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LA RELATION PEDAGOGIQUE COMME MOYEN D’APPROPRIATION DES SAVOIRS EN ECONOMIE AU SEIN DE L’UNIVERSITE ALGERIENNE Benhassine.M.L., Cherifi Hassiba, El Ghers Nadia, Université de Blida. Des penseurs si éloignés les uns des autres dans le temps et dans l’espace se rejoignent quand il s’agit de dire ce qu’est la connaissance, le savoir, le savoir scientifique, la science et la pensée ; la place et les fonctions de ces différents aspects de l’activité de l’esprit dans le passé, le présent et l’avenir des sociétés humaines…Ainsi, avant de poser le problème du savoir dans la société algérienne, notre sommes allés à la recherche de ce que cinq penseurs ont écrit sur la science et le savoir dans leurs sociétés respectives. Il nous semble que depuis ces temps là, proches ou lointains de nous, la position du problème du savoir et de la science reste fondamentalement la même. Il faudrait prendre en compte une plus grande complexité des relations de la science, du savoir dans les sociétés de nos jours. En attendant, nous ne pouvons pas résister au plaisir de vouloir partager avec le lecteur ces agréables et utiles moments de lecture sur un sujet qui préoccupe la société algérienne. Il s’agit de grands moments de la réflexion et de la pensée sur le savoir et la science, que nous sommes allés chercher chez l’Imam Ali bin Abi Taleb, Ibn Rochd, Ibn Khaldoun , Marx et Engels. 1. DU SAVOIR, DE LA SCIENCE ET DE L’IGNORANCE SELON L’IMAM ALI, IBN ROCHD, IBN KHALDOUN, MARX ET ENGELS. 1. L’Imam Ali Bin Abi Taleb : connaissance et richesse. « La connaissance, dit-il, est supérieure à la richesse. La connaissance vous garde, tandis que vous gardez la richesse. La richesse s’amenuise avec les dépenses, alors que la connaissance se multiplie avec la diffusion. Une bonne action matérielle disparaît avec la disparition des ressources matérielles qui la sous-tendent, tandis que nous sommes à jamais redevables à la connaissance. Grâce à la connaissance, nous commandons le respect d’autrui durant notre vie et suscitons un doux souvenir après notre mort. La connaissance prévaut sur la richesse. Ceux qui chérissent la richesse périssent tout en étant encore vivants, tandis que le savant connaît la vie éternelle ; seule disparaît son image physique, mais son souvenir demeure dans nos cœurs. » (1) 2. Ibn Rochd, connu en Europe sous le nom d’Averroès, né à Cordou en 1126, mort à Marrakech en 1198, dit du savoir : « L’essence de l’homme est le savoir et le savoir est d’une part, la chose sue, et d’autre part, autre chose. S’il ignore un objet de la connaissance, alors, il est ignorant d’une partie de son essence. » (2) 3. Ibn Khaldoun(1332-1406), dans la même lignée rationaliste qu’Ibn Rochd, présente deux formes de la relation des sciences, des arts avec le pouvoir: « C’est que l’Etat (dawla) et le pouvoir (sultan) sont comme un marché, sur la place publique. Ils y attirent les sciences et les arts, et les restes de la sagesse. Les conteurs y affluent comme des caravanes. On y demande ce que réclame le public(al-kaffa).Par conséquent (tout dépend du gouvernement) : quand celui-ci évite l’injustice, la partialité, la faiblesse et la corruption, et qu’il est décidé à marcher droit, sans écart, alors son marché ne traite que l’or pur et l’argent fin. Mais que l’Etat se laisse mener par l’intérêt personnel et les rivalités, par les marchands de tyrannie et de déloyauté, et voilà que la fausse monnaie seule a cours sur la place ! » (3) 4. Marx (1818-1883), constate que la science est une force productive sociale. Mais dans une société telle que le capitalisme, les rapports sociaux ne permettent pas à la société humaine entière de jouir des bienfaits de la science et de la technique et de leurs applications : « L’humanité dans son ensemble prend un pouvoir sans cesse accru sur la nature, alors que l’individu devient l’esclave d’autres hommes ou de sa propre humiliation. Il semble même que la pure clarté de la science ne puisse luire autrement que sur le fond obscur de l’ignorance. Toutes nos découvertes et tout notre progrès conduisent, paraît-il, à ce que les forces matérielles s’emplissent d’une vie intellectuelle et que la vie humaine se rabaisse au rang d’une force matérielle obtuse. Cet antagonisme entre l’industrie de nos jours et la science d’une part, la misère et la décadence d’autre part, cet antagonisme entre les forces productives et les rapports sociaux de notre époque est un fait tangible, opprimant et sans conteste. Que tels partis le déplorent, et que d’autres souhaitent se défaire des progrès actuels de la technique, pour peu qu’ils se délivrent en même temps des actuels conflits ; que d’autres encore s’imaginent qu’un progrès aussi appréciable dans l’industrie doit nécessairement s’accompagner d’une régression non moins considérable en politique. Pour notre part, nous ne nous abusons