Bulletin n°10 (mars / avril 2015)
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Le petit journal Clerjussien  (Photo « Rue des Ecoles » d’ hier et d’aujourd’hui) BULLETIN N°10 (mars / avril 2015)   Classe de Le Clerjus 1961-62 (Institutrice Mlle Maire) Classe de Le Clerjus 1981-82 (Institutrice Mme Renaudin)
VIE CULTURELLE : La bibliothèque Municipale : Notre bibliothèque ne cesse de rechercher des solutions pour élargir et diversifier ses choix littéraires, afin de répondre au maximum des demandes de ces lecteurs petits ou grands. Vous pouvez l’aider en ne jetant plus vos livres, mais en faisant un don à celle-ci. (Contact : la mairie) VIE SCOLAIRE A la découverte du hand ball
VIE SPORTIVE : FLOCONS ET ETOILES TOMBENT SUR LE VILLAGE Ces derniers mois, plusieurs familles clerjussiennes se sont rendues entre six et huit dimanches matin à Xertigny, afin d’embarquer dans les bus affrétés par le Caps ( Comité d’action et de promotion sociales), destination Bussang et les pistes du Larcenaire, pour y passer des journées très agréables. Journées mises à profit par les jeunes Clerjussiens pour apprendre à skier ou perfectionner leur technique. Le dimanche 8 mars, ils ont pu valider leurs acquis en passant l’examen pratique correspondant au niveau de chacun. Flocons pour Maëva Fiolsi, Émeric et Noémie Pigeon ; deuxième étoile pour Stany et Mickaël Kruczek et une troisième étoile pour Océane et Moragne Diez, ainsi que pour Lauryne Kruczek. FÉLICITATIONS AUX DIPLÔMÉS DE LA NEIGE. CROSS DU CANTON
VIE ASSOCIATIVE LE COMITE DES FÊTES : Vous propose le 17 Mai, le vide grenier annuel accompagné de leur restauration rapide. L’AAPE : L’AAPE s’est vu annulé son marché de Pâques et le remplacer par une vente de ticket de tombola par les élèves de l’école. Celle-ci à remporter un grand succès et l’association tient à remercier les petits vendeurs en herbe mais aussi les acheteurs, sans qui les voyages scolaires deviendraient difficiles à réaliser. Il y avait plus de 240 lots mis en jeu dont: -2 tablettes tactile 7’’ remportées par Mme Breistroffer (Le Clerjus) et M. Fiolsi J-M(Le Clerjus) -2 Chaînes-Hifi remportées par M.Mathiot (Le Clerjus) et Mme. Tharasse B.(Xertigny) -2 Services à raclette remportés par Mme Richard M.(Le Clerjus)et Mme Fankauser M.(Le Clerjus) -2 Ustensiles à barbecue remportés par M. Villemin J. (Le Clerjus) et Mme Laroux M. (Le Clerjus) -2 Set de couteaux Laguiole remportés par Mme Chané S. (Le Clerjus) et M. Hanclot F. (Le Clerjus) Le marché aux fleurs et légumes aura lieu comme tous les ans, en même temps que le vide grenier soit le 17 MAI 2015. INFOS MAIRIE ABANDON D’ORDURES Répression accrue contre l’abandon d’ordures sur la voie publique DéchetsLe ministère de la Justice a publié un décret aggravant l’amende encourue en cas d’abandon d’ordures sur la voie publique. Publié au Journal officiel du 27 mars, ce décret transforme l’amende actuellement encourue pour l’abandon de détritus sur la voie publique, passible d’une contravention de 2e classe, soit 150 euros, en une amende relevant des contraventions de 3e classe, soit 450 euros. Sont visés les « ordures, déchets, déjections, matériaux, liquides insalubres ou tout autre objet de quelque nature qu’il soit, y compris en urinant sur la voie publique » déposés « en lieu public ou privé », précise le texte. Le décret maintient toutefois une amende de 2e classe en cas de non-respect de la réglementation en matière de collecte d’ordures, portant notamment sur les heures et jours de collecte ou le tri sélectif. La nouvelle contravention de 3e classe pourra être constatée par les agents de police municipale et pourra faire l’objet d’une amende forfaitaire de 68 euros ou d’une amende forfaitaire majorée de 180 euros. Il permet également cette constatation et cette forfaitisation pour la contravention de la 4e classe réprimant l’entrave à la libre circulation sur la voie publique, qui peut être constituée lorsque, du fait de leur importance, les ordures abandonnées entravent ou diminuent la liberté ou la sûreté de passage. Le décret du 26 septembre 2007, pris en application de la loi du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance a habilité les policiers municipaux et les gardes-champêtres à constater par procès-verbal plusieurs infractions commises sur le territoire communal, dont l’abandon d’ordures, déchets, matériaux et autres objets. BOIS HISTORIQUE DE LA FORÊT DE LE CLERJUS Il y a 15 siècles, l’immense « SYLVA VOSAGUS » recouvrait toute la région. Les noms de village en témoignent encore «La Chapelle-aux-Bois, La