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Elle pourra toucher mon bras et connaître le tour de mes joues et de mon menton avec le bout de son doigt comme elle a fait pour le petit enfant.» (page 78). Surtout, comme le souligne la contradiction entre son nom et sa cécité, du fait même de celle-ci, ses autres sens sont exacerbés : quand Antonio lui demande comment elle fait pour reconnaître le monde, elle répond : « l’odeur ») ; elle acquiert même une véritable prescience : «Il ne faut pas mentir. Ça ne peut pas servir parce que j’entends les mots un peu avant qu’ils soient sur la bouche et, quand tu parles à toi, je t’entends.» (page 272) ; elle bénéficie d’une fusion avec la nature qui est plus complète. Aussi, à la fin, constatant la même liaison précise de son sens tactile avec les mille différents messages que propage l’air ambiant peut-elle affirmer : «Je suis printemps moi maintenant, je suis envieuse comme tout ça autour, je suis pleine de grosses envies comme le monde maintenant.» (page 266). Elle conclut avec Antonio ce pacte : «Je te ferai connaître et puis tu sauras, et puis tu me diras.» (page 271). Clara le souligne : «Je vois beaucoup plus loin que vous.» (page 220) : elle est l'aveugle-voyante qui force Antonio à découvrir les richesses du creux de son corps et à se révéler à lui-même. Elle est l'instrument de son évolution.
Matelot, qui fut d’abord un marin et un séducteur, s’il pense encore à Junie (personnage sacrifié qui ne tient quasiment aucune place dans l'histoire, quelques renseignements sur son passé ne nous parvenant que par Toussaint), croyant voir en Gina «le nuage de mai» qu’était «sa glorieuse Junie jeune» (page 129), considère maintenant que «l’époque de l’amour, c’est l’époque du mensonge» (page 131). Il est une belle figure de père, et le lien avec l'enfant prime.

D’ailleurs, n’est-ce pas plutôt son désir d’avoir des enfants qui l’a animé : «L’enfant. […] J’ai traîné Junie dans les bois pour ça. […] J’en avais tant envie.» (page 90)? N’ayant pas de nouvelles de son besson, cette absence anormale étant le déclencheur de son mal-être, il est, dès le départ, placé sous le signe de l'inquiétude, toujours en alerte. Il ne pouvait pas ne pas aller à la recherche de celui qui est une autre partie de lui-même, pour lequel il a un attachement viscéral : «C’est mon besson. Il est là comme un coup de couteau.» (page 71) - «C’est mon fils, tu comprends?» (page 74) - «Je veux mon besson. Et je veux savoir.» (page 89) - «Toi, tu rends service […] Moi, c’est comme si je me cherchais moi. […] Le fleuve, le radeau, compris ! S’il était mort c’était la mort.» (page 90) - «Si on me le tue, je mets le feu au pays» (page 90), ce que feront le besson et Antonio quand il aura été assassiné. Même s’il fait quelque réserve : «Il m’a toujours arrosé de soucis. C’est peut-être pour ça que j’y tiens.», même s’il le craint quelque peu : «Si je le trouve, […] il me dira peut-être ‘’mêle-toi de ce qui te regarde’’ (page 91), même s’il le traite de «babouin devenu une espèce de lion fou», il s’attendrit à des souvenirs : «Je lui ai soufflé dans la gorge quand il avait l’étrangle-chat. Je le portais dans mes bras. Il me frappait les flancs avec ses pieds» (page 91). Émouvant dans sa maladresse,  étonné de découvrir en son fils un homme, il est plein à la fois d’inquiétude et de fierté. Mais cela ne l’empêche pas de s’interroger sur le mystère de l’hérédité : «On les fait comme on est et ce qu’on est on ne sait pas» (page 121) - «On parle jamais de ces petits éclairs qui nous traversent comme des guêpes» (page 122).

