLA, ces pratiques provoquent des effets néfastes au niveau économique et social, et menacent les bases même du système éducatif ivoirien. Daniel BEKE (2009), dans ses écrits, ne soutient pas autre chose quand il affirme, péremptoire, que « le broutage est un véritable cancer économique » pour la Côte d’Ivoire.

Dans leur ensemble, les gérants sont favorables à la lutte contre la cybercriminalité et pour l’abandon par les jeunes de ces pratiques illicites (Tableau 4.11). Pour se faire, le plus grand nombre de ceux qui sont favorables à cette lutte préconisent non seulement de les sensibiliser mais aussi de les insérer économiquement, pour prendre en compte l’aspect socio-économique qui ne doit pas être négligé, selon certains, dans cette lutte, même s’il est clair que c’est le l’attrait du gain facile qui est le moteur premier de ces pratiques.

En outre, ils sont favorables à la protection des jeunes exposés par d’autres ou qui s’exposent eux-mêmes à des périls provenant d’Internet. Ils sont prêts à s’engager dans une action de lutte contre la cybercriminalité. Par ailleurs, ils ne sont guère disposés à recommander ces pratiques à leurs amis, parents et connaissances (Tableau 4.11).

Relativement aux dispositions pratiques à mettre en œuvre contre la cybercriminalité, ils sont favorables à l’affichage systématique dans tous les cyberespaces de Côte d’Ivoire d’une interdiction contre les pratiques délictueuses sur Internet, ils sont favorables à la tenue d’un registre de fréquentation dans chaque cybercafé, consignant la pièce d’identité ou d’identification des internautes avec leurs horaires et postes de navigation ; ils émettent le vœu que les mises en garde contre les pratiques délictueuses sur Internet soient à la fois affichées sur les murs des cybercafés et en bande défilante sur les ordinateurs (Tableau 4.12).

Sur le point du registre de fréquentation, l’ATCI pense justement que sa tenue dans les cybers peut aider à identifier plus facilement les cybercriminels et les traquer. Parallèlement à cette mesure, l’ATCI préconise aussi l’identification des cybercafés (localisation géographique, identités des propriétaires et gérants, attribution d’adresses IP fixes), au titre des mesures portant sur le fonctionnement des cybercafés ; tout ceci étant conforme aux recommandations du Forum sur la cybersécurité qui s’est tenu en Novembre 2008, à Yamoussoukro, et évoqué dans la revue de littérature.

D’une autre part, les jeunes internautes sont favorables à l’introduction de l’éducation à la navigation dans les programmes scolaires, à partir du cycle primaire.

Ils sont également favorables au recours à une campagne médiatique contre les pratiques délictueuses des jeunes de Côte d’Ivoire sur Internet. Les spots télé et radio sont pressentis par eux comme le moyen de prédilection pour une telle campagne (Tableau 4.12). Ces médias pourraient, en effet, s’avérer des instruments de communication efficaces pour une sensibilisation efficiente dans la mesure où ils sont accessibles à une très large frange de la population ivoirienne.

Par ailleurs, les jeunes portent un avis favorable sur l’interdiction et la répression des pratiques cybercriminelles par l’Etat de Côte d’Ivoire, ainsi que de certaines pratiques et activités sexuelles par le biais d’Internet telles que la prostitution, le proxénétisme, l’homosexualité, la pédophilie, la zoophilie et la pornographie (Tableau 4.13). Comme le soutient Daniel BEKE (2009) dans la recension des écrits, l’Etat ivoirien doit déjà prendre l’initiative de la lutte en complétant et en appliquant effectivement la législation existante en la matière, en vue de réprimer les cybercriminels de toutes sortes. Sylvanus KLA, DG de l’ATCI, révèle également que d’importantes mesures nationales, sous-régionales et continentales sont en train d’être mises en œuvre pour apporter une réponse à ce dangereux phénomène.
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