Il est étonnant que ceux qui croient vraiment que la Bible est la pure vérité, toute la vérité, rien que la vérité soient si peu nombreux. Car, tout particulièrement en ce siècle-ci, il s’est érigé un endoctrinement croissant, sophistiqué et répandu partout, pour croire que les personnes éduquées recherchent la «science» afin d’obtenir la vérité, et que seule une petite poignée de fanatiques religieux restent encore collés sur la Bible ou à un concept quelconque de performances miraculeuses de la part de Dieu. Le bombardement de la propagande anti-biblique est incessant partout où l’on va, surtout parmi les évangéliques qui disent croire en la Bible. L’éprouvette et les écoles (qui rejetèrent Dieu et la Bible des programmes d’études, il y a de nombreuses années) ont suivi les chemins de la contradiction charnelle que l'on nomme le diable. Mais vous savez quoi ? La Vérité est la Vérité, et Dieu, qui a stoppé la course du soleil pour Josué et l’a fait reculer de dix degrés pour Ésaïe, est capable de tout retourner sens dessus-dessous et défaire toutes les œuvres de Satan si rapidement que la tête va nous tourner, où que nous soyons dans le monde !
Lisez le chapitre 18 de l’Apocalypse de Jésus-Christ, si vous voulez voir la rapidité et l’entièreté avec lesquelles Dieu va bouleverser le système mondial fondé sur les séductions de Satan. IL est DIEU et SA PAROLE est SA PAROLE ! Tous les élus finiront par comprendre ces deux faits inéluctables et les recevront avec joie, mais les exclus ou réprouvés les rejetteront. Il n’y a pas d’entre-deux, pas de position sur la ligne blanche du milieu que l’on pourra tenir bien longtemps.
Du fait que SA PAROLE dit avec tant de clarté que c’est le soleil qui se meut et non la Terre, et parce que la presque totalité du monde entier — incluant plusieurs qui se disent chrétiens — a été portée à croire le monde au lieu de Sa Parole en cette matière, DIEU va certainement dénoncer le mensonge de l’héliocentrisme (et du mythe de l’évolution à ses talons) et ainsi détruire la fausse idole de la science moderne de l’homme.
Voyons un autre verset des Écritures à propos d’une Terre qui ne bouge pas. Dans le livre de Job, nous lisons: «Il étend le septentrion sur le vide, il suspend la terre sur le néant» (Job 26:7). Pas d’orbite, pas «d’axe», pas de champ de gravité, rien. Voici maintenant Job qui parle du Dieu tout- puissant qui «...parle au soleil, et le soleil ne se lève pas...» (Job 9:7). Le prophète Habacuc parla du jour remarquable où Josué, grand homme à la foi sans bornes fit appel à Dieu et «Le soleil, la lune s'arrêtent dans leur demeure...» (Habacuc 3:11). Ésaïe a écrit. «...le soleil s'obscurcira dès son lever...» (Ésaïe 13:10). Psaume 93:1: «L'Éternel règne, il est revêtu de majesté; l'Éternel est revêtu de force, il en est ceint; aussi le monde est ferme et ne chancelle point.» Psaume 104:19: «Il a fait la lune pour marquer les temps; le soleil connaît son coucher.» Psaume 19:2, 5-7: «Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue fait connaître l'œuvre de ses mains ... 5 Là, il a dressé un pavillon pour le soleil. 6 Et lui, il est comme un époux sortant de sa chambre nuptiale; il se réjouit, comme un héros, de parcourir la carrière. 7 Il part de l'un des bouts des cieux, et son tour s'achève à l'autre bout; et rien ne se dérobe à sa chaleur.» La Bible enseigne donc que la Terre ne tient sur rien, qu’elle est fixée à un endroit précis et ne peut être ébranlée ou remuée, et que le soleil circule autour sur son propre orbite, chaque jour. Que les gens croient que la Bible est la Parole de Dieu et, par conséquent, LA Vérité, ou bien qu’ils ne croient pas encore que ce soit le cas, à ce moment-ci, n’est pas le point mis en cause, ici. Ce qui est en cause, c’est qu’il n’y a aucun doute quant au fait que la Bible enseigne véritablement que la Terre est une sphère stationnaire, fixe, immuable, sans mouvement et unique autour de laquelle tourne le soleil, à chaque vingt-quatre heures. l’exact opposé de ce que la «science» enseigne au monde entier.