Il part avec Antonio, avec lequel s’est nouée une «douce affection» (page 93) qui se traduit par le rythme de leurs pas accordés : «Il y avait le bruit de leurs deux pas, puis ça se confondait, c’était un seul gros pas qui allait» (page 89) - «Ils marchaient de leurs larges pas bien accordés» (page 94) ; par leur refrain : «D’accord? demanda Matelot sans ralentir – ‘’D’accord’’, dit Antonio. Et il fit un grand pas pour se mettre à l’alignement.» (page 95) - «’’D’accord?’’ demanda-t-il doucement. - ‘’D’accord’’ dit Matelot.» (page 97) - «D’ac…’’ . Il se cura la gorge. - ‘’D’accord’’, dit Antonio.»’’ (page 98). Cette connaissance intuitive qu’ils ont l’un de l’autre (page 93) fait que, lorsqu’Antonio, sous le coup de l’alcool, exprime son désespoir, Matelot peut s’étonner : «C’est drôle, dit Matelot en se passant la main dans la croûte de barbe, - Quoi? - Je te croyais…», le mot laissé en suspens étant évidemment «amoureux» bien qu’il n’ait jamais été question de cet amour entre eux (page 220). Si Matelot et Antonio sont unis par le souci du besson, depuis la rencontre de Clara, chacun est désormais obnubilé par un objet différent : alors qu’Antonio se dit : «Elle pourrait toucher le fleuve mais il faudrait qu’elle sache nager. Je peux lui apprendre à nager.», «‘’Qu’est-ce que tu penses qu’il fait? dit Matelot. - Qui? - Mon bessson.» (page79) - alors qu’Antonio prétend ne penser «à rien - Moi je me demande ce qu’il a pu faire et où il est?» (page 81). Cette amitié est parfois ombrageuse, et on voit Antonio, qui, s’il est plus jeune, s’il est celui qui se montre obligeant en cette affaire, rudoyer le «vieux couillon» (page 71) : «Avale ta barbe, va» (page 72) - «Tu comprends, noisette?» (page 78) - «Ferme ta boîte à malices» (page 164) - «pourri de Dieu» (page 169).

En entrant à Villevieille, dans ce lieu qui fait partie du pays du Nord, porteur de maladie et d'angoisses, Matelot éprouve un malaise physique. Et il se sent soudain vieux, dépendant d'Antonio, exprimant le sentiment de son inutilité de deux façons : «Je rends pas service moi» (page 90) et disant à Toussaint tristement : «J'avais un but.» (page 129), ce qui signifie qu’il n'en a plus, qu’il a perdu le sens de la vie. Il devient bien l’homme âgé qui, après avoir dormi, «avait la barbe pleine de bave» (page 52), qui a le pressentiment de sa fin : «Je crois que j’ai la mort sur moi.» (page 119), qui revient sur sa jeunesse, sur son métier de marin.

Par un véritable retour du refoulé, il glisse du monde des vivants au monde des morts en retournant à la mer. Un soir, du fond de l’ivresse, il sent soudain «sous sa langue l’odeur salée de la mer». Il a le souvenir de la mésaventure du navire sur lequel il était : le ‘’Grace Harwar’’ (page 213). Il voit un « grand navire amarré là devant » (page 163), «comme un oiseau, un grand voilier couvert de toile jusqu’à la flamme depuis le foc au pavillon» (page 213), et sur lequel il sait qu’il doit partir comme sur la barque des morts de bien des mythologies, en particulier les sagas nordiques. Et il est bien vrai que la montagne dans le gel est comme un voilier, que «sur le sombre océan des vallées pleines de nuit, la haute charge des rochers, des névés et des glaces montait dans le ciel comme un grand voilier couvert de toiles.» (pages 163-164), que «la montagne craquait doucement dans le gel comme un voilier qui dort sur ses câbles.», que « les glaciers gonflaient leurs hautes voiles dans la nuit » (page 164), «qu’au-dessus de la brume sur un peu plus clair de ciel montait, comme un cacatois de misaine, le glacier caré du Ferrand» (page 212) : le voilier qui n’était qu’une image de la montagne devient le voilier même de la mort. Même si l’image disparaît, il en demeure pas moins obsédé : «Il n'y avait plus que la brume mais toute gonflée par le grand navire immobile qui attendait le passager» (page 213). Il est arrivé au terme de sa traversée à lui : il va irrésistiblement au point d'embarcation. Il est d'ailleurs le premier à reconnaître dans ce retour vers la mer le signe de la mort : «La mer ne vous lâche jamais ; si elle revient c'est que mon temps est fini.» Et Toussaint le confirme à Antonio : «Mauvais signe» (page 151). Non sans mal, peu à peu, Matelot se soumet à cette idée avec le fatalisme de l’homme naturel, fatalisme qui lui avait déjà fait envisager l’idée de la mort du besson («S’il est noyé, il faut que je le trouve» [page 10] - «Il est mort» [page 18] - «S’il était mort, c’était la mort. Je ne suis pas pleurard.» [page 90]) : il finit par l’accepter puisque «le sort est le sort» (page 212). L’hallucination prend de plus en plus de force (page 224). Le bruit des vagues et des voiles emplit sa tête et, de temps en temps, il bombe le dos, serre les poings, tire des deux bras un long cordage plein d'échardes pour une manoeuvre de fumée. Cette hallucination auditive et tactile ne le quitte pas jusqu'au coup de couteau, moment où «le navire de la mort porte toutes ses voiles jusqu'en haut du ciel comme une montagne.» (page 232), dont il avait eu le pressentiment : «J’embarque ce soir.» (page 230) - «Il entendait siffler le vent dans des cordages et de grandes voiles claquer. Des coques gémissaient. Ça sentait le bois de sapin. Un large port clapotait autour de lui.» (page 231) - il chante une chanson de marin (pages 231-232) ; non sans une appréhension qui le ramène à son insu à une formulation qui était avant lui celle de Hamlet : «N’empêche, se dit Matelot, que c’est comme tous les départs. Toujours pareils. On en fait cent, on en a pas fait un. Toujours à refaire. Sur la terre, ça va. On part, on revient, le pied a de quoi, la terre le porte. Il se répéta doucement : La terre le porte ! Oui mais, sans la terre ; voilà la question.» (page 231). Il n’a pas réussi à vaincre l'appel du néant.

