De toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier edf et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution edf-gdf








télécharger 29.83 Kb.
titreDe toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier edf et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution edf-gdf
date de publication09.10.2017
taille29.83 Kb.
typeDocumentos
l.21-bal.com > loi > Documentos

De toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier EDF et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution EDF-GDF

mercredi 13 septembre 2006

En démantelant EDF-GDF la France se rend-elle compte du risque qu’elle prend ?


par Nicolas Dupont-Aignan, Claude Rochet

Les auteurs de cet article, Nicolas Dupont-Aignan et Claude Rochet, sont respectivement député UMP de l’Essonne et Président-fondateur de Debout la République, et professeur à l’Institut de Management public d’Aix-Marseille III.

…"La directive gaz et électricité en cours de discussion va décider si la distribution moyenne et basse tension qui est un service commun à EDF et à GDF - avec 80 000 agents - est confiée à un réseau indépendant, comme cela est le cas avec la séparation de RFF de la SNCF. De plus, on se prépare à séparer EDF de GDF alors que rien ne nous y oblige. Si l’on y ajoute la séparation du réseau haute tension et grande distribution, l’entreprise aura été divisée par six !

Que restera-t-il ? GDF sans le transport ne serait plus rien qu’une entreprise de courtage comme Enron ! EDF sans GDF, serait tout autant une impasse, le gaz étant la source de production d’appoint indispensable de l’électricité. Il est donc essentiel que le gouvernement s’oppose, lors de la négociation de la seconde directive, à la séparation du réseau moyenne et basse tension qui est le ciment de l’unité de l’entreprise.

Etrange paradoxe que celui où nous mettent les partisans de la privatisation : au moment même où l’on ne jure plus que par les méga-fusions pour « faire face à la mondialisation », on se prépare à transformer un de nos géants industriels, essentiel pour la qualité de l’industrie nationale, en nain impuissant. Pour une politique industrielle et de service public

Il n’est pas besoin d’être grand clerc pour prédire qu’une telle politique produira en France ce qu’elle a déjà produit ailleurs : la panne. …"

Totalité de l’article ci-dessous :

L’ouverture du capital d’EDF au privé, qui mène de facto à la privatisation et n’est que le faux-nez du démantèlement de l’entreprise, procède d’une cécité stratégique et d’un dogmatisme idéologique qui font courir à la nation un risque majeur.
Les auteurs de cet article, Nicolas Dupont-Aignan et Claude Rochet, sont respectivement député UMP de l’Essonne et Président-fondateur de Debout la République, et professeur à l’Institut de Management public d’Aix-Marseille III.
Article paru dans Libres n°2

I Quels sont les enjeux ?

Contrairement à ce que nous dit la mode ambiante, les services publics à la française ne sont pas congénitalement condamnés à une gestion de type soviétique, dès lors que le pouvoir politique sait imposer dans leur fonctionnement interne des règles empreintes d’efficacité. L’histoire récente et lointaine le montre, l’Etat en est parfaitement capable s’il s’en donne la volonté et les moyens.

Le choix d’une gestion publique ou privée d’un service public est un choix d’efficacité de gestion. En revanche, la décision de privatiser - en l’espèce, de faire éclater - un groupe industriel national comme EDF-GDF relève d’un choix stratégique majeur qui implique l’avenir même de la nation, de son développement et de son indépendance. Ainsi, au lieu de se focaliser sur l’alternative prétendument fatale (qui constitue à elle seule un parti pris tendancieux en faveur du démantèlement) entre l’immobilisme et la fuite en avant dans la privatisation, les autorités seraient mieux inspirées de réfléchir à tête reposée à ce qu’impliquerait une telle évolution.

L’immobilisme est le maintien de la situation actuelle où l’Etat propriétaire de l’entreprise est incapable d’en définir la stratégie et a laissé son président se lancer dans des aventures financières qui ont sérieusement dégradé ses comptes. On peut également considérer que le statut de certains de ses personnels est trop avantageux sous certains rapports, encore que ces critiques soient pour une large part infondées : depuis la Libération, EDF-GDF a réalisé des gains de productivité considérables qui ont été employés à faire baisser les tarifs, à consolider le consensus social interne et (malheureusement) à financer les investissements hasardeux à l’étranger de son actuel président.

Mais rien ne justifie la fuite en avant dans la privatisation, que ce soit la législation européenne - la loi française est strictement conforme à la directive électricité et les traités européens sont neutres quant à la propriété du capital - ou le prétexte fallacieux selon lequel l’Etat a mal joué son rôle d’entrepreneur et de stratège et que le seul remède est la mort du malade

Pourquoi s’acharner à changer ce qui fonctionne bien ? Qu’il s’agisse de l’indépendance énergétique, de l’aménagement du territoire, du coût abordable comme de la sûreté de l’approvisionnement ou encore de la sécurité, le statut public d’EDF offre des garanties qui seraient manifestement remises en cause par la privatisation.

