Littérature => religions Chapitre 1 : La famille I le nom








télécharger 74.31 Kb.
titreLittérature => religions Chapitre 1 : La famille I le nom
date de publication08.06.2017
taille74.31 Kb.
typeLittérature
l.21-bal.com > loi > Littérature
Vietnam Société

LES PERMANENCES
Thèmes évoqués :

Famille => temps forts (mariage, mort…) => alimentation => médecine => fêtes traditionnelles (calendrier…) => habillement => architectures (civil et militaire) => littérature => religions
Chapitre 1 : La famille
I) Le nom

Le nom viet comprend 3,5 ou 6 parties

>< Nom de famille ou clan (tên họ) : le choix du nom de famille est restreint, 85% de la population ont 15 patronymes : NGUYEN (plus de la moitié des viets, surtout dans le sud), il y en a beaucoup due à la dynastie des NGUYEN (quand elle était princière) car, pour attirer et pour service rendus, les NGUYEN donnaient la possibilité de porter ce nom. L’empereur Gia Long a tout de même permis à quelques français de porter son nom Nous avons également Lê, Phạm, Trần et Ngô comme noms courants.
>< Le nom intercalaire (tên dệm) : différencie entre les hommes et femmes : pour les femmes c’est Thị (qui signifie qu’on veut qu’elle ait une progéniture nombreuse) tandis que pour les hommes c’est souvent Văn (réussite dans les études).
>< Le prénom (tên tục) : pour les femmes, c’est plutôt le nom des plantes comme Liễu, Hồng, Cúc ou des pierres précieuses comme Ngọc, Châu + Bạch Tuyết (Blanche neige). Alors que les hommes ce sera les 4 saisons comme Xuân (automne) ou les vertus morale comme Đức.
>< Quand les viets sont catholiques, il y a en plus le nom de baptême comme Jean-Baptiste Ngô Đình Diệm. Mais en 1956, interdiction des noms catholiques sur les papiers officiels dans les annuaires administratifs français. On désigne les viets par leur prénom alors qu’on désigne les français par le nom.
>< Dans les familles modestes, on donne souvent un numéro (chị hai, anh ba …) mais pas de 1 car comme le démon (ou quỷ) est là et prendra cette personne. C’est une superstition comme celle de ne pas dire qu’un bébé est beau car sinon le mauvais esprit s’en emparera. De plus, pour la même raison, les viets donnent à leurs enfants des noms horribles tels que Cu pour les garçons et đỉ pour les filles.
>< On n’utilise pas le prénom d’une autre personne sauf si on est très lié. Autrefois, pour interpeller un homme, on employait « Ông » et les femmes « Bà » suivis du prénom mais en 1975, on ne peut plus utiliser ces termes et ca devient « anh » pour les hommes et « chị » pour les femmes suivis du prénom quand ils ont quasi le même âge et « bác » suivi du prénom pour les personnes âgées.
>< Dans la famille royale, il y a les noms interdits (caractère du nom de l’empereur). C’est un caractère tabou (tên húy) et si on l’écrit, le candidat au mandarinat est éliminé et le correcteur perd son poste et est rétrogradé. Par exemple avec la province de Thanh Hoa où Hoa est le nom de l’impératrice qui va donc devenir Thanh Hoá. A la mort du souverain, le nom d’origine revient.

II) La famille viet (gia đình)

- Composée à la fois des vivants et des morts. On sent l’influence dans la famille au niveau politique, culturel, religieux selon les codes, l’individu est surjeté au cadre familial.
- C’est une famille élargit avec un chef de clan qui contrôle la partie externe et interne. Tout ce qui vient du père c’est interne, par exemple le grand père paternel c’est ông nội tandis que du coté de la mère, c’est externe comme le grand père maternel ông ngoại.

Il y a donc une hiérarchie dans le système familial vietnamien. Le chef de clan peut être comparé au pater familias. De plus, il y a un culte des ancêtres. Aujourd’hui, c’est plutôt une famille basique (parents et enfants) sous le même toit comme en occident donc il y a un problème d’éducation (personne pour s’occuper des enfants) et problème de retraite (personne pour prendre soin des vieux).
- L’organisation familiale est définit par des règles impériaux. Dans les années 20, le VN se sépare de la tradition et devient moderne (fin des concours mandarinaux, les femmes ont le choix de se marier avec qui elles voulaient, elles disent non aux parents), c’est l’émancipation des femmes en occident qui déclenche ce phénomène, ceci provoque des suicides de vietnamiennes.
- Le fils doit le respect envers les parents et pourvoir à leur entretien, le manque de piété filiale entraine une punition par la loi à l’époque. A présent, nous pouvons avoir des procès aux enfants qui n’assurent pas la piété filiale.
- La mère : elle avait des droits, le code Gia Long lui reconnaît quelques domaines (elle peut être vendeuse…).

