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au fond de la voix une tendresse…» (page 183), qu’il parle «pour se détourner d’un souci». En effet, il dit : «Les morts ont plus de chance que nous. (L’homme avait baissé sa voix. Elle était maintenant toute tendresse et la sauvagerie des mots qui roulaient parfois plus fort dans sa gorge était plus qu’une sauvagerie d’homme qui souffre.) ‘’J’ai été marié moi. Pourquoi, moi? Qu’est-ce qui fait qu’elle a dit oui, je me le demande. Pourquoi j’ai cherché? Parce que tout m’a poussé. Tu l’as dit. Quel besoin?» (page 186). Il parla alors d’autre chose pour revenir encore à son souci : «J’ai été marié […] La fille d’un tanneur […] Elle apportait la bouteille. Elle versait. Elle penchait la tête en versant. Pour regarder au ras du verre et pas renverser la liqueur […] Tu aurais pu mettre mille femmes, pas une n’y serait arrivée. Elle, elle le faisait. Je ne sais pas… À la fin je l’ai demandée. Elle a dit oui. […] Comme un commandement […] Moi je te dis : cette fille, cette fille, cette fille ! Son geste […] Rien qu’elle ! […] C’est peut-être la seule fois où j’ai été heureux, dit-il à bout de souffle. […] J’ai été aveuglé d’un seul coup par cette femme. Un an, puis elle est morte, ça n’est pas d’hier et toujours entre les taureaux et moi elle est là. […] Et toujours celle-là, là au milieu, inutile, de la fumée. Penser à ça? Voir ça, avoir ça qui me bouche les yeux. Quoi faire?» (pages 186-188). Ce veuf inconsolé après un an de mariage révèle alors son nom : «Maudru.» (page 186). La proximité de la mort a suscité chez le vieil homme une réflexion fondamentale sur la vie, partant sur l’amour, sur le je-ne-sais-quoi qui le provoque, sur le «commandement» qu’il donne et qui est soumission à l’ordre du monde. L’émotion de cette brute à cette évocation de souvenirs tendres est d’autant plus saisissante. Et Antonio, qui a compris cette douleur, «ne parla pas de la conversation avec Maudru […] C’était pour lui.» (page 201). Découvrant la simplicité pathétique de sa chambre à Puberclaire (page 251), il «pensa au gros homme amer et tendre qui parlait au bord des cyprès […] Il pensait à ce gros homme écoeuré d’amertume.» (page 252). Et il l’épargna : «Assez, dit Antonio. Laisse-le celui-là. On a fait plus que le compte.» (page 257). Il a reconnu un être faible et tendre parce qu’il souffre.
Si Maudru vit dans le souvenir de la femme aimée, il demeure pourtant intraitable à l’égard de deux fières femmes de son clan : les deux Gina, «Gina la vieille» et «Gina la jeune» ou «Gina la neuve», qui sont autant d’appelllations à couleur épique.

Enfin, Maudru est le patriarche vaincu par le jeune ennemi qui abolit son droit de marier sa postérité, l’oblige à accepter l’exogamie, perpètre un incendie où s’écroule son domaine et, comble de la déchéance, lui dérobe même son pouvoir de communication magiquement exclusif avec ses propres taureaux.
Le neveu de Maudru est, lui aussi, un personnage pathétique Il est amoureux de Gina, mais il a ce handicap que signale Toussaint : «Il s’est mis à aimer cette fille, lui, bien avant le besson. Il avait vingt-cinq ans de plus qu’elle […] ça le blessait plus que ton coup de fusil, besson.» (page 171).