Son destin est accompli par deux bouviers de Maudru : «Il n’avait pas le visage calme mais, autour de ses yeux ouverts et de sa bouche éperdue, les rides effroyables du dernier désespoir» (page 238). Son retour à la terre semble préfiguré par sa «bouche pleine de boue». Ainsi n’a-t-il pas eu la belle mort que Giono lui-même attendit avec sérénité («La mort, bénissons-la ! N’est beau que ce qui finira… Bien sûr, je rouspéterai, l’heure venue ! Quant à la vieillesse, c’est un âge admirable : plus de passion aveugle ; moins de hâte à savourer les choses. Je souhaite seulement pas trop d’infirmités.»). A-t-il cette fin violente parce qu’il appelait à la violence? Il reste que son destin est le plus solitaire du roman, car, si tous les personnages poursuivent une quête, il échoue dans la sienne : il ne ramènera pas le besson à Junie. Et il est reporté vers le passé dans un roman qui est tendu vers l’avenir.
Au contraire, Antonio, le personnage le plus riche, est porté vers l’avenir, envisage souvent, dans le moment présent, l'après, le temps où il vivra avec Clara. Lui qui ne connaissait que la jouissance de la nature et de son corps accède à autre chose, passe par une métamorphose spectaculaire, son évolution, centrale dans le roman, étant traduite par petites touches, souvent à travers son monologue intérieur. Ce héros épique, voué jusque-là à la jouissance égoïste, Giono l’a pris à un âge qui était à peu près le sien quand il écrivait le roman : «J'ai quarante ans. Maintenant, c'est autre chose.» (page 153), l'âge des interrogations et des bilans. Tout ce qui était étouffé en lui va s'épanouir par la découverte de la souffrance et de la douceur, de la compassion et de la pitié, de l’ouverture aux autres.

Cette compassion, il la montre d’abord à Matelot car il ne part à la recherche du besson que par amitié pour le vieil homme.

Car le besson, il s’en est d’abord méfié, ayant des réserves à son égard. Cependant, une amitié se noue aussi entre eux, qui vacille toutefois quand, lors de l’incendie de Puberclaire, l’aîné se rebiffe devant l’autoritarisme du jeune homme : «’’D’abord tu vas me suivre, puis tu feras pour ton compte sans te soucier de moi.’’- ‘’Je dois me soucier de toi’’, dit Antonio. – ‘’Je te dis…’’ - ‘’Je te dis qu’on ne me commande guère’’, dit Antonio. Il entendit le besson qui grinçait des dents comme un ours.» (page 245). Mais leur affrontement d’une violence exarcerbée est en fait dû au sentiment filial de l’un et à la compassion de l’autre.
Sa véritable découverte de ce sentiment, il la fait le soir où, avec Matelot, il trouve dans la combe la jeune femme qui est dans les douleurs de l'enfantement. On pourrait dire qu’il est lui-même né dans cette combe où Clara accouche car un monde nouveau s'ouvre au faune qu’il était. Son couteau lui fait se rendre compte de cette nouveauté : «Antonio ramassa son couteau. Il le regarda. Il avait cette arme depuis longtemps. Elle avait tout fait jusqu'à présent sauf séparer un enfant de sa mère. Elle venait de le faire.» (page 44). Cet arrêt nettement marqué par la redondance de l'écriture solennise le constat et lui donne un sens implicite confirmé par le dérèglement du temps tel que le perçoit Antonio en ce même instant : «(Il) pensa au besson qu'ils cherchaient sur le fleuve le jour d'avant. C'était loin de dix ans depuis qu'ils avaient trouvé la femme.» (pages 44-45) Sa quête vient de s’infléchir. Il y a à la fois rupture avec un passé rejeté loin en arrière, c'est-à-dire avec l'Antonio d'avant, et totale immersion dans le présent quand il touche le corps de la femme pour la porter d'abord, pour la déshabiller et la frotter ensuite.