La 1re épouse est appelé « vợ cả » et à un certain âge, va commencer à choisir une 2e épouse pour son mari, c’est donc la polygamie qui est lié au culte des ancêtres, plus l’homme a de femmes plus il aura d’enfants qui conduiront le culte des ancêtres car la femme ne peut pas le faire.

Elle choisit donc une autre épouse qui deviendra en même temps une servante pour celle-ci. Les enfants de la 2e épouse interpellent la 1re épouse par « mère ». Exemple de polygamie à travers la famille impériale avec l’empereur Minh Mạng qui avait 147 enfants

- La femme (suite)

Donc libération de la femme viet (multiplication des divorces demandés par les femmes), l’activité économique prime sur l’éducation, c’est pourquoi des établissements privés sont construits. Elle peut désormais se plaindre contre son mari.
II) La famille viet (gia đình)

1) Le divorce

Dans le Vietnam traditionnel, les divorces sont tempérés par la loi. Les causes de divorces sont :

>< Stérilité

>< Refus de servir la belle-famille

>< Le bavardage

>< Le vol

>< La médisance

>< La jalousie (instinct de propriété) : quand un homme trompe sa femme, ce n’est par le mari qui est puni mais la rivale, qui, dans ces cas, va se retrouver défiguré)

>< Maladie incurable

>< Adultère : la punition est qu’on attache les amants nus sur un radeau qu’on lâche dans un cours d’eau. Personne n’a le droit de les aider, donc, ils meurent).
Mais, un homme ne peut pas divorcer de sa femme quand elle perd ses parents et quand le couple s’est connu pauvre et qu’il s’est enrichit.
2) Les temps forts

a) le mariage (dicté par le code Gia Long)

C’est plutôt le mariage entre 2 familles et non entre 2 individus. La fonction du mariage est de perpétuer le nom du clan et continuer le culte des ancêtres. Il est donc précoce et prolifique.

Le mariage se passe par une entremetteuse et se déroule autrefois en 6 étapes, mais aujourd’hui c’est en 3 étapes.

>< Le đi nói (les accordailles) : l’entremetteuse cherche le statut social de la famille et concilier les intérêts de chaque famille (échange des noms, dates de naissances, vérifier si les signes sont compatibles)

>< Le đi hỏi (les fiançailles) : c’est l’étape la plus importante, plus que le mariage en lui-même, c’est la présentation des 2 familles, offre de la noix d’arec et des feuilles de bétel. Les fiançailles sont rarement rompus pour ne pas perdre la face. Mais si c’était le cas, on accuse toujours l’entremetteuse. Le marié salue l’autel des ancêtres et offre les cadeaux en fonction de son milieu social.

>< Le đi cưới (le mariage) : dure entre 3 et 5 jours selon la richesse de la famille. Beaucoup de photo prises rapidement car tout est dans le paraître. La date du mariage dépend du signe du couple. On va chez la mariée puis devant l’autel, rite de la coupe et du fil rouge avec le fil de soie. Puis cortège pour aller chez le marié. Quand la mariée franchit le seuil, la belle-mère est absente car c’est un signe de menace. La mariée est présentée devant l’autel des ancêtres.

Le mariage s’achève par un banquet.
On ne peut pas se marier ni se fiancer au moment du deuil d’un parent proche (3 ans)
b) la naissance

- Pendant la grossesse, il y a des interdits :

>< Alimentaires : pas de lapins (peur que l’enfant ait un bec de lièvre), pas de fruits jumeaux (pour éviter d’en avoir).

>< Sociaux : pour ne pas perdre le bébé, il ne faut pas attirer les mauvais génies, pas de spectacles de sang, éviter toute querelle pour ne pas rompre l’harmonie familiale.
- L’accouchement : en ville, se passe dans les maternités alors qu’à la campagne c’est grâce à une sage femme (bà mụ) dans une pièce totalement fermée pour éviter les esprits. Quand l’enfant nait, on prend le placenta pour l’enterrer dans un coin du jardin (c’est l’attachement du viet à sa terre). Mais, ca provoque parfois beaucoup de mort infantile due au tétanos ombilical.

Devant la paillote, il y a un mas en bambou avec une flèche, quand elle est dirigée vers la maison, c’est un garçon alors que si c’est de l’autre sens, c’est une fille. De plus, quand il y a le mas, c’est aussi pour éloigner les hommes car in dit que le sang de l’accouché porte malheur.

Pour chasser les mauvais esprits, on va enlaidir le bébé, on lui met de la boue sur le visage ou lui faire porter des amulettes. Il ne faut surtout pas dire que le bébé est beau et lui donner le chiffre 2 et des surnoms ridicules puis le « vendre » au Bouddha jusqu’à ses 12 ans et après on le reprend et on l’appelle par son vrai prénom.

