télécharger 1.24 Mb.
|
4. Nouvelle aristocratie, Bourgeoisie, Peuple ? Qui succèdera au Cavalier ? Dans les trois cas le déclin de l’aristocratie et de la figure du cavalier est considéré comme naturel. Il est accepté comme une loi de l’Histoire chez Boulgakov quand bien même l’insistance du narrateur sur les astres (l’année 1918 est déclarée sous l’influence de Mars, étoile « rouge »72) et l’épigraphe sur la tempête de neige indiquent que la Révolution relève plus de l’ordre du cosmos que de l’Histoire. Il est scruté comme une loi physique par le narrateur proustien. Il relève d’une fatalité qu’autorise une mise en écriture transformant le passé pour l’auteur en futur pour les personnages chez Roth qui aime user de l’apophétie. Aucun n’est tendre avec le monde bourgeois, qui n’attire que les sarcasmes. Les personnages de Vassilissa chez Boulgakov, Verdurin ou Bloch chez Proust, Knopfmacher chez Roth sont les têtes de turc de leurs narrateurs et sans aucun doute des auteurs. Dans tous les cas le prolétariat est très peu présent. Seule la paysannerie apparaît en arrière-plan, signe supplémentaire d’une saisie mythique de la réalité sociale (seigneur et paysans véritablement courageux selon le narrateur proustien, couple idyllique entre l’ordonnance et l’officier chez Roth et Proust alors que chez Boulgakov nos personnages vomissent les paysans gueux et Dostoïevski qui les idéalise). Boulgakov fait même du représentant du parti des ouvriers… un paysan, ce qui n’est pas sans obéir, on le sait, à la vérité historique. Comme si on assistait à une énième jacquerie contre l’ordre féodal, qu’elle soit celle des paysans petliouristes faussement christophores ou de l’Armée rouge de Trotsky. Contrairement aux romans de Proust, qui semble relativiser le processus, les deux autres romans constituent a priori de romans nostalgiques où l’aristocratie semble porteuse de l’ordre des choses ou partie prenante d’une immobilité – qui lui profite, ajouterait l’esprit cynique. Mais ce n’est pas simple. Chez Proust, rien n’a changé, quand bien même l’ancienne aristocratie a disparu, et quand bien même tout a changé73. Le faubourg Saint-Germain cède place à l’ouest parisien. Elle renvoie à une connaissance qui n’est pas sans rapport avec L’Ecclésiaste : nihil novi sub sole. L’avenir n’appartient à aucun personnage si ce n’est celui du narrateur. Or en se retirant (en maison de santé puis renonçant au monde), il laisse entendre que la problématique majeure n’est pas socio-politique. Il met en avant une nouvelle noblesse celle de la création artistique qui a rapport à la vie et donc à la vérité. Ce n’est pas pour rien que Charlus est un écrivain raté. Son regard, différent, hors des opinions communes, auraient pu faire de lui un artiste, tout comme le snob Swann. Le comte Chojnicki, l’aristocrate polonais très fin de siècle de La Marche de Radetzky, porteur de vérité, finit dans un asile. Il représente le pôle opposé au très bourgeois Knopfmacher. Il appartient lui aussi, comme Saint-Loup aux temps féodaux, ceux de l’alchimie et le progrès scientifique à ses yeux signale un véritable déclin. Le narrateur pourtant n’est pas dupe de la vanité de ce type d’existence. Chojnicki est attachant pour le préfet, comme pour le lecteur. Mais le monde de Chojnicki peut-il perdurer avec celui de la fabrique de chiendent ? Le monde esthétique de la fête, de la dissipation cohabite avec celui du travail et de la souffrance. On aura noté que le motif de l’argent vient perturber tous les rapports. Si la fortune de Chojnicki le met à l’abri de tout, il n’en va pas de même des autres officiers, vaincus par le veau d’or. Le duel, qui occupe une position centrale dans le roman de J. Roth conduit à une double mort : celle de l’aristocrate allemand antisémite comme celle du médecin major, Juif galicien incarnant en quelque sorte le renouvellement éclairé mais somme toute impossible de l’armée impériale et royale. Son message au jeune sous-lieutenant avait été clair : « quitte l’armée ». Les forces