Panorama de l’actualité du samedi 12 mars








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PANORAMA DE L’ACTUALITÉ DU SAMEDI 12 MARS

(www.la-croix.com; www.cerap-inades.org; www.jeuneafrique.com)


Article paru sur le site « Leparisien.fr » du 10 mars 2016

Migrants : pour Merkel, fermer la route des Balkans «ne résout pas le problème»

«On ne résout pas le problème en prenant une décision unilatérale.» La chancelière allemande, Angela Merkel, s'est exprimée ainsi ce jeudi, sur la radio MDR, à propos de la fermeture de la route des Balkans aux migrants qui tentent de rejoindre l'Union européenne (UE).  «Il faut une décision qui soit bonne pour les 28 (pays de l'UE). C'est pourquoi je m'engage pour une véritable solution européenne, c'est-à-dire une solution des 28», a-t-elle ajouté. «Cette situation n'est ni durable ni pérenne».

La route des Balkans, un corridor laissant passer les migrants qui s'était de fait mis en place depuis l'été, s'est fermée mercredi après la décision de la Slovénie de ne plus laisser passer de réfugiés par son territoire. La mesure, qui est destinée à décourager de nouveaux migrants de partir pour l'Europe, accentue le risque de crise humanitaire en Grèce. La fermeture de cet itinéraire augmente un peu plus la pression sur l'Union européenne (UE) et la Turquie pour finaliser un accord destiné à juguler le flux de réfugiés. Actuellement 40.000 personnes, venant de Turquie via les îles grecques, sont bloquées en Grèce. 

«Personnellement, je pense que la décision unilatérale de l'Autriche, puis dans la foulée de celle des pays des Balkans, nous apporte certes moins de réfugiés, mais place d'un autre côté la Grèce dans une situation très difficile. Si nous n'arrivons pas à trouver un accord avec la Turquie, alors la Grèce ne pourra pas supporter le poids (migratoire) longtemps», a ajouté Angela Merkel. Ce pays doit composer avec des dizaines de milliers de migrants coincés sur son territoire.

Ce jeudi et vendredi, les ministres de l'Intérieur de l'UE se réunissent à Bruxelles pour discuter du plan UE-Turquie, dont des propositions chocs ont été présentées par Ankara lundi à Bruxelles (Belgique). Un prochain sommet des 28 est prévu les 17 et 18 mars. Le volet le plus spectaculaire de l'ébauche d'accord, contesté par les ONG (organisations non gouvernementales) et qui ne fait pas l'unanimité parmi les 28, verrait Ankara, la capitale turque, accepter la réadmission sur son territoire de tous les migrants arrivés clandestinement en Grèce, y compris les Syriens qui fuient la guerre dans leur pays. En contrepartie, pour chaque Syrien réadmis par la Turquie au départ des îles grecques, les Européens s'engageraient à «réinstaller» un autre Syrien depuis la Turquie dans l'UE.

La Turquie, par la voix de son ministre aux Affaires européennes, Volkan Bozkir, a cependant expliqué ce jeudi que sa «proposition ne concerne pas les migrants qui sont actuellement sur les îles grecques». Il a précisé que les réadmissions se feraient par «dizaines de milliers», mais pas par «millions». L'an dernier, 850.000 personnes ont débarqué sur les îles grecques.

Article de Guillaume Stoll sur le site « tempsreel.nouvelobs.com » du 9 mars

Que fabriquaient les bombardiers russes interceptés près des côtes françaises ?

Comme un parfum de guerre froide. Le 17 février dernier, au large des côtes françaises, deux bombardiers russes ont joué au chat et à la souris avec les avions de chasse de l’Otan. Sans incident, fort heureusement. L’information, qui n’a été dévoilée que lundi 7 mars par l’armée de l’air française, démontre que les Russes n’ont pas fini de jouer avec les nerfs de leurs voisins européens, le tout sur fond de tension diplomatique sur les dossiers syrien et ukrainien. 

Les deux bombardiers lourds russes TU-160 ont d’abord été repérés dans la matinée du 17 février au large de la Norvège, avant qu’ils ne s’engagent dans le canal de la Manche à proximité des côtes britanniques. Alertés par ses radars, la Royal Air Force décide alors de faire décoller deux de ses avions de chasse, des Eurofighter Typhoon, pour interception. Avertie à son tour de l’approche des deux intrus russes à proximité des ses côtes, la France envoie dans la foulée deux de ses avions de chasse : un Rafale en provenance de Saint-Dizier (Haute-Marne) et un Mirage 2000 stationné en Bretagne.