L’indépendance énergétique

Les événements d’Irak ne peuvent que souligner les choix judicieux faits par le passé de doter la France d’un outil industriel qui lui assure son indépendance énergétique (et donc une partie de son indépendance tout court). Cet outil industriel repose sur l’intégration du gaz comme source de production de l’énergie électrique, dont le rôle est croissant et représente la seule source additionnelle de production électrique. Le principal défi qui s’ouvre ces prochaines années à l’industrie électro-nucléaire est à l’évidence sa modernisation, avec la mise au point et l’entrée en service des réacteurs de la nouvelle génération (EPR). Bien entendu, on imagine mal le secteur privé se lancer dans une telle entreprise, à la fois coûteuse financièrement et sensible au plan stratégique.

L’aménagement du territoire

C’est une spécificité typiquement française que n’existe ni en Allemagne, ni au Royaume Uni ni aux Etats-Unis (pour des raisons diverses d’ailleurs) : l’électricité est accessible dans les mêmes conditions de services et de prix sur tout le territoire national. En revanche, si le marché saurait sans doute fort bien alimenter un grand centre industriel, il se désintéresserait à coup sûr d’un village reculé du Cantal. Les puissants pourront négocier leurs tarifs, les faibles et les pauvres seront réduits à être la variable d’ajustement !

Le coût abordable et la sûreté d’approvisionnement

Les pays qui ont privatisé leur production et leur distribution d’énergie électrique connaissent tous les mêmes problèmes : irrégularité des approvisionnements et volatilité des prix, avec au bout du compte la rupture d’approvisionnement, comme l’a connu la Silicon Valley en Californie et comme commence à le connaître l’Italie. !

La sécurité et le professionnalisme

EDF-GDF est une entreprise plébiscitée par les Français pour son professionnalisme et la sécurité de ses installations. On ne sait que trop que lorsqu’un service public est privatisé, les seuls moyens d’améliorer la productivité sont de rogner sur les coûts d’entretien et les investissements de sécurité ! S’agissant d’une entreprise considérée à bon droit comme partie intégrante du patrimoine national, une telle dérive serait d’autant moins acceptée des Français.

II Les arguments fallacieux de la privatisation

Autant il est nécessaire de ne pas laisser l’entreprise s’endormir et voir ses gains de productivité dilapidés en interne (qu’il s’agisse d’avantages trop grands pour ses personnel ou, plus encore, des investissements pharaoniques faits en pure perte par ses actuels dirigeants), autant les arguments en faveur du recours au privé ne sont pas convaincants.

Quels sont-ils ? L’Europe nous contraindrait à la privatisation, l’entrée dans la sphère concurrentielle permettrait à EDF de devenir un champion mondial et augmenterait ses performances, la cession des actifs de l’entreprise par l’Etat constituerait une bonne opération pour les comptes publics.

La fausse contrainte européenne

En l’état, malgré le dogmatisme de la Commission, il n’existe aucune directive obligeant la France à mettre un terme au statut public d’EDF. En effet, l’ouverture à la concurrence, prévue pour le 1er janvier 2007, n’implique nullement la privatisation de l’entreprise. Elle incite au contraire à renforcer sa compétitivité, en commençant par mettre un terme aux investissements hasardeux de l’actuel président.

La prétendue efficacité du marché à gérer la production et l’approvisionnement électriques

Des expériences étrangères, et non des moindres (ainsi, les Etats-Unis), en attestent unanimement : à l’évidence, la seule initiative et le seul investissement privés, même s’ils sont capables d’y contribuer sous certaines conditions, ne peuvent suffire à organiser le marché de l’électricité, en raison même de la nature de ce bien qui repose sur de très gros investissements, n’est pas stockable et doit fonctionner en permanente surcapacité.

Les Américains, bien qu’ils n’aiment pas les entreprises publiques et préfèrent la gestion privée, débattent aujourd’hui du « market design », d’un marché qui doit être organisé par la puissance publique compte tenu des multiples contraintes d’intérêt général qui pèsent sur lui - couverture du territoire, régularité d’approvisionnement, stabilité des tarifs - et qui en rendent les critères de rentabilité bien différents de ceux ayant cours dans d’autres activités.

L’électricité est une « utilité », c’est-à-dire un bien qui n’est pas duplicable comme n’importe quel produit ordinaire et dont l’accès est indispensable pour permettre toute activité économique. Elle présente le caractère d’un bien collectif dont la rentabilité ne peut être conservée au seul profit d’un acteur privé.

