Principes généraux de l’éducation








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PLAN

INTRODUCTION

I/ CONTEXTE

II/ PRESENTATION DE LA LOI

  1. Sur la forme

  2. Sur le fond

  1. Dispositions générales

  2. Principes généraux de l’éducation

  3. Niveaux, structures et objectifs généraux de l’éducation

  4. Administration et gestion de l’Education nationale

III/LIMITES ET SOLUTIONS A L’APPLICATION DE LA LOI

  1. Limites

  2. Solutions

CONCLUSION

INTRODUCTION

L’éducation nationale à travers l’école peut être définie comme un processus d’imprégnation et de socialisation par lequel les générations les plus mures prennent en charge les plus jeunes pour leur inculquer des valeurs auxquelles la société s’attend d’eux.

Ainsi l’école se présente comme l’une des institutions essentielles dans cette formation de l’être = la personne. C’est ainsi qu’elle se veut porteuse de projet de société dans la mesure où toute société, compte tenu de ses orientations, de ses objectifs, des préoccupations et réalités sociales, politiques et économiques détermine son école en lui assignant des finalités.

Alors on peut retenir qu’une société en évolution a pour mission d’anticiper et de faire des projections dans l’avenir afin de mieux cerner et répondre aux défis.

La loi d’orientation peut être définie comme une politique globale à réaliser par l’Etat à un temps déterminé, avec des dispositions nécessaires en s’interrogeant sur quel type d’homme voulons nous former ? Quel type de société voulons-nous construire ? Ceci est valable aussi dans le domaine de la pêche, de la santé et de l’agriculture.

Donc la loi d’orientation de l’éducation a pour vocation de traduire les finalités sous forme de lois votées par l’assemblée nationale et promulguées par le président de la république.

I/ CONTEXTE

La loi n° 71-36 du 3 juin 1971 portant orientation de l’Education nationale, a défini les objectifs que le Sénégal libre assignait à l’éducation. Ces objectifs, résumés à l’article premier, demeurent encore valables aujourd’hui. Comment, en effet, ne pas souscrire aux affirmations selon laquelle l’Education nationale doit tendre :

1. « à élever le niveau culturel de la nation »

2. « à former des hommes et des femmes libres, capables de créer les conditions de leur épanouissement à tous les niveaux, de contribuer au développement des sciences et de

la technique et d’apporter des solutions efficaces aux problèmes du développement national » ?

Mais, si la volonté qui animait alors le législateur de faire de l’Education nationale un instrument apte « à préparer les conditions d’un développement intégral assumé par la nation toute entière » et dont la mission constante est de maintenir l’ensemble de la nation dans le courant du progrès contemporain et a également animé les responsables chargés de mettre en œuvre la politique éducative du pays, il faut reconnaître que tous les espoirs dans la rénovation de notre système éducatif inaugurée en 1971 n’ont pas été comblés.

Malgré la croissance continue des effectifs, trop nombreux sont les enfants qui ne peuvent bénéficier de l’instruction à laquelle ils ont droit ; de ce point de vue, l’enseignement moyen pratique qui devrait accueillir les élèves issus de l’enseignement élémentaire non reçus dans les collèges est resté à un état pour ainsi dire embryonnaire et ne répond pas, de très loin, à l’idée généreuse qui l’avait fait créer. L’utilisation de nos langues nationales à l’école n’a pas dépassé le stade expérimental et des différentes réformes des programmes n’ont pas supprimé le caractère à bien des égards extraverti de notre enseignement. Enfin, la prééminence de la théorie sur la pratique dans les contenus et les méthodes comme celle de la formation initiale sur la formation continue, empêche notre système éducatif de répondre pleinement aux exigences de notre développement. C’est ainsi que les états généraux de l’Education et de la formation, réunis à l’initiative du Chef de l’Etat en janvier 1981, se sont fait l’écho d’un profond malaise, pour ne pas dire d’une crise, traversant l’ensemble de notre école, ressenti par tous les acteurs de l’éducation, élèves, parents et enseignants. Même si le constat global d’échec dressé lors de ces journées mémorables a été durci, du fait même de la déception éprouvée par beaucoup après dix années d’application de la loi de 1971, et s’il faut nuancer le jugement négatif porté sur notre système éducatif, en portant en particulier à son crédit le souci constant qui a été jusqu’à présent le sien de maintenir un haut niveau des études et une grande qualité des formations dispensées, il n’en demeure pas moins que, sous bien des aspects, notre école se trouve mal adaptée aux réalités nationales dominées par les exigences du développement.