L’un ou l’autre a raison. Il est évident que les deux ne peuvent être vrais ! Et, en plus des Écritures que nous avons vues, il y a, bien sûr, des douzaines d’autres références bibliques disant que le soleil se lève et se couche, monte dans le ciel et descend, etc.. Comme l’a rédigé un écrivain: «.il est évident que le géocentrisme et la Parole inhérente des Écritures sont étroitement liés.» [4] Donc, lorsque l’on rassemble tous ces morceaux, n’importe qui peut constater qu’il n’y a place à aucun compromis quant au fait que la Bible enseigne que la Terre est immuable et que le soleil tourne autour. C’est ce qu’elle enseigne ! Mais ce que nous devons maintenant comprendre, c’est qu’il n’y a pas besoin de faire de compromis ! Il existe d’abondantes preuves démontrant que l’héliocentrisme est un mythe anti-scientifique n’ayant pas lui-même la moindre preuve pour soutenir ses affirmations. Alors, il est plus que temps d’arriver à un règlement de comptes entre ces deux systèmes, une fois pour toutes. La «science» de l’homme contre la science de la Bible ! L’une est la Vérité, l’autre est une supercherie. Le monde croit depuis longtemps que cet affrontement est terminé et que la «science» de l’homme l’a remporté et ne sera jamais défiée. Ce que l’on ne réalise pas, c’est que la «science» de l’homme (et toutes les philosophies humanistes qui en dépendent) peut être anéantie complètement avec un seul boulet bien dirigé sur le mythe de l’héliocentrisme ! L’héliocentrisme est le talon d’Achille de tous les «ismes» du monde empêchant les gens de savoir que la Bible est la Vérité inhérente sur tous les sujets et que toute croyance contredisant cette source est un mensonge. En d’autres termes, abattons l’héliocentrisme et l’on prouvera que la Bible est absolument ce qu’elle dit être, c’est-à-dire, la Parole infaillible de Dieu ! Et cette réalité se fera de plus en plus évidente à mesure que nous avancerons dans la suite. En effet, une compréhension de base de la position fondamentale qu’occupe l’héliocentrisme en rapport avec la «connaissance» moderne de l’homme aboutira inévitablement à la conclusion que sa dénonciation en tant que supercherie certifiera automatiquement que la Bible est la source de toute Vérité. Pas moyen d’y échapper !
Parmi je ne sais combien d’hommes bien-pensants, le général de Peyster constata la réalité de cette étonnante, mais inéluctable conclusion quelque cent ans auparavant. Le général, également docteur en littérature, physicien et avocat, parla d’une discussion sur la 7e édition d’une conférence du Professeur Schoepffer intitulée La Terre tient ferme. Quelqu’un de l’assistance fit cette remarque: «Si Schoepffer a raison, cela établit la véracité littérale de la Bible.» [5] À cette observation, le général enregistra la réplique d’une autre personne présente à la discussion: «Rem acu tegitisti ! — vulgairement traduit par «vous lui avez enfoncé le dernier clou dans la tête !» [6] C’est le même clou et la même tête, et bien davantage ! L’exposition de l’héliocentrisme comme mythe anti-scientifique, canular illogique et gros mensonge épais est une façon sûre et certaine de certifier que la Bible est la source de toute Vérité. Pourriez-vous rêver d’un meilleur but dans la vie ?
[1] Prof. James Hanson, La Bible et le géocentrisme, Bulletin de la Société Tychonienne, Spring, 1990, Cleveland, Ohio, No 53, p. 13.
[2] Géocentrisme: (Geo, terre) Phénomène naturel par lequel la Terre est au centre de l’Univers et que le Soleil ainsi que tous les autres astres tournent autour d’elle.
[3] Héliocentrisme: (Helios, soleil) Théorie fausse qui avance que la Terre et les planètes de notre système tournent autour du soleil.
