L’histoire des hommes a été sans cesse marquée, ces derniers siècles, par les découvertes scientifiques et les progrès de la technique. De façon globale, le








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Au titre des dispositions diverses à prendre contre la cybercriminalité, il incombe un rôle et des actions aux différentes parties prenantes à l’avènement d’une plus grande cybersécurité, en Côte d’Ivoire. A ce niveau, souligne t-il, la contribution de l’ATCI est multiforme :

  • Actions de sensibilisation


- Conférence nationale sur la cybercriminalité, à Abidjan en 2008 ;

- Conférence régionale africaine sur la cybersécurité, à Yamoussoukro en 2008 ;

- Autres manifestations : l’ATCI participe à de nombreuses manifestations pour parler de la cybercriminalité (Ex. : Emissions télé et radio, interviews, JNTIC).
  • Mise en place d’un cadre législatif et réglementaire approprié


Projet de loi sur la cybercriminalité

- adapter les délits actuels aux TIC ;

- pénaliser les nouveaux comportements illicites rendus possibles grâce aux TIC.

Elaboration des textes communautaires (CEDEAO) sur la cybercriminalité (mais aussi : acte additionnel sur protection des données à caractère personnel et acte additionnel sur les transactions électroniques).

Décision d’identification des abonnés mobiles à partir de juillet 2009 : Les anciens abonnés ont 18 mois pour se faire identifier auprès de leurs opérateurs.

Mesures sur le fonctionnement des cybercafés

- identification des cybercafés (localisation géographique, identités des propriétaires et gérants, attribution d’adresses IP fixes) ;

- identification des clients préalablement à l’utilisation des services de navigation et de consultation des messageries.
  • Mesures organisationnelles


Création d’un CERT : centre de veille, de supervision de sites, veille sur les vulnérabilités et menaces, traitement des incidents.

Plate-forme de la lutte contre la cybercriminalité : cadre de discussion pour la mise en œuvre de mesures de lutte contre la cyber-escroquerie : ATCI, Police, Parquet, ISP (Aviso, Afnet).

Groupe de travail Internet : réfléchir sur tous les sujets relatifs à Internet, en mettant en avant les questions de sécurité : Secteur public, secteur privé, société civile et académique.

Forum national sur la Gouvernance de l’Internet : au moins une fois par an.
  • Formation de différents acteurs


Objectif : Relever le niveau de compétence des intervenants dans la chaîne de la lutte contre la cybercriminalité :

- Gestionnaire de l’infrastructure : techniciens et administrateurs de réseaux travaillant chez les ISP et opérateurs, mais aussi dans les autres structures.

- Autres acteurs : décideurs, utilisateurs identifiés (Ex. : Les enfants, le personnel de l’administration).
  • Coopération internationale


L’ATCI participe à certaines réunions régionales et internationales où se discute la stratégie globale de lutte contre la cybercriminalité qui est une question globale qui nécessite une réponse globale, compte tenu du fait qu’Internet ignore les frontières :

- Réunions de l’Union Internationale des Télécommunications (UIT) sur la cybersécurité (commissions d’études, ateliers régionaux) ;

- Forum sur la Gouvernance de l’Internet du Sommet Mondial sur la Société de l’Information (SMSI) ;

- Réunions d’AfriNIC (Registre africain des ressources Internet) ;

- FIRST : Forum mondial des CERT (à partir de 2010).

4.2.3 Résultats de l’interview structurée avec les gérants de cyberespaces

Un entretien dirigé a été organisé avec des gérants de cyberespaces au nombre de vingt (20) et qui se répartissent comme suit : douze (12) dans la commune de Marcory et huit (08) dans la commune de Treichville. Sur les vingt (20) cybercafés qu’ils gèrent, un (01) seul a ouvert avant 2000, deux (02) ont ouvert en 2000 et douze (12) ont ouvert après 2000 ; les cinq (05) autres en ignorent la date. Dix neuf (19/20) ont une connexion Haut débit AVISO et un (01) seul, une connexion Bas débit dont il n’a pas indiqué le fournisseur d’accès. Aucun d’entre eux ne dispose d’une connexion à Très haut débit. Onze (11/20) ont 6 à 10 postes client, sept (07), 11 à 15 postes client, un (01) a 17 postes client et un (01), vingt et un (21).

