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Partie 1- CONSOMMATION OSTENTATOIRE ET VARIABLES EXPLICATIVES, UN ETAT DE LA LITTERATURE 8

SECTION I- Définition de la consommation ostentatoire des produits de luxe
Chapitre 1- Signes 11


  1. La visibilité 11




    1. Etendue de la visibilité 11

    2. Le cas du luxe ostentatoire 13




  1. Sens et sémiotique 18




    1. Symboles sociaux 19

    2. Langage d’initiés ou compréhension de masse ? 23

2.21 La transmission de goûts 24
Chapitre 2- Consommation sociale 28


    1. Le groupe 28

      1. Groupe d’appartenance ou de référence 29

      2. Différenciation 32




    1. Le Soi social 34

      1. La psychologie sociale- L’approche cognitiviste 35

        1. Les principales composantes du Soi 35

        2. Définition du Soi social 36




      1. La perspective sociopsychologique- Approche interactionniste 40

2.2.2.1 L’importance du regard d’autrui 41

2.2.2.2 Les rites d’interaction 42
2.2.3 Le soi en marketing 45


    1. Consommation ostentatoire et consommation de statut 46




      1. Définition du statut social et de la consommation de statut 46

        1. Statut social 46

        2. Consommation de statut 48




      1. Tendance à la consommation de statut et tendance à la consommation ostentatoire quelle différence ? 51

Conclusion du chapitre 1 et 2 54
Chapitre 3- Le luxe ostentatoire 57
3.1 Définition du luxe 58
3.2 Catégorisation du luxe 59
3.3 Caractéristiques des produits de luxe 62
3.4 Attitudes vis à vis du luxe 67

3.4.1 Attitudes vis à vis du luxe 67

3.4.2 Typologie des consommateurs de luxe 69

Conclusion du chapitre 3 71
SECTION II- Les variables explicatives de la consommation ostentatoire 72
Chapitre 4- La religion 82
4.1 Impact de la religion sur la consommation 83
4.2 Tableau d’interdits 88
4.3 Définition 91

4.3.1 L’approche sociologique 96

4.3.1.1 Approche fonctionnelle de Durkheim 97

4.3.1.2 Approche éthique et économique de Weber 99

4.3.1.3 L’approche humaniste d’Auguste Comte 102
4.3.2 Approche historique 103

4.3.2.1 Mircea Eliade 103

Conclusion du chapitre 4 105
Chapitre 5- La classe sociale 106
5.1 Définition 108

5.1.1 Approche sociologique 108

5.1.2 A pproche marketing 111
5.2 Structuration sociale 113
5.3 Différentes mesures de la classe sociale 115

5.3.1 Les mesures unidimensionnelles 116

5.3.2 Les mesures multidimensionnelles 116

Conclusion du chapitre 5 119
Chapitre 6- La conformité aux normes du groupe 120
6.1 L’influence informationnelle 123
6.2 L’influence normative 124

6.2.1 L’influence utilitariste 126

6.2.2 L’influence de la valorisation de soi 126

Conclusion du chapitre 6 128
Chapitre 7- Le matérialisme 129
7.1 Origine et définition du matérialisme 130
7.2 Les différentes approches 132

7.2.1 L’approche socio-politique 132

7.2.2 Le matérialisme est un trait de personnalité 133

7.2.3 L’approche en tant que valeur 135
7.3 Les différents types de matérialistes 138

7.3.1 Les matérialistes « idéalistes » 138

7.3.2 Les matérialistes « engagés » 138

7.3.3 Les non-matérialistes « frugaux » 138

7.3.4 Les « désinvoltes » 139
7.4 L’influence du matérialisme 139

7.4.1 Le matérialisme et le statut 139

7.4.2 Le matérialisme et la satisfaction de la vie 140

7.4.3 Le matérialisme et l’identité de soi 143

7.4.4 La différence de sexe et d’âge 144

7.4.5 Matérialisme et famille 146

Conclusion du chapitre 7 148
Chapitre 8- La vanité 149
8.1 Définition 151
8.2 Les composants constitutifs de la vanité 152