Escortés de très près par les quatre chasseurs européens, les deux colosses des airs russes finissent par rebrousser chemin en milieu d'après-midi, à seulement quelques dizaines de kilomètres de la ville du Touquet. « Les bombardiers ont décollé de Russie, ont contourné la Norvège, les îles anglaises, ont été 'pris en compte' par [la chasse] anglaise. Nous les avons pris en compte en Manche », a résumé le général français André Lanata lors d'une rencontre avec l'Association des journalistes de défense (AJD).

Ce petit ballet aéronautique dans le ciel européen s'est déroulé sans incident. Pour l'éviter, les deux avions russes, capables chacun de transporter 12 à 25 missiles à charges nucléaires, sont d'ailleurs restés sagement au-dessus des eaux internationales. Histoire de ne pas provoquer leurs homologues de l'Otan, sur les dents depuis la répétition de plusieurs manœuvres de ce type ces derniers mois. « Les avions russes ont fait demi-tour avant l'espace aérien français. Nous les avons raccompagnés jusqu'à ce qu'ils remontent vers le nord », précise le chef d'état-major de l'armée de l'air française.  

Ce n'est pas la première fois que les Russes s'amusent à envoyer plusieurs de leurs appareils chatouiller les côtes françaises. En janvier 2015, deux Tupolev avaient déclenché un instant la panique des services de défense de l'Otan, en s'approchant d'un peu trop près de leurs espaces aériens nationaux. Ne répondant pas aux appels radios, les deux avions avaient fini par faire demi-tour. Une provocation qui n'avait pas manqué de faire réagir publiquement le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian : « J'ai constaté cette présence un peu intempestive de chasseurs, d'avions russes, qui sont venus se promener pour des raisons que j'ignore à proximité de nos côtes [...]. Nous leur avons fait savoir que nous les avions vus et qu'il était souhaitable qu'ils se retirent. C'est ce qu'ils ont fait », avait lâché le ministre sur iTélé.

Et Jean-Yves Le Drian n'avait pas hésité à montrer les muscles :   « Nous leur avons fait savoir qu'ils devaient se retirer. Ils ne sont pas restés longtemps. » Plus d'un an plus tard, impossible de savoir combien de fois la Russie a effectué ce type de manœuvres provocatrices. Moscou nie systématiquement et l'armée française communique au compte-gouttes. La Grande muette, qui mérite une fois de plus son surnom, se contente de dire que cette "gesticulation russe n'est pas fréquente".

Interrogée par "La Voix du Nord", Tatiana Kastouéva-Jean, spécialiste du monde russe, juge pour sa part que ces "violations de l’espace aérien, mais aussi maritime par les avions et les navires russes sont multiples", depuis le début de la crise en Ukraine en 2014.  D'après cette chercheuse de l'Institut français des relations internationales (IFRI), le message de Moscou est double : "démonstration de la nouvelle puissance retrouvée des forces armées russes et un test des capacités de réponse de l’Otan."

 Article sur le site « Rfi.fr » du 10 mars

Côte d'Ivoire : violents heurts entre FRCI et habitants d'Assuéfry, dans l'est 

En Côte d'Ivoire, de violents affrontements ont eu lieu en début de semaine entre forces de l'ordre et populations de la région de Bondoukou. Une affaire de trafic de noix de cajou avec le Ghana voisin a mal tourné et les populations, furieuses, s'en sont même prises à deux ministres ce mardi. C'est la saisie d'un chargement de plusieurs tonnes de noix de cajou qui a mis le feu aux poudres dans la nuit de lundi à mardi. Les faits ont eu lieu dans la commune d'Assuéfry dans l'est du pays. Une précieuse marchandise apparemment destinée à un trafic d'anacarde avec le Ghana voisin où les usines implantées de l'autre côté de la frontière sont frappées par une pénurie de matière première.

Une fois la précieuse marchandise saisie, des affrontements ont eu lieu entre forces militaires des FRCI (Forces républicaines de Côte d'Ivoire) et la population locale. Affrontements qui ont dégénéré, puisqu'on dénombre deux morts et 19 blessés. Aussitôt dépêchés sur place pour apaiser les esprits, le ministre de la Défense Alain Richard Donwhai et celui des Ressources animales Adjoumani Koneban Kouassi n'ont pas complètement réussi à calmer le jeu puisque. Ils ont été, à leur tour, pris à partie par la population très remontée contre les autorités.

Outre les dégâts matériels précédents pillage, incendie de moto et de scooter, la voiture du préfet qui conduisait les ministres a fait les frais de cette colère et les ministres en ont été quittes pour une belle frayeur. Si la situation est désormais apaisée, le problème reste néanmoins entier. Le trafic transfrontalier représente une manne trop importante pour que les populations y renoncent du jour au lendemain.