Sur les rapports des jeunes avec la navigation et la cybercriminalité

A la question de savoir combien de jours ils ouvrent dans la semaine, quinze (15) ont affirmé ouvrir toute la semaine quand cinq (05) disent n’ouvrir que 6 jours. Concernant leurs heures d’ouverture, neuf (09/20) ouvrent plus de 15 heures par jour, cinq (05) ouvrent de 13 à 15 heures par jour et six (06), de 10 à 12 heures par jour. Seize (16/20) parmi eux offrent comme autre service l’impression, douze (12) le scanner, dix (10) la photocopie, sept (07) les cours de saisie, cinq (05) le téléphone, cinq (05) la gravure, cinq (05) autres la confection de badges et quatre (04) la photographie numérique. Seulement deux (02/20) ont l’Internet comme activité unique. Pour quatorze (14) d’entre eux, la navigation occupe le 1er rang dans leurs activités et dans leurs recettes par rapport aux autres services qu’ils offrent, pour quatre (04) le 2ème rang et pour deux (02) le 3ème rang.

Répondant à notre préoccupation de savoir combien d’internautes ils enregistraient par jour en moyenne, dix sept (17/20) affirment en recevoir moins de 100, deux (02) de 100 à 200 et un (01) seul de 200 à 300 ; en clair, des milliers d’internautes par jour. Pour huit (08) gérants de cybers, les jeunes représentent moins de 50% de leurs clients, pour quatre (04) entre 50 et 70%, pour trois (03) entre 70 et 90% et pour cinq (05/20), plus de 90% de leurs clients. En un mot, leur clientèle est essentiellement jeune. Car on observe que sur les vingt cybers, douze (12/20, soit 60%) reçoivent entre 50 et plus de 90% de jeunes. Ils situent la tranche d’âge des jeunes qui fréquentent leurs cybers entre 9 et 35 ans. D’après eux, ce que les jeunes recherchent sur Internet, ce sont, par ordre d’importance : L’argent (10 points), des informations (06 points), l’amitié (03 points), le loisir (02 points) et l’amour (01 point). Ils nous indiquent également que les sites de prédilection de ces jeunes sont, par ordre d’importance, les sites de rencontres (13 points), les sites de recherches (10 points), les sites de jeux et de musique, les sites d’actualités et de spécialités, les sites de messagerie (04 points chacun), les sites de sports (03 points) et les sites communautaires et de socialisation (01 point). Dix neuf (19/20) gérants affirment que les jeunes internautes parviennent à payer, séance tenante leur temps de navigation ; un (01/20) seul relève qu’ils s’endettent auprès de lui et qu’ils ne le payent que lorsqu’ils sont parvenus à obtenir de l’argent d’un correspondant sur le Net. Dix sept (17/20) gérants disent avoir déjà surpris de jeunes internautes s’adonner à des pratiques délictueuses sur Internet dans leurs cybers. Seuls quelques-uns (05) des gérants les ont interpellés ou conseillés. En général, ils ne font rien d’autre, à partir du moment où, disent-ils, les jeunes payent leur temps de connexion.

Sur les facteurs psychosociaux susceptibles de favoriser la navigation délictueuse des jeunes ou celle les ciblant

Selon onze (11/20) gérants, la situation économique et sociale des parents ou de la famille ne peut être évoquée comme la raison qui pousse les jeunes à la cybercriminalité. Neuf (09) affirment le contraire. Pour les gérants de cyber, la première raison qui pousse les jeunes à s’adonner aux pratiques cybercriminelles, c’est l’attrait du gain facile (12 points sur 20, soit à 60%), suivi de la pauvreté (03 points, 15%), de l’envie de faire comme les autres et de l’envie de paraître (02 points chacune), et du désir d’enrichissement rapide (01 point).

Sur les dispositions pour réduire le recours à la navigation délictueuse chez les jeunes

Touchant à ce que l’Administration ivoirienne (Ministère des NTIC et ATCI) leur a exigé pour ouvrir leur cyber, neuf (09/20) sont restés sans réponse, huit (08) ont répondu « rien du tout », un (01) a répondu un permis d’installation, un (01) autre, des frais d’abonnement Internet et un (01) autre encore, un téléphone fixe. En clair, des réponses très disparates. Quant aux pièces administratives déposées au fournisseur d’accès Internet pour obtenir une connexion, quinze (15/20) gérants de cyber déclarent avoir fourni une carte nationale d’identité, dix (10/20) un plan de situation du local, un (01) une facture CIE ; cinq (05) sont restés sans réponse. Pour la majorité d’entre eux (17/20), ils n’ont reçu aucun cahier de charges à observer ou à exécuter, avec des exigences sécuritaires contre la cybercriminalité, au moment de leur abonnement ; ils pensent même qu’un tel document n’existe pas. Trois (03/20) affirment pourtant le contraire et disent l’avoir reçu. La réalité est à rechercher. Pour l’essentiel, ils attestent (13) que la police effectue des descentes dans leurs cybers ; souvent, pour certains (05) et rarement, pour d’autres (08).

