RÉsumé Première partie Depuis la cellule d’une prison de Nouvelle-Angleterre, dans les années cinquante, l'universitaire IL est qualifié de «docteur»








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présente
‘’Lolita

or

The confession of a white widowed male’’

(1955)
roman de Vladimir NABOKOV
(357 pages)
pour lequel, dans cette première partie de l'étude, on trouve
un résumé
puis, successivement, l’examen de :
la genèse (page 5),
l’intérêt de l’action (page 11),
l’intérêt littéraire (page 35).


Bonne lecture !


RÉSUMÉ
Première partie
Depuis la cellule d’une prison de Nouvelle-Angleterre, dans les années cinquante, l'universitaire (il est qualifié de «docteur» parce qu'il a un «Ph.D.») et écrivain suisse Jean-Jacques Humbert, qui a pris le pseudonyme de «Humbert Humbert», qui se désigne aussi comme «Dr Edgar H. Humbert», écrit sa confession. Se définissant comme un «nympholepte» car il ne peut aimer que des «nymphettes», des fillettes de neuf à quatorze ans, qui, pour lui, sont véritablement «magiques», il entreprend de relater la naissance et l'évolution de l'obsession dévorante, qu'il éprouve pour l'une d'elles, qu'il appelle «Lolita».

Il était né en 1910 à Paris, d'un père citoyen suisse et d'une mère anglaise, décédée accidentellement en 1913. Il avait passé son adolescence sur la Riviera, où son père possédait un palace, le Mirana, et où, au cours de l'été 1923, à l'âge de treize ans, il était tombé passionnément amoureux d'Annabel Leigh, une petite baigneuse du même âge que lui. Or cet amour demeura inassouvi, et elle fut, quatre mois après leur rencontre, emportée par le typhus. Il allait garder la nostalgie de cette «enfant initiale».

De 1923 à 1926, il avait été élève au lycée de Lyon. Puis il avait fait des études à Londres et Paris. Il faillit s'orienter vers la psychiatrie, mais se tourna plutôt vers la littérature anglaise, composant des pastiches, publiant des essais et une ''Histoire abrégée de la poésie anglaise'', devenant professeur d’anglais à Auteuil, pour des adultes, avant de l'être dans une école de garçons.

Déjà conscient de son attirance pour les très jeunes filles, conséquence de la déception causée par la perte d'Annabel, il se laissait aller à des fantasmes sexuels. Il se livrait même à certaines manoeuvres ; par exemple, il prétendait lire un livre dans un parc public pour y être excité par des «nymphettes» jouant près de lui ; rendant visite à une prostituée de seize ou dix-sept ans, il l'imaginait ayant trois ans de moins.

Comme, ayant demandé à une «maquerelle» une «nymphette», il était tombé dans un «guet-apens» puisqu'elle lui avait présenté «une fille âgée d'une quinzaine d'années au moins, monstrueusement empâtée», et que la police l'avait interrogé, pour plus de sûreté et aussi pour des raisons «alimentaires», il épousa, en 1935, une femme adulte mais qui avait des manières enfantines, la Polonaise Valetchka Zborobsky. Mais il avait été incapable de s'attacher à elle, ce mariage désenchanté, qui lui paraissait un vulgaire «dégorgeoir licite», s'étant terminé par une scène cocasse où il découvrit qu'elle le trompait avec un chauffeur de taxi russe, Maximovitch, avec lequel, en 1939, après leur divorce, elle partit vivre en Californie où elle allait mourir en couches en 1945.

Humbert, lui aussi, quitta l’Europe pour les États-Unis où un «oncle d’Amérique» lui avait légué un petit héritage, à condition qu’il vienne s’occuper de ses affaires. En 1940, il arriva donc à New-York où, parallèlement à un travail de rédacteur publicitaire, il rédigea, pendant deux ans, une ''Histoire comparée de la littérature française''. Mais le déracinement, l'âge, ses démons intérieurs, le conduisirent à une dépression et à un séjour dans un hôpital psychiatrique. En 1943-1945, il fut en mission scientifique dans le Nord du Canada. En 1946, il fit un nouveau séjour en hôpital psychiatrique.