Article paru dans le journal « Xinhua » du 9 mars

Côte d’Ivoire : la Chine va livrer dans moins de deux ans le plus grand barrage hydroélectrique du pays

Le plus grand barrage hydroélectrique de Côte d’Ivoire en construction par la Chine à Soubré (sud-ouest) sera livré en avance, "probablement en 2017", au lieu de 2018 comme initialement prévu. L’information a été donnée par le Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan lors d’une visite sur le chantier, le week-end écoulé, pour apprécier l’état d’avancement des travaux depuis le premier coup de pioche lancé officiellement le 25 février 2013.

« Je peux dire sans me tromper, au regard de l’état d’avancement des travaux qui sont à 72%, que ce défi est en passe d’être relevé », a dit M. Kablan Duncan selon une note d’information parvenue mardi à Xinhua.

Tout en saluant la "vitesse d’exécution" des travaux, le Premier ministre entrevoit la "livraison probable" de l’ouvrage "en 2017 au lieu de septembre 2018" préalablement fixé comme date de fin des travaux. Au cours de sa visite, Daniel Kablan Duncan a passé en revue tous les chantiers concernés par le projet, notamment, l’évacuateur de crue, les digues, l’usine de prise d’eau, le canal de fuite en passant par les sites abritant les constructions de logements des cadres et des travailleurs, des populations déplacées et la base de traitement d’eau.

Le barrage de Soubré, long de 4,5 km, se pose comme le plus puissant et le plus grand centre de production électrique sous-régional avec une puissance installée de 275 MW et un productible annuel de 1.100 gigawatt heure (GWH) pour un coût de près de 572 millions de dollars (environ 286 milliards FCFA) dont 85% financés par la Chine et 15% par l’Etat ivoirien. La puissance totale installée de la Côte d’Ivoire est de 1975 MW, fournie à 72,5% par quatre centrales thermiques et 27,5% par six centrales hydrauliques.

Depuis 2012, le gouvernement ivoirien a entrepris des actions, notamment, les projets de construction d’ouvrages de production pour porter la puissance installée de la Côte d’Ivoire à environ 4000 MW en 2020 et plus de 6000 MW en 2030. Dans ce cadre, il vient de ratifier deux accords de prêts d’un montant global de 809 millions de dollar (environ 470 milliards FCFA) signés avec la Chine en vue du financement d’un projet de développement et de réhabilitation du réseau électrique de la Côte d’Ivoire. Le projet porte sur la construction de 14 nouveaux postes de haute tension, la réhabilitation de 13 postes de haute tension, la réalisation de 1555 km de lignes de transmission et de fourniture d’équipements électriques sans compter l’électrification de 500 localités rurales.

  L’enjeu pour le pays est de soutenir sa croissance retrouvée au taux moyen de 9% depuis quatre ans, de réaliser son objectif d’être autosuffisant et exportateur d’électricité dans la sous-région ouest africaine. La Côte d’Ivoire fournit de l’électricité au Ghana, au Togo, au Bénin, au Burkina Faso, au Mali et à terme à la Sierra Leone, au Liberia et à la Guinée.

Article de Madiassa Kaba Diakité dans le journal « Le Républicain (ml) » du 10 mars

Mali : processus de paix : Le Forum de Kidal vaille que vaille

Iyad Ag Ghaly menace la bonne tenue du grand forum sur la paix qui est prévu en fin mars entre le gouvernement malien et les mouvements armés à Kidal . « Le chef d’Ansar Dine, Iyad Ag Ghaly, fait planer l’ombre d’actions terroristes sur le prochain forum de Kidal. Depuis quelques jours il fait circuler cette information par l’intermédiaire de prédicateurs dans les mosquées », rapporte notre confrère Studio Tamani. Mais les acteurs du processus de paix au Mali sont sans doute déterminés à conduire jusqu’au bout la rencontre de Kidal en fin mars, se présentant comme un parachèvement du processus d’Anefis.

Avec la recrudescence des attaques terroristes sur le territoire national 9 mois après la signature de l’accord de paix au Mali, Iyad Ag Gali, le chef d’Ançar Edine et son disciple Amadou Kouffa, ont apparemment décidé de prendre en otage le processus de paix qui connaît ces derniers moments un regain de dynamisme avec l’annonce d’un grand forum pour la paix et la réconciliation entre les signataires de l’accord de paix d’Alger. Le djihadiste Iyad Ag Ghali a revendiqué les dernières attaques contre les forces de sécurité malienne et celles de la Minusma. Et avant-hier à Misseni, dans le cercle de Kadiolo et non loin de la Côte d’Ivoire, un poste des FAMA a été attaqué par des terroristes.