pas quant à la nature de l’esprit astucieux qui se fait jour constamment à travers ces contradictions….. »(4), 5. Engels (1820 – 1895), à son tour, insiste sur le lien profond entre science et théorie : « Mais une nation qui veut rester sur les sommets de la science ne peut se tirer d’affaire sans pensée théorique ». (5) Si nous réexaminons les propos de chaque penseur pris isolément, puis tous ensemble, nous constatons que du point de vue méthodologique, l’approche de la connaissance, du savoir et de la science est toujours envisagée sous le signe du couple ou pour mieux dire, sous le signe d’une unité des contraires : ainsi, il en est de la connaissance et de la richesse, du savoir et de l’ignorance, de la science et du pouvoir, et de la science et de l’ignorance médiatisés par l’intervention active du pouvoir et de ses institutions. C’est dire alors que l’approche du savoir - il s’agit non pas du savoir vulgaire, mais du savoir scientifique - doit être située dans un rapport social. En entendant par rapport social de la connaissance, du savoir scientifique ou de la science, l’ensemble des modalités de création de ce savoir scientifique, de sa répartition ou de sa distribution et de son utilisation par les forces et les classes sociales qui composent une société. En effet, la production du savoir, de la science, est un acte exigeant toute une chaîne d’efforts sociaux qui font que dans chaque société, si étroite soit-elle, l’acte de socialisation de ce savoir ou de la science est celui qui exige le plus d’intensité pour son appropriation de la part des forces sociales qui composent cette société. Mais parmi les auteurs cités ci-dessus, Ibn Khaldoun et Marx insistent chacun à sa manière sur le couple science-ignorance: Ibn Khaldoun souligne que la science et ses progrès sont perturbés par la nature affairiste du pouvoir et de sa clientèle. « Les conteurs, dit-il, y affluent comme des caravanes ». Autrement dit, il s’agit des faussaires et des imposteurs en grand nombre, de la connaissance, du savoir et de la science qui parasitent la conscience scientifique véritable. Il en résulte une sorte de détournement, de dévoiement de l’esprit scientifique. Mais la source première est dans la nature du pouvoir. Cette nature semble beaucoup dépendre de ses formes d’ancrage dans le marché. Ibn Khaldoun semble comme énoncer une sorte de loi sociale, la lutte pour le changement n’y ayant pas pris place dans son horizon politique. La science n’étant pas encore devenue dans sa vision une force productive sociale. Mais l’ignorance dans ce cas, n’est ni le refus, ni le rejet du savoir et de la connaissance. Ce sont les clientèles des diverses ramifications du pouvoir qui produisent et disposent un filtre entre la fausse science et la science véritable, celle qui a pour objet de fonder la vérité. Cette vérité qui fait progresser la société. Science - ignorance devient aussi dans l’explication par Marx du fonctionnement du capitalisme un couple organisé et actif. Il est l’expression des intérêts des classes sociales en présence. La science devient une science pour soi, c'est-à-dire qu’elle doit être organisée de telle façon à développer la classe et les forces sociales qui font promouvoir les intérêts de cette même classe. Le prolongement de la science se trouve dans le développement de la technique et l’organisation des forces productives sociales qui organisent la promotion scientifique de la bourgeoisie et de ses forces sociales satellites. De l’autre côté, les autres forces sociales dont la classe ouvrière, les paysanneries pauvres et sans -terre et la plus grande partie démunie de l’humanité – Marx a en vue sans doute les peuples des autres continents - ne jouissent pas des progrès de la science et de la technique. L’ignorance, vue comme un refus et un rejet d’une répartition profitable du savoir et de la science, à cette grande partie de l’humanité, devient une catégorie opérationnelle et un instrument politique qui agit et fait fonctionner les rapports sociaux du capitalisme. Le capital a besoin de l’ignorance pour pouvoir allonger et prolonger sa vie et ses formes de domination sur de grandes parties de l’humanité. Le couple science – ignorance dans le capitalisme et sans aucun doute aussi dans les sociétés jadis colonisées et aujourd’hui dominées par des forces supplétives du capital, devient une contradiction sociale durable qui hiérarchise à sa manière l’ensemble des rapports sociaux, et principalement ceux qui organisent les modalités de création et de répartition du savoir et de la science. Nous verrons par la suite si cette tendance se confirme dans les modes de fonctionnement de la relation pédagogique à l’université. Mais, à la différence des autres penseurs, Marx ne s’arrête pas au constat ou au diagnostic. Il pense que l’humanité, malgré ses souffrances et ses humiliations séculaires par les forces de répression