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André Durand présente
‘’Famille-Sans-Nom’’

(1888)
roman de Jules VERNE
(420 pages)
pour lequel on trouve un résumé
puis successivement l’examen de :
la genèse (page 9)
l’intérêt de l’action (page 9)
l’intérêt littéraire (page 17)
l’intérêt documentaire (page 23)

  • la géographie (page 23)

  • l’ethnographie (page 28)

  • l’Histoire (page 35)


l’intérêt psychologique (page 49)
l’intérêt philosophique (page 55)
la destinée de l’œuvre (page 58)

Bonne lecture !

Résumé
‘’Quelques faits, quelques dates’’
Après un exposé de la situation politique au Bas-Canada en 1837, on assiste à la réunion où les autorités anglaises, dont le gouverneur, lors Gosford, s’inquiètent de l’agitation qui règne parmi les Canadiens français, de l’incitation à la rébellion qui est suscitée par l’énigmatique Jean-Sans-Nom, et chargent de sa capture l’«entrepreneur de police» Rip.
‘’Douze années avant’’
En 1825, à Chambly, Simon Morgaz avait fait partie, avec M. de Vaudreuil, Robert Farran, François Clerc et Walter Hodge, d’une conspiration de «réformistes» qu’à l’instigation de Rip il avait trahis, devant, alors que Robert Farran, François Clerc et Walter Hodge étaient pendus, fuir, avec sa femme, Bridget, et ses deux fils, Jean et Joann, à travers le Québec puis l’Ontario, jusqu’à la frontière américaine où il se suicida, le «paquet de bank-notes» échappé de son portefeuille révélant sa trahison.
‘’Un notaire huron’’
Le 3 septembre 1837, le notaire Nick Sagamore, de Montréal, qui est un Huron, ayant reçu une lettre et étant passé par sa banque, se rend à Laval avec son second clerc, Lionel, qui écrit des vers et lit le poème qu’il a composé : ‘’Le feu follet’’. Voyage avec eux un jeune homme inconnu qui se trouble quelque peu quand le «stage» est arrêté un temps par Rip et ses hommes qui sont à la recherche de Jean-Sans-Nom.
‘’La villa Montcalm’’
Maître Nick se rend à la villa Montcalm où vivent M. de Vaudreuil, un des chefs du parti réformiste, et sa fille, Clary, qui est amoureuse, sans le connaître, de Jean-Sans-Nom. Le notaire, qui avait reçu en 1825 un mystérieux dépôt de cent mille «piastres», qui en avait remis des parties en 1831 et 1835, soit à deux occasions où eurent lieu des manifestations réformistes, lui remet le solde, une somme de cinquante mille «piastres», ce qui permet d’envisager «une insurrection prochaine», d’autant plus qu’ont été mystérieusement convoqués à la villa ces autres réformistes que sont William Hodge, François Clerc et André Farran.
‘’L’inconnu’’
M. de Vaudreuil, Clary, Farran, Clerc et Hodge attendent l’arrivée de l’inconnu qui, signant «un Fils de la Liberté», a convoqué les trois hommes. Survient le jeune homme qui a voyagé avec maître Nick. Porteur d’une lettre du député Gramont, il leur demande de faire partie d’un comité destiné à préparer l’insurrection. Quand des policiers proclament que la tête de Jean-Sans-Nom est mise à prix, il révèle que c’est lui, veut partir, mais Clary le retient.
‘’Le Saint-Laurent’’
Jean-Sans-Nom rejoint le port de Sainte-Anne et ‘’le Champlain’’, le bateau des frères Harcher dont la famille a fait de lui un fils adoptif. Le bateau remonte le Saint-Laurent et le Saguenay, le patriote ne se contentant pas de pêcher mais en rencontrant d’autres à chaque escale et leur remettant de l’argent. À Québec, il s’entretient avec le député réformiste Gramont qui lui expose la situation politique, et lui parle d’un jeune prêtre au patriotisme enflammé et qui s’appelle l’abbé Joann.