Forêt… » Cette forêt jouait alors un rôle sacré, une barrière entre les tribus de l Gaule Belgique et celles de la Gaule Celtique (Leuques et Séquanes). Elle était « Res Nullius » c'est-à-dire qu’elle formait un bien sans maître dont les produits se généraient sans intervention du travail humain, dont chacun usait librement et que nul ne cherchait à revendiquer. DES ORIGINES AU DEBUT DU XVIIème SIECLE La romanisation à lissée des traces à proximité de la voie romaine de Langres à Strasbourg. En effet, les romains introduisirent l’organisation de la propriété foncière : tout le territoire fut partagé en domaines (les « villas » entourées de la « manse seigneuriale ») dont l propriété appartenait à un noble Gaulois. Des agriculteurs ouvrirent des clairières créant ainsi les premiers défrichements permettant de traverser le massif. C’est à ces endroits que se développèrent des hameaux qui aujourd’hui encore ceinturés dans les forêts sont disséminés dans les paysages. En effet, l’unité de gestion constituée par les « villas » fut très solidement structurée : là où elle avait été assise, elle a survécu pendant de longs siècles, souvent jusqu’à nos jours, et a constitué, jusque dans ses limites, le plus grand nombre de nos villages. Dés le début de l’époque gallo-romaine, on voit apparaître pour les « vilains », habitants des « villas », de véritables droits d’usages exercés sans doute à titre onéreux sur le domaine du seigneur ou de l’empire. Les grandes invasions barbares, puis la prise de pouvoir par les rois Francs ne changent pratiquement rien quant à ces régimes d’usages au « parcours et au bois » des communautés. A cette période, l’évangélisation des campagnes commence et se développe rapidement : de très nombreux monastères s’installent et se taillent, généralement par donation, un domaine forestier considérable qui, toujours selon la loi romaine, reste la propriété du seigneur-abbé. Localement : Abbayes de Remiremont et Dommartin-aux-Bois. A l’arrivée de Capésiens, la mise en place du monarchisme dans la Vôge-haut bassin de la Saône naissante et de son affluant le Coney- conduira peu à peu à la reconnaissance de ces droits de jouissance strictement réglementés, dans les seules parties du domaine du seigneur qui leur sont réservées : les « forêts communes » ou plus simplement « les communes ». Progressivement, au cours des divers règnes, des troubles et guerres civiles, à partir de l’acquisition de cette propriété collective, les communautés de serfs, de paysans ou d’hommes libres (les vici) vont acquérir une personnalité et s’organiser en paroisses malgré la pression des seigneurs et rois qui vont appliquer à s’emparer des droits de jouissance. Les ventes illégales de terres ou de droits, les lois, édits ou autres ordonnances, les procès dans un sens ou l’autre vont se succéder au cours des siècles pour en arriver à des cahiers des états généraux remplis de doléances dont l’usurpation des biens communaux vitaux depuis le début à la survie des populations présentes. Ce n’est qu’en 1791, que la convention décide la mise à l’étude d’une loi forestière.  LE MOT DU MAIRE La forêt constitue un revenu important pour la Commune. Elle mérite d’être respectée, elle n’est pas un dépotoir. Les affouagistes sont priés de bien vouloir respecter ce qui est inscrit sur les contrats. Et de ne pas laisser sur place bouteilles de bière et de plastiques. Des sanctions, vois refus d’attribution de lots lors du prochain tirage seront appliqué à tout contrevenants. Pour Informations : Premières ventes de l’année 2015. -grumes façonnées en contrats d’approvisionnement : 572.73m3 de Hêtre pour un montant de 34 903.12€ H.T. -78.20m3 de Chêne vendu en adjudication pour un montant de 14 766€ H.T. Suite dans les prochains numéros. Le Maire. EAU Suite au dernier Conseil Municipale, il a été voté un changement de facturation de l’eau, soit revenir au système précédent : - Avril : facturation du compteur d’eau -Octobre : facturation de la consommation d’eau. Cette décision a été prise suite une à une problématique de comptabilité. ANCIENS CAHIERS D’ECOLES Dans le grenier de l’école, ont été retrouvés plusieurs cartons, dans lesquels dormaient des cahiers et livrets scolaires des écoles de : -Le Clerjus centre – Lassus – Sous le Bois. Ceux-ci ont été triés puis classés par ordre alphabétique. Le plus anciens date de 1941 et le plus récent de 1995. Plusieurs d’entre eux ont déjà retrouvé leurs propriétaires, d’autres les attendent encore et la liste ci-dessous vous permet de savoir si les vôtres sont disponibles en MAIRIE.