s’annihilent l’une l’autre. Seul Onufrij s’en sort et retourne à un temps d’avant l’histoire, d’avant l’Histoire. Autrement dit ce n’est pas un temps historique qui est regretté, mais se déploie discours quasi-mythique qui dit le désespoir, l’angoisse de J. Roth devant les événements historiques perçus apocalyptiques. Seul recours : abandonner le temps historique, coller au plus près des rythmes naturels. En ce sens, loin d’être un roman historique il s’agit d’un roman anhistorique. Il aspire à un temps d’avant l’aristocratie, temps immobile dont le plus proche modèle est celui de la paysannerie de la mort ou de l’alcoolisme. Peu importe l’esprit d’une époque que matérialise la Marche de Radetzky (la marche elle-même). Le roman, lui, dit une variation sur un mythe, celui du paradis perdu. Et il en va de même chez Boulgakov : avec la guerre, le Russe quitte l’éternité et entre dans l’histoire. Chez Boulgakov, en effet, un officier fuit (Thalberg), un meurt au combat (Naï-Tours), un troisième, anonyme, se donne la mort en disant comprendre les bolcheviks. Les petlioutristes en assassinent. Fin du monde aristocratique dont ils constituaient la quintessence (« ce qu’il devrait y avoir de meilleur en Russie »74), monde déjà bien contaminé par des soucis « bourgeois » qu’expriment un Thalberg ou un Shervinski). Et les bien bourgeois Vassilissa, « ingénieur et couard, bourgeois et antipathique »75, et son épouse Wanda ne sauraient constituer l’avenir. Comme bien des anciens sujets du tsar, ils sont habités par une haine veule, opposée au credo chevaleresque : "On haïssait les bolcheviks. Non pas de cette haine, qui fait qu'on veut aller se battre, qu'on veut tuer, mais d'une haine lâche, sifflante, une haine au ras des murs, une haine de l'ombre ». L’avenir au contraire semble d’abord appartenir à l’Armée rouge qui clôt presque le livre76, mais celui qui le clôt, c’est Petia, l’enfant, celui qui n’est pas soumis aux idéologies, qui vit dans le monde (Erde) et non dans le monde-Welt et en qui le livre dit sa confiance77. Entre ces deux figures finales, l’Apocalypse, le livre de la fin du monde, mais surtout de la révélation de la vérité. Mais là aussi le sens ultime du livre est-il peut-être, comme chez Proust, dans l’affirmation de la chose littéraire. Si La garde blanche n’existe pas, La Garde blanche que tient le lecteur dans les mains existe, elle, bel et bien. C’est elle qui prolonge le monde aboli par l’Histoire, qui garde ses valeurs, jetées bas par le pouvoir soviétique en place. Avec l’arrivée du garde rouge, le monde d’hier se replie : « Ta maison, c’est ta force ». Le vivre ensemble est brisé et chacun se replie dans son monde, où le Seigneur règne encore. Dans les années 1920, Boulgakov peut encore croire en une forme de féodalité qui permet de résister au Pouvoir, chaque foyer constituant un fief où l’individu serait inaccessible. Ce ne sera plus le cas dans Le Maître et Marguerite. Autrement dit Boulgakov reste sans doute, malgré tout, le plus optimiste des auteurs, le plus attaché à la structure du mythe qu’il dit pourtant brisée par la guerre. La dislocation du monde provoque la naissance d’une multitude de petits mondes, quasi-féodaux pourrait-on dire. Le sens du service d e l’Etat disparaît et chacun n’agit qu’en fonction de son monde privé. Mais l’esprit chevaleresque demeure. Littérature anti-politique bien plus qu’anti-bolchevique. Et là l’éternité, le hors-temps désiré, se prolonge : "heureusement, les pendules sont absolument immortelles (bessmertny), le Charpentier de Zaandam est lui aussi immortel, et les carreaux de faïence hollandais telle une antique roche pleine de sagesse, insuffle vie et chaleur même aux époques les plus difficiles"78. Au-delà de lui, le « monde extérieur... convenez-en, [est] sale, sanglant et dépourvu de sens / vnešnij mir, soglasites’ sami, grjazen, krovav, bessmylslen »79. La maison en protège. Le modèle aristocratique demeure et avec lui une certaine simplicité mythique qui sera démentie à mes yeux par