‘’De Québec à Montréal’’
‘’Le Champlain’’ aborde, sur le lac Saint-Pierre, une cage de bois menée par Louis Lacasse qui transporte des armes et des munitions fournies par des Américains. Au-delà de Montréal, Jean-Sans-Nom quitte le bateau qui est halé au-delà du «saut de Saint-Louis» et amarré à Laprairie.
‘’Un anniversaire’’
Jean veut revoir Chambly, se demandant : «Que suis-je venu faire ici?» mais étant poussé en avant par «une force invincible». Il constate que la maison de sa famille a été brûlée, et apprend que le lieu est considéré maudit car c’est «la maison du traître». Or, à l’église, prêche l’abbé Joann en «porte-parole de la foi catholique et de la foi nationale». A lieu alors une exécution en effigie de Simon Morgaz car c’est l’anniversaire du jour de la mort de ceux qu’il avait trahis. Les deux frères se rejoignent, mais quittent Chambly «sans avoir prononcé une parole».
‘’Maison-Close’’
À Saint-Charles, la triste ‘’Maison-Close’’ abrite une veuve très solitaire, qui reçoit pourtant «trois ou quatre fois par année» tantôt un tantôt deux visiteurs. Ainsi, dans la nuit du 30 septembre 1837, Jean et Joann viennent voir leur mère, Bridget. Les deux frères ont choisi deux voies différentes pour réparer la faute commise par leur père, mais la réhabilitation qu’espère leur mère leur apparaît impossible, même à celui qui est prêtre ; si leur combat réussit, ils quitteront le pays ; s’il échouent, ils seront morts !
‘’La ferme de Chipogan’’
La ferme de Chipogan, qui est située près de Laprairie, appartient à M. de Vaudreuil et est régie par Thomas Harcher, mais les deux hommes connaissent la plus parfaite entente, partageant le même patriotisme. Les terres sont cultivées intelligemment, les bâtiments sont bien agencés, toute la très nombreuse famille s’emploie aux multiples travaux. Et elle célèbre le baptême d’un enfant dont Clary et Jean sont marraine et parrain. Or Jean, qui a quitté les frères Harcher neuf jours auparavant, est en retard. Survient un Huron de la tribu des Mahogannis qui annonce la visite le lendemain des gens de son village de Walhatta qui viendront rencontrer maître Nick, dont le nom est Sagamore. Après l’arrivée de Jean, le cortège s’ébranle vers l’église, surveillé par un agent de Rip. L’enfant, étant le vingt-sixième, doit être donné à l’Église et sera «élevé aux frais de la paroisse».
‘’Le dernier des Sagamores’’
Le lendemain, où est célébrée la première communion des jeunes Clément et Cécile Harcher, Jean peut parler de ses derniers voyages à M. de Vaudreuil et à Clary qui lui indiquent ce qu’a fait leur comité. Dans un moment où ils sont seuls, la jeune fille manifeste la sympathie qu’elle a pour lui ; mais, s’il partage son sentiment, il s’interdit d’y répondre, et déclare vouloir trouver la mort dans la lutte qui s’annonce. Arrivent maître Nick et Lionel qui reconnaissent en Jean le jeune homme qui se trouvait avec eux dans le «stage». Ils sont venus pour la signature du contrat de mariage entre Rose Harcher et Bernard Miquelon. Survient une troupe de Hurons revêtus de leur costume de guerre qui viennent déclarer à maître Nick que, du fait de «l’ordre d’hérédité», il doit devenir leur chef, ce qui le laisse tout à fait décontenancé. Ils sont invités à la noce.