trouve toujours des ressources pour le changement : « Nous savons que les forces nouvelles de la société, pour faire œuvre utile, n’ont besoin que d’une chose : que des hommes nouveaux en prennent possession, et ces hommes nouveaux sont les ouvriers. Les ouvriers d’aujourd’hui sont une invention pareille à celle des machines. Dans les faits qui mettent en émoi la bourgeoisie, l’aristocratie et les malencontreux prophètes de la marche régressive, nous retrouvons notre ami, notre Robin Goodfellow, la vieille taupe qui sait si bien creuser sous terre, le vieux sapeur - mineur, la révolution. » (6) Et comment se situe la société algérienne par rapport à ces questions qui ont agité et qui agitent encore de plus en plus l’humanité ? Comment s’est-elle située, comment se situe-t-elle par rapport aux idées et aux thèses qui ont été affirmées par ces penseurs ? Brièvement et sans chercher à répondre à toutes ces interrogations, il est nécessaire de poser quelques points de repères qui vont nous aider à conclure sur cette partie et à aborder le même problème en fait, du côté de la relation pédagogique et de ses modes de fonctionnement : 1. Si rapidement nous parcourons la période pendant laquelle Ibn Rochd a vécu et avancé ses thèses principales sur les relations entre la science, la raison et la foi dans le cadre spatial qui le situait entre l’Espagne almohade et le Maghreb central, il n’y a pas de doute, du moins pour le moment, que le Maghreb central, en fonction des crises politiques qui absorbaient les tenants du pouvoir, a fini par « tourner le dos », ignorer les discussions de fond que soulevait la démarche et l’argumentation rochdienne. Malgré quelques ouvertures sur le débat fondamental, celui qui cherche à donner sa place à la raison, à la science face à la foi, l’espace du débat se ferme par décision politique : « Pour Ibn Rochd, il n’y a pas de contradiction entre la Révélation et la philosophie « le vrai ne peut contredire le vrai, dit-il ».Mais cette position n’est pas partagée par la majorité des théologiens et des croyants. Lui même homme de foi ayant adhéré sincèrement à la réforme politico - religieuse des Almohades, invite les philosophes à la modestie en leur rappelant que leur intelligence est aussi incapable de saisir Dieu que les yeux de la chauve-souris de voir le soleil. Il insiste sur le maintien de la religion et de la philosophie dans deux sphères séparées. Mais il subit la critique des oulémas, spécialistes de la connaissance religieuse. A une époque, 1188-1189, marquée par des séditions dans le Maghreb central et la guerre sainte contre les chrétiens, le sultan Abû Yûsuf Yaqûb Al-Mansûr fait interdire la philosophie, les études et les livres, comme dans le domaine des mœurs, il interdit la vente du vin et le métier de chanteur et de musicien. A partir de 1195, déjà suspect comme philosophe, est victime d’une campagne d’opinion qui vise à saper son prestige de cadi. Al - Mansur sacrifie ses intellectuels à la pression des oulémas. Il est exilé en 1197 à Lucerna, petite ville andalouse peuplée surtout de juifs, en déclin depuis que les Almohades ont interdit toute religion autre que l’Islam…. Il meurt le 10 ou 11 décembre 1198 sans avoir revu l’Andalousie ! » (7) 2. Ces situations historiques vont se répéter selon des cycles politiques qui déterminent les positions des pouvoirs successifs dans le Maghreb précolonial, colonial et post-colonial. Le problème étant, pour chaque étape historique, comment mesurer, apprécier les fonctions actives de l’ignorance face à la nécessité de la science et du progrès par la science. L’ignorance devient une force active qui concentre en soi les sédiments actifs des rapports sociaux qui organisent le retard, la régression, la stagnation. Tandis - que la domination coloniale va trouver un terreau très favorable qui lui permettra d’étendre l’espace d’action des formes diverses de l’ignorance, avec pour objectif dans ce cas de pérenniser sa propre domination. 3. C’est pour cette raison que la conquête du savoir scientifique n’est en aucune façon un acte facile, quasi-automatique, comme allant de soi. C’est un acte qui est déterminé par l’existence silencieuse, non visible, de sédiments actifs qui expriment les dimensions historiques des rapports sociaux dans la société algérienne. Donc, le couple science - ignorance demeure comme repère méthodologique de base. Le problème étant de déterminer à chaque étape historique ou à chaque période d’évolution de la société algérienne la structure et la disposition des éléments constituants de ce couple science – ignorance. C'est-à-dire comment la société algérienne se dispose pour faire siennes les exigences de la science ou celles de l’ignorance ? c’est à dire de la science pour soi ou de l’ignorance pour soi ? Les réponses au questionnaire que nous présentons dans la deuxième partie de cette contribution nous aideront à avoir plus de précisions sur cet aspect de la question. 