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Dr. BOUADAM KAMEL Faculté des sciences économiques et de gestion Université Farhat Abbas Sétif, Algeria téléphone : 036 93 95 27 Email: Bouadamkamel@Yahoo.fr Titre de la communication « Entre chômage, précarité et dépermanisation, quelle politique à mettre en œuvre par les pouvoirs publics algériens » Axe N° 2 Dr. Bouadam Kamel * & Dr. Meliani Hakim Résumé Le chômage est un phénomène mondial. Il a atteint en 2009 un niveau record. Plus de 200 millions de personnes, soit 7 % de la population active mondiale, cherchaient du travail. L’Algérie ne constitue pas un cas isolé. L’Algérie n’échappe pas à ce problème et la gravité du chômage qui frappe notre société est un réel problème, et ce n’est pas le traitement social qui est en fait aujourd’hui qui pourra endiguer la question. La gestion du chômage qui mise en œuvre par les pouvoirs publics, ne règle en rien ni la précarité, ni la pauvreté des travailleurs en plus qu’elle coûte très chère à l’ Etat. Le financement de ce soutien aux chômeurs à la recherche d’un emploi est rendu possible grâce à l’embellie que connaît le pays (hausse du baril de pétrole). Les nouvelles politiques de l’emploi et de lutte contre le chômage semblent avoir concilié régulation sociale et compétitivité économique imposée par la mondialisation de l’économie, partout où elles sont mises en œuvre en Europe. Peut-on tirer quelques enseignements pour notre pays ? Il faudrait alors que l’Etat revoie fondamentalement son rôle et la nature de ses interventions : en lieu et place du financement très onéreux des emplois crées, précaires et très souvent sans lendemain, il doit réorganiser le marché du travail, l’encadrer et mettre en place de véritables instruments de recyclage, de requalification et de formation des travailleurs. Est-il nécessaire de rappeler, encore une fois, que dans ce domaine aussi, nous sommes loin du compte. Le marché de l’emploi, son évolution et ses perspectives constituent actuellement l’une des priorités du programme d’action entamé par les pouvoirs publics. La tache reste d’autant difficile tant les objectifs de la réorganisation du marché de l’emploi ne touchent pas uniquement le volet juridique Les pouvoirs publics initièrent alors une politique de promotion de l emploi avec le soutien financier de l État et ciblant les jeunes demandeurs d emploi. Cette politique allait se développer dans le cadre d un dispositif de promotion et de préservation de l emploi de plus en plus diversifié et dont la mise en œuvre et le développement se poursuit à ce jour. Il est indispensable de comprendre la dynamique et la nature du chômage dans le pays pour mettre au point des politiques qui soient compatibles avec la continuation des réformes, en même temps, s'attaque aux difficultés qui soulèvent la forte contraction de l'emploi. Dans notre contribution, on essaiera de décortiquer l’effort colossal de l’État à partir de l’ensemble des dispositifs mis en place jusqu’à ce jour et d’en situer les carences. De tirer des leçons pour notre pays. Aussi, de voir comment l’Etat doit agir et la nature de ses interventions. Mots clés : Chômage – précarité - dépermanisation - politique d’emploi – Algérie ________________________________________________________________ * Responsable du PNR intitulé « Emploi, précarité et création d'entreprises dans la Wilaya de Sétif » Introduction L’objet de ce travail est d’essayer de situer la question de l’emploi en Algérie durant les dernières années en relation avec les transformations ayant affecté le système socio-économique du pays et leurs effets récents sur le marché du travail. Plusieurs études ont été réalisées depuis 2000, tant par les organismes publics que par des bureaux d’études et, encore par le BIT, convergent tous sur un point central : la difficulté de saisir la mesure de l’emploi et son corollaire, le chômage, du fait de la faiblesse du système d’information statistique et de la discordance et la dispersion des données. Cela est d’autant plus dommageable que l’ampleur et l’accélération des changements dans la structure et l’organisation de l’économie produisent des conséquences profondes et durables sur les conditions du travail et des effets à long terme difficilement réversibles sur les politiques de l’emploi et de la formation. Les phénomènes les plus apparents sont l’extension de la précarité, la prédominance déjà relevée de l’emploi informel, l’expansion du travail des femmes, le rétrécissement de la sphère du droit et de la légalité. Au delà des chiffres sur la situation de l’emploi, objet de controverses, c’est davantage l’examen des tendances du marché du travail qui retiennent l’attention du fait de l’instabilité des politiques globales dans le contexte de la transition à l’économie de marché, des lenteurs et retards qui l’affectent. 1 - Caractéristiques du marché de l’emploi Le marché de l’emploi en Algérie est actuellement sous l’impulsion de profondes mutations dues en grande partie aux phénomènes suivants :
