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Giovanni Riccioli ![]() Le nom et l’œuvre de cet astronome qui réfuta le copernicisme fut littéralement enterré par le triomphe de ce dernier système. Même si elle fut virtuellement réduite au silence dans l’histoire des révisionnistes, la voix de Riccioli, et la voix de bien d’autres au fil des siècles jusqu’à aujourd’hui, nous est fort instructive en cette présente génération. Plus de cent ans après qu’ait été lancé le livre de Copernic, la balance pesait encore pesamment en faveur de la Terre immobile, au regard des astronomes les plus estimés (voir l’Illustration II). L’astronome jésuite Riccioli (1598-1671) représentait: «.. .la marque de marée haute de l’opposition (...) sur cette grande controverse de l’époque.»[7] Riccioli, comme de fait, fut reconnu pour deux choses. L’une d’elles était son étude télescopique détaillée de la lune. Selon certaines observations de Grimaldi: «.il construisit une carte topographique de la lune (1651-) supérieure à celle antérieure d’Hevelios.»[8] ![]() Illustration II Les Systèmes du Monde en 1651 Selon le Père Riccioli (Fac-similé réduit de la page frontispice de Almagestum Novum de Raccioli, Bologne 1651.) L’autre fait notable concernant Riccioli est que, plus d’un siècle après Copernic, il «.devint un des plus ardents opposants du système de Copernic.»[9] Ses deux volumes soutenant le modèle d’une Terre immobile s’intitulaient Almegestum Novum et furent publiés en 1651. Riccioli fit également la liste des gens compétents pouvant aborder le sujet du copernicisme à son époque. Sa liste contenait seize noms favorisant le modèle de la Terre qui se meut et trente-huit noms en faveur du modèle de la Terre fixe. Il énuméra aussi «.quarante nouveaux arguments pour Copernic et soixante-dix-sept contre lui.»[10] Riccioli n’était pas seul à s’objecter contre le copernicisme, au 18e siècle. Sir Frances Bacon (certainement un des intellectuels les plus considérés dans la période précédant Kepler-Galilée) fustigea le copernicisme dans une demi-douzaine de bouquins. Dans l’un d’eux, il a dit: «.Le schéma de Copernic est inopportun; il surcharge la Terre d’un mouvement triple (.) [Les affirmations de Copernic] sont les spéculations de quelqu’un qui ne se soucie guère des fictions qu’il introduit dans la nature, pourvu que ses calculs y répondent.»[11] Les professeurs Feyens et Froidmont, de l’Université de Louvain, s’opposaient activement au copernicisme durant cette même période. Parlant du livre de Froidmont, publié en 1633, Stimson, écrivant en 1917, dit: «Il nia aussi, et avec raison, l’existence à l’époque de toute preuve concluante [du copernicisme].»[12] En vérité, qu’il soit bien clair dans l’esprit du lecteur tout au long de ces pages qu’il n’y a jamais eu, et qu’il n’y a pas maintenant, une seule preuve dans le monde entier qui prouve de manière concluante que la Terre bouge. Au contraire, il y a une masse de preuves, parfaitement observables, démontrables et qui se répètent, qui montrent que la Terre ne bouge pas ! Le fardeau de la preuve repose sur les épaules des coperniciens et, même si le monde croit que de telles preuves existent depuis des siècles et que la question est close, le fait incontournable, c’est qu’il n’y eut pas de preuves du copernicisme au 16e siècle, ni au 17e siècle, ni au 18e siècle, ni au 19e siècle, ni au 20e siècle, et il n’y en a pas au 21e siècle — il n’y aura jamais de preuve parce que la Terre ne bouge pas ! Regardons encore quelques exemples, pendant que nous sommes au 17e siècle. Le professeur Gerogius Agricola réfuta le copernicisme à l’Université de Württemberg en 1665. [13] En 1667, l’astronome royal suédois, Johann Henrich Voight «.préféra le système tychonique [une Terre qui ne bouge pas].»