Le Maître et Marguerite qui montrera que les seules maisons qu’on peut dresser contre les tentacules du politique sont dans un premier temps l’asile d’aliénés puis la maison d’un au-delà de la vie assez flou. N’oublions pas que Boulgakov s’appuie sur le proverbe anglais : my home is my castle. Ce n’est pas une valeur bourgeoise, bien au contraire, comme par exemple dans L’Education sentimentale. La maison en effet n’a pas vocation à protéger l’avoir, mais à permettre la survie de l’être. Un temps, elle protège l’homme de l’Histoire et de la politique. Car ce que disent les textes de Boulgakov et de Roth, mais non celui de Proust qui insiste finalement plus sur la continuité que sur la rupture, c’est que la guerre plonge l’homme dans l’Histoire et donc dans la complexité qu’ils opposent à la simplicité d’un passé mythifié. Conclusion : Entrer dans la complexité, l’hétérogène ou le pluriel ? La structure mythique affleure chez Boulgakov, comme le montre d’ailleurs la dénomination de Kiev, toujours appelée la Ville et assimilée au Jardin-paradis. Et contre la Ville, il y a l’Autre, l’Ennemi, les Mongols, les Barbares, les êtres bestiaux et diaboliques. Tout est dénaturé : l’officier n’est plus un officier et l’homme n’est plus un homme. Tout ce que le texte proustien, à peu près à la même époque, à partir du dialogue entre Charlus et le narrateur, met délicatement en question. Celui-ci en effet nous pousse à comprendre que tout n’est pas aussi simple que veulent bien le dire les journaux, relayés par ceux qui ne pensent pas. S’il existe dans La Garde blanche différents points de vue sur les événements révolutionnaires qui ne sont pas ordonnés (que penser par exemple de Roussakov, le poète syphillitique ?), une structure mythique, fortement mythifiante perdure, à rebours des deux autres textes. A la lecture de Proust, en effet, la nécessité de relativiser notre point de vue s’impose grâce au regard du baron, original, déplacé, voire scandaleux mais auquel on donne le temps de s’exprimer. Mon regard ne peut être le seul regard du roman. Le discours irréfléchi du patriote ne peut être donné seul et le narrateur ne peut aller contre certaines certitudes collectives. Le baron de Charlus, aristocrate, porte alors son regard scandaleux sur la guerre et oblige le lecteur à emprunter un autre prisme, qui donne à penser. Ce qui ne signifie nullement que Charlus sert de truchement pour dire l’inaudible. La posture virile en tout cas le fascine quand elle exaspère le narrateur. Nous avons déjà évoqué l’invitation proustienne à dépasser le simplisme du caractère et les analyses de Proust sur le monde viril de certains invertis, qui refoulent une part de féminité en eux. « L’idéal de virilité des homos à la Saint-Loup n’était pas le même mais aussi conventionnel et mensonger […] Pour Saint-Loup la guerre fut davantage l’idéal même qu’il s’imaginait poursuivre dans ses désirs beaucoup plus concrets mais ennuagés d’idéologie, cet idéal servi en commun avec les êtres qu’il préférait, dans un ordre de chevalerie purement masculin, loin des femmes, où il pourrait exposer sa vie pour sauver son ordonnance, et mourir en inspirant un amour fantastique à ses hommes. Et ainsi, quoi qu’il y eût bien d’autres choses dans son courage, le fait qu’il était un grand seigneur s’y retrouvait, et s’y retrouvait aussi, sous une forme méconnaissable et idéalisée, l’idée de M. de Charlus que c’était de l’essence d’un homme de n’avoir rien d’efféminé » (TR, p. 52-53). Dès lors le motif qui apparaît plusieurs fois chez le narrateur puis dans la bouche d’un anonyme de chez Jupien, de l’officier qui se fait tuer pour son ordonnance apparaît plus complexe qu’on le croit. On le retrouvera, ce topos de la littérature chez Roth, sous une autre forme. Chez Proust, loin d’être un topos de la (mauvaise) littérature patriotique, ce motif demande à être sondé dans ses profondeurs. La complexité chez Roth est d’abord psychologico-politique : domine l’œuvre un sentiment de nostalgie, teinté d’ironie, d’un