[4] Professeur Hanson, Tychonian Bulletin, Sunmer, 1989, p. 21. [5] The Earth Stands Fast (La Terre tient ferme), conférence livrée par le Professeur C. Schoepffer, septième édition, publiée à Berlin, en 1868. Traduite et éditée par le Général J. Watts de Peyster, avec ajout de notes et de suppléments de Frank Allaben, historiographe et scientiste. (New York: Charles H. Ludwig, imprimeur, 1900), p. 32. [6] Ibidem, Remarques d’Introduction.
DEUXIÈME PARTIE
Les mathématiques: un menteur en habit de vérité

Les mots «maths» ou «mathématiques» ou même «arithmétiques» transmettent traditionnellement un sentiment de précision, d’exactitude, de correction, de positivité et d’absolu. Deux et deux font quatre; sept fois neuf égal soixante-trois; trente-deux divisé par quatre donne huit. Et cetera. Précis. Sans déviation. Toujours le même. Vérité absolue.
Eh bien, devinez quoi ? Pour ceux qui n’auraient jamais entendu parler de ça, rien de ce que nous venons d’énumérer n’a été vrai bien longtemps dans le monde de la science théorique. La science théorique peut utiliser les mathématiques théoriques pour «prouver» n’importe quelle théorie qu’on veut prouver. Et c’est exactement ce que l’on fait depuis déjà quelques générations.
Le point d’intérêt, ici, se centre sur les deux faits suivants: 1) il n’y a aucune évidence prouvée et testée démontrant d’une façon quelconque que la Terre soit en mouvement; et 2) la «preuve» principale qui a été employée depuis Copernic jusqu’à nos jours pour montrer le mouvement de la Terre est une «preuve» mathématique. En bref, ce que possède le monde comme évidence première d’une Terre qui bouge n’est rien d’autre qu’un modèle mathématique, sans plus.
La faiblesse de ce modèle mathématique d’une Terre en mouvement devient incontestable parce que l’on peut tout aussi facilement fabriquer un modèle mathématique prouvant l’immobilité de la Terre ! Ce simple fait — sans mentionner que le modèle d’une Terre immuable possède, de son côté, une expérience d’observation constante et des expérimentations répétées — démontre que les mathématiques ont été, et peuvent effectivement, être employées pour prouver deux modèles qui déclarent être vraies deux conclusions opposées. Bien sûr, il ne faut pas être un géant intellectuel pour voir que les maths d’un de ces deux modèles sont «bizarres» et «étranges».
En vérité, il ne peut y avoir qu’une seule bonne réponse à la question de savoir si la Terre bouge ou non. Soit que le modèle héliocentriste est correct et véritable, ou soit que le modèle géocentriste est correct et véritable. (La grande contribution d’Einstein à la «science» fut d’embrouiller ce choix très clair en utilisant les mathématiques pour dire que les mouvements célestes sont tous relatifs, dépendant de la position de l’observateur et que, par conséquent, nous ne pouvons jamais savoir la vérité. Et si l’on ne peut trouver la vérité, il n’y a donc pas d’absolus, tout est relatif et... en bout de ligne: Dieu n’est pas la Vérité Absolue et, assurément, la Bible n’est pas Son Livre ne contenant que la Vérité Absolue.)
Dans sa nouvelle futuriste, 1984 (écrite dans les années 40), George Orwell illustra comment la vérité mathématique ou arithmétique pouvait être changée et s’appeler pourtant encore vérité. Le personnage principal de l’histoire finit par subir un programme de torture horrible. Il est installé dans un appareil qui déverse dans son corps n’importe quel degré de voltage électrique que son tortionnaire décide. Le tortionnaire en question soulève quatre doigts. «Combien ?» demande-t-il. «Quatre» Zap, Zap, Zap ! Cris de douleur. «Pourquoi ?»
«Il y a cinq doigts, pas quatre !» Puis, le tortionnaire montre encore quatre doigts. «Combien ?» «Cinq.» Zap, Zap, Zap ! Cris de douleur. «Pourquoi ?» «Vous n’avez dit “cinq” que pour éviter la douleur. Vous croyez encore qu’il y a quatre doigts.»