2 – Dépermanisation de l’emploi En Algérie, l’emploi a subi un changement profond : La dépermanisation a vite fait d’installer un climat de psychose parmi les travailleurs qui ont appris sans comprendre qu’un poste de travail n’est jamais assuré. Maintenant, il ne suffit plus de parler de taux de chômage dont les pouvoirs publics se plaisent à inscrire dans la tendance à la baisse depuis ces dernières années, mais faut-il encore garder son emploi. Les actions de dépermanisation engagées dans le cadre des restructurations industrielles et le recours systématique à l’embauche à durée limitée (Contrat à durée déterminée : CDD) ont précarisé la situation socioprofessionnelle de la majorité des travailleurs algériens. Jusqu’à une date très récente protégés par une législation de travail le SGT qui leur garantissait la pérennité de leur emploi malgré les résultats décevants de la majorité des entreprises nationales, les travailleurs, notamment ceux recrutés après 1998, sont pratiquement tous soumis aux rigueurs des contrats à durée déterminée. La dépermanisation opérée à la faveur des restructurations industrielles à la fin des années 90 et les aménagements apportés au droit du travail dans le but de rendre l’emploi plus flexible feront du CDD le mode de travail le plus utilisé en Algérie. La précarité de l’emploi étant devenue la règle, le CDD s’est imposé donc comme instrument de gestion des carrières qui peuvent fatalement prendre fin sur simple décision de l’employeur. Si la dépermanisation constitue une aubaine pour les entreprises publiques pour faire dégraisser leur effectif pour le mettre à la norme, l’application contestable qu’en feront certains gestionnaires suscite déjà des interrogations. Le cas des contrats de travail non reconduits pour des raisons qui demeurent parfois subjectives sont en effet légion, de même qu’il est fait souvent état des contractuels licenciés dans le seul but de libérer des postes d’emploi à des affinités personnelles. Bien qu’il est difficile de porter un jugement sur les objectifs pour lesquels la dépermanisation a été mise en œuvre ( rentabilité et performance des entreprises publiques) , plus personne ne remet en cause ce mode aujourd’hui . Les griefs portent uniquement sur sa mise en œuvre par certains chefs d’entreprises zélés qui enfreignent la législation du travail et bafouent les droits des travailleurs. En cette période de rareté de l’emploi, la dépermanisation est devenue une arme aux mains des employeurs qui abusent parfois pour faire subir au travailleur les pires ennuis que ce dernier accepte pour préserver son poste. Il est plus que nécessaire de réfléchir sur les actions à mettre en œuvre en vue d’empêcher que les contrats à durée déterminée ne deviennent des instruments de chantage. Les contrats de travail à durée déterminée sont devenus la règle dans les relations de travail 3 - Généralisation de la précarité de l’emploi L’emploi en Algérie est d’autant plus précaire que le pays en pleine transition vers l’économie de marché est sous le joug des recommandations des instances internationales : institutions monétaires et financières, les politiques d’ajustement structurel n’ont fait qu’accentuer la régression de l’emploi et surtout l’accentuation de la pauvreté. Les données officielles sur le marché de l’emploi demeurent toujours arbitraires, contradictoires pour ne pas dire secrètes, alors que les phénomènes du chômage et de la précarité touchent de plus en plus une grande frange de la population. Il faut reconnaître que la question de l’emploi n’est pas une simple question technique qui se résume à des chiffres ou à un taux de chômage qui baisse ou qui grimpe. Le phénomène de la précarité est bien plus accentué surtout que les chiffres officiels sur l’évolution du taux de chômage ne sont pas confirmés et prêtent à plus de retenue. Quand on parle de création d’emploi on ne précise pas la nature de ces emplois, les catégories sociales qui en bénéficient et les secteurs d’activités qui en sont les pourvoyeurs. Aussi, au-delà des statistiques sur le chômage, le débat sur l’emploi implique des considérations tant sur le plan économique que sur les plans social et politique. La précarité de l’emploi induit une grande instabilité sur le plan sociopolitique. En clair ce phénomène peut engendrer des mécontentements et surtout une défiance des couches les plus touchées à l’égard de l’ordre politique. En Algérie, les emplois créés ne produisent pas des effets d’intégration économique et sociopolitique. Bien au contraire, les emplois ne permettent pas d’accéder à un niveau de vie décent. Les travailleurs accèdent à peine à un segment de la consommation et autant dire qu’ils consomment pour subsister. Nous sommes dans une étape où l’emploi sert juste à la reproduction de la force de travail. Certes aujourd’hui, il y a plus de création d’emplois, mais