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Palatii. Le mont Palatin, situé à peu près au centre des sept collines sur lesquelles la ville s'était successivement étendue, les dominait toutes. Ce lieu, premier berceau de Rome, offrait donc dans les temps de trouble la position la plus favorable pour établir des postes de surveillance et résister aux tentatives populaires. C'était en même temps le plus beau, le plus salubre quartier de la ville, celui que les plus riches citoyens aimèrent toujours à habiter, et où demeuraient Cicéron et Catilina lui-même. Octave et Tibère s'y établirent plus tard, et achetèrent alors la plupart des habitations particulières pour agrandir leurs somptueux palais. 2. Urbis vigiliae. A la nouvelle donnée par L. Saenius, que Mallius avait pris les armes en Etrurie, le sénat avait ordonné, entre autres mesures de précaution et de défense, que des postes seraient établis dans tous les quartiers de la ville et placés sous la main des magistrats inférieurs (Sall. Cat., xxx). 3. Munitissimus locus. Entre les différents édifices dont le consul avait le choix pour tenir les assemblées du sénat, et qui, pour la plupart, étaient des temples (les autres étaient des curies), Cicéron avait préféré, dans cette circonstance critique, celui de Jupiter Stator, comme étant le plus à l'abri d'un coup de main par sa situation à l'extrémité d'une des grandes voies (la voie neuve), et au pied du mont Palatin. 4. Ora vultusque. L'entrée de Catilina dans le sénat avait été accueillie par les signes de répulsion et de mépris de tous les sénateurs. 5. Superiore nocte. Venant après le mot proxima, qui désigne la nuit qui avait précédé immédiatement la séance, superiore s'applique à celle d'auparavant, c'est-à-dire celle où s'était tenue chez Léca l'assemblée dans laquelle avait été résolue la mort de Cicéron (Voy. chap. IV). 6. P. Scipio. Scipion Nasica, fils de Scipion le Censeur et petit-fils de celui qui avait été déclaré le plus honnête homme de la république (optimus), et avait été chargé à ce titre de recevoir la mère des dieux arrivant de Pessinonte. Il avait tué de sa main, au milieu du forum, le tribun Tib. Gracchus, qui, par des harangues séditieuses, cherchait à soulever le peuple contre le sénat ; et cependant Gracchus était beaucoup moins coupable que Catilina, puisqu'il n'attaquait qu'un des ordres de l'Etat. 7. Privatus. La dignité de grand pontife n'étant pas une magistrature, ne donnait pas un caractère public à celui qui en était revêtu. 8. C. Servilius Ahala. Il avait été choisi pour général de la cavalerie par l'illustre dictateur Cincinnatus, et envoyé par lui pour sommer Sp. Mélius de comparaître à son tribunal. Celui-ci, accusé par le sénat d'aspirer à la tyrannie, pour avoir fait dans un temps de disette des distributions gratuites de grain au peuple, dont cette générosité l'avait rendu l'idole, refusa d'obéir à l'ordre de Cincinnatus. Servilius Ahala le tua, et sa conduite fut approuvée par le dictateur. 9. Senatusconsultum. Le premier soin de Cicéron alarmé avait été de provoquer de la part du sénat le décret dont la formule solennelle : Danto operam consules, ne... mettait entre les mains des consuls une véritable dictature temporaire (Sall, Cat., XXIX). 10. C. Gracchus. Les Gracques avaient pour père Sempromus Gracchus, censeur, deux fois honoré du consulat et du triomphe, et pour aïeul le premier Scipion l'Africain. C. Gracchus fut tué dans un soulèvement, par le parti de la noblesse, dont le consul Opimius était le chef. 11. M. Fulvius. Consul et triumvir, ami des Gracques, il seconda leurs tentatives, fit exécuter la loi agraire, et voulut faire donner le droit de bourgeoisie à tous les peuples d'Italie. Il succomba dans la même circonstance et en même temps que C. Gracchus. Opimius eut la barbarie d'immoler aussi ses deux fils, dont l'un était encore enfant (Voy. Sall, Jugurtha, XLII). 