Bien « pas comme les autres », l’électricité n’est pas soumise aux lois du capitalisme globalisé. En effet, il n’existe pas de marché mondial de l’électricité qui justifierait un désengagement total de l’Etat : pour ce qui nous concerne, il est limité à la plaque continentale France, Allemagne, Benélux et nord de la Suisse, où le marché de gros est déjà une réalité. L’Europe péninsulaire (Espagne-Portugal, Italie, Angleterre) est régie selon des logiques de marché et de prix qui resteront encore longtemps déconnectées de celles de la plaque continentale. Dans ces conditions, la prise de participation de EDF dans EnBW en Allemagne peut faire sens tandis que la prise de contrôle de London Electricity et l’excursion dans Edison en Italie sont aussi stratégiquement absurdes que financièrement dispendieuses. Sachant que l’entreprise est déjà bien placée sur son propre marché de la plaque continentale, il est parfaitement vain et fallacieux de vouloir faire d’EDF un champion de taille mondiale

Enfin, si l’entreprise était cédée au privé, à quel prix le serait-elle ?

A un prix dérisoire bien sûr : compte tenu des multiples provisions à passer pour les retraites, les aides de l’Etat à rembourser, l’investissement dans la filière EPR, les obligations de co-génération et la mauvaise gestion de l’actuelle direction qui s’est beaucoup plus préparée au « grand soir » de la privatisation qu’elle n’a agi en faveur de la productivité au quotidien, la valeur d’EDF sur le marché serait manifestement très éloignée de sa valeur nette comptable !

Et tout cela pour quel gain ? Si l’on en juge des expériences étrangères ou celle de France Télécoms, il est peu probable que cette ouverture se traduise par une baisse des tarifs aux particuliers.

III Que faire ?

Le maintien de l’unité de l’entreprise.

L’essentiel est de maintenir l’unité de l’entreprise. Et c’est de la législation européenne, incertaine et en construction, que vient cette fois la menace.

La directive gaz et électricité en cours de discussion va décider si la distribution moyenne et basse tension qui est un service commun à EDF et à GDF - avec 80 000 agents - est confiée à un réseau indépendant, comme cela est le cas avec la séparation de RFF de la SNCF. De plus, on se prépare à séparer EDF de GDF alors que rien ne nous y oblige. Si l’on y ajoute la séparation du réseau haute tension et grande distribution, l’entreprise aura été divisée par six !

Que restera-t-il ? GDF sans le transport ne serait plus rien qu’une entreprise de courtage comme Enron ! EDF sans GDF, serait tout autant une impasse, le gaz étant la source de production d’appoint indispensable de l’électricité. Il est donc essentiel que le gouvernement s’oppose, lors de la négociation de la seconde directive, à la séparation du réseau moyenne et basse tension qui est le ciment de l’unité de l’entreprise.

Etrange paradoxe que celui où nous mettent les partisans de la privatisation : au moment même où l’on ne jure plus que par les méga-fusions pour « faire face à la mondialisation », on se prépare à transformer un de nos géants industriels, essentiel pour la qualité de l’industrie nationale, en nain impuissant. Pour une politique industrielle et de service public

Il n’est pas besoin d’être grand clerc pour prédire qu’une telle politique produira en France ce qu’elle a déjà produit ailleurs : la panne.

Face à une telle impasse, il est temps de remobiliser l’entreprise autour d’une stratégie industrielle, elle-même l’expression d’une politique industrielle nationale. Plutôt que des acquisitions imprudentes entreprises avec le zèle des nouveaux convertis au capitalisme financier le plus irresponsable, EDF-GDF a un rôle à jouer pour rendre à la France une place économique et politique qui ne cesse de reculer. Pour commencer, plutôt que de dilapider ses finances dans des acquisitions dispendieuses destinées à conquérir un marché européen qui n’existe pas, EDF-GDF gagnerait à renouer avec une coopération multilatérale avec les électriciens des pays du Sud pour y rendre effectif le droit d’accès à l’électricité, politique abandonnée par l’actuelle direction et l’ancien gouvernement.

Mais cela suppose une vision à 20 ans des grands enjeux de la compétitivité industrielle française et de l’indépendance énergétique de la France. Au-delà de cette vision industrielle il y a celle des principes de l’égalité des citoyens devant le service public de l’énergie qui a été à la base de notre développement économique et de l’aménagement du territoire.

Nous devons rompre avec la politique d’euthanasie bureaucratique impulsée par les socialistes où l’immobilisme social est renforcé par la main gauche pour justifier une privatisation rampante par la main droite. A la logique d’Etat nécessiteux qui vend ses actifs pour faire face à ses besoins d’argent frais, il faut opposer la vision de l’Etat nécessaire parce que stratège, maître d’ouvrage d’une vision à long terme au service du bien commun. Ce n’est qu’à cette condition qu’il pourra jouer son rôle d’actionnaire qu’il n’a pas joué au sein de France Télécom, du Crédit Lyonnais ou encore de GIAT industries.