8.2.1 La vanité physique 152

8.2.2 La vanité d’accomplissement 158

Conclusion du chapitre 8 161

Partie II- CONTEXTE DE L’ETUDE 162
Chapitre 9 Le Liban 164
9.1 Les groupes confessionnels au Liban 165
9.2 Impact de la religion sur la vie pratique des Libanais 171

9.2.1 Le modèle hitorico-politique des maronites  174

      1. Le modèle arabo-musulman  175

Conclusion du chapitre 9 177
PARTIE III- EXPLORATION DU CONCEPT DE CONSOMMATION OSTENTATOIRE 178
III.1 Objectifs et problématique de la recherche 181

III.2 Méthodologie de la partie III 182
Chapitre 10- Pré-recherches exploratoires 185
10.1 Entretien avec le concessionnaire de Ferrari/Maserati 185
10.2 Entretien avec la directrice marketing de Bang&Olufsen 192

Conclusion du chapitre 10 195
Chapitre 11- Entretiens qualitatifs avec des consommateurs 196
11.1 Méthode de la recherche 197

11.1.1 Analyse qualitative 197

11.1.2 Technique utilisée 198

11.1.3 Formes d’entretiens 199

11.1.4 Etapes de l’entretien 199

11.1.5 Echantillons 203

Chapitre 12- Méthode de l’étude qualitative 207
12.1 Formation du « corpus » 207
12.2 Recueil des données 208
12.3 Procédure de codage 209

12.3.1 Définition de l’unité d’analyse de contenu 210

12.3.2 Catégorisation 211
12.4 Fiabilité 216

12.5 Résultats 217

12.5.1 Le niveau sociétal 217

12.5.1.1 Intégration 217

12.5.1.2 Différenciation 222

12.5.2 Niveau individuel : La récompense personnelle 230

Conclusion du chapitre 12 237
PARTIE 4- CONCEPTUALISATION, METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE ET INSTRUMENTS DE MESURE MOBILISES POUR LA RECHERCHE 238
Chapitre 13- Synthèse de la littérature et de l’analyse qualitative 239
13.1 Confrontation de la littérature et de la partie qualitative 240
13.2 Variables prises en compte pour le modèle final 242
Chapitre 14- Proposition d’un cadre conceptuel de la recherche 245
14.1 Les hypothèses relatives aux variables antécédentes 247

14.1.1 Religiosité, pratiques religieuses et matérialisme 247

14.1.2 Religiosité, pratiques religieuses et conformité aux normes du groupe 249

14.1.3 Religiosité, pratiques religieuses et désir de se sentir unique 249

14.1.4 Religiosité, pratiques religieuses et vanité 249

14.1.5 Ascension sociale, conformité aux normes du groupe 250

et désir de se sentir unique
14.2 Les variables relatives aux variables explicatives 251

14.2.1 Matérialisme et tendance à la consommation ostentatoire 252

14.2.2 Conformité aux normes du groupe et 254

tendance à la consommation ostentatoire

14.2.3 Désir de se sentir unique et tendance à la consommation ostentatoire 254

14.2.4 Vanité et tendance à la consommation ostentatoire 255

Conclusion du chapitre 14 258
Chapitre 15- Opérationnalisation des construits 259
15.1 Choix de l’échantillon 260
15.2 Choix d’un questionnaire électronique 263
15.3 Choix du type d’échelle 264
15.4 Echantillon et collecte de données 265
15.5 Les différentes procédures de validation 268