En général, ils prennent des mesures personnelles (16/20) pour empêcher la pratique de la cybercriminalité dans leurs cybers : affichage de mises en garde (10), avertissements verbaux (10), affichage de règlements intérieurs (09) et verrouillage électronique de sites non-recommandés. Ils sont disposés, pour dix (10) d’entre eux, à verrouiller sur leurs postes client les sites d’extraction d’e-mails utilisés par les cybercriminels pour envoyer des milliers de SPAM d’arnaque aux internautes du monde, tandis que sept (07) y sont opposés. La moitié des gérants de cybers interrogés (10) sont favorables à une collaboration avec la police pour arrêter les cybercriminels, quand l’autre moitié (10) ne le conçoit même pas. Il en est de même concernant la mise en place d’une police des cyberespaces (9 contre 9) ; deux (02) gérants s’étant abstenus de nous répondre. Néanmoins, sur les critères que devraient remplir un agent des forces de l’ordre pour faire éventuellement partie d’une telle police, ils proposent par ordre d’importance : la probité (8 points sur 20, soit 40%), une connaissance approfondie en informatique (8 points, soit 40%), la conscience professionnelle (03 points) et une connaissance moyenne en informatique (01 point). Insistant sur leur option pour la probité, ils ont souligné le fait que c’était pour éviter que le racket ne devienne l’activité principale de cette nouvelle police.

Dix (10/20) gérants de cybers adhèrent à la mise en place d’une réglementation régissant l’ouverture des cyberespaces, en Côte d’Ivoire, contre sept (07) qui y sont opposés. Quant aux lois et dispositions réglementaires allant dans le sens de fermer leurs cybers et leur faire assumer une partie de la responsabilité pénale des pratiques cybercriminels qui ont cours dans leurs établissements, ils les récusent fortement, arguant n’y être pour rien et craignant qu’elles ne fournissent aux forces de l’ordre l’occasion de leur faire du chantage et de les racketter. Seuls trois (03/20) y sont favorables, soutenant que cela les rendra plus vigilants et exigeants dans leurs cybers contre ces pratiques. Ils affirment que la lutte contre la cybercriminalité, même s’ils reconnaissent qu’elle relèvera le niveau de cybersécurité (11/20), fera chuter leurs recettes (16/20) : fortement, pour cinq (05/16) gérants, moyennement, pour dix (10/16) et légèrement, pour un (01/16) seul ; trois (03/16) ont choisi de ne donner aucun avis. Pour la majorité, les gérants de cybers interrogés sont favorables à la tenue d’un grand forum réunissant fournisseurs d’accès Internet, propriétaires de cybercafés, abonnés Internet, associations de consommateurs et structures de l’Etat engagés dans la lutte, pour prendre des dispositions et des recommandations contre la cybercriminalité.

Sur les dispositions pour réduire l’accès aux sites à risque pour les jeunes

En grande partie, les gérants de cybers que nous avons enquêtés sont favorables (16/20) à une interdiction à tous les enfants de moins de 14 ans non accompagnés et non assistés devant l’écran de naviguer dans leurs établissements et favorables (18/20) à l’interdiction et le verrouillage électronique sur leurs postes client de tous les sites pornographiques et assimilés. Seuls quelques-uns (04 pour la première mesure, 02 pour la deuxième) y trouvent des inconvénients.

    1. SYNTHESE DES RESULTATS

Notre étude a été bâtie autour d’un effectif de 209 répondants. Au terme du traitement des données recueillies, nous procédons ici, à leur synthèse.

En les passant en revue, nous relevons que la majorité des répondants (représentant 77,51% de l’ensemble des enquêtés), se situent dans les tranches d’âge comprises entre 12 et 23 ans. Ils habitent les quartiers Sans-fil, Remblai, Arras et Belleville des communes de Marcory et de Treichville. Par ailleurs, cette majorité est essentiellement de sexe masculin (72,72% des répondants), élèves du secondaire à 57,89% et de nationalité ivoirienne à 70,33%.

Au niveau du rapport des jeunes avec la navigation et la cybercriminalité, ou autrement dit, leur statut d’internaute et de cybercriminel, 53,59% des répondants ont Internet pour loisir préféré et 68,90%, s’y connectent tous les jours. 87,56% d’entre eux naviguent 1 à 10 fois en moyenne, dans la semaine. De même 87,56% naviguent 1 à 20 heures en moyenne, par semaine.

Il faut noter également que 77,44% des répondants préfèrent naviguer entre 12h et 0h et que 71,29% aiment naviguer au même endroit. En outre, ils naviguent tous régulièrement depuis au moins 2 ans, soit 100% des répondants, et parmi eux, 57,90% naviguent régulièrement depuis moins de 4 ans. 85,04% préfèrent naviguer au cybercafé où 84,69% dépensent en moyenne de moins de 5.000 à 10.000 francs CFA par mois pour se connecter. 64,35% des répondants affirment payer leur temps de connexion avec leur argent de poche.