12. L. Saturninum. Il avait été questeur et deux fois tribun du peuple. En cette dernière qualité, il avait favorisé puissamment les élections de Marius à son quatrième et à son sixième consulat. Jaloux de se faire proroger dans le tribunat, il n'avait pas craint de se l'assurer par le meurtre de son compétiteur. Encouragé par ce premier succès, il fit tuer ensuite Memmius, qui disputait le consulat à Servilius Glaucia, associé ou plutôt complice de Saturninus. Mais, au bruit de cet attentat, les sénateurs coururent aux armes, et Marius, quoique favorisant en secret les desseins de Saturninus et de Glaucia, fut obligé de marcher contre eux, les vainquit et les fit mettre à mort. 13. In Etruriae faucibus. C'était à Fésules que Mallius avait réuni une armée composée, en grande partie, des vétérans de Sylla. 14. Certa de causa. Ce motif est celui qu'il explique aussitôt après et sur lequel il revient encore à la fin du discours. (Voy. ch. XI et XII). 15. Ante diem XII kalendas novembres. Les calendes étaient les premiers jours de chaque mois. Leur nom venait du mot calare, appeler, annoncer, parce que anciennement, et lorsque les computs des temps étaient soigneusement dérobés au public, à l'apparition de la nouvelle lune qui fixait les calendes, un petit pontife annonçait au peuple, convoqué pour cet objet devant la curie Calabra, sur le mont Capitolin, l'intervalle qui devait s'écouler des calendes aux nones, en répétant calo autant de fois que cet intervalle contenait de jours. En effet, les nones, la seconde division du mois, étaient mobiles, c'est-à-dire qu'elles revenaient tantôt le cinquième, tantôt le septième jour, mais constamment neuf jours avant les ides, ce qui leur avait fait donner leur nom. Enfin les ides, la troisième division, variaient aussi du treizième au quinzième jour du mois, mais de manière à le partager en deux intervalles égaux. Leur dénomination leur venait du vieux mot iduare, partager. Maintenant, si l'on veut se rendre compte des différentes dates citées dans les Catilinaires, il faut savoir que l'on comptait isolément les jours de chaque fraction du mois, et que la numération s'en faisait en rétrogradant ; ainsi, par exemple, si l'on se trouve dans un mois où les nones tombent le cinquième jour, le jour qui suit les calendes, c'est-à-dire le deuxième jour, s'appelle le quatrième avant les nones, etc., et le quatrième se nomme la veille des nones, pridie nonas. Il en était de même pour les deux autres fractions ; ainsi le dernier jour d'un mois s'appelait la veille des calendes du mois suivant, pridie kalendas ; et les autres jours, en remontant jusqu'aux ides, se désignaient par le nombre de ceux qui les séparaient des calendes prochaines. Donc, le douzième jour avant les calendes de novembre, correspondait, d'après notre manière de compter, au 20 octobre. 16. Diem VI. Ce jour répondait au 26 octobre. 17. Préneste. Ville du Latium, non loin de Rome, et dont Catilina voulait s'emparer, à cause de sa proximité même, qui en faisait un poste avantageux pour l'exécution de ses desseins. 18. Inter falcarios. Ce mot ne désigne pas des hommes armés de faux comme l'ont cru quelques interprètes, mais bien des ouvriers qui fabriquent des faux et des armes, des fourbisseurs. Rome était divisée en quatorze grandes régions, dont chacune renfermait plusieurs quartiers. Chaque région avait un numéro d'ordre, et un nom emprunté soit à quelque monument, soit à la localité principale de sa circonscription, soit même à sa situation topographique : par exemple, les régions de la porte Capène, du mont Coelius, du Forum, du Cirque Maxime, etc. Les quartiers, au nombre de près de deux cents, n'avaient point de numéro d'ordre, mais seulement un nom pris d'un magistrat ou d'un monument, et souvent du genre d'individus ou d'artisans qui l'habitaient. Inter falcarios ne signifie donc autre chose que in falcariorum vice. C'est parce que la maison de Léca se trouvait dans ce quartier éloigné que Catilina l'avait choisie, comme offrant un asile plus sûr. 19. Quosdam. Salluste (Cat., ch. XVII) nomme onze sénateurs attachés aux projets de Catilina. 