IL ETAIT UNE FOIS, LE CLERJUS (Rubrique permanente) L’EGLISE DE LE CLERJUS SOURCE : Relevée sur bulletins paroissiaux de l’abbé BERNARD- Année 1973- …/… (Suite et fin du Bulletin n°9) Couverte en tuiles demi-rondes, et ce qu’on ignorait, de mauvaise qualité, celles-ci s’effritèrent très vite, et la nouvelle église fut bientôt envahie par les gouttières. Le Conseil municipal en séance du 2 février 1837, décida alors de les remplacer par de la lave, pierres plates provenant des carrières de la région, qui seront à leur tour, plus tard remplacée par de la tuile mécanique. Il est évident qu’entre temps, bien des réparations partielles ont été effectuées. La vente des quelques tuiles demi-rondes récupérées, qui rapporta à la commune la somme de 250 francs, servit à payer l’entrepreneur J-F CROCHETET pour combler la carrière en question. La tour de la vieille église qu’on avait cru pouvoir conserver par mesure d’économie, s’avérant désuète pour le nouvel édifice on en construisit une autre en 1825 pour la somme de 14 587 francs. Dans les écrits consultés, il n’est pas question de flèche, malgré que certains soutiennent qu’il en était prévu une à l’origine. FIN LE VIEUX CIMETIERE SOURCE : Relevée sur bulletins paroissiaux de l’abbé BERNARD- Année 1973- L’ancien cimetière était situé autour de l’église comme cela se faisait généralement autrefois. Très mal entretenu, occupé en tout sens, sans ordre aucun, surtout pendant la période révolutionnaire, il fit l’objet de remise en ordre à diverse époques, et surtout lors de la construction de l’église actuelle, où il fut agrandi et entouré de murs qui subsistent encore aujourd’hui. Désaffecté en 1906, la population clerjussienne avait trente année devant elle (période réglementaire) pour faire ré inhumer ses morts dans le cimetière actuel mis en service fin 1903, et y remonter ses monuments funéraires si elle le désirait. Après quoi, en 1936, tout ce qui subsistait encore fût cassé pour faire place nette, et servir de remblai dans les travaux d’aplanissement qui s’imposaient ensuite. Sur cette terre récupérée, se trouve aujourd’hui un parking goudronnée pour les visiteurs de la mairie, ayant servi également dans les années 1990, de mini terrain de jeux aux jeunes enfants de la commune sur le coté de l’église, ce qui n’empêche pas que dessous, sont toujours à dormir dans leur dernier sommeil, un grand nombre de ceux qui nous ont précédés dans notre pays de Le Clerjus. FIN LE CHEMIN DE FER SOURCE : Relevée sur bulletins paroissiaux de l’abbé BERNARD- Année 1973- Le 15 mai 1856, la compagnie des Chemins de Fer de l’Est, demande vis à la commune de Le Clerjus, pour le passage d’une voie ferrée sur son territoire. Il s’agissait de la ligne partant de Donjeux en Haute-Marne, et se dirigeant vers les vallées vosgiennes par Remiremont, via Neufchâteau et Bains-les Bains. La halte entre les hameaux du Molieu et de Hautdompré qui avait été demandé par certains gens, ne fut pas retenue. Par contre, celle envisagée u moment du tracé de la ligne Nancy-Gray, et prévue au lieudit « La Grange Jean LERC » fut maintenue. Mais alors qu’elle devait à l’origine prendre le nom de « La gare de Le Clerjus », e qui était tout à fait normal, puisque sise totalement sur les terres clerjussienne, elle prit celui de « Gare de Bains-les-Bains » à la suite d’une confusion, qui ne fut peut-être pas aussi innocente que l’on voulu bien le dire. La potion de la voie ferrée comprise entre Epinal et Aillevillers, donna du travail à 1500 ouvriers pendant 3 ans, de 1860 à 1863, sous la direction de l’ingénieur M. DELETANG. Pour la portion traversant la commune de Le Clerjus, c’est l’entreprise BACHELARD et DENYS qui était adjudicataire des travaux. Il avait été prévu que les lourds charrois, dans leurs va et vient abimeraient les chemins, et que se serait à l’entreprise de les réparer. Mais celle-ci ne fit jamais rien, malgré les nombreuses réclamations et mise en demeure formulées par les Conseillers Municipaux de l’époque. Ce fut donc la commune, qui à la longue, dut s’en charger à ses frais. Le fait que la gare de Bains avec ses installations, était située sur le territoire de Le Clerjus sans en porter son nom, chagrinait bien ses maires qui trouvaient cela injuste. De là, les