«Si ce discours semble trop long pour être tout lu en une seule fois, on le pourra distinguer en six parties.»








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DESCARTES, DISCOURS DE LA METHODE

Pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences

Analyse du texte


« Si ce discours semble trop long pour être tout lu en une seule fois, on le pourra distinguer en six parties. »
PARTIE 1 : « En la première, on trouvera diverses considérations touchant les sciences ».

Structure :

  1. Pourquoi parler de méthode ? Descartes commence par justifier l’intérêt d’une méthode : « la puissance de bien juger, et distinguer le vrai avec le faux, qui est proprement ce qu’on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes », autrement dit, tous les hommes disposent d’une raison équivalente, indépendamment de leurs performances intellectuelles (rapidité, mémoire, imagination) : « la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses ». C’est la différence dans la démarche intellectuelle, et non le fait que certains hommes soient plus raisonnables que d’autres, qui expliquent les divergences d’idées. C’est la raison pour laquelle il faut définir une méthode pour raisonner correctement : « ce n’est pas assez d’avoir l’esprit bon, mais le principal est de l’appliquer bien ».

  2. Comment Descartes a-t-il eu l’idée de cette méthode ? Puis Descartes va expliquer comment il a élaboré sa méthode. Celle-ci est, selon lui, le fruit du hasard et de la chance : « je pense avoir eu beaucoup d’heur de m’être rencontré dès ma jeunesse en certains chemins, qui m’ont conduit à des considérations et des maximes, dont j’ai formé une méthode ».

    1. La modestie : Descartes prend le ton de la modestie : il affirme ne pas être plus intelligent que les autres, et affirme devoir sa découverte aux circonstances : « je tâche toujours de pencher vers le côté de la défiance, plutôt que vers celui de la présomption ».

    2. L’utilité de la méthode : Cependant, il souligne d’emblée la fécondité de sa méthode : elle lui a permis d’acquérir de nouvelles connaissances, et de progresser dans la recherche de la vérité, tout en restant prudent : « Toutefois, il se peut faire que je me trompe, et ce n’est peut-être qu’un peu de cuivre et de verre que je prends pour de l’or et des diamants ».

    3. Le refus du dogmatisme : Descartes ne prétend pas détenir la vérité, et ne se pose pas comme un donneur de leçons : « ainsi mon dessein n’est pas d’enseigner ici la méthode que chacun doit suivre pour bien conduire sa raison, mais seulement de faire voir en quelle sorte j’ai tâché de conduire la mienne ». Il préfère, dans ce discours, « représenter [sa] vie comme en un tableau, afin que chacun en puisse juger, et qu’apprenant du bruit commun les opinions qu’on en aura, ce soit un nouveau moyen de m’instruire ». La comparaison du discours à un tableau souligne le lien entre la vue et la connaissance, véritable vision de l’esprit. Descartes s’oppose ici au dogmatisme, et fait appel à l’esprit critique de son lecteur. Apparaît ici l’idée moderne de l’importance de la confrontation des points de vue : les objections de ses lecteurs lui permettront de progresser. Ce discours est donc à lire « comme une fable, en laquelle, parmi quelques exemples qu’on peut imiter, on en trouvera peut-être aussi plusieurs autres qu’on aura raison de ne pas suivre ». Comme une histoire dont on peut tirer une morale, l’exposé de Descartes est source d’inspiration – il peut servir d’exemple – sans être suivi à la lettre. Ainsi s’explique le choix de la 1ère personne et du récit autobiographique.

  3. Critique de sa formation : Descartes va se livrer à une critique de l’enseignement qu’il a reçu dans « l’une des plus célèbres écoles d’Europe », le collège jésuite La Flèche :

    1. Une source d’ignorance : De manière générale, Descartes avoue n’avoir tiré aucun profit de cet enseignement (qui s’appuie sur les Humanités, les « lettres »), qui lui a plutôt faire prendre conscience de son ignorance, alors qu’il pensait pouvoir « acquérir une connaissance claire et assurée de tout ce qui est utile à la vie ».