Ne connaissant des femmes que le plaisir rapide qu’il obtenait d’elles aisément, il ne compend pas qu’elle accouche. En face d’elle, il est trop ému : « ‘’Femme !‘’ cria Antonio. Elle n’entendait pas. ‘’Va chercher, va chercher’’, dit Matelot. Antonio essaya de rabattre les jupes. Il sentit que là-dessous le ventre de la femme était vivant d’une vie houleuse comme la mer. Il se recula comme s’il avait touché du feu. ‘’Va chercher, va chercher’’, disait Matelot, et il faisait signe avec la main du côté du pays. Il essayait de tenir cette tête folle qui battait de tous les côtés et qui sonnait sur les pierres. ‘’Cours, Antonio. - Quoi?’’ Il essayait de tenir les jambes de la femme. Elles lui échappaient. Il n’osait pas serrer. ‘’Cours. - Donne-lui de la blanche. - Cours ! - Tiens sa tête. - Cours ! je te dis.’’ Il sembla que la femme s’apaisait. ‘’Elle va faire le petit, dit Matelot, cours vite !’’» (pages 40-41). Il manque totalement de présence d’esprit (page 42), mais ressent aussitôt le besoin de la protéger, se soucie de sa souffrance et non de sa beauté : pour la première fois, il éprouve pour une femme autre chose que simple désir sexuel : «’’Je la porterai, dit Antonio, ne t’inquiète.’’ Il la revoyait : elle n’était pas grosse. Oui, il la porterait dans ses bras. […] Il était à genoux près de la femme. Elle paraissait morte, blanche comme du gel et sans un souffle. […] - Elle est morte? demanda Antonio. […] - Je la prends toute, dit Antonio. Tu la couvriras quand elle sera sur moi. Elle ne pesait presque pas. Elle était cependant épaisse de poitrine et de chair dure. Antonio ne connut pas son poids ; il y avait tant dans cette femme pour faire oublier qu’elle pesait. Il sentit seulement cette chaleur qu’elle avait maintenant et la forme ronde de cette chair juste du rond de ses bras à lui. En la haussant pour la charger sur ses épaules, il vit son visage sans savoir si c’était beau ou pas beau. Il guettait seulement là-dessus la souffrance et il était heureux de le voir enfin calme et délivré du gémissement […] Il la portait. Elle était pliée sur son épaule comme un doux gibier.» (pages 43-45). Quand elle dégrafe son «caraco» pour allaiter, «il avait un peu honte de regarder cette chair sans défense. Il y avait une énorme vie dans ces seins. Il n’en avait jamais vu d’aussi beaux.» (page 45).

À l’injonction de «la mère de la route» («Il faut lui enlever sa chemise. On dirait que tu as peur d’elle. Touche-la carrément.» [page 45]), c’est avec beaucoup de délicatesse qu’il frotte sa peau d’«eau-de-vie chaude» : «Il avait peur de ses longues mains rugueuses. Cette peau qu’il frottait était fine comme du sable. Il touchait le dessous des seins. C’était soyeux. Il frotta doucement le globe en remontant vers le dessous des bras. Toutes les vallées, tous les plis, toutes les douces collines de ce corps, il les sentait dans sa main, elles entraient dans lui, elles se marquaient dans sa chair à lui à mesure qu’il les touchait avec leurs profondeurs et leurs gonflements et ça faisait un tout petit peu mal, puis ça éclatait dans lui comme une gerbe trop grosse qui écarte son lien et qui s’étale. […]
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