20. Distribuisti partes Italiae. D'après Salluste, Catilina avait envoyé Mallius en Étrurie, Septimius dans le Picénum, et C. Julius dans l'Apulie, etc. 21. Ad incendia. Statinius et Gabinius étaient chargés de faire incendier à la fois douze quartiers désignés (Sall, Cat., ch. XLIII). 22. Duo equites romani. Suivant Salluste, ces deux chevaliers se nommaient C. Cornélius et L. Varguntéius. 23. Comperi. Au moyen des révélations de Fulvie, dans l'esprit de laquelle Q. Curius, l'un des conjurés, avait fait naître des soupçons par d'extravagantes promesses (Sall., Cat., ch. XIll). 24. Comitiis consularibus. Les comices tenus par Cicéron, et dans lesquels son influence avait fait désigner pour consuls Silanus et Muréna. 25. In campo. C'était dans le champ de Mars que se tenaient les comices pour les élections des magistrats. On distinguait trois sortes de comices : les comices par curies, les comices par centuries et les comices par tribus. L'institution des premiers remontait à Romulus, qui avait partagé tout le peuple en trois tribus, composées chacune de dix curies, Servius Tullius établit à son tour les comices par centuries : c'est le nom qu'il avait donné aux 193 nouvelles divisions dans lesquelles il avait partagé le peuple. L'ordre équestre en formait dix-huit ; les cent soixante-quinze autres se composaient du reste du peuple, et étaient distinguées en cinq classes qui prenaient rang suivant leur plus ou moins de richesse, et qui étaient toutes inégales entre elles quant au nombre de centuries qu'elles renfermaient. La première, par exemple, et la plus riche, en comptait quatre-vingts, et la cinquième, celle des prolétaires et des capitecensi, n'en avait que trente. Dans cette nouvelle combinaison, les votes se comptaient, non plus par tête, comme dans les comices par curies, mais par centurie ; et comme ils se recueillaient suivant l'ordre numérique, il en résultait que les centuries des riches formaient toujours une majorité suffisante avant qu'on les eût épuisées toutes, et que les affaires étaient décidées sans que les dernières centuries fussent seulement appelées à donner leurs suffrages, surtout la dernière de toutes, qui renfermait à elle seule plus de citoyens que toutes les autres ensemble. Après l'établissement des comices par tribus, les cent quatre-vingt-treize centuries de Servilius se trouvèrent réduites à quatre-vingt-deux, et les cinq classes à deux, celle des chevaliers et celle des simples citoyens. L'ordre équestre se composa de douze centuries et les soixante-dix autres furent réparties également dans les trente-cinq tribus. Pour garantir l'indépendance des comices par tribus, il fut réglé qu'à chaque réunion le sort déciderait laquelle des centuries donnerait son suffrage la première. Celle-ci prenait le nom de centurie prérogative, parce qu'elle exerçait sur les autres une influence morale si puissante que son vote devenait ordinairement celui de la majorité (Voy. pro Murena, ch. XVIII). La composition et les attributions des trois sortes de comices étaient différentes. Les seuls habitants de Rome avaient voix dans les comices par curies, où l'on élisait les magistrats inférieurs seulement. Dans les deux autres, où il s'agissait de l'élection des consuls et des premiers magistrats, les habitants des colonies et des villes municipales avaient le droit de suffrage. 26. Competitores tuos. Silanus et Muréna. 