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Effet du « papy-boom » chez les prêtres et de la chute du nombre des baptêmes, l’Église de France devra, d’ici à 2024, continuer sa mission avec moins de pasteurs, mais aussi moins de catholiques Préparer l’avenir : commentaire Apprenant que La Croix réalisait pour son numéro annuel de Pentecôte un dossier spécial de 15 pages sur l’état de l’Église de France dans dix ans, un évêque soupire : « Vous n’allez pas nous plomber le moral ? » Il poursuit, lucide. « Ce travail est indispensable. Avant de mettre en œuvre les évolutions, il est essentiel de les nommer. Ce n’est pas parce que l’Église change qu’elle n’existera plus. Mais les catholiques doivent prendre conscience de la nouvelle réalité. » En 2004, La Croix s’était déjà livrée à cet exercice de prospective. Dix ans plus tard, nos enquêtes et nos projections confirment des tendances fortes connues de tous les évêques. Partout, ou presque, l’Église doit accomplir sa mission avec moins de prêtres. Et déjà, le renouvellement des laïcs, leur rétribution et leur indispensable formation s’annoncent comme l’une des questions majeures pour l’Église en France. Mais les images aux teintes sépia perdurent dans l’inconscient collectif, y compris chez les catholiques. Elles rendent encore difficile une prise de conscience capitale : c’est un nouveau modèle de présence de l’Église en France qui est en train de se dessiner. D’autant qu’il devra s’adapter aux évolutions démographiques et sociologiques du pays. Dans de nombreux diocèses, cette nouvelle perspective prend forme. Elle impose des choix, qu’il est parfois tentant de repousser, façonne de nouveaux modes de responsabilités. Elle conduit aussi à des initiatives, originales, créatives, généreuses, qui révèlent combien les catholiques entendent toujours prendre leur part à la vie sociale et témoigner de leur foi. Ces nouvelles manières d’être catholique dans la société résonnent avec les propos de cette haute figure de l’épiscopat français. « Quand je prends des décisions, je me refuse à me référer à une logique strictement comptable. Cela reviendrait à insulter l’espérance. » Ce qui n’empêche pas l’Église de préparer l’avenir. 1. DIX ANS pour INVENTER L’EGLISE de DEMAIN Nicolas Senèze et Loup Besmond de Senneville ![]() Messe du dimanche en l’église Notre-Dame de la Nativité de Bercy (Paris). L’Église devient de plus en plus urbaine et multiculturelle. Dans dix ans, en 2024, l’Église de France comptera moins de 4 300 prêtres diocésains actifs, contre un peu plus de 5 800 aujourd’hui. Les dix années à venir seront en effet marquées par le départ à la retraite, à 75 ans, des prêtres de la génération du « papy-boom », ceux nés dans les années 1940-1950, qui ont connu les derniers petits séminaires et ont été ordonnés dans l’immédiat après-Concile. Conséquence : même si tous les séminaristes actuellement en formation sont effectivement ordonnés, le nombre de pasteurs actifs dans les diocèses français va chuter significativement. À Besançon, le nombre de prêtres passera ainsi de 81 à 42, de 29 à 18 à Carcassonne et de 143 à 75 à Nantes… Certes, les diocèses pourront toujours compter sur des religieux apostoliques et, surtout, sur les prêtres âgés encore en mesure d’aider leurs confrères plus jeunes. Cependant, face à la baisse annoncée, l’Église de France ne pourra faire l’économie d’une adaptation radicale de ses structures et de sa manière d’envisager la mission. Dans certains diocèses, les étrangers sont majoritaires chez les prêtres de moins de 75 ans. En 2004 déjà, La Croix avait mis en évidence la baisse qui s’annonçait. Les diocèses français rassemblaient alors 13 500 prêtres – diocésains et religieux – de moins de 75 ans et se préparaient à voir fondre ce nombre. Depuis, ils ont mis en place différentes stratégies pour, sinon juguler la baisse, du moins s’y adapter. La première d’entre elles aura été de faire appel à des prêtres étrangers, pour beaucoup des étudiants venus en France parfaire leurs études de théologie mais qui, une fois celles-ci terminées, prennent parfois en charge des paroisses. En octobre 2013, 1 589 d’entre eux étaient recensés sur le territoire français. Dans le diocèse de Tulle, l’étude menée en 2004 par La Croix prévoyait 13 prêtres actifs en 2014 : ils sont aujourd’hui 19 de