Quand on ne pouvait pas avoir d’enfant, adoption possible.
c) la mort

- L’être humain se décompose en âme (hồn) qui est indestructible et est aussi composé de fluides vitaux (vía => 7 pour les hommes et 9 pour les femmes car cela correspond aux orifices). Ces fluides peuvent être malfaisants mais aussi bienfaisants. Donc, à la mort, le hồn sort du corps et plane au dessus de la maison et assure la protection de la famille.
- Dans les instants qi suivent la mort, la famille tente de le faire revivre :

>< La famille se met à pleurer bien fort pour attendrir le hồn du mort pour qu’il revienne.

>< On monte sur le toit et on appelle le mort

>< On dépose le corps du défunt par terre.
- Le rituel mortuaire :

>< Les membres de la famille prépare une étoffe de toile en soie pour recueillir le dernier souffle du défunt, ce tissu sera brulé à la fin.

>< On glisse dans la bouche un peu de riz et d’argent (pour le passeur)

>< Le corps est lavé, habillé et placé dans le cercueil à un jour et une heure faste qui ne doivent pas correspondre avec l’heure et le jour de la naissance d’un membre de la famille.

>< On met sur le cercueil du riz, des baguettes d’encens et un bol d’eau qui sert de repère. En effet, les crocs morts doivent respecter le défunt, donc ils doivent absolument porter le cercueil de façon horizontale. Si une goutte d’eau se retrouve sur le cercueil, on ne paye pas.
- Donc, tout est réglementé : le temps de deuil, rituel funéraire, tombe (taille, disposition…)

La période de deuil au maximum est de 3 ans avec un arrêt de fonction administratifs immédiats si c’est le cas (comme Tôn Thất Thuyết). La durée ka plus courte de deuil est de 3 mois (il s’agit des aïeuls de la 3e génération).
+ Le convoi funèbre +

- Au début, il y a des panneaux om sont inscrits le nom du défunt ou son état civile et son statut social. Selon les régions, derrière les panneaux, on peut avoir des orchestres qui peuvent aussi apparaître derrière la famille. Ensuite suit le char funéraire sur lequel il y a le cercueil richement décoré puis c’est la famille (pas de vêtements avec des ourlets, il faut avoir les cheveux au vent, être vêtus de blanc…). Selon la richesse des familles, on peut également avoir des pleureuses qui doivent hurler pour bien montrer la tristesse. Le cortège se finit par le festin.
- Quand le cortège arrive au cimetière, c’est la mise en terre et selon la religion, on fait appel aux géomanciers (thầy địa lý) qui va bien orienter la tombe pour que le corps puisse durer le plus longtemps possible, mais, quand le défunt est mal enterré, il peut venir « hanter » la famille et porter atteinte à la filiation.
- On peut enterrer dans son jardin…mais c’est difficile en ville, les tombes catholiques sont perpendiculaires et aujourd’hui, ils sont alignés, ce qui fait qu’on déplace et on change les tombes.
- Il y a aussi le problème d’incinération, beaucoup le font et on peut ramener les urnes, ceux des bouddhistes sont confiées à la pagode. Les cendres des missionnaires sont aux séminaires et ceux des moines sont dans les temples dans des stupas.
- Le lettré vient et sur la tablette funéraire, il va mettre le dernier caractère chinois de son nom qui va entre ramené dans le pays des ancêtres et va servir de culte. Aujourd’hui, on utilise plus la tablette mais des photos. On ferme la fosse et le cortège revient à la maison où un festin a lieu puis on brule l’étoffe en soie qui a recueilli le dernier souffle du mort.
- Pendant la période de deuil (3 ans pour les parents), on peut prendre des congés mais surtout pas de mariage ni de fiançailles.

+ Les types de tombes +

Selon le code social et la richesse du défunt.

>< Mồ ou Mả : c’est un tumulus qui peut être rond ou rectangulaire que l’on trouve dans les jardins des particuliers, rizières ou terres communales. Pour les riches, ils peuvent avoir une tombe maçonnée ou en marbre. Cette tombe est parfois entourée de grilles et devant il y a une stèle avec le nom du défunt et son statut social. Ceci est une tombe de basse condition.

f


>< Phần : tombes des grands personnages (mandarins, princes…), il est plus grand et est composé d’une esplanade ou d’une cour de salutation et d’une stèle.

>< Tháp : stupa, c’est la tombe des bonzes, c’est une tour à étage où le nombre d’étage correspond au grade du bonze. C’est surmonté d’un lotus. On en trouve dans les jardins de la pagode comme dans la pagode de Trấn Quốc à Hanoi.
>< Lăng : c’est la tombe impériale, ceux qui sont les plus conservés sont ceux de la dynastie des Nguyễn à Huế. Les autres dynasties comme celle des Trần ont leurs tombeaux dans leur province d’origine…

La plupart des souverains ont assisté à la constitution de leur tombeau sauf Nguyễn Minh Mạng, c’est donc une rupture car les Nguyễn ont repris le model chinois. Le 1er à concevoir sa tombe c’est Gia Long.
+ Principe de construction des tombes +

- Toujours entourés de murs avec ses 3 portes pour accéder aux tombes impériales :

>< La porte centrale est pour l’empereur qui est fermé définitivement quand il y entre, puis devant il y a un grand écran. Le tombeau occupe prés d’une dizaine d’hectare.