15.5.1 Epuration de la mesure 268

15.5.1.1 Critères d’épuration de l’échelle 269

15.5.1.2 La rotation 270

15.5.2 Evaluation de la fiabilité des échelles 271

15.5.3 Evaluation de la validité des échelles 273

Conclusion du chapitre 15 280
Chapitre 16- Validation des construits mobilises pour la recherche 281
16.1 La religion 281
16.2 L’ascension sociale 286
16.3 La conformité aux normes du groupe 288
16.4 Le désir de se sentir unique 291
16.5 La vanité 294
16.6 Le matérialisme 301
16.7 La tendance à la consommation ostentatoire 306

Conclusion du chapitre 16 309
PARTIE V- PRESENTATION, MISE EN PERSPECTIVE DES RESULTATS ET TEST DES HYPOTHESES 310
Chapitre 17- Les étapes à suivre pour une analyse factorielle confirmatoire 313
17.1 Nature des construits 315

17.2 Normalité des variables 318

17.3 Les étapes à suivre dans une analyse d’équations structurelles sous AMOS 319
17.4 Objectifs de la seconde collecte des données 322
17.5 Analyse factorielle exploratoire pour chaque construit 322

17.5.1 La religion 323

17.5.2 Ascension sociale 328

17.5.3 La conformité aux normes du groupe 329

17.5.4 Le désir de se sentir unique 331

17.5.5 La vanité 333

17.5.6 Le matérialisme 336

17.5.7 La tendance à la consommation ostentatoire 338
17.6 Analyse en composante principale portant sur tous les construits réflexifs 339
Chapitre 18- Analyse factorielle confirmatoire 344
18.1 Analyse factorielle confirmatoire sur chaque construit réflexif à 4 items 344

ou plus

18.1.1 AFC sur la dimension « spiritualité » de l’échelle religiosité 346

18.1.2 AFC sur la dimension « une opinion positive et parfois gonflée de son apparence physique » de l’échelle vanité 347
18.2 Analyse factorielle confirmatoire sur l’ensemble des construits réflexifs 348

Conclusion du chapitre 18 355
Chapitre 19- Les résultats de la recherche 356

19.1 Justification du choix de la modélisation structurelle par approche PLS 356

19.1.1 Comparaison entre ASC et PLS 356

19.1.2 Choix de la méthode PLS 357

19.1.3 Résultats sous PLS 360
19.2 Analyse des résultats 365

19.2.1 Résultats des variables antécédentes 365

19.2.2 Résultats des variables directes 366

Conclusion du Chapitre 19 370
Chapitre 20- Analyse et discussion 371

Conclusion du chapitre 20 384
Conclusion générale 385

Bibliographie 395
Annexes 437
Liste des Tableaux 493

Liste des Figures 496
Liste des Annexes 497
Table des matières i


1 « Nous pouvons s’échapper de nos obligations discursives mais pas de nos apparences vestimentaires »

2 En attendant, la plupart des techniques publicitaires qui marchaient quand j’ai rédigé « Confessions of an advertising man », sont toujours d’actualité aujourd’hui. Les consommateurs achètent toujours des produits dont les publicités leur promettent valeur pour leur argent, beauté, diététique, apaisement de la douleur, statut social, etc. et ce PARTOUT DANS LE MONDE ».

3 Afin de clarifier la différence entre sémiotique et sémiologie, nous nous référons à Floch (2002, p.7) qui note que « ici soyons clair et concis. Nous appelons cette approche des formes signifiantes sémiotique tout simplement parce que…un grand nombre de travaux, d’ouvrages, de centres en France et dans le monde utilisent le terme de sémiotique pour désigner de telles recherches sur les formes signifiantes que sont, pour eux, les langages et les pratiques sociales. Mais il ne faut pas ignorer d’une part, que le terme saussurien, de « sémiologie » est encore utilisé, notamment par des gens qui privilégient la problématique du signe… ».