27. Amicorum praesidio. Le consul, pour rendre évidente aux yeux de tous la grandeur du danger qu'il courait dans cette circonstance, revêtit une cuirasse apparente, et se fit accompagner par ses amis (Voy. pro Murena , ch. XXVI). 28. Num in exsilium ? Tout accusé, quelle que fût la peine à laquelle il s'était exposé, même la mort, pouvait l'éviter en s'exilant lui-même (Voy. pro Caecina, ch. XXXIV). 29. Cui tu adolescentulo. Salluste, que l'on a cru pouvoir accuser d'une sympathie secrète pour Catilina, trace néanmoins un tableau bien plus énergique et bien plus complet de ses désordres (Voy. Sall, Catil, ch. XIV et XVI). 30. Superioris uxoris. Aurélia Orestilla, dans laquelle, dit Salluste, il n'y avait à louer que la beauté, avait inspiré à Catilina une si folle passion, que celui-ci fut soupçonné d'avoir fait mourir sa femme pour épouser cette courtisane. Il est vrai que ce crime ne fut jamais prouvé. 31. Alio... scelere. On regarda du moins comme certain le crime par lequel il écarta l'obstacle que formait encore à ses projets l'existence d'un fils déjà grand (Sall, Cat., ch. xv). Cicéron fait peut-être allusion de préférence à un autre crime dont il accusa formellement Catilina dans une autre circonstance (orat. in Toga candida), en disant qu'il avait épousé sa propre fille. 32. Idibus. Les ides étaient le treizième ou le quinzième jour de chaque mois. C'était l'époque à laquelle les débiteurs payaient à leurs créanciers l'intérêt des sommes empruntées. Aussi Catilina, écrasé de dettes, avait-il fixé l'exécution de ses projets au jour qui précédait immédiatement cette époque fatale. 33. Lepido et Tulle consulibus. Salluste parle (Catil, ch. XVIII) de cette conjuration du dernier jour de décembre 68, à laquelle on dit que César et Crassus prirent part, et qui ne manqua que par l'incertitude de César, qui, ne voyant pas paraître Crassus au moment convenu, ne donna pas le signal. 34. Non multa post commissa. Cicéron aurait pu citer en effet beaucoup d'autres crimes connus de tout le monde ; et c'est probablement ce qu'il a voulu dire. On trouve néanmoins dans plusieurs éditions : Non multo post ; et alors l'orateur ferait allusion seulement à une seconde tentative faite par Catilina, le 5 février suivant, dans le même but que celle qui avait échoué la veille des calendes de janvier ; cette tentative serait devenue inutile à son tour, mais par un motif contraire, par la trop grande précipitation de Catilina à donner le signal. 35. Tuas petitiones. Métaphore empruntée aux luttes des gladiateurs. L'expression suivante, corpore effugi, se rapporte aussi à leur pratique habituelle d'esquiver les coups par un brusque mouvement du corps. 36. Quibus initiata sacris. On consacrait les couteaux destinés aux sacrifices. L'orateur suppose que Catilina avait voué le sien à l'immolation des consuls, puisqu'il voulait le tremper dans son sang, après avoir essayé déjà d'en percer Cotta et Torquatus. 37. Civium neces. A la faveur des troubles du temps de Sylla, Catilina avait pu tuer impunément plusieurs citoyens. 38. Direptio sociorum. Catilina, pendant sa préture en Afrique, avait exercé tant de dilapidations, qu'à son retour à Rome il fut accusé de concussion, circonstance qui l'empêcha de se mettre sur les rangs pour le consulat. 39. Ad... perfringendasque. Catilina avait échappé à cette accusation de concussion en achetant son accusateur lui-même, P. Clodius. II avait su se soustraire également à plusieurs autres poursuites criminelles. 40. Te ipse in custodiam dedisti. Accusé par Cicéron, cité devant les tribunaux par L.Paullus,Catilina,voulant payer d'audace jusqu'au bout, feignit de se livrer lui-même à la justice, et de se constituer prisonnier volontaire. On confiait alors les accusés de quelque distinction à la garde d'un magistrat dans sa propre maison et sous sa responsabilité. 