Il suffit de mentionner que le temps que le tortionnaire eut terminé son interrogatoire sadique, le sujet croyait vraiment que quatre font cinq. Il le crut autant qu’il croyait auparavant que quatre font quatre. La vérité, c’est-à-dire, «quatre» (1, 2, 3, 4, ou 2+2 ou 3+1) était devenu un mensonge. La nouvelle vérité, c’est-à- dire, «cinq», affichait la même formule (1, 2, 3, 4, ou 2+2 ou 3+1). Mais il s’agissait maintenant de «cinq».
Disons que ce qu’Orwell créa dans son livre avec sa plume, qui changeait la vérité absolue en mensonge et le mensonge absolu en vérité, s’opérait sur la moitié des gens du monde, et ils furent tous amenés à croire que quatre fois un, ou deux plus deux, ou trois plus un égalent cinq. L’autre moitié resta collée à quatre comme réponse. Le Groupe A fabrique des voitures et en envoie cinq au Groupe B. Le Groupe B retourne le paiement pour quatre voitures. Pas de problème. Cinq font quatre, donc tout est bien.
Ensuite, le Groupe B envoie au Groupe A quatre trains neufs. Le Groupe A envoie un paiement pour cinq trains parce que cinq font quatre. Car ils comptent «un, deux, trois, cinq». Le chiffre suivant étant six, puis sept, etc.. Donc, le Groupe A n’a fait que changer le nom du chiffre, mais il n’est pas possible de changer la réalité, la vérité du chiffre. Les diverses langues possèdent différents mots pour «quatre» et «cinq» et tout le reste. Mais quand un Anglais, ou un Français, ou un Pakistanais, ou un Zoulou lève quatre doigts lorsqu’il désire quatre pains, dans une boulangerie du Tibet, il obtiendra quatre pains, parce que quatre égal quatre, peu importe le mot qu’on emploie.
Ainsi, la question en cause est de savoir qu’on ne peut changer la Vérité ! On peut prendre n’importe quelle vérité et l’appeler par un autre nom. On peut même la qualifier de mensonge. Mais seul le nom est changé, pas la vérité qui est étiquetée ou décrite.
Les mathématiques ne sont qu’une collection ou un groupement de toutes sortes de signes adaptés et de griffonnages qui désignent ou représentent d’autres choses spécifiques pour lesquelles nous possédons des noms; des éléments tels que la dimension, le poids, la masse, la densité, la vitesse, la distance ou autres. Le problème avec tout cela réside toutefois dans l’utilisation de ces symboles mathématiques représentant quelque chose que l’on dit être vraie, mais que personne ne sait être vraie. Comme, par exemple, l’outre espace et tout ce que ce concept implique: le soleil, la lune, les étoiles, les astéroïdes, les comètes, la lumière, la chaleur, la vitesse, la densité, la masse, les orbites, les ténèbres, la couleur, la gravité, l’espace lui-même, etc. ...

Il y a bien un paquet de faits (des vérités réelles) à propos de toutes les choses que les mathématiciens savent et représentent par des symboles dans leurs calculs. Mais voici la difficulté: la plupart de leurs symboles représentent des théories et non des faits. Il y a, par exemple, un symbole (comme 4 ou 5) qui représente la vitesse de la lumière d’Einstein comme étant le maximum de vélocité que l’on peut atteindre. C’est ce que dit le symbole, mais personne ne sait si c’est vrai. Il utilisa donc 300 tableaux noirs impliquant ce symbole afin de prouver quelque chose. et il y parvint, bien sûr !
Il employa ses propres symboles, ses propres significations de mots (comme nous allons le voir) et ses propres mathématiques inventées. Quelqu’un peut «prouver» n’importe quoi, comme cela. Mais la vérité, elle, ne change pas. C’est-à-dire que la vitesse de la lumière qu'on nous dit être 299 792 458 m/s est ou n’est pas le maximum de vélocité que l’on puisse atteindre dans l’univers. Supposons que ce soit vrai et qu’Einstein avait raison sur ce point; cela fait-il que ses conclusions sur d’autres théories impliquant la vitesse de la lumière soient vraies ou fausses ?