Alors qu'en juin 1947, il était en quête d'un endroit calme pour étudier et écrire en toute tranquillité, il choisit la petite ville de Ramsdale, en Nouvelle-Angleterre. Il se prépara à s'installer chez les McCoo, et, ayant appris qu'ils avaient une fillette de douze ans, se plut à imaginer pouvoir la caresser, acheta même pour elle des jouets dispendieux. Or leur maison fut détruite par un incendie. Aussi fut-il dirigé vers la maison d'une veuve, Charlotte Haze, et il en achevait la visite quand il aperçut sa fillette qui était en train de prendre un bain de soleil sur la pelouse ; il eut alors la vision bouleversante de son idéal en cette Dolorès, qui, âgée de douze ans et demi, lui rappela violemment Annabel. Il décida donc de s'installer là. Dès les premiers jours, complètement subjugué par celle qu'il surnommait «Dolly», «Lo», «Lola», «Lolita», il fit tout pour se rapprocher d'elle qui semblait l'accepter, en particulier à une occasion où, en l'absence de Mrs Haze, ils se trouvèrent ensemble sur le canapé du salon familial, et où, selon lui, qui était terriblement excité, elle aurait joué avec espiéglerie le rôle d'une tentatrice.

Or, dans une lettre, Charlotte Haze lui avoua qu'elle l'aimait. Il s'imagina alors les caresses que, époux de la mère, il pourrait prodiguer à la fille. Pourtant, au cours d'une baignade dans un lac, il envisagea de l'y noyer, mais dut renoncer à son projet. Alors, même s'il n'était pas du tout attiré par la «grosse Haze», il accepta de l'épouser pour demeurer auprès de Lolita. Mais, toujours, il «gratifia de chatteries typiquement européennes» la mère en évoquant l'image de sa fille. Or Charlotte décida d'écarter l'adolescente en l'envoyant pour tout l'été dans un camp de vacances pour jeunes filles, et le jour même de son départ, elle le somma de l'aimer ou de quitter la maison. Et, peu de temps après, elle découvrit le journal intime dans lequel il décrivait, dans un crescendo, son attirance pour la fille et son dégoût pour elle. Sous le coup d'une fureur bien concevable, elle écrivit des lettres dénonçant les agissements de son mari. Mais, dans sa précipitation, elle fut, en traversant la rue pour aller les poster, tuée par une voiture. Et un voisin complaisant remit à Humbert les lettres trouvées sur le cadavre.

Il vint aussitôt chercher Lolita dans son camp de vacances, prétendant que sa mère était hospitalisée, et qu'il allait l'amener auprès d'elle. Mais il avait prévu un arrêt à l'hôtel ''The Enchanted Hunters'', où, grâce à un soporifique, il pourrait endormir l'adolescente, pour la posséder alors qu'elle serait inconsciente. Comme il devait attendre que la pilule fasse son effet, il se promena dans l'hôtel, et dut ainsi avoir, dans l'obscurité, une brève mais étrange conversation avec un homme mystérieux, dont, ressentant de la culpabilité, il aurait pu mal interprêter les propos, croire comprendre qu'il était au courant de la vraie nature de sa relation avec Lolita. Revenu à la chambre, il essaya de s'emparer de son corps, mais constata que le sédatif était trop faible.

Or, au matin, ce fut la provocante et diabolique adolescente, qui, par jeu, par bravade ou par rivalité avec sa mère, l'obligea à faire d'elle sa maîtresse, lui expliquant ensuite qu'au camp elle s'était fait une amie, Barbara, qui couchait avec le fils de la directrice, Charlie Holmes, et qui l'avait incitée à faire de même. Dans les heures qui suivirent cette première relation sexuelle, il lui fit cette révélation : «Ta mère est morte».
Deuxième partie
Humbert et Lolita firent alors un «grand voyage à travers les États-Unis», une étonnante errance sur quarante-huit mille kilomètres, au long de toute une année, qui les conduisit d'État en État, d'autoroute en autoroute, de site touristique en site touristique, de motel en motel. Il l'avait dissuadée d'aller le dénoncer à la police en lui démontrant que, s'il était arrêté, elle serait prise en charge par les autorités, qu'elle perdrait ainsi ses biens, alors qu'il achetait son silence en lui prodiguant vêtements, mets, argent, permissions d'assister à des spectacles plaisants, en échange surtout de faveurs sexuelles, de la satisfaction de sa passion dont il voyait bien qu'elle ne la partageait pas, comme elle ne partageait aucun de ses autres intérêts puisqu'elle ne rêvait que des héros hollywoodiens, qu'elle se délectait de magazines féminins. de crème glacée et de chewing-gum. Même s'il découvrit ainsi sa vraie nature, il tint à faire durer cet étrange couple où il jouait à la fois le rôle d'un protecteur sévère et paternel, et d'un amoureux docile, car elle avait toujours le dernier mot. Et, tout au long de cette pérégrination, il dut esquiver les curiosités des gens rencontrés, faire croire, et non sans une perverse délectation, que Lolita était sa fille biologique, tout en craignant constamment que «son éclat étrangement sensuel» ne plut à d'autres hommes.