il y a paradoxalement plus de pauvreté. Les citoyens ont besoin d’avoir deux voir trois emplois pour accéder à un taux d’intégration qui devrait être garanti par un seul emploi. Ceci est dû essentiellement au fait que les niveaux de salaires n’offrent guère la possibilité de satisfaire aux besoins les plus élémentaires comme le logement, la santé l’éducation et autres … Il n’ y a pas de vraie politique d’emploi en Algérie, d’autant que l’Etat se désengage de plus en plus de la vie économique. Pour concevoir une politique de l’emploi qui favorise la cohésion sociale, il faut d’abord des investissements productifs durables. L’Etat n’est pas en revanche en mesure encore de ramener l’investissement hors hydrocarbures tant attendu. Quant à sa mission de régulation et mise en place de politiques alternatives de création d’emplois ainsi que de formation en rapport avec les mutations de plus en plus insaisissables de notre économie, le pays a encore beaucoup à faire dans l’imitation des pays où marché arrive à gouverner. Ce marché qui pour le moment, malheureusement n’existe pas encore tant l’offre est insignifiante et une demande irrecevable. 4 –Apports et carences : des dispositifs de soutien à l’emploi 4.1 – Indices sur l’évolution du marché de travail. (Polémiques sur les données chiffrées sur le chômage) Le marché de l’emploi, son évolution et ses perspectives constituent actuellement l’une des priorités du programme d’action entamé par les pouvoirs publics. La tache reste d’autant difficile tant les objectifs de la réorganisation du marché de l’emploi ne touchent pas uniquement le volet juridique. De fait, les dispositifs d’insertion à l’emploi mis en place, depuis ces dernières années, ont relancé la dynamique du marché de travail. Toutefois, les limites sont fortement apparues et le problème du chômage devient inquiétant. Les indices chiffrés les plus pertinents pour analyser le marché du travail en Algérie sont représentés par :2 - L’évolution de la population active entre 1996 (en pleine période d’ajustement structurel) et 2010 est caractérisée par l’accroissement substantiel de l’effectif des personnes occupées, avec une baisse substantielle du nombre des chômeurs - Une progression importante de la population active, qui est passée de 6.220.000 en 1992 à 7.490.000 en 1995 et 9.500.000 en 2009. Cette progression de plus de 15% a permis de faire baisser le taux de chômage de 30% en 1999 à 10,2% en 2009. - Une demande additionnelle annuelle moyenne d’emplois en constante augmentation, passant en volume de 250.000 jeunes primo demandeurs qui arrivent sur le marché du travail durant la période 1990-1995 à prés de 300.000 de 300.000 pour la période 1995-2000 (258.000 en 1999, selon les estimations des services de la planification) ; - Un stock de chômeurs évalué à prés de 2.510.000 en 1999 dont 1.487.000 soit 60 % en milieu urbain ; - Un chômage qui affecte particulièrement les tranches d’âge 15-19 ans et 20-24 ans qui totalisent 1.275.000 demandeurs d’emplois, pour la majorité sans formation, ni qualification ; Le chômage concerne aussi la population féminine dans une proportion de l’ordre de 12 % du total des demandeurs d’emplois. Tableau 1 : Evolution de la population active et du chômage durant la période 1994-2009 (Unité : en milliers)
Source : IMF, Algeria, Statistical Appendix & ONS Les controverses sur les données du chômage expriment toute la difficulté de le caractériser dans les conditions d’une économie en mutation ou les changements, souvent brutaux, affectent l’ensemble des facteurs – politiques, économiques, sociaux, sociologiques - de résorption de la crise. 10,2 % pour certains, 17 ou 18 pour d’autres, 26% sur les études les plus pertinentes, quelques soient les chiffres, le chômage est un problème grave pour l’Algérie, qui commande des réponses appropriées en urgence. En même temps, sa solution ne peut s’accommoder de mesures provisoires. Il en va de l’avenir immédiat, de la stabilité nécessaire pour terminer les transitions et asseoir la mutation de l’économie. Ces chiffres positifs semblent être contestés par plusieurs sources en Algérie qui estiment que c'est de " la simple falsification», d'annoncer que le taux de chômage s'est établi à 11% alors le quotidien social de tous les jours contredis cette réalité où beaucoup de jeunes vivent au chômage depuis très longtemps y compris les jeunes diplômés universitaires qui sont de plus en plus touchés par ce fléau. Des organismes internationaux à leur tête 'the Oxford Business Group" et sur la base des études menées par des experts affirment que le taux de chômage en Algérie avoisine les 30% ce qui contredis les chiffres annoncés par l'ONS et le gouvernement algérien. De même Mohamed Saïb Musette, spécialiste de la migration internationale, du travail et de la jeunesse vient quelque peu réfréner l’optimisme officiel en matière d’emploi en déclarant que « le marché du travail en Algérie reste, pour des