>< Il y a 2 portes des 2 cotés qui renferment les mandarins civiles et militaires.
- Cour des salutations avec des statues de mandarins civiles et militaires ainsi que des animaux (éléphants car c’est e symbole des Nguyễn). Les statues sont de petite taille car elles ne doivent pas dépasser l’empereur qui est assez petit.

kk


- Pavillon de la stèle Ө : celui qui écrit le texte de la stèle c’est le fils de l’empereur défunt. Il doit vanter son père et rapporter les événements importants, sauf pour l’empereur Tự Đức car il n’avait pas de fils. Sur la sienne, il fait une sorte de mea culpa pour ce fait.
- Temple de l’âme X : culte de l’empereur où on a trouvé ses objets personnels.
- Tombeau de l’empereur  : c’est clôturé et c’est plutôt un cénotaphe (= tombeau vide) pour lutter contre les ennemis, les pilleurs.
- Lac ------
- Ecran de protection ------


- Minh Mạng a sa tombe dans l’alignement mais celle de Tự Đức est hors de la ligne, les monuments sont dispersées chez Gia Long. Les tombeaux sont construits du vivant de l’empereur sauf Minh Mạng.
- Les tombeaux des Nguyễn sont au sud de la citadelle mais celle de Khái Định est plus en bas. La sienne est moderne et est sous une grande statue en bronze.
- La tombe de Minh Mạng est rectiligne avec un lac, c’est le symbole de la lune et le soleil c’est la nécropole. Autour, il y a des bâtiments annexes des habitations des femmes du harem car elles doivent continuer le culte des empereurs.




+ L’alimentation +

- La gastronomie viet n’est pas la même chose que la cuisine chinoise. En effet, la cuisine chinoise, en France, c’est de la sous cuisine, elle est grasse et a la même base (poivrons, chou-fleur, haricots, sauces, glutamate…) tandis que la gastronomie viet en France ressemble beaucoup à celle du Vietnam. Elle est basée de condiments comme le nước mắm (poisson séché dans des grandes cuves mariné avec du sel). Le nước mắm de Phú Quốc et de Phan Thiết sont les meilleurs. Au nord, on consomme moins du nước mắm mais surtout plus du nước tương (sauce de soja) sur à l’influence chinoise.
- Caractéristique de cette gastronomie : c’est une cuisine légère et fine, préparée avec minutie et c’est variée (plus de 3000 recettes), utilisation d’herbes, mariage de saveurs (acide comme dans la banane verte ou le carambole, salé, sucré ou doux, l’amer, l’âcre).
- L’alimentation de base est le riz (plus de 1000 variétés). Le riz a 3 étapes

>< Riz sur pied = lúa

>< Riz = gạo (quand il est cuit, il devient cơm)

>< Brisure de riz = tấm (qu’on peut manger au petit déjeuner)

Il y a aussi le riz gluant (nếp) qui est utilisé pour les pâtisseries et devient du xôi quand c’est cuit.
- Le matin : le vietnamien commence par le cơm tấm, ou selon les régions, par le phở (soupe du nord assez copieuse) et au centre, on mange du bún bò huế (soupe avec des nouilles rondes et est assez piquant) puis au sud, c’est le hủ tiếu (nouille blanche plate) ou du mỳ.

On donc 3 types de soupes, le petit déjeuner est donc simple et on boit du café au lait glacé, thé…
- Le déjeuner : Comme les viets se lèvent tôt, le déjeuner l’est aussi (vers 11h-11h30). Il y a le riz ainsi que plusieurs plats composés de légumes servis cuits ou crus. Quand les légumes sont sautés, c’est pour accompagner la viande, le poisson et les fruits peuvent être utilisés comme légume (papaye coupée en filaments, banane verte, mangue…)

>< Les plats sont cuisinés avec des fruits de mer, des produits de rivière. La viande reste un produit de luxe, il y a surtout du porc et de la volaille et peu de bœufs. Le chien reste un met de luxe et est réservé qu’aux hommes.

>< Le bouillon (canh) : c’est une habitude chez le viet d’humidifier le riz donc on a une association du solide et de liquide, les viets boivent après le repas.

>< Les condiments : nước mắm, les herbes aromatiques (réservées pour chaque plat précis)

>< Les desserts : pas beaucoup de desserts mais surtout des entremets comme le chè (c’est sucré à base de mais), nougat viet, gingembre confit…

>< Boissons : bière, bière sous pression, vin, sodas, eau…
- Le diner : C’est très tôt (entre 17h30, 18h) et après on sort. On mange du :

>< Bánh cuốn (raviolis plats qui sont farcis). On peut aussi en manger au petit déjeuner.