Les Etats généraux de l’Education et de la Formation concluaient à la nécessité « d’une refonte radicale de notre système éducatif, dans la perspective d’une nouvelle école plus conforme aux aspirations profondes du peuple sénégalais, à la maitrise des conditions scientifiques et techniques de notre développement intégral, à la démocratie, à la justice sociale, à la paix, au progrès humain ».

De la libre discussion menée au sein des Etats généraux, sont sorties des propositions de réforme qui ont été unanimement adoptées par les participants, représentants de toutes les couches et de toutes les tendances de la population. Approfondies et précisées au cours des travaux de la Commission Nationale de Réforme de l’Education et de la Formation, ces propositions ont été soumises au Président de la République et, pour la plupart, retenues par le Gouvernement.

Les grandes lignes de l’Ecole nouvelle se trouvent donc tracées, et le cadre établi par la loi d’orientation de 1971 se révèle désormais inadéquat, moins dans ses dispositions générales que dans l’organisation qu’il retenait pour notre système éducatif.

Les finalités les plus générales de l’Education nationale consistent à en faire un instrument capable de préparer les conditions d’un développement intégral, assumé par la nation toute entière, de promouvoir les valeurs dans lesquelles la nation se reconnaît, d’élever le niveau culturel de l’ensemble de la population.

II/ PRESENTATION DE LA LOI D’ORIENTATION

  1. Sur la forme

La loi d’orientation numéro 91-22 du 16 février 1991 de l’éducation nationale voté par l’assemblé nationale promulgué par le président est structurée de la façon suivante.

Elle comporte 5 titres.

Titre 1 : dispositions générales

Titre 2 : principes généraux de l’éducation nationale

Titre 3 : niveaux, structures et objectifs généraux de l’éducation

Titre 4 : administration et gestion de l’éducation

Titre 5 : disposition finale

Concernant le titre 1 relatif aux dispositions générales, nous avons 2 articles :

Le premier article comporte 3 alinéas

Le deuxième article comporte 4 alinéas

Le titre 2 relatif aux principes généraux de l’éducation nationale comporte 5 articles

Le troisième titre relatif au niveau structure et objectifs généraux de l’éducation englobe 7 chapitres :

Le chapitre 1 comporte les généralités avec un seul article2

Le chapitre 2 relatif au cycle fondamental comporte 4 articles.

Le chapitre 3 relatif au cycle secondaire et professionnel comporte 3 articles

Le chapitre 4 relatif à l’enseignement supérieur comporte 1seul article avec 2 alinéas

Le chapitre 5 relatif à l’éducation permanente de base intègre un seul article avec 2 alinéas

Le chapitre 6 relatif à l’orientation scolaire comporte 1 seul article avec 4 objectifs ou alinéas

Le chapitre 7 relatif à l’éducation spéciale comporte un seul article.

Le titre 4 relatif à l’administration et a la gestion de l’éducation comporte 3 articles

En fin le titre 5 relatif aux dispositions finales comporte 1 seul article

Au total, la loi d’orientation de l’éducation nationale comporte 5 titres, 7 chapitres, 23 articles et 15 alinéas.

  1. Sur le fond

La loi numéro 91-22 du 16 février 1991 portant l’orientation de l’éducation nationale. Elle abroge et remplace la loi numéro 71-66 du 03 juin 1971 et fixe conformément à la conclusion des Etats Généraux de l’Education et de la Formation (EGEF), les finalités et les principes généraux de l’éducation. Elle fixe également le découpage en cycle d’enseignement, de même que les grandes lignes de l’administration et de gestion du système.

  1. Dispositions Générales

Les dispositions générales de la présente loi d’orientation 91.22 du 30 Janvier 1991 montrent le vœu de l’Etat de former des hommes et des femmes capables de travailler efficacement à la construction du pays. L’éducation porte un intérêt particulier aux problèmes économiques, sociaux et culturels rencontrés par le Sénégal dans son effort de développement et elle garde un souci constant de mettre les formations qu’elle dispose en adéquation avec les problèmes de la société. Elle permet aux hommes et aux femmes qu’elle forme d’acquérir le sens civique, une bonne moralité, des connaissances nécessaires à leur insertion harmonieuse dans la communauté et à leur vie active. Elle contribue à faire acquérir à ces populations la capacité à transformer le milieu et la société en aidant chacun à épanouir ses potentialités ; cela par le biais d’une formation qui lie l’école à la vie sociétale telle que la théorie passe à la pratique, l’enseignement à la production, en adaptant les contenus , objectifs et méthodes aux besoins des enseignés et des filières les plus aptes à l’épanouissement optimal de leur possibilité, en prenant en charge l’éducation des handicapés. Elle est une éducation de liberté de démocratie pluraliste et respecte les droits de l’homme.