Ce n’est qu’à cette condition que l’on pourra donner plus d’autonomie de gestion à EDF-GDF, dans un conseil d’administration élargi de manière à prendre en compte toutes les préoccupations liées à la politique énergétique et environnementale, notamment. Il n’est nul besoin, comme le prétendent les ultra du libéralisme, de faire entrer des capitaux privés pour pouvoir introduire des principes de bonne gestion. Bien gérer EDF-GDF, c’est aussi un enjeu de la réforme de l’Etat dans ses relations avec ses établissements publics et les sociétés où il a des participations.

Ce n’est qu’à cette condition que l’on pourra renouveler le consensus social dans l’entreprise en associant le personnel aussi bien à la gestion qu’aux fruits de l’expansion et de la productivité. Le résultat négatif essuyé par la direction lors du référendum interne sur l’avenir des retraites dans l’entreprise ne fut en aucun cas une marque d’archaïsme et de corporatisme : les plus forts taux de NON viennent de la tête de l’entreprise et des secteurs les plus avancés (75% à la direction de la recherche !), qui ont ainsi exprimé leur refus d’un suicide industriel.

Préparer l’avenir pour garantir l’indépendance énergétique de demain

L’industrie électro-nucléaire française constitue une réussite indéniable qui permet à notre pays d’assurer son indépendance énergétique et politique depuis de longues années. Toutefois, à l’image des autres grandes réussites industrielles qui font aujourd’hui la force de notre pays (Ariane, Airbus, TGV,...) nos centrales nucléaires sont issues des programmes ambitieux des années soixante. Le parc nucléaire français vieillit il est vital de préparer son renouvellement. Inutile, sur ce point, de trop souligner la nécessité d’un pilotage et d’une impulsion publique.

EDF-GDF est une réussite qui appartient à tous les Français. Ce sont eux qui ont bâti par leur redevance un service public qui est à la base de la cohésion sociale et du développement économique.

Bien entendu, le cas d’EDF-GDF n’est pas isolé : il y a d’autres secteurs stratégiques (transports, recherche, éducation, santé, culture,...) qui ne doivent pas plus tomber sous la coupe du marché mais être refondés dans leur mission de service public d’origine, quitte à en passer par une gestion plus efficace... inspirée pour partie du privé bien sûr !

similaire:

De toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier edf et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution edf-gdf iconA partir de 2014, IL suffira de gagner l'équivalent d'au moins 150...
«spéciaux» (edf, gdf, sncf, ratp, Banque de France ) ne sont pas touchés par cette mesure introduite par la dernière réforme des...

De toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier edf et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution edf-gdf iconSavez qu’un certain nombre de travaux de rénovation énergétique (travaux...
«Bonjour vous êtes bien sur la permanence de la société Econormes Habitat dédiée à l’unpi, vous pouvez nous laisser un message et...

De toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier edf et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution edf-gdf iconUtopie de «la propagande par le fait»
«altruiste», leur origine et leur proximité ou non de l'anarchisme conscient, et sans toujours des vérifications de dates et de lieux,...

De toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier edf et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution edf-gdf iconCoup de main à la Famille masson
«maison» est placée sous une ligne haute tension ! Mais on vit où on peut, pauvres cons de chez edf !

De toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier edf et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution edf-gdf iconCm1 Loi du 6 juillet 2000 : les différents acteurs du sport en France
Convention par laquelle deux ou plusieurs personnes mettent en commun d’une façon permanente leur connaissance ou leur acticité dans...

De toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier edf et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution edf-gdf iconGestion de l’eau : alternatives à la réadhésion de la caee au sedif
«affaires» et des poursuites judiciaires qui s’en sont suivies contre plusieurs responsables politiques d’importance. C’est dans...

De toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier edf et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution edf-gdf iconDirection de Genève place des frères Zanarelli, à Coupy. Rte du camping...

De toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier edf et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution edf-gdf iconL’Ambassade de France et l’Institut français d’Israël célèbrent la...
«loi pour la protection du livre et des auteurs» qui a été adoptée le 31 juillet dernier par la Knesset à une écrasante majorité...

De toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier edf et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution edf-gdf iconScénario et réalisation Christophe Honoré, produit par Les films Pélleas Philippe Martin
«a time to Die The Untold Story of the Kursk Tragedy» Production : Via Est, Belga Productions, en association avec EuropaCorp Distribution...

De toutes parts des voix s’élèvent contre le danger de livrer au marché financier edf et Gaz de France, toujours réunies par leur service commun qui est la distribution edf-gdf iconLe marché et le mécanisme d’ajustement par les prix
«Le marché sera régulé par la main invisible du marché»  c’est la loi naturelle du marché








Tous droits réservés. Copyright © 2016
contacts
l.21-bal.com