>< Bánh xèo : grande galette qui est rabattu en demi lune, c’est jaune

>< Bò Bún : nouille blanche froide avec des légumes, viande grillé, cacahuète

>< Chả cá : spécialité de Hanoi, avec du poisson (silure), c’est frit et préparé avec du safran, herbes, vermicelles de riz froid.

>< Chả Giò : pâtés impériales et c’est frit

>< Gỏi cuốn : rouleau de printemps et bì cuốn

>< Chạo tôm : bâtonnet de canne à sucre et autour il y a la chair de crevettes pilées, c’est grillé

>< Nem nướn au sud : boulette de viande grillée

+ A table +

- Quand on sert quelqu’un : quand c’est quelqu’un d’intime, on utilise le bout des baguettes et si ce n’est pas le cas, on retourne les baguettes.

- Quand on tend un plat, éviter de diriger les ustensiles (baguettes…) vers la personne mais quand on repose le plat sur la table. Ne pas planter les baguettes dans le riz.

- Quand l’hôte offre quelque chose à son invité, ce dernier refuse systématiquement, donc l’hôte doit insister etc.

- Dépendant du milieu où l’on vit, à la campagne, on ne doit rien laisser dans le bol alors que dans les familles aisées, il faut laisser un peu de riz dans le bol.

- Ne pas croiser les jambes et prendre/donner les choses à deux mains.

+ Les fruits +

Ils sont consommés crus, sautés ou séchés (comme les bananes) :

- Banane (chuối) : grandes ou petites, on en trouve dans les rues, en offrandes (juste les petites).

- Orange (cam) : elles sont vertes.

- Mandarine (quít)

- Litchi/Letchi (vải)

- Longane (nhản)

- Pomme Cannelle (na)

- Pamplemousse (bưởi)

- Mangoustan (măng cụt)

- Mangue (xoài)

- Papaye (đu đủ)

- Kaki (hồng)

- Goyave (ổi)

- Fruits du Jaquier (mít)

- Durian/Durion (sầu riêng)

- Ramboutan (chôm chôm)

- Corosile (mẵng cầu xiêm)

- Pomme de lait/Caimitier (vú sửa)

- Tamarin (me)

- Canne à sucre (mía)

- Fruit du Dragon (thanh long)


+ Fonctions de l’alimentation +

a) Fonctions biologiques

- Les viets mangent souvent car il y a, en réalité, une insuffisance des valeurs énergétiques. En moyenne, le viet mange 40g de viande par jour.

- Selon l’éducation, il faut être frugale, donc manger peu mais souvent, c’est une étiquette : il faut maitriser les sens.

- La cuisine est très raffinée donc on cuisine à petite dose.
b) Fonctions sociologiques

- Il y a une utilisation culturelle du mot « manger » soit « ăn » comme dans :

Ăn cơm (= manger)

Tết (= fêter le nouvel an chinois)

ảnh (= être photogénique)

trộm (= voler)
+ Fêtes de la république du VN +

- 20 juillet (1954) : pour le sud, c’est la journée de la honte due aux accords de Genève, qui divise le pays en 2 états, des élections devaient avoir lieu pour réunir le VN mais elles n’ont jamais eu lieu.

- 20e jour du 8e mois lunaire : victoire à Bạch Đăng

- 22e jour du 8e mois lunaire (1427) : victoire de Lê Lợi sur les chinois, c’est la fin de la 2nde occupation chinoise et fondation de la dynastie des Lê, la plus longue.

- 1er novembre (1963) : chute de la 1ere république du VN


+ Fêtes de la République socialiste du VN +

- 30 janvier : victoire de la bataille de Long Đạo

- 3 février (1930) : fondation du PC viet

- 30 avril (1975) : fin de la république

- 1er mai : journée internationale du travail

- 07 mai (1954) : victoire de Điện Biên Phủ

- 19 mai (1890) : anniversaire de Hồ Chí Minh

- 2 septembre (1945) : proclamation de la république démocratique du VN

- 19 décembre (1946) : début de la guerre d’Indochine

+ Fêtes + (suite)

a) Tết cả ou Tết nguyên đán

- fête la plus importante de l’année qui associe el vivants et les morts, c’est une fête familiale et religieuse.

- dure entre 3 et 7 jours, c’est l’occasion pour réunir la famille pour faire un bilan.

- devant les maisons, on plante un mat où on accroche des amulettes, papiers votifs pour éloigner les mauvais esprits et c’est un repère pour les âmes.

- c’est aussi l’occasion pour bien s’habiller car s’habiller c’est respecter l’autre.