    2. Une étude assidue : Descartes dit avoir été un bon élève, même s’il n’était pas le meilleur. Il a également complété son apprentissage par la lecture de nombreux livres, dans tous les domaines (soulignons l’éclectisme de Descartes).

    3. Bilan de ce qu’il a appris : Puis, Descartes fait la critique de chaque discipline, car « il est bon de les avoir toutes examinées, même les plus superstitieuses et les plus fausses, afin de connaître leur juste valeur, et se garder d’en être trompé ».

      1. Introduction où il présente l’intérêt de chaque matière.

      2. Examen de chaque matière, où il se livre à leur critique.




MATIERE

AVANTAGES

INCONVENIENTS

Langues anciennes

Histoire ancienne

  • Comprendre les livres anciens

  • Les fables « réveillent l’esprit »

  • Garder le souvenir des actions héroïques pour bien nous conduire.

  • Former le jugement

  • « conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés » ; cf. Les voyages : cela permet d’ouvrir l’esprit – de juger sainement nos usages et de ne pas rejeter ceux qui sont différents.

  • Comme pour les voyages, on risque de devenir « étranger en son pays », c’est-à-dire qu’on prend le risque d’être décalé par rapport à la réalité où l’on vit (risque de fourvoiement de l’intellectuel).

  • Les fables inventent parfois, modifient les événements pour les embellir, ce qui peut inspirer aux hommes des actions irréalistes : « les extravagances des Paladins de nos romans ».

  • RISQUE D’ÊTRE COUPE DE LA REALITE

Eloquence et poésie

  • Belles

  • Cela ne peut s’enseigner. Ce sont « des dons de l’esprit, plutôt que des fruits de l’étude ».

  • On peut raisonner rigoureusement dans une langue claire et simple, sans effet de style (« en bas breton »).

  • INUTILES

Mathématiques

  • Stimulantes pour l’esprit et utiles aux inventions techniques pouvant « faciliter tous les arts et diminuer le travail des hommes ».

  • Certitude et évidence de leurs démonstrations (modèle du raisonnement rigoureux pour Descartes). Fondements fermes et solides.

  • Pas assez exploitées dans les arts mécaniques (la technique), ni dans les autres domaines.

  • SOUS-ESTIMEES

Morale

  • invitation à la vertu, qui est présentée comme ce qui est le plus haut.

  • comparable à « des palais fort superbes et fort magnifiques, qui n’étaient bâtis que sur du sable et sur de la boue ».

  • ne fait pas assez connaître la vertu.

  • Confond souvent la vertu avec autre chose (de l’insensibilité, de l’orgueil, du désespoir, un parricide). Descartes vise ici les Stoïciens et leur indifférence.

  • MANQUE DE RIGUEUR

Théologie

  • comment aller au ciel

  • inutile d’être instruit pour gagner le ciel

  • les vérités religieuses « sont au-dessus de notre intelligence ».

  • INUTILE ET INCERTAINE

Philosophie

  • comment parler « vraisemblablement » de toutes choses

  • se faire admirer des moins savants

  • pleine de controverses (Descartes décide de rejeter tout ce qui n’est pas absolument certain).

  • VAINE ET INCERTAINE

Jurisprudence, médecine et autres sciences

  • honneurs, richesse

  • rien de solide, fondements peu fermes.

  • Descartes apporte peu d’importance aux honneurs, même s’il ne les méprise pas.

  • Imposture des sciences occultes (magie, alchimie, astrologie).

  • VAINES ET INCERTAINES




  1. Le livre du monde : A la fin de ses études, Descartes, persuadé que la connaissance n’est pas dans les livres, décide de s’intéresser à celle « qui se pourrait trouver en moi-même, ou bien dans le grand livre du monde ». Descartes décide alors de voyager, de faire de nouvelles rencontres, expériences afin d’y réfléchir.