4 « Par exemple, l’identification à un groupe a généralement lieu dans la plupart des comportements de consommation ostentatoire quand la communication symbolique découle d’un certain nombre de groupes d’acheteurs de référence… Il semblerait alors que la consommation ostentatoire permet aux sociétés de différencier leurs marques en leur injectant des différences de qualité réelles ou perçues. Ceci explique que plusieurs marques aient acquis un statut de symboles ou de stéréotypes qu’il convient d’identifier pour s’y identifier. Ces marques servent ainsi, de moyen d’expression du consommateur ».

5 Le processus motivationnel grâce auquel les individus s’efforcent à améliorer leur statut social à travers la consommation ostentatoire de produits qui confèrent et symbolisent un statut pour l’individu et son entourage significatif.

6 La tendance comportementale à accorder une grande valeur au statut et à acheter et consommer des produits qui confèrent un statut à l’individu.

7 La tendance que les individus ont à améliorer leur image à travers la consommation visible de possessions qui communiquent un statut aux autres.

8 Dans le texte:  “items that represent the degree to which the consumer is predisposed to consume conspicuously”


9 Intialement dans le texte « Those whose ratio of functionality to price is low, while the ratio of intangible and situational utility to price is high ».

10 3 types de personnalité ont été identifiés. Les individus qui se conforment aux normes ou qui sont dociles manquent relativement d’assurance et ont besoin d’affection et du soutien du groupe. Les individus aggressifs recherchent la dominance et le sentiment de réussite dans leur vie privée et publique. Finalement, nous retrouvons les individus détachés qui ont tendance à se replier sur eux-mêmes et qui passent peu de temps à socialiser avec les autres. Toutes choses égales par ailleurs, les trois traits de personnalités sont susceptibles de s’adonner à la consommation ostentatoire (Mason, 1981).

11 « Néanmoins, les différences dans les traits de la personnalité sont considérées comme une explication partielle mais significative de la différence des individus à la propension de consommer de manière ostentatoire ».

12 Le site de Mecca-cola: www.mecca-cola.com, et Communautarisme et marketing : une histoire d'amour, Observatoire du communautarisme, septembre 2003

13 « Par nature conductrice à la maximisation de ses valeurs ».

14 « Les femmes et les hommes accordent leur attention à des choses différentes dans un environnement et en effet, peuvent donner de la valeur aux même choses mais pour des raisons différentes ».

15 Chiffres relevés du site www.abc-luxe.com, étude effectuée par le groupe L’Oréal - Paris, 2002.

16 Définition tirée du Robert (2003)

17 « Notre société considère que la minceur est synonyme de beauté chez les femmes, les idéaux de beauté sont suceptibles de causer des problèmes socio-culturels qui vont d’un concept de soi bas aux troubles nutritionnels ».

18 « A cause des magnifiques récompenses du fait d’être considéré normal : toutes les personnes en mesure de passer le test le feront à l’occasion intentionnellement ».

19 « La loi islamique, la Charia’a, décrit tout ce qu’une personne doit faire. Il existe quatre sources ou racines principales pour la jurisprudence – la parole de Dieu lui- même inspirée divinement par l’intermédiaire du Prophète (sunna), la raison par analogie (quiyas) et le consensus d’opinion (ijma).

La Charia’a est un code global qui régit les devoirs, les moralités et les comportements de tous les Musulmans, individuellement et par groupe, dans les tous les domaines de la vie, même le commerce. Elle décrit les valeurs dont les Musulmans doivent jouir comme la liberté individuelle, la vérité, la justice, l’honnêteté, les obligations sociales, la responsabilité collective, le rôle des hommes et des femmes et le rôle de l’achat et de la vente ».


 Il y a eu 2 désaccords entre les codeurs. Le premier concerne la sous-catégorie « mauvais goût ». Le codeur principal considérait au départ que la représentation de l’autre faisait partie d’une note de contexte. Pourtant, à la lumière des discussions et de l’abondance des exemples retirés des entretiens qui vont dans ce sens, on est tombé d’accord que le « mauvais goût » constitue une sous-catégorie à part entière. D’une autre part, « L’image de soi » n’a pas été relevée par le second codeur, qui, il faut le noter, n’était pas sensible à la littérature en question et qui, une fois informé, a assez vite convenu que « l’image de soi » (et le contrôle du corps) devait, effectivement, figurer en sous-catégorie.