41. M. Lepidum. Non pas Marius Lépidus, le collègue de Cicéron, mais Manius Lépidus, qui avait été consul avec Volcatius Tullus. 42. Q. Metellum, Q. Metellus Céler, qui fut plus tard consul avec L. Afranius. 43. M. Marcellum. Ce Marcellus, auquel Cicéron applique par ironie l'épithète de virum optimum, ne doit pas être confondu avec celui dont il est question plus loin. 44. P. Sextio. Alors questeur du consul Antoine. 45. M. Marcello. C'est ici le M. Marcellus pour le rappel duquel Cicéron prononça dix-sept ans plus tard le beau discours connu sous le titre de pro Marcello. Descendant du Marcellus qui, le premier, vainquit Annibal et se rendit maître de Syracuse, aussi distingué par ses talents et son courage que par sa naissance, il s'était montré pendant son consulat assez ami de la liberté de sa patrie pour se déclarer hautement contre César et s'opposer énergiquement dans le sénat à ses prétentions ambitieuses. Après la journée de Pharsale, il crut devoir s'exiler volontairement à Mitylène, et il s'y retira avec la résolution d'y passer le reste de ses jours et de se consoler avec les lettres et la philosophie. Quelques années après, sa constance fut ébranlée par les instances de son frère et de Cicéron ; il consentit à ce qu'on fît des démarches pour obtenir son rappel, et César se rendit à l'intercession du sénat. 46. Ad portas prosequantur. Allusion ironique à l'usage d'après lequel les citoyens illustres ou les magistrats élevés qui partaient pour un voyage étaient accompagnés jusqu'aux portes de la ville par un cortège de clients et d'amis. 47. Impie latrocinio. Le mot brigandage, qui offre la traduction littérale de latrocinio, ne rend pas toute l'étendue du sens de ce dernier, latronum bello. 48. Forum Aurelium. On appelait fora les villes, bourgs ou villages où se tenaient les marchés appelés Nundinae. Le forum d'Aurelius était sur la voie Aurelia, conduisant de Rome en Etrurie. 49. Aquilam illam argenteam. Si l'on en croit Salluste, cette aigle était celle qui avait servi à Marius dans la guerre des Cimbres. C'est à côté d'elle que Catilina se fit tuer à la bataille de Pistoie. 50. Otiosorum. Ce mot offre un sens plus naturel que celui d'occisorum, qu'il faut expliquer par une circonstance à laquelle l'orateur a déjà fait allusion plus haut (Voy. la note 37). 51. Te a consulatu repuli. Les efforts et la vigilance de Cicéron avaient fait échouer la candidature de Catilina au consulat et triompher celle de Muréna (Voy. Sall., Cat., ch. XXVI). 52. Leges... de civium romanorum supplicio. Les lois Porcia et Sempronia, qui établissaient en faveur des citoyens romains des garanties contre les supplices, et particulièrement contre la peine de mort, qui ne pouvait être prononcée que par le peuple. 53. Per te cognitum. On sait que Cicéron était d'une naissance obscure ; il s'applique ici à lui-même ce qu'il dit ailleurs de Q. Pompée : Qui summos honores, homo per se cognitus, sine alia commendatione majorum, est adeptus (Brutus, ch. xxv). 54. Tam mature. Cicéron avait parcouru tous les degrés des honneurs dans une seule et même année ; distinction dont il avait fourni le premier exemple. 55. Praetoris urbani. C'était L. Valérius Flaccus, que Catilina et ses complices, tous chargés de dettes comme lui, voulaient empêcher de porter contre eux un jugement en faveur de leurs créanciers. 56. Malleolos. Sorte de pièce d'artifice, à laquelle la flèche qui servait à la lancer avait fait donner le nom de l'outil dont elle présentait la forme (marteau). 57. Statorem. Ce mot n'est plus ici le surnom seulement de Jupiter, mais bien la qualification même qui s'y rattache et qui le motive. Stator, celui qui maintient debout, qui conserve. |
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