pans entiers, dans l’opacité totale. » La nouvelle configuration de l’emploi en Algérie depuis le début des années 2000, a subi une nette évolution qui fait que, sur les 9,5 millions de population active occupée, le secteur privé détient actuellement la palme avec 6,236 millions d’employés. Ainsi, deux personnes sur trois exercent dans le secteur privé. Dans la répartition par sexe, 68 % des hommes travaillent chez le privé, tandis que 50,5 % de femmes travaillent dans le secteur public. Les chiffres de l’ONS concernant la répartition par nature des activités exercées montrent que le secteur tertiaire (services, administration, commerce) emploie 56,1 % de la main-d’œuvre, le secteur bâtiment-travaux publics (BTP) emploie 18,1 %, l’agriculture 13,1 % et l’industrie 12,6 %. En plus de cette configuration des emplois par type d’activité et par employeur, l’emploi se caractérise aussi par la durabilité ou la stabilité dont il bénéficie. Ainsi, sur l’ensemble de la population occupée, seules 33,1 % des personnes possèdent des emplois permanents. 50 % des demandeurs d’emploi ne trouvent jamais d’emploi. Pour 531 000 demandeurs d’emploi, le temps qu’il a fallu pour dégoter un poste d’emploi dépasse deux années. Les salariés permanents représentent 35% du total des actifs contre 36% pour les salariés non permanents, les apprentis et les aides familiaux tandis les employeurs et indépendants représentent 29% du total de la population active. Il demeure toutefois inélastique aux efforts financiers engagés par les pouvoirs publics sous forme de soutien à l’emploi par la mise en place de tout un arsenal de dispositifs. L’enveloppe allouée durant la période 1999-2003, avoisine les 80 milliards de dinars3. Personne ne peut nier que l’emploi a connu une forte croissance au cours des dernières années et il s’agit d’un résultat extrêmement positif et inespéré. Le bon sens dicterait plutôt que l’effort soit poursuivi en mieux, en mettant en oeuvre les reformes nécessaires a la croissance de l’économie. Pour l’ONS, le taux de chômage s’établirait à 10,2 % en 2010, soit une baisse de 1,1 % par rapport à 2008 contre 15 % en 2007. Ainsi en 2010, 1,072 million de personnes sont touchées par le chômage sur une population active estimée à 10,5 millions de personnes, la population active occupée étant de 9,4 millions de personnes avec un taux d’occupation de 26,9 %, les hommes avec 84 % contre 15 % pour les femmes. Cela signifie en supposant une demande additionnelle de 200.000 emplois durant le premier semestre 2011 (la demande est en principe de 400.000 par an avec une sous-estimation de la demande féminine), nous aurons 1.250.000 moins 1.090.345, alors reste pour toute l’Algérie 159.780 chômeurs (il n’y a plus de chômeurs en Algérie) soit le pays le plus développé du monde. Que nos responsables visitent les wilayas d’Algérie pour vérifier leurs données. Ayant eu à diriger un audit avec une équipe pluridisciplinaire exclusivement algérienne sur l’emploi et les salaires pour les pouvoirs publics entre 2007/2008, je tiens à faire les remarques suivantes déjà contenues dans ce rapport. Il existe une loi économique valable pour tout pays, le taux d’emploi est fonction du taux de croissance et des structures des taux de productivité, la crise mondiale actuelle étant une crise de la sphère réelle. Comment avec un taux de croissance selon les rapports internationaux de ¾ % entre 2010/2011 peut-on avoir créé autant d’emplois ? La dépense publique est de 480 milliards de dollars (200 entre 2004/2009 et 286 entre 2010/2014 dont 130 de restes à réaliser (surcoûts, mauvaise gestion, voir le rapport de la BM remis aux autorités algériennes janvier 2008 sur l’inefficience de la dépense publique). En fait, le pays dépense deux fois plus pour avoir deux fois moins de résultats par rapport aux pays similaires du niveau du bassin méditerranéen selon une récente étude pour la région MENA. Des calculs précis que je peux mettre à la disposition des lecteurs, montrent clairement que sur les 6% de croissance hors hydrocarbures officiellement 80% l’ont été par la dépense publique via les hydrocarbures et que les entreprises évoluant dans le cadre des valeurs internationales contribuent à moins de 20% du produit intérieur brut. Pour preuve l’Algérie exporte 98% en hydrocarbures brut et semi-brut et importe plus de 70% de ses besoins. Toujours dans ce cadre, 70% de la dépense publique ont été absorbés par les infrastructures (dont BTPH) qui ne sont qu’un moyen, l’entreprise et le savoir étant dévalorisés. Après la fin des chantiers que deviendront ces milliers de travailleurs en espérant une non-chute brutale du cours des hydrocarbures due à la crise mondiale ? Pour preuve, le poste services est passé de 4 milliards de dollars en 2004 à plus de 11 milliards de dollars entre 2010/2011 avec ce paradoxe fuite des cerveaux algériens et appel à l’assistance étrangère. |
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