moins de 75 ans, 13 Français et 6 étrangers, des Africains pour la plupart. Dans certains diocèses, les étrangers sont même majoritaires chez les prêtres de moins de 75 ans : ainsi à Belfort (10 sur 17) ou à Verdun (10 sur 19). L’appel aux prêtres « venus d’ailleurs » ne peut toutefois être qu’une solution provisoire. Un jour ou l’autre, ceux-ci retourneront vers leurs pays d’origine où leurs Églises ont besoin d’eux. Si on considère d’ailleurs le nombre de catholiques par prêtre, la France reste encore bien lotie par rapport aux jeunes Églises : 2 527 catholiques par prêtre, contre 4 959 en Afrique et 7 883 en Amérique du Sud. À l’inverse, le diocèse de Luçon qui devait, toujours selon notre enquête de 2004, ne plus compter que 30 prêtres actifs, en affiche aujourd’hui 49, dont 39 Français. Signe que les marches catholiques de la Bretagne, Vendée en tête, gardent une certaine vitalité : le diocèse de Luçon a ordonné une douzaine de nouveaux prêtres depuis 2000, auxquels s’ajoutent 9 séminaristes. Du coup, l’appel à 10 prêtres étrangers apparaît presque marginal dans ce tableau. Certains diocèses se sont fait une spécialité d’appeler des prêtres étrangers au bénéfice de leur vitalité. Ainsi celui de Fréjus-Toulon. Toujours selon notre enquête de 2004, il devrait compter aujourd’hui 144 prêtres actifs : ils sont aujourd’hui 190 en activité dans le diocèse, mais on compte parmi eux une soixantaine d’étrangers, dont beaucoup issus de communautés nouvelles. « Beaucoup de communautés diverses et variées dont le séminaire de la Castille est la matrice de la communion », reconnaît Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus et Toulon, qui n’hésite pas, aussi, à accueillir des séminaristes venus d’autres diocèses : une cinquantaine de ses prêtres, sur les 130 Français, viennent d’un autre diocèse. L’automne dernier, à Lourdes, les évêques de France ont abordé à mots feutrés ce sujet délicat que, deux ans plus tôt, Mgr Jean-Louis Bruguès, alors secrétaire de la Congrégation pour l’éducation catholique, appelait les « chasses de séminaire en séminaire ». Si, en France, comme le rappelait un évêque à Lourdes, « la règle est de toujours prendre contact avec le diocèse d’origine du candidat », certains évêques comptent dans leur presbyterium un nombre important de prêtres issus d’autres diocèses. Ainsi, parmi les 64 prêtres de moins de 75 ans du diocèse de Bayonne, on compte 54 Français dont 15 issus d’un autre diocèse mais qui ont sans doute trouvé dans les Pyrénées-Atlantiques une Église à l’identité sacerdotale plus affirmée. En 2012, « La Croix » avait recensé 9 446 laïcs en mission ecclésiale, c’est-à-dire ayant reçu une lettre de mission de leur évêque, soit plus que le nombre de prêtres actifs. Mais un modèle d’Église centré uniquement sur le prêtre est-il le seul possible et le seul viable à terme ? Car, s’il faudra toujours des prêtres, sans doute faudra-t-il aussi, face à la pénurie, que l’Église de France invente une nouvelle façon de « faire Église », selon l’expression consacrée du jargon ecclésiastique. Car l’Église, ce sont aussi des laïcs. En 2012, La Croix avait ainsi recensé 9 446 laïcs en mission ecclésiale, c’est-à-dire ayant reçu une lettre de mission de leur évêque, soit déjà plus que le nombre de prêtres actifs. Malheureusement, le socle sur lequel s’appuie le recrutement de ces laïcs au service de la mission de l’Église s’effrite lui aussi, comme le souligne, sondage après sondage, la baisse constante du nombre de catholiques en France : 80 % en 1986, 69 % en 2002, 56 % en 2013… Si on regarde le nombre de baptêmes, cette chute du nombre de laïcs va sans aucun doute se poursuivre. En 2000, pour la première fois, moins de la moitié d’une classe d’âge était baptisée ; en 2004, les baptisés représentaient encore 46 % des naissances de l’année, mais seulement 32 % en 2013. En 2004, le quart des diocèses français affichaient un taux de baptême supérieur à 65 %, il n’y en a plus qu’un seul en 2014, Saint-Flour. Certes, à côté de la baisse du nombre de baptêmes d’enfants, l’Église de France peut s’enorgueillir d’une vitalité du catéchuménat. Mais les plus de 3 000 baptêmes d’adultes enregistrés en 2013 ne représentent qu’à peine 1,15 % des baptêmes d’enfants et, surtout, leur augmentation est loin de compenser la baisse globale du