monde simple à l’autorité patriarcale incontestable. On remarquera le recours perpétuel au Père-Empereur, qui seul peut dénouer les situations inextricables. La démocratie est vécue alors comme irruption d’un monde sans père, voire d’un monde où s’avance de faux pères : c’est le motif obsessionnel chez J. Roth de l’Antéchrist, dont on retrouve le filigrane chez Kapturak. Or, où la parole du Père est-elle incontestable, si ce n’est dans le monde aristocratique ? A l’aristocratie guerrière, Roth va alors substituer une aristocratie chrétienne et par là-même revenir à une simplicité mythique, fondée sur la caritas où les hommes se confieraient totalement à Dieu, comme les petits oiseaux de l’Evangile, qu’on entend sans cesse dans le livre, dès que l’homme s’arrache au temps de l’action. Or que dit la parabole de Saint Matthieu si ce n’est qu’il faut s’abandonner à la Providence ? C’est ainsi que doit s’entendre à mon avis la mort du jeune officier von Trotta, qui est, à proprement parler, dans le cadre du règlement militaire, scandaleuse, puisqu’un officier ne saurait mourir pour donner à boire à ses hommes. C’est ce qu’explicite le texte80. En agissant ainsi, Charles-Joseph tourne le dos aux valeurs militaires, mais est loin de faire preuve de faiblesse comme pourrait le croire son père. Il suit enfin les conseils de Demant de quitter l’armée, mais va jusqu’au bout de la démarche d’amour que n’avait qu’initiée le médecin-major, puisque celui-ci, malgré ses propos cinglants contre le code d’honneur, in fine, renoue avec lui, tue l’insulteur, renonçant donc à la Loi de ses Pères (Tu ne tueras point). Derrière Kapturak, en Kapturak le juif négociant de chair humaine, se dresse la croix chrétienne qui sacralise la vie de tout homme. Encore une fois, même si le jeune homme n’en a pas conscience, il rompt avec le code de l’honneur aristocratique de ses pairs (ce qui provoquera leur incompréhension et comme le souligne le narrateur aurait pu provoquer le reniement de son père), dépasse l’initiateur à un monde au-delà des valeurs aristocratiques dont l’armée est l’ultime héritière et marche vers une autre forme de sacrifice. Il a définitivement renoncé aux faux-semblants de l’aristocratie pour afficher sa véritable noblesse. Simplicité irréaliste, mystique ? Revenons à celui qui est qualifié de héros, à savoir son père. Le texte devient alors plus complexe : le préfet en effet « abdiqu[e], son pouvoir de commandement sur son fils » et comprend qu’il n’en est pas pour autant déshonoré81. En cela lui aussi, suivant les conseils de Skowronnek, avait obéi à la loi d’amour qui l’unit à son fils. Les temps des Pères est fini. C’est peut-être cela qu’indique le trouble sur les âges du préfet et du sous-lieutenant. Le monde n’est plus tout droit ; les places ne sont plus toutes désignées, les pères n’ont plus à ordonner. Par le texte littéraire, par le récit d’histoires où le narrateur multiplie très souvent les positions, se dit le désarroi causé par la guerre de 1914-18 qui met à jour une crise des valeurs. Le cavalier, image familière de l’aristocrate, est par excellence la figure qui dit, par sa déformation ou sa disparition, l’impression de fin de monde. Substitut du XXème siècle à Don Quichotte, le cavalier qui disparaît va de pair avec l’émergence d’une complexité reconnue (Proust), tenue à distance (Boulgakov) ou crainte (Roth). Seul le texte proustien résiste malgré tout à cette impression avec laquelle il joue. Roth remplace la sphère du socio-politique par celle de la religion : les pères s’effacent devant le Père qui a sacrifié son fils pour rédimer l’humanité. Sans doute parce qu’il est marqué par l’emprise du totalitarisme et son mépris de la personne humaine. Quant à Boulgakov, il veut encore croire que la culture sera l’ultime recours pour un monde d’orphelins. Notes [1] Les citations seront faites à partir des éditions suivantes : M. Boulgakov, La Garde blanche, Paris, Gallimard, La Pléiade, 1997(abrégé en GB) ; Bulgakov, Sobranie sočinij 3 