    1. Il lui semble que l’homme d’action fait des jugements plus justes que l’homme d’étude, car d’une part il se sent concerné et d’autre part il peut voir immédiatement s’il a raison ou tort (« sanction » de l’expérience) : « Car il me semblait que je pourrais rencontrer beaucoup plus de vérité, dans les raisonnements que chacun fait touchant les affaires qui lui importent, et dont l’événement le doit punir bientôt après, s’il a mal jugé, que dans ceux que fait un homme de lettres dans son cabinet, touchant des spéculations qui ne produisent aucun effet ».

    2. Descartes affirme : « j’avais toujours un extrême désir d’apprendre à distinguer le vrai d’avec le faux, pour voir clair en mes actions, et marcher avec assurance en cette vie ».

  2. Etudier en soi-même : Cependant, Descartes s’avoue tout aussi perdu qu’à la fin de ses études. Le seul intérêt des voyages est d’apprendre à ne pas prendre pour vraies ses habitudes et donc de corriger certaines erreurs : « j’apprenais à ne rien croire trop fermement de ce qui ne m’avait été persuadé que par l’exemple et par la coutume ; et ainsi je me délivrais peu à peu de beaucoup d’erreurs ». Descartes prend alors la décision de trouver la vérité par la seule force de son esprit : « je pris un jour résolution d’étudier aussi en moi-même ». Descartes conclut : « ce qui me réussit beaucoup mieux ce me semble, que si je ne me fusse jamais éloigné, ni de mon pays, ni de mes livres ».


Textes importants :
Texte 1 :

« Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée : car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose, n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont. En quoi il n'est pas vraisemblable que tous se trompent; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger, et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes; et ainsi que la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses. Car ce n'est pas assez d'avoir l'esprit bon, mais le principal est de l'appliquer bien. Les plus grandes âmes sont capables des plus grands vices, aussi bien que des plus grandes vertus; et ceux qui ne marchent que fort lentement peuvent avancer beaucoup davantage, s'ils suivent toujours le droit chemin, que ne font ceux qui courent, et qui s'en éloignent. 

Pour moi, je n'ai jamais présumé que mon esprit fût en rien plus parfait que ceux du commun; même j'ai souvent souhaité d'avoir la pensée ou la prompte, ou l'imagination aussi-nette et distincte, ou la mémoire aussi ample, ou aussi présente, que quelques autres. Et je ne sache point de qualités que celles-ci, qui servent à la perfection de l'esprit : car pour la raison, ou le sens, d'autant qu'elle est la seule chose qui nous rend hommes, et nous distingue des bêtes, je veux croire qu'elle est tout entière en un chacun, et suivre en ceci l'opinion commune des philosophes, qui disent qu'il n'y a du plus et du moins qu'entre les accidents, et non point entre les formes, ou natures, des individus d'une même espèce. »
Texte 2 :

« Mais je ne craindrai pas de dire que je pense avoir eu beaucoup d'heur, de m'être rencontré dès ma jeunesse en certains chemins, qui m'ont conduit à des considérations et des maximes, dont j'ai formé une méthode, par laquelle il me semble que j'ai moyen d'augmenter par degrés ma connaissance, et de l'élever peu à peu au plus haut point, auquel la médiocrité de mon esprit et la courte durée de ma vie lui pourront permettre d'atteindre. Car j'en ai déjà recueilli de tels fruits, qu'encore qu'aux jugements que je fais de moi-même, je tâche toujours de pencher vers le côté de la défiance, plutôt que vers celui de la présomption; et que, regardant d'un œil de philosophe les diverses actions et entreprises de tous les hommes, il n'y en ait quasi aucune qui ne me semble vaine et inutile; je ne laisse pas de recevoir une extrême satisfaction du progrès que je pense avoir déjà fait en la recherche de la vérité, et de concevoir de telles espérances pour l'avenir, que si, entre les occupations des hommes purement hommes, il y en a quelqu'une qui soit solidement bonne et importante, j'ose croire que c'est celle que j'ai choisie.