[14] Un astronome jésuite (paradoxe?), le «père» Tacquet, dénonça le copernicisme dans son livre publié en 1669. [15] Riccioli lui-même arriva avec une autre publication, en 1669, qui était «une apologie en faveur d’un argument à partir des mathématiques physiques contre le système copernicien». Du côté copernicien, comme nous allons le voir, «.l’apparition du Pincipe de Newton, en 1687 (...) mit fin à l’hésitation de la plupart des gens.»[17] La plupart, mais pas tous ! Cela tend à démontrer un principe. Dans bien des cas, les gens ne croient pas à quelque chose parce que cela leur est démontré comme vrai, mais ils y croient parce qu’ils VEULENT que cela soit vrai ! Cela fait leur affaire ! Croire à la vérité implique trop d’effort et de changements, pensent-ils. Le phénomène était vrai hier et il est tout aussi vrai aujourd’hui. Le copernicisme leur semblait donc beaucoup plus opportun que de croire que la Bible, avec tout ce que cela implique, constitue la vérité de Dieu. Quoique l’idée contre-scientifique de Newton de rendre universelle l’application de la soi-disant loi de la gravité se répandit à l’Université d’Oxford, en Angleterre, à l’Université de Yale et à l’Université de Pennsylvanie, dans les colonies au début du 18e siècle, Newton ne prouva jamais que la Terre tourne. Pas du tout ! Nous verrons ce qu’il a fait dans la portion qui lui est consacrée. Néanmoins, beaucoup de gens, particulièrement dans les universités, se sont affaissées devant l’offensive newtonienne. Toujours en 1770, même si «l’astronomie copernicienne/newtonienne était devenue communément acceptée chez la plupart des gens éduqués d’Angleterre (...) le grand John Wesley ne considérait les systèmes de l’Univers que comme des “conjectures ingénieuses”.»[18] Nous notons dans cette citation que la PLUPART des gens éduqués approuvaient le copernicisme. La PLUPART ne veut pas dire tous, n’est-ce pas ? Ce pourrait être aussi bien 51% que 99%. Coupons en deux et établissons 75%. Cela ferait tout de même 25% des gens bien éduqués, en Angleterre, qui ne croyaient pas au copernicisme, autour de 1770, même si leur propre superstar Sir Isaac avait été canonisé dans le monde entier par l’establishment scientifique de l’époque. Selon encore la même citation, on se demande quel pourcentage de la population qui n’était pas «bien éduquée» goba l’idée que la Terre révolutionnait à plus de 1 040 km/h sous leurs pieds et, en même temps, filait autour du soleil à plus de 105 600 km/h ?? (Mais, après tout, nous devons être prudents et ne pas insérer le «gros bon sens» et le «petit peuple» dans une matière «scientifique» de si haut niveau, non ? Dieu sait si le petit peuple d’Angleterre, doué d’un bon sens traditionnel et d’une résistance historique face à tout ce qui pouvait les menacer d’esclavage, aurait probablement exigé des preuves de M. Newton — et plus tard de M. Darwin — au lieu de permettre qu’ils soient enchâssés comme demi-dieux dans la cathédrale de Westminster Abbey !) Considérons un autre Anglais, un dénommé James Bradley. L’encyclopédie dit que, en 1728, cet astronome «.annonça sa découverte de l’aberration de la lumière des étoiles, un léger changement apparent de la position des étoiles causé par le mouvement annuel de la Terre. Cette découverte fournit la première preuve directe de la révolution de la Terre autour du soleil.»