- plats particuliers : bánh chưng, débauche de plats et de couleurs

- fleurs : au Nord, ce sont les hoa đào et au sud ce sont les hoa mai

- tirage de l’horoscope et etrennes

- pas de travaux domestiques pendant ces 3 jours

- le Tết cùng c’est le Tết repoussé pour éviter les pirates

- danse : celle de la licorne

- c’est donc une fête de 3 jours : >< 1er jour : on reste en famille

>< 2e jour : visite aux maitres

>< 3e jour : visite aux amis
b) Tết trung thu (fête des enfants)

- au 8e mois lunaire, à la pleine lune d’automne

- les enfants confectionnent des lanternes en forme d’animaux et ils mangent des gâteaux en forme de croissant de lune.
c) Tết Thanh Minh (fête de la pure clarté)

- au 3e mois lunaire, les familles se rendent sur les tombes et on pique nique sur place
d) Tết Trạng Nguyên (fête du 1er lauréat, 1er docteur)

- au 15e jour du 1er mois lunaire, c’est une fête confucéenne transformé en fête bouddhique.

- c’est la fête des lettrés donc on mange la soupe de haricot car haricot ca se dit đậu et đậu signifie réussite.
e) Tết Trung Nguyên (fête des âmes errantes)

- au 7e mois lunaire

- c’est donc la fête des âmes errantes qui ont eu une mort violente ou ceux qui n’ont pas de sépulture

+ Le calendrier +

- héritage du calendrier chinois, chaque cycle fait 60 ans. C’est la combinaison entre le tronc céleste (10) et le tronc terrestre (12).

- le tronc céleste représente : >< L’eau naturelle ou salée/l’eau usagée

>< Feu allumé/feu latent

>< Bois allumé/bois coupé

>< Métal brute/métal travaillé

>< Terre en friche/terre cultivée

- le tronc terrestre représente : >< Rat (tý) : econome

>< Buffle (sửu) : travailleur

>< Tigre (dẫn) : force

>< Chat (mạo): calme

>< Dragon (thìn): puissance

>< Serpent (tỵ) : prudence

>< Cheval (ngọ) : rapidité

>< Chèvre (mùi) : amour

>< Singe (thân) : malin

>< Coq (dậu) : agressivité

>< Chien (tuất) : fidelité

>< Cochon (hợi) : abondance
flechefleche


Tý *

Sửu °

Dẫn

Mạohjhk

Hợi

1) Giáp 6) Kỷ °hjhkhjhk

2) Át 7) Canh

3) Binh 8) Tán

4) Đình 9) Nhâm

5) Mậu * 10) Qúy

Thìn

Tuất

Tỵ

Dậu

Thân

Mùi

Ngọ

copie de hjhkcopie de hjhk
2008* : mậu tý 2009 ° : kỷ sửu 2010 : canh dẫn
- L’année viet a 12 lunaisons, donc il y a un retard par rapport au calendrie

+ Religions +

- Bouddhisme : 80% de la population (voire 100%)

- Catholicisme : 8 à 10% de la population, ils sont à Nam Định et à Ninh Bình + cathédrale Phát Diệm construite fin 19e siècle par le Père Six ou Lục

- Protestantisme : arrivé au début du 20e siècle, les minorités protestantes sont dans la région des hauts plateaux (Tây Nguyên)

- Caodaïsme : Tây Minh et Hòa Hải, c’est une sorte de Bouddhisme remanié par les sudistes

- Islam : à Bình Thuận, ce sont plutôt les Chàm qui le pratiquent.
- Tolérance des religions : les catholiques peuvent tout de même pratiquer le culte des ancêtres car les missionnaires français ont accepté un double culte et ils sont moins regardant sur certains éléments comme la polygamie.

+ Le Bouddhisme au Vietnam +

- Arrivé au 2e siècle avant J-C

- arrivé par la Chine par voie terrestre soit pas la Birmanie, Yunnan, Vallée du fleuve rouge ou par la route maritime via la mer du sud grâce aux commerçants indiens.

(Au nord, c’est le grand véhicule et plus on va vers le sud, c’est le petit véhicule comme au Cambodge)
- Apogée du Bouddhisme sous la dynastie des Lý et Trần : se traduit par les postes importants des bonzes à la cour (confident de l’empereur, diplomate…), construction de pagodes comme Chùa Một Cột (temple à un pilier qui est le symbole de Hanoi et est en forme de fleur de lotus). A la fin de leur règne, les empereurs se retiraient dans les temples, en effet, de son vivant, l’empereur intronisait son successeur et se retire pour méditer
- A partir du 14e siècle, le confucianisme chasse le Bouddhisme qui perd son caractère politique. Mais, en 1920, retour du Bouddhisme puis en 1960, cette doctrine devient une force politique (surtout à Huế et à Đà Năng) comme on peut le voir via la chute du président Ngô Đình Diệm et les pagodes sont en forme de T inversé.
- Le Bouddhisme du grand véhicule (Mahayana) : Bodhidharma tente de sauver le monde, certains sont végétariens et d’autres végétaliens. Il y a 5 interdits :

>< Ne pas tuer

>< Ne pas voler

>< Pas d’adultère

>< Ne pas boire

>< Ne pas mentir
- C’est une discipline sévère avec de la méditation et 3 principes :

>< 1er principe : la vie est douleur

>< 2e principe : la douleur vient du désir

>< 3e principe : atteindre le Nirvana en plusieurs phases, pour cela il faut supprimer tous les désirs et les passions, avoir une sorte de sérénité.
+ Le confucianisme +

- Nho Giáo ou khỏng Giáo

- Importé de Chine, c’est un code moral social et familial. Jusqu‘au 19e siècle, c’est la constitution de l’armature idéologique et politique du VN + ossature culturelle.