Toutefois il se peut faire que je me trompe, et ce n'est peut-être qu'un peu de cuivre et de verre que je prends pour de l'or et des diamants. Je sais combien nous sommes sujets à nous méprendre en ce qui nous touche, et combien aussi les jugements de nos amis nous doivent être suspects, lorsqu'ils sont en notre faveur. Mais je serai bien aise de faire voir, en ce discours, quels sont les chemins que j'ai suivis, et d'y représenter ma vie comme en un tableau, afin que chacun en puisse juger, et qu'apprenant du bruit commun les opinions qu'on en aura, ce soit un nouveau moyen de m'instruire, que j'ajouterai à ceux dont j'ai coutume de me servir.

Ainsi mon dessein n'est pas d'enseigner ici la méthode que chacun doit suivre pour bien conduire sa raison, mais seulement de faire voir en quelle sorte j'ai tâché de conduire la mienne. Ceux qui se mêlent de donner des préceptes, se doivent estimer plus habiles que ceux auxquels ils les donnent; et s'ils manquent en la moindre chose, ils en sont blâmables. Mais, ne proposant cet écrit que comme une histoire, ou, si vous l'aimez mieux, que comme une fable, en laquelle, parmi quelques exemples qu'on peut imiter, on en trouvera peut-être aussi plusieurs autres qu'on aura raison de ne pas suivre, j'espère qu'il sera utile à quelques-uns, sans être nuisible à personne, et que tous me sauront gré de ma franchise. »
Texte 3 :

« C'est pourquoi, sitôt que l'âge me permit de sortir de la sujétion de mes précepteurs, je quittai entièrement l'étude des lettres. Et me résolvant de ne chercher plus d'autre science, que celle qui se pourrait trouver en moi-même, ou bien dans le grand livre du monde, j'employai le reste de ma jeunesse à voyager, à voir des cours et des armées, à fréquenter des gens de diverses humeurs et conditions, à recueillir diverses expériences, à m'éprouver moi-même dans les rencontres que la fortune me proposait, et partout à faire telle réflexion sur les choses qui se présentaient, que j'en pusse tirer quelque profit. car il me semblait que je pourrais rencontrer beaucoup plus de vérité, dans les raisonnements que chacun fait touchant les affaires qui lui importent, et dont l'événement le doit punir bientôt après, s'il a mal jugé, que dans ceux que fait un homme de lettres dans son cabinet, touchant des spéculations qui ne produisent aucun effet, et qui ne lui sont d'autre conséquence, sinon que peut-être il en tirera d'autant plus de vanité qu'elles seront plus éloignées du sens commun, à cause qu'il aura dû employer d'autant plus d'esprit et d'artifice à tâcher de les rendre vraisemblables. Et j'avais toujours un extrême désir d'apprendre à distinguer le vrai d'avec le faux, pour voir clair en mes actions, et marcher avec assurance en cette vie. »

Texte 4 :

« Il est vrai que, pendant que je ne faisais que considérer les mœurs des autres hommes, je n'y trouvais guère de quoi m'assurer, et que j'y remarquais quasi autant de diversité que j'avais fait auparavant entre les opinions des philosophes. En sorte que le plus grand profit que j'en retirais était que, voyant plusieurs choses qui, bien qu'elles nous semblent fort extravagantes et ridicules, ne laissent pas d'être communément reçues et approuvées par d'autres grands peuples, j'apprenais à ne rien croire trop fermement de ce qui ne m'avait été persuadé que par l'exemple et par la coutume, et ainsi je me délivrais peu à peu de beaucoup d'erreurs, qui peuvent offusquer notre lumière naturelle, et nous rendre moins capables d'entendre raison. Mais après que j'eus employé quelques années à étudier ainsi dans le livre du monde et à tâcher d'acquérir quelque expérience, je pris un jour résolution d'étudier aussi en moi-même, et d'employer toutes les forces de mon esprit à choisir les chemins que je devais suivre. Ce qui me réussit beaucoup mieux, ce me semble, que si je ne me fusse jamais éloigné, ni de mon pays, ni de mes livres. »


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