En majorité (soit pour 62,80% des répondants), ils se connectent à Internet pour rechercher des informations et l’amitié. A 53%, ils ont pour sites de prédilection les sites de recherche et les sites de rencontres.

S’agissant du plan sentimental et sexuel, 45,58% des répondants font des rencontres amoureuses sur Internet et 42,70% d’entre eux disent que ces rencontres leur rapportent de l’argent. Touchant précisément aux avances à caractère sexuel, 41,63% disent en recevoir de leurs correspondants et 41,38% des concernés reconnaissent y avoir déjà favorablement répondu. Ils sont, à 31,10%, prêts à aller vivre à l’étranger avec un(e) internaute dont ils tomberaient amoureux.

Quoique certains se livrent sur Internet à des activités rapportant de l’argent, 65,55% des enquêtés répondent ne pas s’y adonner. 52,78% de ceux qui se livrent à des activités lucratives sur Internet disent gagner un peu d’argent. Parmi eux, 59,72% ne parviennent pas à épargner ou à investir l’argent ainsi gagné. 63,89% des jeunes internautes enquêtés disent être devenus financièrement indépendants par l’argent gagné.

Il est à souligner également que concernant les facteurs psychosociaux susceptibles de favoriser la navigation délictueuse des jeunes ou celle les ciblant, 74,17% des sujets sont issus de pères ayant un niveau d’étude supérieur ou secondaire. De même 48,32% des répondants sont issus de mères ayant un niveau d’étude supérieur ou secondaire.

S’agissant de la situation professionnelle des parents, on note que les pères de 81,72% et les mères de 76,55% des répondants sont des travailleurs salariés ou ont des activités économiques informelles.

Parlant du statut matrimonial des parents, 57,42% des répondants sont issus d’un couple marié légalement ou traditionnellement et les parents de 78% des répondants vivent ensemble. En outre, 46,41% appartiennent à des familles réduites (3 à 5 personnes) et les parents de 76,56% vivent à Abidjan.

Par ailleurs 82,77% des répondants vivent chez leurs parents ou chez un membre de leur famille et 67,46% vivent avec des personnes qui ne se connectent pas à Internet. 68,90% ont des copains qui naviguent régulièrement et 50,24% ont des copains qui ne gagnent pas d’argent en navigant.

On note que 77,03% des répondants ont commencé à naviguer dans les tranches d’âges comprises entre 10 et 20 ans. 65,07% ont eu leur premier contact avec Internet par un ami ou un parent. La première raison (sur 8) qui a amené 30,62% des répondants à naviguer, c’est un travail de classe.

Relativement à la connaissance des pratiques délictueuses des jeunes de Côte d’Ivoire sur Internet, 81,34% des répondants savent ce qu’est le « broutage » et 67% ne connaissent pas le « formate ». 60,61% des 66 répondants qui pratiquent le « broutage », le « formate », ou les deux, affirment ne pas avoir l’intension de cesser ces pratiques. 51,20% disent ne pas connaître ce que c’est qu’une attaque informatique et 94,26% affirment n’en avoir jamais pratiqué. Pour 44,98% des répondants, c’est l’attrait du gain facile qui est la raison N° 1 (sur une échelle de 14) des pratiques délictueuses des jeunes sur Internet.

Touchant à l’affect lié aux pratiques délictueuses sur Internet, 50,72% des répondants, ne voient aucune valorisation des jeunes en rapport avec la pratique du « broutage » ou du « formate ». 51,20% pensent que ces pratiques rendent les jeunes utiles à leurs familles et à la société et 59,81%, que le « broutage » et le « formate » sont une chance pour les jeunes d’être financièrement indépendants. En revanche, pour 61,24% des répondants, ces pratiques ne peuvent en aucune façon constituer une solution au chômage des jeunes, en Côte d’Ivoire. 59,81% affirment que le « broutage » et le « formate » ne confèrent pas aux jeunes un statut social. Pour 52,15% des enquêtés, ces pratiques constituent une mauvaise action.

On relève également que 60,61% des 66 jeunes internautes enquêtés qui ont affirmé s’adonner à ces pratiques, disent qu’ils n’accepteraient pas d’aller voir un marabout pour gagner plus d’argent.

En outre, les parents de 78,84% des répondants savent qu’ils naviguent sur Internet. Les parents de 74,16% des 89 enquêtés qui ont affirmé faire des rencontres amoureuses sur Internet ne savent pas qu’ils en font. Des 87 enquêtés qui reçoivent des avances à caractère sexuel, les parents de 78,16% n’en savent rien. Les parents de 56,06% des 66 jeunes internautes qui disent pratiquer le « broutage », le « formate » ou les deux, le savent et 59,10% d’entre eux parlent de ces pratiques devant leurs parents. Les parents de 68,18% de ces jeunes internautes n’approuvent pas les pratiques délictueuses de leurs progénitures sur Internet.
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