‘’Le festin’’
Après le mariage où maître Nick manifeste encore son ahurissement, Thomas Harcher offre un repas à «cent cinquante convives» servis par «une escouade de nègres», une multitude de plats dont «la nomenclature» est détaillée. La liesse générale n’empêche pas Jean-Sans-Nom de discuter avec M. de Vaudreuil et Clary, de leur dire qu’il attend, pour donner le signal du soulèvement, «une circonstance qui achèvera d’exaspérer les patriotes contre la tyrannie anglo-saxonne», de leur annoncer qu’il est décidé à quitter la ferme, car il craint d’avoir été filé, ne veut pas compromettre les Harcher ni profiter de l’hospitalité que lui offrent le père et la fille, avouant qu’il va trouver refuge dans la maison de sa mère, à Saint-Charles. Maître Nick va prononcer un discours quand il voit à la porte Rip.
‘’Coups de fusils au dessert’’
«Se contenant par un suprême effort de volonté, Jean n’avait même pas tressailli», car Rip ne le connaît pas. Le policier déclare avoir le mandat d’arrêter Jean-Sans-Nom, mais les Harcher ne le connaissent pas non plus, Thomas Harcher affirmant cependant qu’il lui donnerait asile, ce qui est maintenant passible de la peine de mort. Tandis que maître Nick proclame que le proscrit n’est pas là, les agents s’approchent, et les hommes de la ferme prennent leurs armes. Mais Jean-Sans-Nom se déclare, demandant pardon à Thomas Harcher et le remerciant de son hospitalité. Les Harcher se jettent alors contre les agents, les repoussent et se postent aux fenêtres, les Hurons restant indifférents. Jean organise la résistance, et des coups de feu éclatent. Les assiégés risquent d’être submergés lorsque, maître Nick, d’abord resté à l’écart, s’étant entremis entre les belligérants et étant alors en danger, les Hurons se portent à sa défense et obligent les assaillants à battre en retraite.
Deuxième partie
‘’Premières escarmouches’’
Après «la collision» avec la police, tandis que Catherine Harcher est restée à la ferme qu’occupe un détachement militaire, les hommes se sont réfugiés au Vermont. La villa Montcalm, où Clary reçoit des lettres de Jean-Sans-Nom, est surveillée, mais, un mandat d’arrêt ayant été lancé contre lui, M. de Vaudreuil a pris la fuite. Maître Nick s’est, avec Lionel, retiré parmi les Hurons. Jean-Sans-Nom s’est réfugié à ‘’Maison-Close’’, étant prêt à «se jeter ostensiblement à travers le comté», ce dont le dissuade cependant Joann. Mais l’adoption par les chambres de Londres de «mesures injustes et violentes» provoque des «meetings» dont l’un, le 23 octobre, à Saint-Charles, voit l’adoption de treize propositions et la première apparition publique de Jean-Sans-Nom. Le 6 novembre, à Montréal, «une collision» oppose ‘’les Fils de la Liberté’’ et les membres du ‘’Doric-club’’. À la suite de l’arrestation, le 16 novembre 1837, à Saint-Jean, de deux patriotes, Jean-Sans-Nom incite le député de Chambly, L.-M. Viger, à délivrer les prisonniers, mais il est reconnu par «un agent de la maison Rip and Co», ce qui provoque une échaffourée où Viger est blessé, les prisonniers délivrés, tandis que Jean-Sans-Nom disparaît.