Elle établit entre les différentes filières et les différents paliers de l’éducation les passerelles permettant les orientations et les promotions souhaitées et jugées légitimes et mettant en place une éducation spéciale qui prend en charge les victimes des différents handicaps ou inadaptation, pour réaliser leur intégration ou réinsertion scolaire et sociale.

  1. Principes Généraux de l’Education Nationale

Ces éléments constitutifs sont aujourd’hui une partie sur lequel se posent la qualité et le niveau de l’Education Sénégalaise.

Ainsi l’Etat étant le responsable majeur de l’Education, il garantit aux citoyens l’effectivité du droit à l’Education en mettant en place un système éducatif et de formation ; les collectivités locales et publiques contribuent à l’effort de l’Etat en matière de l’éducation de même que les parents qui se doivent d’inscrire leur enfant dès l’âge de 6 ans et de contrôler leur assiduité à leur cours jusqu’à l’âge de 16 ans. L’initiative privée, individuelle ou collective peut contribuer à l’œuvre d’éducation et de formation dans les conditions définies par la loi.

L’Etat veille sur la qualité et le niveau de l’éducation et de formation qui se feront sur des principes de laïcité et de démocratie. L’enseignement religieux sera dispensé selon le désir des parents ou non. L’éducation s’inspire du droit reconnu à tout être humain de recevoir l’instruction et la formation correspondant à ses aptitudes , sans discrimination de sexe , d’origine sociale , de race , d’ethnie de religion ou de nationalité. Elle développe l’enseignement des langues nationales, instruments privilégiés pour donner aux enseignés un contact vivant avec leur culture et les enraciner dans leur histoire, elle forme un Sénégalais conscient de son appartenance et de son identité.

Dispensant une connaissance approfondie de l’histoire et des cultures africaines dont elle met en valeur toutes les richesses et tous les rapports au patrimoine universel, l’Education nationale souligne les solidarités du continent et cultive le sens de l’unité africaine.

L’éducation nationale reflète également l’appartenance du Sénégal à la communauté de culture des pays francophones en même temps qu’elle est ouverte sur les valeurs de civilisation universelle et qu’elle développe l’esprit de coopération et de paix entre les hommes.

L’Education nationale dans son article 7 de la loi 91.22 vise enfin l’éradication de l’analphabétisme et la promotion sociale de tous les citoyens. Elle est permanente et au service donc du peuple sénégalais.

  1. Niveaux, Structures et Objectif Généraux de l’Education

Le système scolaire et universitaire Sénégalais est organisé en différents cycles, fixés ainsi qu’il suit, selon l’âge des enseignés et le type de formation recherché, fondamental, secondaire et professionnel, et l’enseignement supérieur.

Concernant le cycle fondamental : il est subdivisé en une éducation préscolaire et en un enseignement polyvalent unique, comprenant successivement un enseignement élémentaire et un enseignement moyen.

A l’issue de ce cycle l’élève est muni des éléments essentiels pour son adoption ultérieure à la vie professionnelle.

Il accède le cas échéant au cycle secondaire et professionnel. L’éducation préscolaire accueille les jeunes enfants qui n’ont pas atteint l’âge de la scolarisation dans l’enseignement polyvalent.

L’objet de l’éducation préscolaire est d’ancrer les enfants dans les langues et les valeurs culturelles nationales, en vue de consolider leur identité et de les prémunir contre les risques d’altération culturelle de favoriser le développement de leurs différentes aptitudes psychomotrices intellectuelles et sociales, pour leur permettre d’épanouir leur personnalité propre et construire les bases des apprentissages scolaires.

L’enseignement élémentaire polyvalent à pour objet d’éveiller l’esprit de l’enfant par des activités propres à permettre l’émergence et l’épanouissement de ses potentialités sensori-motrices et effectives, d’enraciner l’enfant dans la culture des valeurs nationale, de faire acquérir à l’enfant la maitrise des éléments de base de la pensée logique et mathématiques ainsi que celle des instruments de l’expression et de la communication, de valoriser le travail manuel, d’initier l’enfant aux techniques élémentaires impliquées dans les activités de production, de veiller aux intérêts et activités artistiques, culturelles , physiques et sportifs , par le plein épanouissement de la personnalité de l’enfant, de contribuer, avec la famille notamment, à assurer l’éducation sociale, morale et civique de l’enfant. L’enseignement moyen polyvalent a pour objectif de parfaire le développement chez l’élève des capacités d’observation, d’expérimentation, de recherche, d’action pratique, de réflexion d’explication, d’analyse, de synthèse, de jugement, d’invention et de création, de renforcer la maitrise de la pensée logique et mathématique de l’élève, d’enrichir son instrument d’expression et d’entendre ses capacités de communication, d’effacer la hiérarchie entre activités théoriques et activités pratiques, de familiariser l’élève avec les différents aspects du monde du travail et de l’initier aux activités productives, d’approfondir l’intérêt et les dispositions de l’élève pour les activités artistiques , culturelle , physiques et sportives , de contribuer à compléter l’éducation sociale, morale et civique de l’élève.