[19] Bizarre. La même encyclopédie et une tonne d’autres textes nous assurent que Copernic, Kepler, Galilée et Newton ont déjà donné au monde toutes les preuves dont il avait besoin pour établir que la Terre tourne autour du soleil avant que Bradley fasse sa grosse annonce. Incidemment, Bradley devint astronome royal de l’Empire britannique en récompense de sa «découverte» à la Mickey Mouse. Quelle découverte ? Il débuta en prenant pour acquis que la Terre se mouvait, remarqua une légère déviation de la lumière des étoiles et annonça ensuite que la déviation prouvait l’assertion de laquelle il était tout d’abord parti. Insistons. Le père Spagnio, qui était «évidemment très au courant du travail de Bradley, déclara, vers 1774, qu’il n’y avait rien de décisif d’un côté ou l’autre de la grande controverse entre les systèmes.»[20] Apparemment, bon nombre pensaient qu’il y avait toujours une grande controverse sur le sujet et que «rien de décisif» n’avait été apporté, y compris plus spécifiquement la «preuve» de Bradley, près d’un demi-siècle plus tôt. Au fil du temps, ces faits additionnels à l’encontre du copernicisme s’avéreront intéressants pour plusieurs: «Au sein de l’Église catholique romaine, l’opposition à la doctrine [du copernicisme] fut officiellement affaiblie en 1757, mais ne prit pas entièrement fin avant la publication de l’Index de 1835.»[21] Pour ce qui regarde l’opposition du protestantisme au copernicisme: «.Luther, Melanchthon, Calvin, Turrettin, Owen et Wesley sont parmi les opposants les plus notables . [En réalité] ceux qui interprétaient littéralement les Écritures étaient encore troublés et hésitants, jusqu’à ce jour.»[22] Ainsi l’écrivait le Dr Stimson en 1917, ce qui est maintenu dans la réimpression de 1972. En 1846, un manuscrit intitulé Copernic réfuté, circulait aux États-Unis.[23] En 1854 «.Carl Schoepffer prit la défense du système tychonien d’une Terre immobile, à Berlin.»[24] En 1856, un Danois nommé Zypten raviva «le schéma tychonien d’une Terre immobile». [25] Jusqu’à sa mort, en 1859, le scientiste connu internationalement, Alexandre Von Humboldt, pensait qu’aucun physicien ou astronome ne s’était dressé publiquement contre le copernicisme. Cependant, il déclara en privé sa conviction en la matière: «Je sais depuis longtemps que nous ne possédons aucun argument en faveur du système copernicien, mais je n’oserais jamais être le premier à l’attaquer. Ne tombe pas dans ce guêpier [dit-il à un ami]. Tu vas t’amener le mépris de la multitude des irréfléchis. Si jamais un astronome célèbre se lève contre la conception présente, je communiquerai aussi mes observations; mais m’avancer comme le premier contre l’opinion générale sur laquelle s’est fondé le monde, je ne m’en sens pas le courage.»[26] En 1859 «.une assemblée du clergé luthérien se réunit à Berlin pour protester contre ce qu’on appelait faussement “la science” et déclara que la théorie copernicienne “était complètement incompatible avec l’enseignement de la Bible”.»[27] «Les écrivains allemands [note un des auteurs], luthériens ou pas, semblent s’être opposé au système [de Copernic] plus souvent à la fin du 19e siècle que les écrivains des autres nationalités.»[28] En 1894, Tischner, un autre Allemand, publia un livre de plus contre le copernicisme. En dehors de ce volume et de ses autres livres, Tischner fit une liste de vingt-six autres livres anti-coperniciens publiés entre 1758 et 1883.»[29] Mais les Allemands ne constituaient pas la seule opposition au 19e siècle. En 1878 «.le peintre italien, Sundico, bombarda le directeur de l’Observatoire de Paris (...) de nombreuses lettres protestant contre le système copernicien.»[30] En 1900, le général John Watts de Peyster, de New York, fit traduire et publier aux États-Unis les travaux anti- coperniciens du professeur Schoepffer.[31] Même en 1868 «.la conférence [de Schoepffer] contre le copernicisme était dans la septième édition.»