‘’Saint-Denis et Saint-Charles’’
Lord Gosford décide d’attaquer les rebelles à Saint-Denis et Saint-Charles, le commandant en chef «divisant l’armée anglo-canadienne en deux colonnes», celle commandée par le colonel Gore venant de Sorel et avançant vers Saint-Denis, village qui est défendu par sept à huit cents hommes, la plupart «réduits à combattre à l’arme blanche» mais commandés par le docteur Nelson ; s’y trouvent aussi le député Papineau, ainsi que «MM. de Vaudreuil, Vincent Hodge, André Farran, William Clerc, Sébastien Gramont» qui, «sur un mot qu’ils avaient reçu de Jean, étaient venus rallier les réformistes, en se dérobant non sans peine à la police montréalaise», et même Clary. La tentative d’évasion du lieutenant Weir, qui avait été capturé, déclenche les hostilités, «de nombreux coups de mousqueterie» mais aussi des coups d’un canon qui fait des brèches dans la maison qui est le principal obstacle. Une tentative de le tourner échoue. Et surgit Jean-Sans-Nom, «à la tête d’une centaine d’insurgés, venus de Saint-Antoine, de Saint-Ours et de Contrecoeur», ce qui oblige le colonel Gore à battre en retraite. Après cette victoire, Jean entraîne les patriotes vers Saint-Charles que menace la seconde colonne commandée par le lieutenant-colonel Whiterall. Se retrouvent avec lui dans le village non seulement «MM. de Vaudreuil, Vincent Hodge, André Farran, William Clerc, Sébastien Gramont» mais les Harcher, dont l’un est tué et deux autres blessés. Jean-Sans-Nom «se bat comme un lion, toujours en tête des siens, toujours en avant dans la mêlée». Mais c’est une défaite, où «ceux des combattants qui n’avaient pas succombé, furent contraints de s’enfuir», tandis que Jean-Sans-Nom, qui a sauvé M. de Vaudreuil qui «avait été renversé d’un coup de sabre», tout en pensant à prévenir Clary, qui est restée à Saint-Denis, le transporte à Maison-Close, qui a échappé à l’incendie.
‘’M. de Vaudreuil à Maison-Close’’
Jean-Sans-Nom confie M. de Vaudreuil à sa mère sans lui indiquer que le moribond, dont le torse porte une longue blessure, fut une des victimes de Simon Morgaz. Mais il se ranime pour appeler sa fille en prononçant le nom Clary de Vaudreuil. Bridget est alors en proie au plus grand trouble, mais décide d’aller chercher Clary, malgré la distance, malgré les soldats. Elle la trouve à Saint-Denis au moment où y arrivent les premiers fugitifs. Elles partent vers Saint-Charles, croisant d’autres fugitifs. Alors que la femme âgée se sent trop faible pour continuer, une lueur dans le ciel leur fait craindre l’incendie de Maison-Close. À proximité, elles constatent que c’est une ferme voisine qui brûle, mais elles sont abordées par trois volontaires anglais dont l’un violente la jeune fille, qui est sauvée par… Vincent Hodge qui, d’autres volontaires accourant, leur fait face tout en poussant les deux femmes vers Maison-Close.
‘’Les huit jours qui suivent’’
M. de Vaudreuil et sa fille sont, sans le savoir, dans la maison des parents de Simon Morgaz qui, eux, craignent qu’ils l’apprennent. Jean est prêt à aller chercher un médecin à Montréal, mais Bridget pense qu’elle peut donner des soins suffisants et qu’il faut surtout que personne ne pénètre dans la maison, dont elle sort pour trouver des provisions et «quelque potion calmante», constatant alors «les excès commis par cette soldatesque déchaînée que son chef essayait vainement de retenir». Jean et Clary se sentent, dans le malheur, «liés l’un à l’autre» et, se rendant compte de ce sentiment, Bridget en conçoit un effroi égal à celui de son fils. Il fait à M. de Vaudreuil le bilan de la défaite, mais envisage «une campagne à reprendre» et part donc. Tandis que son père poursuit sa convalescence, Clary ressent «une vive amitié» pour Bridget qui, cependant, se tient dans une «extrême réserve». Le 1er décembre, Gore revient à Saint-Denis, et l’angoisse est grande à Maison-Close où Jean est de retour.
‘’Perquisitions’’
Jean-Sans-Nom vient d’échapper à des poursuivants qui sont conduits par Rip. Il raconte qu’à Saint-Denis il avait retrouvé des patriotes qui «s’occupaient à la défense» contre «une colonne de réguliers et de volontaires», mais ne purent empêcher la dévastation de la bourgade, dévastation qui risque de s’étendre à «tous les comtés au sud du Saint-Laurent», et durent s’enfuir. Il est revenu pour protéger M. de Vaudreuil, qui lui signifie que «c’est pour le pays qu’il faut mourir». Mais Jean veut le faire partir avec sa fille, lui et sa mère, vers la frontière américaine. Un fermier promet à Bridget «une voiture et un cheval». Le retour à Saint-Charles de «la colonne de Witherall» crée de l’inquiétude. Le fermier vient déclarer qu’il ne peut fournir la voiture parce que les soldats occupent sa ferme, que la bourgade est cernée et qu’on va «pratiquer des perquisitions chez les habitants» à la recherche de Jean-Sans-Nom. Celui-ci, toutefois, décide de rester, au moment même où l’on enfonce la porte. Bridget, qui se présente, est reconnue par Rip qui l’appelle «madame Morgaz» et renonce à la perquisition. «Mais le secret de Bridget et de son fils était maintenant dévoilé !» Clary, «dans un premier mouvement d’horreur», avait quitté la chambre. Aussi Jean, qui doit avouer à sa mère son amour pour la jeune fille, «s’élança hors de Maison-Close».
‘’Maître Nick à Walhatta’’
Maître Nick avait décidé de «suivre les Mahogannis à Walhatta», et une vie nouvelle avait commencé pour lui, à qui elle déplaît et qui est toujours «
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