Le Cycle secondaire et professionnelle reçoit les élevés issus de l’enseignement polyvalent qui désirent poursuivre leurs études et qui sont aptes à le faire. Il comporte un enseignement secondaire et une formation professionnelle entre lesquels existent les passerelles permettant les réorientations éventuelles. A l’issue du cycle secondaire et professionnel, les élèves accèdent soit à l’activité professionnelle, soit à l’enseignement supérieur.

L’enseignement secondaire, général ou technique, donne aux élèves les connaissances et aptitudes nécessaires pour l’accès aux différentes filières de l’enseignement supérieur, tout en enrichissant et approfondissant la formation acquise antérieurement. Son objet est de donner aux élèves une formation solide dans les disciplines fondamentales de la science de la technique et de la culture, de faire acquérir aux élèves une maîtrise suffisante des méthodes de la recherche scientifique et technique, d’approfondir les connaissances qu’ont les élèves des processus de production , de familiariser les élèves avec les grandes œuvres de la culture nationale, de la culture africaine , de la francophonie et de la culture universelle.

La formation professionnelle dispensée dans les écoles professionnelles moyennes ou en apprentissage , prépare à l’entrée dans la vie active en faisant acquérir aux élèves les connaissances aptitudes et compétences théoriques et pratiques nécessaires à la maitrise et à l’exercice d’un métier déterminé.

Les formes de contenus et objectifs de la formation professionnelle variant suivant les exigences propres aux différents métiers et les structures où elle est dispensée, sont modulées selon les besoins et moyens nationaux. Et en dernier lieu, arrive l’enseignement supérieur qui vise à former les agents de développement dont le Sénégal et l’Afrique ont besoin pour jouer un rôle important dans la création et le développement de la pensée et de la science universelle ; il a pour mission de former les personnels de haut niveau adaptés au contexte africain et du monde contemporain capable de servir leur peuple avecdévouement , de développer la recherche dans toutes les disciplines de la science , de la technique et de participer à la solution des problèmes nationaux et continentaux. C’est l’enseignement supérieur qui a la charge de faire acquérir aux étudiants les connaissances et méthodes d’investigation les plus avancés dans toutes les disciplines de mener des actions de formation permanente et de recyclage d’élaborer , de critiquer et de diffuser les nouvelles connaissances se constituant comme lieu d’interaction et de coopération entre le monde du travail et les centres de décision économiques ,techniques , administratifs et scientifiques.

L’orientation scolaire est une modalité d’évaluation des procédures de passage d’une classe à une autre ou d’un cycle à un autre, des examens et formations, et vers l’éducation spéciale qui se fondent à tous les niveaux sur le souci permanent de doter à chacun des possibilités les plus larges d’éducation pour l’épanouissement optimal de ses potentialités et de sa personnalité et sur le respect scrupuleux des exigences démocratiques d’équité et de transparence.

En plus de ces trois niveaux il ya l’éducation permanente de base et l’éducation spéciale.

  • Education permanente de base

L’éducation permanente de base a pour vocation d’accueillir ceux qui n’ont pas pu fréquenter ou qui ont dû quitter à un moment à un autre les structures proprement scolaire. Elle est organisée selon deux niveaux

-1er niveau qui vise à satisfaire les besoins en formation des communautés de base (alphabétisation des masses, éducation et formation nécessaire à l’amélioration des conditions d’existence…)

-un second niveau destiné au recyclage, au perfectionnement à l’élévation du niveau culturel des citoyens dotés d’une formation professionnelle par l’intermédiaire des écoles professionnelles.

  • Education spéciale

L’éducation spéciale, partie intégrante du système éducatif, assure la prise en charge médical, psychologique, et pédagogique des enfants présentant un handicap de nature à entraver le déroulement normal de leur scolarité ou de leur formation ; son objet est de dispenser aux jeunes handicapés une éducation adaptée à leurs besoins et à leurs possibilités en vue de les intégrer dans les structures scolaires ou de formation commune.
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