Non, et cela pour deux (1 + 1) raisons: 1) il utilisa d’autres symboles provenant d’autres théories qui soutenaient d’autres choses qu’il théorisait être vraies sans savoir si elles étaient vraies, et 2) tous ses calculs — la moindre parcelle traitant de l’outre espace — partaient du «fait» (2+2=5) que la Terre tournerait journellement sur un axe et orbiterait annuellement autour du soleil. Ce «fait» constitua son nouveau «quatre». L’ancien quatre où la Terre demeurait immobile et où tout le reste tournait autour n’existait plus. Le géocentrisme fut le «quatre» de l’ancien temps, mais les nouvelles mathématiques dirent que ce ne pouvait plus être «quatre». Le «quatre» fut changé en héliocentrisme. Un autre mot fut requis, un autre symbole fut inventé pour expliquer et représenter une même réalité. Dans ces nouveaux calculs, une Terre qui apparaît immobile sous tous les angles et avec tous les tests ne peut plus demeurer immuable, car l’on part de la nouvelle «vérité» qu’elle est mobile.
Donc, en bref, on a employé des mathématiques élastiques, non seulement pour faire en sorte qu’une Terre fixe se mette à bouger, mais que, partant de cette prémisse injustifiée, l’on puisse «prouver» mathématiquement d’autres théories supposant que rien ne peut demeurer immobile, que tous les corps célestes sont et doivent être en mouvement.
Mais si la Terre ne bouge pas, c’est qu’elle est immobile. C’est comme le chiffre «quatre». On peut vouloir l’appeler autrement; on peut croire que c’est autrement; on peut vouloir le transformer en autre chose par les calculs et les maths; mais on ne changera jamais la vérité pour autant. L’apparence, la conviction, le concept, même la certitude peuvent changer dans notre esprit. Or, si la réalité, le fait, la vérité absolue est différente de ce qui nous a été mis en tête par «l’éducation», l’endoctrinement, etc., alors, c’est l’esprit qui doit changer, pas la vérité, car celle-ci ne change jamais. Amen !
Ce jeu de Satan s’appelle la Séduction. Les gens sincères séduits croient naïvement que ce qu’ils croient est vrai. On n'a qu'à regarder parmi les sectes évangéliques, pentecôtistes et charismatiques, pour voir la vérité de cette affirmation. Il y a des millions de gens qui ont cru et croient encore que Bouddha est Dieu ou quelque chose du genre. Ou que Mahomet fut, et est encore, le plus grand homme. Ou qu’il y a toutes sortes de vie extra¬terrestre évoluée dans l’outre espace. Ou qu’un éclair a frappé un amas de boue, ici, sur Terre, et a créé la vie qui a ensuite évolué sous toutes sortes de formes. Ou qu'il existe réellement des créatures mythiques invisibles qu'on nomme des démons, ou que Satan est un ange déchu qui se nommait Lucifer. Ou encore qu'il y a trois personnes ou subsistances distinctes en Dieu, et qu'il est nécessaire de croire en une telle duperie pour être sauvé. Les absurdités dans ce domaine sont multiples.
Ainsi, soit que cela et des millions d’autres choses sont vraies ou soit que ce sont des séductions. Or, la logique peut-elle nous débarrasser des séductions et nous conduire à la vérité ? Seulement si elle démarre à partir d’une vérité absolue. Mais n’allons pas trop vite. Nous réservons ce sujet à un autre chapitre. Pour l’instant, restons-en aux mathématiques. Pour l’instant, nous n’abordons qu’une seule séduction, c’est-à-dire, la croyance, la conviction, la certitude que la Terre tourne quotidiennement sur un axe et qu’elle orbite autour du soleil une fois par année. Les mathématiques se sont avérés un outil puissant servant à laver le cerveau de l’humanité pour lui faire accepter cette croyance comme vraie. Les gens ont foi en ce que les mathématiques représentent des vérités et des faits absolus. Mais, en réalité, les mathématiques — spécialement en physique où l’on traite de la mécanique céleste et de l’outre espace en général — sont devenues un jeu d’enveloppes extérieures ésotériques ayant principalement commencé avec Copernic et ne se sont avérées, depuis lors, rien d’autre qu’un Mensonge en habits de Vérité concernant la question du mouvement de la Terre.
Même votre propre encyclopédie vous dira qu’après Copernic: «.la Terre ne pouvait plus être considérée comme le centre du cosmos, mais plutôt comme un corps céleste, parmi tant d’autres, qui devint le sujet de descriptions mathématiques.»[1]

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