Gina la vieille, la sœur de Maudru, fut, dans sa jeunesse, dit un des bouviers, «un soleil, ça vous faisait fourmiller le sang, et puis encore deux grosses lumières sur son corps, sa gorge, et, là-haut, ce visage où elle portait sa bouche épaisse toujours fermée – oh ! prudence – et ses yeux qui chantaient tout le temps.» (page 108). Elle exerçait une véritable fascination sur eux : «Quand Gina entrait à cette époque dans la courtille des taureaux, on avait beau être à l’attaque devant le noir le plus féroce on prenait toujours le temps de la regarder un clin d’œil. Ça valait le coup de corne. Une douceur de ventre qui se voyait malgré la robe et tout autour, la chose ordinaire des femmes : des jambes, des bras, le reste quoi, mais surtout une douceur de ventre. Un soleil, ça vous faisait fourmiller le sang, et puis encore deux grosses lumières sur son corps, sa gorge et, là-haut, ce visage où elle portait sa bouche épaisse toujours fermée – oh ! prudence – et ses yeux qui chantaient tout le temps comme de beaux verdiers. […] En plus imagine qu’on était là tous des hommes, rien que des hommes, avec depuis le plus petit jusqu’au plus vieux des sangs nerveux, l’odeur des taureaux, loin de toutes les femmes de la terre.» (page 108). Mais n’exerça-t-elle pas sa séduction sur son frère, l’interdiction de se marier signifiée par Maudru laissant supposer un désir incestueux. Elle montra son énergie quand elle décida de se marier quand même : «Mon cul te regarde?», quand elle partit dans la nuit avec vingt-trois hommes pour fonder une véritable société polyandrique (page 109). Mais, en fait, «la garce» ne s’est pas mariée tout en ayant «cinq fils» avec lesquels «elle a fait mentir le chant de la race» car «ils n’étaient pas laids» (page 112) : «Elle s’était mise avec les hommes dans ce domaine de la Maladrerie. Elle a fait le commerce des bois. Il n’y a pas eu de bataille. Elle a mené l’ordre du commerce et l’ordre du lit avec un fouet de plomb.» (page 112). Ensuite, ayant perdu son fils, Médéric, elle devint une sévère figure, une véritable Pieta, à la façon de la Colomba de Prosper Mérimée ou des femmes de ‘’Noces de sang’’ de Garcia Lorca ; elle organisa pour les funérailles une cérémonie sauvage selon la coutume du clan. Pleine de prestance lors du «repas mortuaire», «elle mangeait debout. Sans regarder, sans rien voir.» - «Elle mangeait posément. Elle avait sorti de ses gants ses belles mains longues, toutes blanches. Elle gardait ses yeux baissés sur son assiette. Elle avait dégrafé son col de fourrure, un peu élargi son collet ; on voyait son beau cou et la racine de son épaule» (pages 197-198). Gardant «son attitude de femme noire et droite […] elle parlait sans haine, sans force, à petits mots de femme […] Elle était là avec sa vieille chair sans espoir […] elle disait qu’elle avait bercé cet enfant. Elle disait : ‘’Cet homme, je l’ai aimé’’ et elle évoquait avec un petit balancement de sa main la cavalcade des cavaliers ; elle ouvrait sa main en palme pour montrer comment il avait caressé ses seins de jeune femme, comment il l’avait couchée sur les lits de cette énorme maison de montagne. Comment il avait fait l’enfant avec elle, peu à peu, pas du premier coup, lentement, à force d’amour, et d’entente, et d’union. Elle évoquait sa grande vie tragique vêtue d’amour et de champs de foin, et de bonheurs plus éblouissants que des haies d’aubépines. Et elle était là debout devant la table, maigre et noire, sans plus rien d’autre qu’un châle de coton.» (pages 198-199). Mais Toussaint, qui avait prédit : «Elle veut sa part de cérémonies et de batailles […] Elle va faire marcher toute la vieille coutume taureau» (page 175), commente : «Crois-moi que, lorsqu’elle a mis la robe noire, le châle mince et qu’elle s’est serrée pour se faire maigre et plate, elle savait ce qu’elle faisait, elle savait ce qu’elle allait dire.» (page 199). Elle incarne la volonté de bataille, met la tribu sur un pied de guerre.