- armature idéologique : monarchie absolue (en tête il y a l’empereur et son mandat céleste). Ce confucianisme c’est la constitution d’un état proche de la famille où l’empereur est le père du peuple donc c’est une notion de famille.

- idéal confucéen : honnête homme qui pratique les 5 vertus : >< Humanité

>< Vertu d’étiquette

>< Sagesse

>< Honnêteté

>< Frugalité

Et les 5 fidélités : >< souverain/sujet

>< père/fils

>< Frère ainé/frère cadet

>< mari/femme

>< ami/ami

- sclérose des institutions et modernisation du pays.

- Le confucianisme est battu par le bouddhisme entre le 10e et 15e siècle puis revient jusqu’à l’arrivée des français, la dynastie viet renforce le pouvoir grâce à la création du temple de la littérature en 1070, des concours de recrutements des mandarins en 1075, de la hiérarchie mandarinale en 1089.

- Quand les français arrivent, ils arrêtent le confucianisme, c’est un paradoxe car :

>< La France arrive au VN avec la devise « liberté, égalité, fraternité » sans l’appliquer

>< Attributions de l’empereur sont donnés aux français, donc il n’a plus de pouvoirs.
- 1940-1945 : le confucianisme sert à développer la révolution nationale : travail, famille, patrie + développement du confucianisme pour éviter que les viets se retournent vers le Japon
- après 1945 : sous les Ngô, il n’y a pas de reformes, c’est une rigueur au niveau des activités civiles (interdiction de divorcer…), le confucianisme devient un mode de vie et reste dans un cadre familial après 1963.
- Le communisme viet est fortement imprégné du confucianisme :

>< Par sa simplicité (la maison de Ho Chi Minh)

>< Une image de lettré

>< Pas de mariage, cela signifie que Ho Chi Minh se consacre entièrement au pays

>< Désintéressement moral, pas de culte de la personnalité.
- Le confucianisme débouche sur le culte des ancêtres (mémoire des défunts sur 4 générations) par :

>< La visite des tombes (Tết Thanh Minh)

>< Culte des tablettes funéraires sur l’autel des ancêtres.

+ Hòa Hảo +

- Crée en 1937 dans la province de Chau Đóc par Huỳnh Phú Sổ

- Cette secte a de plus en plus de fideles

- influence idéologique inquiète l’autorité coloniale

- après 1940, ils vont se mettre avec le Việt Minh

- après 1947, les Việt Minh tuent le fondateur de cette secte donc cette secte se rallie avec les français et à Bảo Đại

- les Hòa Hảo, jusqu’en 1945, font partis de l’armée viet, il y a jaunissement (création d’une armée nationale viet avec les caodaïsmes en plus) et création de grade générale à une étoile pour les chefs militaires des sectes.

- 1955 : quand le président Ngô Đình Diệm prend le pouvoir, il porte un coup aux Hòa Hảo et donc ils vont être liquidés.
- doctrine : ils doivent garder 4 devoirs :

>< Piété filiale

>< Patriotisme

>< Bienveillance envers autrui

>< Respect des préceptes du bouddhisme

- ils combattent les 10 péchés engendrés par le corps, l’esprit et la parole

- culte : proche du bouddhisme avec des prières communes, méditation, jeûne, temple

+ L’habillement +

- A l’origine, les viets étaient peu vêtus, les hommes avaient des langoutis.

- 1ere et 2nde occupation chinoise : instauration des vêtements avec des pantalons au lieu des jupes pour les femmes.

Au VN, l’habit fait le moine, on s’habille pour le plaisir et pour le respect de l’autre. L’habillement fait partie d’une communauté nationale.

- Il y a tout de même des réglementations dans le vêtement comme la couleur (le jaune est interdit car c’est la couleur de l’empereur, seule l’impératrice Nam Phương a pu en porter), la forme, uni formalisation qui vont même jusqu’au code Gia Long.

- Les gens du peuple avaient des vêtements en cotons, c’étaient des jupes, pantalons, tuniques.

- Les vêtements d’enfants avaient un trou pour que ce soit pratique.
- Le costume du mandarin : en soie, en brocard, sur le costume d’apparat il y a un signe distinctif pour reconnaître le statut social :

>< Le mandarin civil de 1re classe : la grue

>< Le mandarin civil de 2e classe : le faisan

>< Le mandarin militaire de 1re classe : la licorne

>< Le mandarin militaire de 2e classe : le lion

>< Le mandarin militaire/civil de 9e classe : ils n’ont rien


+ L’habillement + (suite)

- le Ao Dai : pas si traditionnel que ça car il date des années 30. Ce n’est que dans la revue de Phong Hoa où un journaliste, Lemur, a soumis la création de ce vêtement. Il faut attendre 1959 pour avoir un ao dai évasé sans col fermé.