nombreuses démarches qu’ils firent les uns après les autres, auprès des autorités compétentes pour l’y faire ajouter. Mais sans doute que déjà à ce moments là, il n’était pas facile de se faire entendre, car il leur fallut patienter près de 40 ans avant d’obtenir enfin satisfaction. C’est en effet le 10 février 1899 que M.KRANTZ, ministre des travaux publics, prit la décision d’autoriser la Compagnie des Chemins de Fer de l’Est, à donner à la dite station la dénomination de « BAINS-LES BAINS / LE CLERJUS ». Voir l’annonce faite de cette décision dans les journaux de l’époque, sur le recueil intitulé ‘’ Vingt cinq années de faits divers ‘’ page 25. …/… (Suite et fin dans le Bulletin n°11) MESSES Dimanche 3 Mai : 10h30 église de Le Clerjus Dimanche 10 Mai : 9h15 église de Xertigny / 10h30 église de Charmois l’Orgueilleux et l’église de Hadol Dimanche 17 Mai : 9h15 église de Xertigny / 10h30 église de Harsault et l’église d’Uriménil Samedi 30 Mai : 9h église de Le Clerjus Dimanche 31 Mai : 9h15 église de Xertigny / 10h30 église de Charmois l’Orgueilleux et église de Bains les Bains Dimanche 7 Juin : 9h15 église de Xertigny / 10h église de d’Uzemain Dimanche 14 Juin : 10h église de Xertigny / 10h30 église d’Uriménil et église de Bains les Bains Dimanche 21 Juin : 10h église de Xertigny / 10h30 église de Dounoux DATES A RETENIR 8 MAI : -Cérémonie au monument aux morts à 11h00. 17 MAI : -Vide grenier et marché artisanal par le Comité des Fêtes. 17 MAI :- Marché aux fleurs par l’AAPE. 28 JUIN : - Kermesse des écoles par l’AAPE. 13 JUILLET : -Feux d’artifices et Chavande. 30 AOÛT : -Rando tracteur et Marche. 26/27 SEPTEMBRE : - Vide grenier, vide jardin, repas le dimanche midi et fête de la St Maurice NOS PEINES : Décès le 7 janvier 2015, DAMINI Madeleine, Rue des Bruyères, LE CLERJUS. Décès le 14mars 2015, MOINE Pierre, Le Rang Du Mont, LE CLERJUS. Décès le23 mars 2015, SCHMIDT Pierre, Grande Rue, LE CLERJUS. Sincères condoléances aux familles. VIE PRATIQUE : TRUCS ET ASTUCES : -Quand on a des souris dans un garage ou une grange, on peut les faire partir naturellement car elles ont horreur de certaines odeurs. Il faut placer des feuilles fraiches de laurier sur leur parcours et rajouter aussi de l'huile d'eucalyptus et elles déménageront immédiatement. . -Un petit truc pour éloigner les chats qui viennent piétiner vos parterres de fleurs ou uriner sur votre terrasse. Il suffit simplement de diluer de la moutarde dans de l'eau et de mettre le tout dans un vaporisateur, arme redoutable pour éloigner les chats. Ensuite, il ne vous reste plus qu'à vaporiser les endroits où viennent les chats en question et vous pouvez être certains que plus un chat ne se pointera ! En effet, l'odeur forte de la moutarde va éloigner les chats RECETTE : Napolitain facile
1ére Génoise : Mélanger tous les ingrédients dans un saladier puis étaler le tout sur une plaque à génoise d’environ 25x35cm. Puis faire cuire environ 12 /15 min. 2ème génoise : Identique que la 1ère en rajoutant le cacao amer. Pour gagner du temps, vous pouvez les cuire en même temps. Une fois refroidis, couper en 2 chaque génoise, afin d’obtenir 2 rectangles d’environ 12.5x 17.5cm. Placez une génoise banane (1ére) sur un plat, puis faire bouillir 95g de crème liquide puis incorporez 95g de chocolat soit mixé ou en petits morceaux fouet jusqu’à obtention d’un chocolat homogène. Versez celui-ci sur la 1ére génoise. Réservez 5 min. au congélateur. Puis posez par-dessus une génoise chocolat et recommencez de nouveau, faire bouillir 95g de crème liquide puis incorporez 95g de chocolat soit mixé ou en petits morceaux fouet jusqu’à obtention d’un chocolat homogène. Versez celui-ci sur la 2éme génoise. Réservez 5 min. au congélateur. Posez par-dessus, une génoise banane. Réservez 1 à 2h au congélateur, afin que le tout se soude. Dés la sortie du congélateur, couper les bords du gâteau afin que les différentes couches soient nettes. Plus qu’à fouetter 180g de sucre glace et 2c. à soupe d’eau chaude (le mélange doit être épais mais modulable). Recouvrir le gâteau du nappage et saupoudrer de vermicelles. BON APPETIT RETROUVER TOUS LES NUMEROS DE « LE PETIT CLERJUSSIENS » SUR : http://leclerjus.jimdo.com/ |
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