Au terme de ce voyage, en août 1948, ils s’établirent à Beardsley, une petite ville universitaire, en Nouvelle-Angleterre, où elle reprit une scolarité normale, en entrant dans une institution privée. Elle s'y fit une amie, Mona Dahl, d'un an plus vieille qu'elle, qui, probablement à sa demande, tenta de séduire Humbert. Pour sa part, il retrouva un professeur de littérature français, Gaston Godin, peintre amateur célibataire secrètement attiré par les jeunes garçons et son partenaire aux échecs. Avec Lolita, Humbert devint très possessif, très jaloux, très strict, lui interdisant de prendre part aux activités où elle aurait pu se trouver avec des garçons. D'où de nombreuses querelles. Mais les voisins y voyaient l'attitude d'un père aimant et protecteur, quoique quelque peu vieux jeu !

Comme, attirée vers le théâtre par Mona Dahl, elle le supplia de pouvoir jouer à l'école dans une pièce intitulée ''The Enchanted Hunters'', ce ne fut qu'en échange de plus encore de faveurs sexuelles qu'avec réticence il lui en donna la permission. La pièce avait été écrite par une certaine Vivian Darkbloom et un certain Clare Quilty qui serait venu assister à une répétition, et aurait dit avoir été impressionné par le jeu de Lolita. Juste avant le soir de la représentation, elle et Humbert eurent une féroce dispute ; elle s'enfuit alors de la maison, et il dut assurer aux voisins qu'il n'y avait pas à s'inquiéter. Il la chercha frénétiquement, jusqu'à ce qu'il la trouve sortant d'une cabine téléphonique, se montrant d'humeur agréable, prétendant qu'elle essayait de le rejoindre, déclarant qu'elle ne se souciait plus de la pièce, et qu'elle voulait qu'ils repartent en voyage.

Au printemps 1949, ils reprirent donc la route vers l'Ouest. Mais il eut vite l'impression que leur voiture était suivie par une autre, devint de plus en plus méfiant, en vint à suspecter qu'elle était, afin de s'échapper, en train de conspirer avec d'autres, dont un homme étrange qui ressemblait à Gustav Trapp, «un cousin suisse de [son] père», dont il crut, le lendemain, qu'il les suivait. Puis, comme elle prétendit avoir mal lu le guide, ils se trouvèrent dans une localité où ils furent amenés à assister à une pièce écrite par Clare Quilty et Vivian Darkbloom, ce qui raviva la jalousie de Humbert. S'il eut la joie de la voir jouer au tennis, car, dans sa tenue, «elle était plus nymphette que jamais», son partenaire l'inquiéta ; et, à la piscine, il eut l'impression qu'elle flirtait avec Trapp. La nuit suivante, elle déclara être malade, et fut hospitalisée à Elphinstone, tandis qu'il séjournait dans un motel voisin. Or, alors qu'il l'accusait de recevoir des «billets doux» d’un amant imaginaire, le «4 juillet», jour de l’Indépendance des États-Unis, elle disparut de l'hôpital, dont le personnel lui indiqua que son oncle était venu la chercher.

Il se lança à leur recherche, refaisant en sens inverse le trajet qu'il avait suivi avec elle, fouillant dans les registres de motels en quête d'indices pouvant lui apprendre le nom de son rival, qui lui laissait d'énigmatiques messages révélant qu'il avait une sorte de connaisance presque omnisciente de sa vie, de sa culture et de ses obsessions. Ayant échoué dans sa recherche, il revint à Beardsley. Mais, comme il perdait contact avec la réalité, il fit un séjour dans une maison de santé du Québec.

Puis, à partir de l'été 1950, il retourna dans l'Ouest pour se livrer à une enquête approfondie, et, pendant un an, «bourlingua» avec une femme «gentille», Rita. Puis il fut, de septembre 1951 à juin 1952, professeur dans une université.

Or, le 22 septembre 1952, il reçut une lettre de Lolita où elle lui annonçait son mariage et sa grossesse, disait manquer terriblement d'argent, et en demandait à son «cher papa» pour pouvoir partir s'installer avec son mari en Alaska. Dès le lendemain, il se rendit à son domicile, avec l'intention de tuer ce Richard Schiller qu'il croyait être l'auteur de l'enlèvement de sa «fille». Il la retrouva flétrie, «lourdement et crûment enceinte». Il fit la connaissance du mari, un brave mais pauvre type, mécanicien, vétéran de la guerre dont il était revenu sourd. Lolita l'avait rencontré dans l'un des restaurants routiers où elle avait travaillé, et elle l'avait épousé alors qu'elle était âgée de seize ans. Humbert jugea cet homme insignifiant, et comprit son erreur. Il comprit aussi qu'il était toujours fou d'amour pour Lolita, même si elle n'était plus la «nymphette» de ses rêves. Mais elle repoussa ses invitations répétées à venir vivre avec lui. Cependant, il lui donna tout l'argent qu'il avait, en échange du nom de l'homme avec lequel elle s'était enfuie. C'était Clare Quilty, un homme du même âge que Humbert, qui était comme lui un érotomane, mais bien plus ignoble et plus monstrueux que lui, un écrivain auteur de pièces de théâtre dont plusieurs prouvaient ses penchants sexuels de pédophile reconnu. Lolita raconta que c'était lui, qui était un ami de la famille Haze, et non Gustave Trapp, qui les avait suivis dans leur voyage, qui l'avait fait sortir de l'hôpital ; que ce partouzeur lubrique avait voulu qu'elle tourne dans un film pornographique ; que, comme elle avait refusé, il l'avait rejetée. Elle avait dû alors faire de nombeux petits «jobs», avant de rencontrer et d'épouser Richard, qui ne savait rien de son passé. Humbert la quitta en larmes, le cœur broyé.