- fonction sociologique : porter le ao dai c’est faire partie d’une communauté et faire partie du patrimoine national. Au niveau de la parure, il y a le laquage des dents qui est à la fois un signe de beauté et aussi une protection hygiénique. C’est un rite de passage de l’enfant à la femme à marier. Il y a une prise de conscience en soi, c’est un code vestimentaire, pour le Vietnam traditionnel, quand on est intellectuel, il faut se laisser les ongles pousser.

+ La médecine traditionnelle +

- Sino-viet : médecine rétrograde (à l’image de la Chine et qui n’a pas changé), quand on est malade, c’est un déséquilibre interne donc il faut attendre. Au VN, il y a deux types de médecines :

>< Celle du nord (75%) : c’est la médecine noble, celle de la Chine, les médecins sont bien formés.

>< Celle du sud (25%) : celle du Vietnam, c’est une médecine populaire avec des médecins ambulants voire charlatans.
- A la cour, il y a avait un institut de médecine, les docteurs auscultaient les princesses avec un fil de soie à travers un paravent. Avant d’exercer, les docteurs jurent sur le serment d’Hippocrate, c'est-à-dire soigner tout le monde alors qu’au Vietnam ce n’est pas le cas, donc ceci provoque des division du travail au sein de ce domaine. Par ex. les maladies nerveuses sont envoyées chez des sorciers. La médecine viet a une confusion entre tache de médecin et pharmacien (on peut être les 2 à la fois).
- Conception de la maladie : déséquilibre interne avec 3 causes de maladie :

>< Agents externes : vent, chaleur, brouillard (sui pouvait amener la tuberculose), eau

>< Agents internes : hérédité (maladie du sang…)

>< Agents surnaturels : présence d’un esprit malfaisant qui entraîne la maladies nerveuse et prend possession de l’individu.
- Pratique du traitement se fait en 5 étapes :

>< Regarder : c'est-à-dire examiner l’apparence, le teint du malade, l’œil

>< Faire parler : écouter le timbre de la voix

>< Interroger : sur la famille pour voir les antécédents donc le patrimoine génétique.

>< Toucher : prise du pouls

>< Traitement : empirique
- Les médicaments sous forme de : pilule, pommade, onguent, potion

- Origines des médicaments : végétale (donc constitution d’un herbier), minérale, animale



similaire:

Littérature => religions Chapitre 1 : La famille I le nom iconChapitre 1 La notion de famille à travers les siècles Section 1 :...
«la famille sera toujours à la base des sociétés» et Will Durant2 que «la famille est le noyau de la civilisation»

Littérature => religions Chapitre 1 : La famille I le nom iconNom : bikulongabo nom de famille

Littérature => religions Chapitre 1 : La famille I le nom iconC5 : Identifier la diversité des civilisations, des sociétés, des religions
«éducation à la discrimination» ? Pensent-ils que la famille, l’école, la société véhiculent la discrimination et le sexisme, ou...

Littérature => religions Chapitre 1 : La famille I le nom iconProgramme de formation partie : «histoire des religions» : J. Ph. Kaefer
«interconvictionnel». Ce cours visera, dès lors, à favoriser auprès des étudiants «l’hospitalité des convictions» (P. Ricoeur). L’enjeu...

Littérature => religions Chapitre 1 : La famille I le nom iconChapitre 7 • La personne physique et la personne morale
«dénomination sociale» pour une société et de «titre» pour une association. Contrairement aux personnes physiques, le nom est librement...

Littérature => religions Chapitre 1 : La famille I le nom icon«Loi du rétrécissement continu de la famille»(Durkheim) et pluralité des types de famille
«Loi du rétrécissement continu de la famille»(Durkheim) et pluralité des types de famille : passage du clan totémique (relation mystique...

Littérature => religions Chapitre 1 : La famille I le nom iconIl touche 600 millions d'êtres humains et se rattache à l'ensemble...
«universelle») ajoute comme base à sa croyance l’ensemble des écrits des «pères de l'Eglise» (Tertullien, Irénée, Augustin…) sous...

Littérature => religions Chapitre 1 : La famille I le nom iconQui sont résumées et commentées (surtout ‘’Vingt mille lieues sous...
«À voir passer tant de navires le besoin de naviguer me dévorait.» (‘’Souvenirs d’enfance et de jeunesse’’)

Littérature => religions Chapitre 1 : La famille I le nom iconDéclaration de doctrine de la Famille Internationale
«la théologie de l’Époux». En janvier et février 1996, cette théologie fut adoptée par la Famille International [la Famille] et développée...

Littérature => religions Chapitre 1 : La famille I le nom iconIndiquer : les nom, nom de jeune fille pour les femmes mariées, prénoms,...








Tous droits réservés. Copyright © 2016
contacts
l.21-bal.com