t, Moskva, Centrpoligraf, 2004 (BG) ; Proust, Le Temps retrouvé, Paris, Gallimard, Folio classique, 1990 (TR) ; Joseph Roth, La Marche de Radetzky, Paris, Seuil, Points, 1995 (MR), Joseph Roth, Radetzkymarsch, Münche, DTV, 2006 (RM). [2] Sur la mondanisation, voir Yves-Michel Ergal, Le Temps retrouvé ou la fin d’un monde, Paris, Classiques Garnier, 2014. [3] TR, p. 79. [4] MR, p. 251. [5] MR, p. 293. [6] MR, p. 139. [7] Georges Duby, « CHEVALERIE », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 9 octobre 2014. URL : https://www-universalis--edu-com.nomade.univ-tlse2.fr/encyclopedie/chevalerie/. [8] Il faut à ce propos remarquer que c’est cette précision qui ouvre le roman : « Les Trotta n’étaient pas de vieille noblesse » mais cette particularité n’est pas dysphorique : elle permet grâce à un raccourci historique, de manifester l’origine même de la noblesse et de dramatiser le déclin d’une lignée (MR, p. 13). [9] Ainsi quand Chojnicki s’en prend à l’anoblissement de aux fabricants de WC hongrois (MR, p. 169). [10] GB, p. 350 et seq.. [11] GB, p. 334. [12] GB, p. 1650. [13] TR, p. 4, 11. [14] TR, p. 127. [15] TR, p. 4. [16] TR, p. 59. [17] Voir supra note n° 7. [18] GB, p. 336. [19] MR, p. 324. [20] TR, p. 50. [21] Lettres 1889-1936, Cité par P. Chardin, Roman de la conscience malheureuse, Droz, Genève, 1998, p. 21, note n°37. [22] Le terme « héroïsme » est là. Voir TR, p. 50. [23] TR, p. 11. [24] TR, p. 45. [25] GB, p. 562 / BG, p. 282. [26] MR, p. 138. [27] MR, p. 310. [28] MR, p. 323/RM, p. 368-369. [29] MR, p. 325. [30] MR, p. 289. „Und es war dem Bezirkshauptmann, als er sich dennoch entschloss, die dienstliche Post zu lesen, als erfüllte er eine vergebliche und namenlose und heroïsche Pflicht, wie etwa der Telephonist eines sinkenden Schiffes“, MR, p. 328. [31] MR, p. 327/RM, p. 374. [32] MR, p. 334/« Und es gelang ihm, innerhalb einer einziger Nacht in der er nicht schlief, nicht ass und nicht trank, das eiserne und das goldene Gesetz des Zeremoniell zu durchbrechen“, RM, p. 383. [33] RM, p. 328. [34] RM, p. 381. [35] TR, p. 111. [36] TR, p. 109. [37] GB, p. 365 et seq./ BG, p. 117 et seq.. [38] GB, Notice, 1605. [39] MR, p. 331. [40] MR, p. 329. [41] MR, p. 79. [42] TR, p. 157. [43] Voir Marianne Gourg, « Notice », in GB, p. 1604-1622. [44] MR, p. 380. [45] G. Mecchia, « Un coup de pistolet au milieu d’un concert: la Grande Guerre et l’irruption du présent dans le Temps de la Recherche », in S. Houppermanns (ed.), Marcel Proust aujourd’hui, tome n°3, Rodopi, Amsterdam-New-York, 2005. [46] Carlo Ginzburg, Adistance, Paris, Gallimard, 2001. [47] TR, p. 118-119. [48] TR, p. 48. [49] TR, p. 127. [50] TR, p. 117. [51] TR, p. 130. [52] TR, p. 134. [53] TR, p. 50. [54] GB, p. 335. [55] GB, p. 353. [56] MR, p. 215. [57] TR, p. 9. [58] TR, p. 10. [59] TR, p. 133. [60] TR, p. 124. [61] TR, p. 11. [62] TR, p. 4. [63] TR, p. 105. [64] TR, p. 137. [65] GB, p. 437. [66] GB, Notice, p. 1616. [67] « De nos jours, le sentiment de l’honneur social, familial et individuel, qui était celui de M. von Trotta, nous paraît être le vestige de légendes incroyables et puériles », MR, p. 323. [68] MR, p. 311. [69] MR, p. 150. [70] MR, p. 325-329. [71] MR, p. 294. [72] GB, p. 301. [73] TR, p. 265. [74] GB, p. 347. [75] GB, p. 305. [76] GB, p. 590-591. [77] GB, p. 593. [78] GB, p. 303 / BG, p. 64. [79] GB, 514 / BG, p. 241. [80] « C’est de façon toute simple et impropre à être exaltée dans les livres de lectures des écoles primaires et communales que mourut le petit-fils du héros de Solferino (so einfach und zur Behandlung in Lesebüchern für die kaiser und königlichen österreichischenVolks – und Bürgerschulen ungeeignet war das Ende des Enkels des Helden von Solferino). Ce n’est pas les armes à la main, mais avec deux seaux d’eau que mourut le lieutenant Trotta », MR, p. 385 / RM, p. 444. [81] MR, p. 295. |
![]() | ![]() | ||
![]() | «Nourrir le monde vaincre la faim» revenait sur les émeutes de la faim de 2008 en Egypte, Maroc, Cameroun, Nigéria, Sénégal etc.... |