4. Ce couple science – ignorance n’est pas seulement tourné sur le passé. Il agit dans des conditions intenses de luttes sociales dans le présent et pour l’avenir. Les réflexions sur le fonctionnement de la relation pédagogique à l’université algérienne nous permettront de confirmer ou infirmer les modalités d’existence et d’action de ce rapport social. Ceci pour dire que malgré les étapes historiques successives, il y a toujours une continuité des formes de la conscience sociale qui continuent de s’affirmer et de peser ou de dire en quelque sorte leur mot dans le présent de cette conscience sociale. La prédominance ou le poids relatif important et durable des éléments actifs de l’ignorance, est du d’abord au problème séculaire resté sans solution jusqu’à ce jour au sein de la société maghrébine – pour ne pas parler des autres sociétés apparentées - celui de la relation entre la science, la raison, d’une part, et la foi, la croyance, d’autre part. La société maghrébine, pendant toute la période historique qui va du septième jusqu’au 19ème siècle, puis jusqu’à l’avènement de la domination coloniale, n’a fait que successivement le repousser, ne pas trouver pour l’approcher, le résoudre, au grand avantage des conceptions primaires de la croyance ou de la foi qui refusent l’ouverture sur l’universel. Et c’est cette ouverture, cette recherche d’un rapprochement, d’un dialogue, d’une synthèse de la raison et de la foi qui résume le projet d’Ibn Rochd. 5. Il est établi, comme nous l’avons indiqué ci-dessus, qu’Ibn Rochd est mort à Marrakech en 1198 après l’exil et l’oubli par les hautes autorités du Maghreb. Le retour plus tard des ossements d’Ibn Rochd à Cordoue, sa ville natale, dans un cercueil, auquel font contre -poids ses livres, sur l’autre côté du dos de la bête qui le transportait, est un acte qui de nos jours est profondément révoltant ! Est-ce cependant un acte inquisitorial inversé ? Cet acte et tant d’autres de même nature, n’ont-ils pas laissé leurs semences idéologiques toutes vivaces et encore toxiques, jusqu’à nos jours dans nos sociétés respectives ? 6. Le même destin unit Ibn Khaldoun à Ibn Rochd. D’immenses difficultés pendant son séjour à Tunis, puis en Egypte de la part du corps des oulémas affiliés au pouvoir de ces deux pays. N’écrit-il pas dans son autobiographie à propos d’Ibn Arafa, représentant du corps des oulémas tunisiens : « Ibn Arafa a dit au sultan que mon séjour dans la capitale est un danger sérieux pour le pouvoir » Donc, qu’on ne falsifie pas la vérité historique quand, lors de la tenue du 6ème Salon de la connaissance à Tiaret, le 24 mars 2003, l’on nous dise : « Dans notre pays, le savoir et les gens du savoir ont toujours été profondément respectés et admirés. La société algérienne dans son ensemble leur a témoigné sa totale gratitude et elle y a toujours vu à la fois un incomparable ferment d’espoir pour son propre avenir et un motif de fierté vis-à-vis des autres peuples et des autres nations…. » ! 7. Marx et Engels, à leur tour, n’ont pas échappé à une immense conspiration du silence faite autour d’eux de leur vivant, mais aussi sur leurs travaux, aussi bien en Europe que dans les pays du tiers-monde et ce jusqu’à nos jours ! Par exemple, on assiste à partir des années quatre vingt à la disparition quasi simultanée des rayonnages des librairies d’Alger des ouvrages de Marx, Engels et Lénine. Ou encore, faut-il se rappeler ce qu nous appelons « la saison sèche du livre », une saison qui a duré plusieurs années et pendant laquelle beaucoup de bonnes habitudes de travail et de lectures ont été soumises à rude épreuve ! C’est l’étape pendant laquelle toute la superstructure politique et idéologique du pays se prépare à l’adoption des orientations libérales. Quel profil prendra alors la relation pédagogique ? C’est ce que nous examinerons dans les parties qui suivent. Nous nous sommes permis les développements ci-dessus pour d’abord défendre l’idée que toute recherche sur la science et sur le savoir, est aussi en même temps une recherche et une réflexion sur les ressorts secrets du fonctionnement de cette même société. C’est une réflexion et une recherche sur les moyens du développement des forces productives de cette société. Mais aussi sur les obstacles que rencontre cette société dans la volonté qu’elle a de s’arracher à l’ignorance. Entreprise rendue extrêmement difficile et délicate quand on ne fait pas abstraction de l’état d’arriération scientifique et culturel dans lequel la domination coloniale a précipité des peuples entiers et des continents de notre planète, dont bien sûr la société algérienne. L’ouverture sur cet aspect devrait nous inciter à ne pas faire de l’étude de la relation pédagogique seulement un processus d’acquisition des connaissances et du savoir. |
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