 Il faut noter qu’en langue Arabe il n’existe pas de nuances entre le vouvoiement et le tutoiement.

20 Initialement dans le texte “Those individuals who have acquired their wealth in their own lifetime and who regularly engage in conspicuous consumption in an attempt to establish their statuts”.

21 Il est important de souligner qu’au Liban le divorce est interdit chez les maronites et autorisé chez les musulmans et les orthodoxes.

22 « Comme nous allons le montrer, la conception de son soi donne lieu à une éthique particulière de contrôle de soi qui accentue l’obligation morale du contrôle de son propre corps à travers la discipline et la rationalité. Dans un tel contexte culturel, le corps devient un objet matériel distinct de son soi essentiel. Pour les participants de cette étude, le désir de contrôler leur corps en tant qu’objet s’est entremêlé aux sens personnels signifiants, à l’anxiété et plus important encore à la motivation d’utiliser certains produits, d’acheter des styles spécifiques de vêtements et de s’engager dans des pratiques de consommation axées sur le corps ».

23 « Les individus diffèrent à la mesure où ils surveillent (observent et contrôlent) leur comportement expressif et leur présentation du soi ».

 Traditionnellement, au Liban, la majorité des femmes musulmanes préfèrent se livrer à leur prière quotidienne dans leur foyer et non à la mosquée.

 « D’après vous, quelle communauté religieuse libanaise a le plus tendance à favoriser les couleurs tape à l’œil et brillante ? »

24 Le signe “r” correspond aux items inversés

25 = (∑i) 22(A)/ (∑i) 22(A) + ∑2(i),

où ρ est le coefficient de cohérence interne de la variable latente,

λi est le poids factoriel de l’item i avec la variable latente

εi est la mesure de l’erreur de chaque item i avec εi = 1-λi²

En d’autres termes, Fiabilité (rhô) = (Somme des contributions factorielles standardisées) ² / [(Somme des contributions factorielles standardisées) ² + Somme des erreurs de mesure des indicateurs]


26 vc ρvc = Σ λi² / (Σ λi² + Σ εi)

où ρvc est le coefficient de validité convergente de la variable latente

λi est le poids factoriel de l’item i avec la variable latente

εi est la mesure de l’erreur de chaque item i avec εi = 1-λi²



27 Lors de l’AFE globale plusieurs items ne représentant pas de bonnes qualités psychométriques ont dû être éliminés. Ces items sont : R1 de l’échelle religiosité, C3, C10 et C8 de l’échelle conformité aux normes du groupe, V3 de l’échelle vanité, M10 et M7 de l’échelle matérialisme et TCO3 de l’échelle tendance à la consommation ostentatoire.

28 Les racines carrées des AVE (Average Variance Extracted VC) figurent sur les diagonales ; les autres valeurs correspondent aux corrélations entre les construits

29 Traduit par l’auteur, dans le texte initial Wong (1997) “Similarly, among the values conceptualization of materialism (Richins and Dawson 1992), success could be most easily linked to conspicuous consumption because of a person’s desire to flaunt his/her success through material possessions”.

30 Dans le texte p.7 « Whereas in Western culture there is a greater tendency for people to conspicuously consume luxuries because they want to (i.e., the products reflect private preferences), in the East Asian Confucian societies, there is a greater tendency for people to behave this way because they feel they have to (i.e., the products conform to social norms).

31 L’Oud, appelé aussi luth oriental, est un instrument de musique oriental à cordes pincées comparable à la guitarre.

32 Pipe orientale

33 Dans le questionnaire original la question se présentait comme suit « In your opinion who is most likely between these lebanese religious communities to like sparkling and bright colors? »






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