«Gina seconde» fut comme prédestinée par le nom transmis : «Quand on est fille ici dedans, il faut s’appeler Gina pour se défendre.» (page 113). Elle ressemble d’ailleurs à sa tante au point d’être son double (page 199). Nouvelle Circé ou Calypso, elle est une femme fatale qui s’oppose à Clara, la femme angélique, opposition qu’on trouve dans toutes les mythologies (Aphrodite et Athéné ; Lilith et Ève ; les deux Iseut). Bien dotée par la nature, elle «avait les yeux plats et longs avec de grosses prunelles noires, une chair laiteuse tout éclairée de blancheur, des poignets pas plus gros que des bagues d’hommes.» (page 130). Son père voulant la «donner au fils de sa sœur» qui «avait vingt-cinq de plus qu’elle» (page 171) et qui aurait voulu «la tirer plus haut, là-haut dans les montagnes pour être seul avec elle» (page 172) à la façon d’un barbon de Molière, sorte de double de Maudru (un «gros homme» comme lui [pages 106, 185]), elle s’est rebellée en s’offrant elle-même : «’’Si tu me veux prends-moi vite.’’ Devant tous les hommes il m’a serrée contre lui, et il m’a embrassée, et il m’a tâtée tout le corps comme si j’étais déjà sa femme. Je pensais : ‘’Si ça pouvait effacer !’’ Ah ! oui, dieu vole, allez l’attraper à pied, vous autres !» (page 135). Puis, un certain jour ( «Ce jour-là, j’avais noué sur ma chemise une petite jupe de soie juste serrée à la taille, pas plus. Il faisait chaud, j’étais plus libre.» [page 134]), le hasard lui fait découvrir le besson en plein travail qui marquait ses arbres, et, proclame-t-elle, « J’étais marquée de cet homme aux cheveux rouges comme par une marque d’arbre. » (page 135). Ces deux êtres d’exception qui connaissent le coup de foudre, sont alors embrasés d’un amour fou et qui devrait être impossible puisqu’elle est gardée par toute sa tribu. Mais, séduite par la force, par l’habileté du jeune homme, nouvelle Hélène consentante, elle accepte d’être enlevée par ce nouveau Pâris, nouvelle Juliette, elle a su séduire son Roméo. Cet amour épique par sa fulgurance, par ce qu’il a d’inéluctable, va l’être aussi par la violence qu’il suscite autour des deux amants et entre eux.

Elle s’est enfuie à la fois pour échapper à son père et à son clan et par amour pour un héros qui lui promettait les «grands chemins» (titre d’une œuvre de Giono), «la maison», «notre liberté dont il parlait à moi la prisonnière» (page 130), prête à être, comme dans toute épopée le personnage féminin, l’aiguillon de l’héroïsme de l’homme : «J’étais de plus en plus fière de lui.» (page 136), et ses reproches l’ont poussé à tuer le neveu de Maudru. Puis aux promesses non remplies ont succédé les désillusions (page 135), le mépris marqué par «le halètement féroce de la chanson» (page 130), chanson paillarde (où, peut-on supputer, c’est une femme qui se vante d’avoir fait l’amour «avec les charretiers de tout le diocèse / en long et en travers pour ma prospérité» [page 173]), le harcèlement verbal, les reproches violents (pages 145, 161), la colère contre le besson : «Je veux qu’il soit ce qu’il s’est imaginé d’être et qu’il m’a fait croire […] Je veux qu’il fasse ma liberté et mon nid et ne pas être le coucou dans le lit des autres.» (page 131). Elle se plaint alors, avec beaucoup de mauvaise foi, du «voleur de filles» (page 130), mais exprime aussi, avec beaucoup de vivacité, une revendication féminine qui fait d’elle une héroïne très moderne, presque déjà une féministe, comme on le voit dans une scène avec le besson où elle montre une verve hargneuse dans ses invectives sanglantes : «C’est ça que tu voulais, fils des bois, dit-elle (elle se frappait le corps avec ses mains) ça : les seins, mon ventre, et ça, là, voilà tout. C’est ça que tu regardais seulement à travers ma robe, avec ton désir. Tu n’as jamais eu l’œil assez aigu pour entrer dans moi au-delà de ma peau […] Qu’est-ce que tu peux voir avec ces yeux-là? Rien. De la chair chaude où tu as envie de mettre la main […] Tu crois qu’un jour tu pourras entendre un peu le bruit de mon sang? […] Tu as les oreilles, les yeux et les mains égoïstes […] Tu vois pour toi, tu entends pour toi, tu touches et tu prends pour toi. […] Tu vois tout ce que ça peut te rapporter comme plaisir.» (page 161), tandis qu’il se tient dans un laconisme penaud, une inertie, un sensuel alanguissement. «Elle l’a encore déchiré de la belle manière.» (page 145), mais conclut par un : «Embrasse-moi» (page 162), et elle, imaginée «toute lumineuse d’amour, nue, là-haut dans le lit» (page 202), se présente aux trois autres hommes «lasse et pâle», «portant avec elle une odeur et une lumière», «toute nue sous sa peau de bête» («son gros manteau de fourrure»), déclarant : «Je viens chercher le fromage et le pain […] On ne descendra pas» (page 200), accrochés qu’elle et le besson sont à leur ébats, scène qui aurait pu inspirer à Vadim celle de son film ‘’Et Dieu créa la femme’’.