L'amoureux solitaire, se transformant en justicier armé d'un pistolet, se lança alors sur les traces de Clare Quilty. Il finit, à la fin du mois, par le dénicher dans son manoir isolé, où, à l'issue d'une longue discussion, au terme de nombreuses péripéties à la fois violentes et bouffonnes, il le tua. Puis il s'éloigna en roulant du mauvais côté de la route, fut alors arrêté. Et c'est en prison, dans l'attente de son procès pour meurtre, qu'il écrit son histoire, l'histoire de sa passion pour Lolita.

Le texte se termine par une indication du pseudonyme qui a été pris ; par un regard rétrospectif sur ce récit commencé «cinquante-six jours» auparavant ; par un souhait d'être condamné à «au moins trente-cinq ans de bagne, pour viol» ; par un souhait du bonheur de Lolita, dans son «lointain Alaska», en étant «fidèle à Dick» ; par la volonté de la faire «vivre à jamais dans l'esprit des générations futures», grâce au «refuge de l'art».
Le roman est précédé d'un ''Avant-propos'' qui est censé avoir été écrit par un prétendu «John Ray Jr, docteur» (en philosophie). Il indique comment il entra en possession du manuscrit, pourquoi il consentit à le «toiletter» en vue de son édition. Il nous apprend que celui qui avait choisi «l'étrange pseudonyme» de «Humbert Humbert» «était mort en détention d'un infarctus du myocarde, le 16 novembre 1952, quelques jours avant que ne devait débuter son procès», après avoir terminé ses Mémoires ; que «''Mrs. Richard F. Schiller'' est morte en couches le jour de Noël 1952 à Gray Star, un village perdu aux confins du Nord-Ouest, en mettant au monde une fille mort-née» ; que les noms des protagonistes et des lieux ont été changés, à l'exception notable de celui de l'héroïne éponyme dont «le prénom est trop intimement enchevêtré dans la fibre profonde du livre pour tolérer qu'on le change» ; que, «alors même que l'on abhorre son auteur, l'on succombera au charme du livre» qui, en tant que «document clinique», «deviendra un classique dans les milieux psychiatriques».

Analyse
(Les citations qui viennent du texte originel ou de la première traduction en français sont situées par l'indication de la partie en chiffres romains et du chapitre en chiffres arabes. Celles qui viennent de la seconde traduction, en Folio, sont situées par le numéro de la page.)
Genèse
En suivant, dans ''Lolita'', les descriptions qu'avec de nombreux détails et un grand accent de sincérité Nabokov donna des pulsions de son personnage, non seulement dans ce qu'elles ont de plus extatique mais aussi dans ce qu'elles ont de plus répugnant, on peut se demander s'il n'avait pas fallu qu'il les ait ressenties lui-même, qu'il les ait éprouvées dans sa chair et dans son âme. Mais, doté d'un caractère pour le moins complexe et hautain, il voulut écrire un roman qui devait sortir de l'ordinaire, pour la raison bien simple que ce que tout ce qu'il pensait, tout ce qu'il écrivait, sortait de l'ordinaire. Et on ne peut déceler dans sa biographie qu'un seul élément déclencheur.

Au cours de l'été de 1909, alors qu'il avait dix ans, sur la plage de Biarritz, il avait noué une idylle avec une petite Française de neuf ans nommée Claude Deprès. À son grand délice, elle lui donna un baiser sur la joue. Il envisagea de l'enlever car, se souciant de la façon dont ses parents la traitaient, il s'était rendu compte qu'elle recevait moins d'affection que lui. Pour elle, il en vint à se battre à coups de poings, avec un garçon roux. Or, un jour, il ne la retrouva plus sur la plage, et dut retourner en Russie sans l'avoir revue. Cependant il allait garder, pour la vie, l'image de la petite fille tournant autour de lui avec son cerceau. Ce souvenir lui inspira sa nouvelle de 1948 qui fut intitulée “
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