La liste des attaques terroristes est longue au Mali, surtout dans le centre et le septentrion où l’Etat malien est absent dans beaucoup de localités. Et cela, malgré la signature, en mai-juin à Bamako, de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali issu des pourparlers d’Alger entre les groupes armés et le gouvernement malien. La logique semble claire: les djihadistes ne veulent pas d’une paix sans eux au Mali. Et Iyad Ag Ghaly affiche ses ambitions dans ce sens en voulant saboter cette importante rencontre. Selon notre confrère Studio Tamani : « Le chef d’Ansar Dine, Iyad Ag Ghaly, fait planer l’ombre d’actions terroristes sur le prochain forum de Kidal. Depuis quelques jours il fait circuler cette information par l’intermédiaire de prédicateurs dans les mosquées ».

A noter que le grand forum de Kidal prévu du 27 au 30 mars entre dans le cadre du processus de paix au Mali. C’est à l’issue de rencontres, du 19 au 26 février 2016 à Bamako entre les leaders des groupes armés signataires de l’accord de paix d’Alger et le président de la République que la tenue d’un forum pour la paix et la réconciliation au Mali à Kidal du 27 au 30 mars 2016 clôturant le processus d’Anefis, a été décidée. Le communiqué de presse à l’issue de cette rencontre a annoncé l’adoption d’un chronogramme sur 2 mois (mars-avril 2016) de mise en œuvre des activités garantissant la sécurité publique et l’instauration d’une vie sociale normale sur tout le territoire à travers les activités suivantes : la mise en place des autorités intérimaires, la mise en place d’un dispositif de sécurité commun pour contribuer à la protection des personnes et des biens et la libre circulation des personnes dans le pays, la concrétisation urgente du cantonnement des combattants à travers le processus de DDR et l’accélération de la mise en œuvre des différentes dispositions de l’accord par l’adoption des textes y afférents pour préparer les élections.

  Article du journal « Ouestaf » du 8 mars

Intégration : le Ghana généralise la délivrance du visa à l’arrivée pour tous les Africains

Le Ghana va désormais adopter la délivrance de visa à l’arrivée pour tous les ressortissants africains, indique une note du président John Dramani Mahama postée sur le site de la présidence ghanéenne. Une annonce qui intervient un peu plus d'un mois après la publication du premier indice de la Banque africaine de développement (BAD) sur l’ouverture des visas en Afrique. « Dès juillet 2016, la délivrance de visa se fera à l’arrivée pour tous les ressortissants de l’Union africaine », a annoncé le président Mahama, dans une courte note.

Une mesure dictée par le manque de mobilité des Africains sur leur propre continent, un gap récemment souligné dans un rapport de la BAD qui a publié en janvier 2016, son premier indice de l’ouverture des visas en Afrique. Pour le président ghanéen, les motivations sont aussi d’ordre économique, puisque cela peut favoriser davantage le tourisme dans son pays, où ce secteur représente pour le moment 5% du Pib, d’après les chiffres officiels.

Dans l’indice d’ouverture sur visas en Afrique de la BAD, l’Afrique de l’ouest se distingue particulièrement dans ce classement, en plaçant 5 pays (Mali, Cap-Vert, Togo, Guinée-Bissau) parmi les 12 les moins fermés aux autres Africains. Le Ghana, qui entend désormais rectifier le tir, est cité dans le rapport accompagnant cet indice parmi les pays les moins flexibles, 61% des Africains ont besoin de visa pour entrer au pays de Kwame Krumah. L’exemption de visa pour le Ghana ne concerne que 30 pays (dont 14 d’Afrique de l’ouest) et la délivrance à l’arrivée ne concerne que 9 pays africains. Selon l’étude de la BAD, 55% des Africains ont besoin d’un visa avant de se rendre dans un autre pays de leur continent. Seuls 13 pays africains sur 55 offrent un accès libre (exemption et délivrance à l’arrivée).

Membre de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao, 15 pays) où prévaut le principe de la libre circulation des biens et des personnes, le Ghana par la voix de son président entend œuvrer davantage pour son intégration sous régionale. Dans cette optique, le président Mahama qui a aussi annoncé un renforcement des liens entre le Ghana avec l’Organisation internationale de la Francophonie, a exhorté ses compatriotes à l’apprentissage du français.  Exportateur de pétrole, deuxième plus gros exportateur de cacao au monde, derrière la Côte d’Ivoire, le Ghana est un des moteurs économiques de l’Afrique de l’ouest.

Article de Marie Verdier (avec AFP), dans le journal « La Croix » du 06 mars
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