nombre de baptêmes. Dans le même ordre d’idée, il faut aussi mettre en rapport les 43 235 confirmés de 2013 avec les 378 395 baptêmes de 1999 : quinze ans plus tard – âge moyen de la confirmation – seuls 11,5 % des baptisés ont ainsi été confirmés. Là encore, les chiffres reflètent les pastorales mises en œuvre : à Bayonne, plus centré sur la pastorale des jeunes et des vocations, on ne compte que 8 baptêmes d’adultes en 2013, alors que 1 236 confirmations ont été célébrées. À l’inverse, au Havre, on compte relativement peu de baptêmes d’enfants (1 338, soit 25 % d’une classe d’âge), mais proportionnellement beaucoup d’adultes (62) comparé au nombre de confirmations (104). Il faut ajouter aussi que Le Havre fait partie de ces diocèses qui ont déjà vu passer leur « transition démographique », avec un grand nombre de prêtres ayant atteint l’âge de 75 ans. Dès lors, en 2024, ce diocèse pourra compter sur autant de prêtres (17) qu’aujourd’hui. De même à Chartres, qui devrait compter 26 prêtres de moins de 75 ans. D’une certaine façon, ces diocèses dessinent la situation qui sera celle de l’Église de France en 2024 : après cette date, les départs à la retraite seront réguliers et ne concerneront plus plusieurs dizaines de prêtres à la fois. Le modèle d’Église qui se dessinera dans les années à venir s’annonce donc durable. L’Église de France fourmille déjà d’idées pour continuer son travail d’évangélisation dans une France en évolution. Début avril, face à un évêque d’Amazonie qui évoquait devant lui la pénurie de prêtres dans son diocèse, le pape François appelait les évêques du monde à « être courageux » et à « mettre en œuvre des solutions concrètes », n’excluant pas l’ordination de viri probati, c’est à-dire d’hommes mariés éprouvés. Sans aller jusque-là, l’Église de France fourmille déjà d’idées pour continuer son travail d’évangélisation dans une France qui va aussi évoluer : plus urbaine, plus vieille, plus diverse, éclatée et multiculturelle et au tissu social plus fragile. La France des baptisés et des prêtres ![]() Non compris le diocèse aux Armées et la Mission de France ![]() Face à la pénurie des vocations dans l’Église de France, des prêtres viennent d’Afrique ou d’Asie. 2. LES CHRETIENS PREPARENT L’AVENIR, La Rochelle, Saintes (Charente-Maritime) Loup Besmond de Senneville Le diocèse a initié un plan de réflexion destiné à imaginer la présence des catholiques dans la région en 2023 En lui-même, l’exercice a quelque chose de périlleux. Lorsque l’évêque de La Rochelle, Mgr Bernard Housset, a lancé l’an dernier une réflexion pour préparer l’avenir du diocèse dix ans plus tard, certains ne cachent pas avoir été pris de vertige. 2023 : l’année formée par ces quatre chiffres semble tout à la fois lointaine et proche. Dix ans, c’est un peu plus qu’il n’en faut pour former un séminariste avant son ordination sacerdotale. En lançant « diocèse 2023 », vaste réflexion sur le futur de l’Église charentaise, Mgr Bernard Housset a surtout voulu « préparer l’avenir ». « C’est notre rôle », décrit simplement l’évêque, pour qui « seul un organisme moribond n’a pas de perspectives ». Sur le terrain, aujourd’hui, la machine donne des signes d’essoufflement. « La structure est trop lourde », glisse un responsable diocésain. Devant la multiplication des réunions, pour entretenir une organisation qui n’a pas encore entamé sa mue, nombreux sont les prêtres qui, ici, expriment franchement le sentiment d’être « submergés ». Quant à l’âge moyen des fidèles qui contribuent au denier de l’Église, il avoisine les 78 ans. Autre signe : avec les années, le tarissement des vocations et l’étiolement du maillage ecclésial a fait de l’exercice des nominations – de prêtres comme de laïcs – un inextricable casse-tête. Pour commencer la réflexion, il a fallu d’abord établir un diagnostic. Un tableau combinant explicitement les forces et les faiblesses des sept doyennés. Parmi les premières figurent, selon les cas, les mouvements catholiques et les écoles, les communautés religieuses ou les associations. Dans les secondes sont répertoriés les divisions internes, le manque de moyens, le vieillissement des pratiquants, les fragilités des finances ou encore le faible nombre d’enfants catéchisés. Mais une fois le constat posé, comment agir ? De quelle manière anticiper les manques sans