[32] En 1901, le professeur J. R. Lange, un Allemand vivant en Californie, réagit à la lecture de la publication par le général de Peyster des arguments de Scoepffer contre le copernicisme. Le professeur Lange «.considéra que la doctrine de Newton de l’attraction universelle était un “non-sens” et qu’il avait la “preuve absolue” par la fixité de l’Étoile polaire que la Terre ne bouge pas. Dans une lettre qu’il envoya au général de Peyster, il écrivit: “Espérons et prions pour que les jours du pernicieux système copernicien soient comptés”.»[.3.3] (Le mot «pernicieux» est un adjectif précis et parfaitement adapté à la description du «Système copernicien». Il sous-entend «mortel», «d’un caractère grandement injurieux et destructif» et «dans l’intention de faire du mal; méchant».) Autour de 1915, l’Encyclopédie catholique insérait cette déclaration écrite par un dominicain anglais: «Si, maintenant, la volonté pousse un intellectuel à prendre en considération un point à débattre — ex.: les théories copernicienne et ptolémaïque — il est clair que l’intellectuel ne peut prétendre qu’à un seul de ces deux points de vue (...) Mais aucune des visions précitées n’a, quant à nous, plus qu’une probable vérité (...) Le fait que les hommes adhèrent à l’une des deux visions de manière plus tenace que ce que l’argumentation le justifie, ne peut être dû qu’à une cause intrinsèque, i.e., qu’il est absurde de ne pas adopter ce qu’une majorité d’hommes soutient.»[34] Selon toute évidence, à cette date pas si lointaine, la question à savoir si la Terre bouge ou pas était toujours matière à débat et il y avait beaucoup de gens des deux côtés de la clôture. En outre, il fut reconnu que ce n’était pas le poids des preuves scientifiques qui faisait accepter le copernicisme aux gens, mais c’était plutôt la crainte du ridicule qui faisait son œuvre. Et si ce genre de pression à se conformer était puissant au début du 20e siècle, qu’en est-il aujourd’hui, au début du 21e siècle ?? En fait, y a-t-il encore de l’opposition contre le copernicisme ? En 1975, Marshall Hall, l’auteur de The Earth is not Moving (La Terre ne bouge pas), duquel nous puisons la plus grande partie de nos informations, fut mis au courant d’un excellent travail anti-évolutionniste exécuté par un ingénieur mécanique près de Pittsburgh, en Pennsylvanie, un nommé Richard Elmendorf. Peu de temps après, celui-ci présenta à Hall une publication appelée Le Bulletin de la Société tychonienne. Walter van der Kamp était l’éditeur de cette tentative modeste, mais sérieuse, pour informer le plus de gens possible du fait virtuellement caché qu’il n’y a tout simplement pas de preuve concluante du copernicisme et qu’il y a tout un lot de preuves à son encontre. En 1977, ou à peu près, Elmendorf offrit une récompense de 1 000 $ à qui apporterait une preuve concrète du copernicisme. Le «Barème du mouvement céleste» d’Elmendorf fut mis en jeu avec d’occasionnels articles fort tranchants et amusants accablant le copernicisme de sarcasmes (et spécialement le darwinisme !). Dans les années 1980, Marshall Hall prit connaissance des mathématiques que le professeur Hanson opposait au copernicisme. Il entra bientôt dans la mêlée avec des arguments vigoureux et savants. De même qu’un astronome professionnel, le Dr Gerardus Bouw, qui est devenu, depuis lors, éditeur du Bulletin tychonien (qui, à l’hiver 1990, a été rebaptisé l'astronome biblique). Lors d’une réunion à Cleveland, dans l’Ohio, en 1984, Hall fut en mesure de distribuer un manuscrit jusqu’alors non-publié contre le copernicisme et de prendre la parole à ce sujet. Également en 1984, Hall prit connaissance de certains écrits anti-coperniciens très compétents de N.M. Gwynne de Londres, en Angleterre. Lors d’une courte visite au bureau de M. Gwynne, en 1990, celui-ci confirma sa conviction écrite que le copernicisme est à la fois sans fondement et vulnérable. En 1989, Walter van der Kamp publia son ouvrage le plus important, De laboris solis (Le travail du soleil). Dans ce livre, ce Danois, devenu Canadien, éducateur à la retraite, s’en prend énergiquement contre le copernicisme et en faveur du système de Tycho Brahe d’une Terre qui ne bouge pas. Admettons-le, ce sont des trépidations d’une si faible magnitude qu’elles ont à peine fait une petite marque au sismographe anti-copernicien (et dont peu sont au courant de l’existence.) Mais elles existent ! Et ces trépidations en apparence insignifiantes et ignorées sont le prélude au tremblement de terre universel à venir bientôt dans les idées de l’homme et qui va culbuter, non seulement l’idole de la fausse science humaine du 21e siècle, mais révélera et anéantira aussi toutes les fausses doctrines que Satan a mises en opération dans le monde d’aujourd’hui. Il y a une armée de scientistes créationnistes dans le monde, de nos jours, qui sont prêts, qui veulent et qui sont capables d’exposer et de détruire la supercherie de l’évolution; et de même il est sur le point d’y avoir aussi une armée destinée à exposer la supercherie de l’héliocentrisme. Cette série d’articles en fait foi. La Vérité appartient à Dieu et ne peut être détruite. Elle peut être supprimée, ridiculisée, raillée et ignorée; mais elle ne mourra jamais. De Brahe à Riccioli, de Luther à Wesley, du professeur Lange à van der Kamp, Elmendorf, Hanson, Bouw et Hall, des masses ignorantes du passé dont le gros bon sens les faisaient s’opposer au copernicisme jusqu’aux masses d’aujourd’hui dont l’endoctrinement peut être annulé et leur gros bon sens libéré; de tous ceux-là nous pouvons savoir que la graine n’est pas sèche et que l’on peut dénoncer, et que l’on dénoncera le copernicisme comme la plus grande fraude de tous les temps. Cette Graine, c’est la Parole de Dieu. Elle dit que la Terre repose, sans mouvement, au centre de l’Univers et que le soleil en fait le tour tous les jours. Cette grande Semence de la Vérité — cachée et nourrie par Dieu au fil des quelques derniers siècles dans les mains de ceux que nous avons nommés — est destinée à ne plus être cachée. [1] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Galilée, Vol. 7, p. 851. [2] Dominique Tassot, Galilée et l’exégèse moderne, Bulletin de la Société Tychonienne, printemps 1990, Cleveland, Ohio, No 53, p. 4. [3] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Galilée, Vol. 7, p. 852. [4] Jean-Paul II, Message du pape vers l’outre espace, La Mère Terre, mars-avril 1990, pas de page. Entre Hunderwasser & Bradley. [5] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Vol. 7, p. 853. [6] Walter van der Kamp, De labore solis, (14813, Harris Rd, Pitt Meadows, C.B., Canada, V3Y 1Z1, c. 1989), p. 19. [7] Dorothy Stimson, PhD, L’acceptation graduelle de la théorie copernicienne de l’univers, Gloucester, Mass., 1917, réimprimé en 1972, p. 79. [8] Nouvelle Encyclopédie Catholique, (McGraw-Hill Book Co., N.Y., etc., 1967), Vol. 12, p. 473. [9] Dictionnaire de bibliographie scientifique, (Charles Schribner’s Sons, N.Y., 1975), Vol. XI, p. 411. [10] Stimson, Acceptation graduelle, p. 81. [11] Ibidem, p. 73. [12] Ibidem, p. 75. [13] Ibidem, p. 77. [14] Ibidem. [15] Ibidem, p. 76. [16] Ibidem, p. 83. [17] Ibidem, p. 90. [18] Ibidem, p. 93. [19] Encyclopédie Britannica, Micropaedia, «James Bradley», Vol. 2, p. 220. [20] Stimson, Acceptation graduelle, p. 98. [21] Ibidem, p. 100. [22] Ibidem, p. 99. [23] Ibidem, p. 102. [24] Ibidem. [25] Ibidem. [26] C. Schoepffer, La Terre tient ferme, (Charles Ludwig, Imprimeur, N.Y., 1900), p. 59. [27] Stimson, Acceptation graduelle, p. 102. [28] Ibidem, p. 103. [29] Ibidem, p. 104. [30] Ibidem, p. 103. [31] Ibidem. [32] Ibidem, p. 104. [33] Ibidem, p. 103. [34] Ibidem, pp. 99, 100. |
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