Au sujet du besson, (dix-neuf ou vingt ans (ce qu’on peut déduire de l’indication donnée page 121) Antonio se demandait : «Contre quoi le besson était-il le plus faible?» (page 33). Eh bien ! il fallait s’y attendre, lui qui représente la jeunesse impétueuse mais irréfléchie aussi, est faible devant la femme. Toussaint (qui peut-être enjolive pour satisfaire son idéalisation de l’amour) rapporte que le jeune homme, ayant vu Gina, ayant été séduit par sa beauté sensuelle «avait l’air, là, tout tremblant, de revoir la fille à la lisière des saules. Il avait perdu son souffle. ‘’Perdu pour toujours, disait-il, je ne respirerai jamais plus comme avant.’’» (page 135) surtout parce que cet amour a soulevé une tempête. Cet amour, Toussaint l’admire : «Ton fils est arrivé et il m’a parlé d’amour.» (page 172). «Il m’a fait voir tout ce milieu de lui enflammé et qu’il m’a donné, là, sur mes genoux, pour que je le berce et pour que je le guérisse, tout son tendre souci. Il est fait dix fois de toi pour la carrure et pour le dur du cœur. Mais par cette sorte de grand pays (le bossu toucha son creux de poitrine) qu’il porte là, ses forêts à lui, ses fleuves à lui, ses montagnes à lui, il est fait de cent fois et cent fois Junie ma sœur.» (page 133). Face à ses reproches, il demeure très laconique ; d’ailleurs, de façon générale, on le voit de loin, on parle de lui mais lui parle très peu ; à part les quelques mots qu'il échange avec Gina (conversation surprise par Antonio), qu'il prononce quand Toussaint vient annoncer la mort du neveu de Maudru, il est muet et passif, un peu comme Hercule aux pieds d’Omphale.

Alors que Tousaint, perverti en quelque sorte par sa sensibilité et son intelligence, regrette le neveu, Antonio, en prononçant ces mots : «Toute la suite de l’histoire est dans celui-là» (page 174), montre que c’est le besson, l’homme vivant, qu’il faut soutenir, quel qu’il soit. Le mort est toujours un vaincu. Aussi le vainqueur s’approprie-t-il la veste du neveu que Toussaint a ramenée : «Il se mit à toucher la souplesse du cuir, à renifler l’odeur du cuir, à renifler l’odeur de l’homme qui était restée dans la fourrure du col.» et, même si «ça pue» (page 172), il l’enfile comme pour, par une sorte de rituel primitif semblable aux pratiques des cannibales sur leurs ennemis, s’accaparer de sa force vitale, qui passe maintenant en lui, qui s’ajoute à la sienne (page 174).

Cependant, à cet homme que sa jeunesse ne fait vivre que le présent, il faut l’assassinat de son père pour qu’il se réveille et puisse envisager l’avenir : «Soudain, il se dégagea de Gina qui lui serrait le bras. Il toucha l'épaule d'Antonio. - Viens, dit-il.» (page 239). Il l'entraîne à incendier Puberclaire, vengeance par le feu contre celui qui interdit qu'on allume du feu sur ses terres, qui rappelle l’embrasement de Troie. Lors de l’incendie, derrière la rudesse de surface qui va jusqu’à la grossièreté («Oh ! carne de bœuf, dit-il, c’est pour toi que je le fais.» [page 247]), sa vengeance est animée par l’amour du père et, derrière la joie machiavélique, derrière le soin mis à la destruction, derrière la bagarre avec Antonio, c’est bien cet amour qui s’exprime avec une sorte de pudeur.

Il devient harmonieux seulement à la fin du roman dans le dialogue qui le clôt : il s'est réconcilié avec lui-même parce que toutes ses aspirations vont devenir compatibles. Il est libéré de Maudru, libéré du pays Rebeillard, libéré des reproches de Gina, voué à Clara, pouvant se laisser bercer par la douceur d'être aimé et d'aimer.
Clara joue un rôle capital en émouvant Antonio par sa détresse d’accouchée et d’aveugle. Elle a mis au monde un enfant, dont Antonio est prêt à prendre soin. Mais il faut qu’il meure pour que puisse s’effectuer une substitution qui est annoncée ici et là : «
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