sombrer dans le catastrophisme ? Comment ne pas abandonner la confiance sans pour autant se voiler la face ? Pourra-t-on éviter l’isolement, l’enfermement et le légalisme, identifiés comme des obstacles ? Des neuf groupes qui se sont réunis pour réfléchir sur le sujet ont émergé quelques orientations générales, dont la nécessité d’une « Église ouverte à tous ». Mais difficile pour l’heure de dépasser le stade de l’inventaire à la Prévert, témoignant de la difficulté d’imaginer l’avenir, au bénéfice d’une forme de flou. « On ne peut pas tout maîtriser, tout projeter ! Comment savoir ? », interroge franchement Annie Wellens, chargée de l’œcuménisme. « Le but de l’opération est de mettre le diocèse dans un mouvement de dynamisme. » Si tous ne partagent pas sa perplexité, beaucoup de responsables engagés dans ce diocèse admettent ne pas disposer de solutions toutes faites pour préparer l’avenir. « On ne sait pas ce que sera notre Église en 2023, mais il faut permettre qu’elle parvienne jusque-là ! Le but de l’opération est de mettre le diocèse dans un mouvement de dynamisme », reprend le vicaire général, le P. Jean-Pierre Samoride. Mgr Housset le reconnaît, il s’agira d’une « autre Église, plus petite et plus modeste, adaptée à la société contemporaine ». Responsable des vocations, le P. Mickaël Le Nézet rapporte pour sa part une forme d’inquiétude, voire « une peur et une angoisse » chez beaucoup de ses confrères. « Nous sentons des questionnements aigus autour de l’identité. Comment pouvons-nous aider les prêtres à percevoir que ce monde n’est pas pire que celui d’hier ? » De fait, certains chiffres comme celui du nombre de prêtres sont dans toutes les têtes. Ils devraient être ici en 2023 : 37 de moins de 75 ans, contre 48 aujourd’hui. Aussi la nécessité d’accueillir des prêtres étrangers revient-elle régulièrement dans la bouche des laïcs engagés. « Comment allons-nous faire pour fonctionner si nous n’avons plus d’acteurs ?, s’inquiète aussi Caroline Henning, chargée de la catéchèse. La pénurie ne concerne pas que les prêtres, mais aussi les catéchistes. » Elle attend surtout de la réflexion qu’elle lui donne « un cadre ». « Dans dix ans, nos catéchistes seront engagés d’abord pour leurs enfants, et non plus pour 25 ans », explique Pauline Rataud, animatrice en pastorale dans deux paroisses près de La Rochelle, et qui accueille depuis onze ans des couples demandant le mariage ou le baptême de leur enfant. « Si nous nous contentons de nous accrocher à ce que nous avons aujourd’hui, nous ne pourrons pas entendre l’Esprit Saint », résume-t-elle. Ne voir le futur que sous l’angle numérique reviendrait à commettre une grossière erreur, répond Mgr Housset. « Nos prêtres sont irremplaçables, mais nous apprendrons à faire avec moins. Il y a cinquante ans, aurions-nous envisagé une Église fonctionnant avec un si petit nombre de prêtres ? Sans doute pas. » « J’aimerais que cette démarche aboutisse à des recommandations concrètes pour nous aider à préparer réellement les prochaines années, et non pas à une liste de bonnes intentions, espère Jacqueline Hautier, de la pastorale de la santé. Par exemple, pourquoi ne pas proposer qu’avant chaque messe, les fidèles restent tous à l’entrée de l’église pour se saluer et accueillir ceux qui viennent pour la première fois ? Ils prendraient place dans l’édifice uniquement au début de la célébration. » Coordinatrice de la formation des laïcs, Béatrice Fouan résume en quelques mots les enjeux pour les catholiques des années 2020. « Il faudra sans doute adapter nos formations, afin qu’elles touchent les 30-50 ans, qui n’y participent quasiment pas. Pour cela, nous devons utiliser un autre langage. Tout cela sans faire fuir le public que nous avons maintenant, et avec des animateurs de plus en plus âgés. » Après l’été, la réflexion sur « Diocèse 2023 » devrait se poursuivre dans toutes les paroisses de Charente-Maritime. Dans un an, Mgr Housset atteindra l’âge de 75 ans, et léguera le dossier à son successeur. « Je ne serai plus là dans dix ans, sourit l’évêque de La Rochelle. Mais en attendant, mon devoir est d’être lucide, et de permettre à l’Esprit Saint d’agir dans dix ans. Il ne peut rien sans nous. » 3. COMMENT MAINTENIR la PRESENCE de l’EGLISE sur le territoire |
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