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2 épreuves 1 épreuve écrite et 1 oral
Texte –corpus de texte ayant pour point commun un objet d’étude -L’Argumentation -Le roman -La poésie -Le théâtre Corpus : Deux question portant sur les textes 2*3pts Pour chaque réponse environ 20 à 30 lignes 2 eme partie : Sujet d’écriture Commentaire, dissertation, sujet d’invention Le plan du commentaire sont données Dissertation : Réflexion organisée sur un sujet donnée Invention : Dimension argumentative Epreuve Oral : Préparation 30 minutes, 2à minutes de passage 4 à 5 Séquence sur l’année. Rappel méthodologie Introduction
⇒ Texte idée par idée qui regroupe les texte en fonction de leur point commun Dans le texte A, le personnage féminin est décrit à la fois comme une femme modernes indépendantes et comme le cœur du foyer. En effet, la mère est présentée comme une femme moderne qui, malgré, ses obligation familial sait se représentée du temps libres, et à des activités qui n’appartienne qu’à elle. Elle est indépendante est nécessite pas à partir seul en voyage. Elle est ouverte d’esprit, curieuse et très active comme le montre l’ampleur de ces emplois du temps à Paris où elle « avait visiter la momie exhumé, le musée à grandi, le nouveau magasin… » Néanmoins elle ne néglige pas pour autant ses proches, bien au contraire : lorsqu’elle rentre de voyage, elle partage son expérience et ses découvertes en peignant Paris, en montant des « programmes de spectacles »… Elle ramène aussi des cadeaux, chocolat en barre d’engrais exotiques, étoffes… Elle se montre « inquiète »de ce qui s’est passé pendant son absence. Elle ne tarde pas à tout « reprendre » en « main » rien échappe à son attention, pas même un simple « géranium ». En définitif elle est un personnage accomplie aussi bien comme femme que comme mère. Dans le texte B, la mère est une bonté est d’un courage remarquables qui font d’elle le pilier de la famille…. Remarque : Pour le développement ⇒ utiliser, employer le pronom nous ⇒ souligner les titres d’œuvres pour les citations elles doivent être courte et peu nombreuses ⇒ éviter la paraphrase ⇒ passer quelques lignes entre l’introduction et le développement ⇒ passer quelques lignes entre développement et la fin ⇒ commencer chaque paragraphe par un alinéa Conclusion : Elle doit répondre clairement et rapidement à la question environ 5 lignes maximum. Séquence n°1 : L’argumentions, la critique de l’esclavage chez les philosophes des lumières. Pérégrination : Voyage
Remarques : A l’époque de Voltaire le mot nègre n’été en aucun péjoratif
La position allongée n’est pas la position de l’être humain. On nous décrit la tenue et l’étrangeté du personnage, légèrement voir anormalement peu vêtue donc on peut en déduire qu’il est mal traité ; description du personnage. La fin de la phrase révèle que le personnage a été gravement mutilé. On trouve une description qui nous invite à éprouver de la pitié pour l’esclave. La phrase commence par une exclamation + apostrophe. Utilisation de l’exclamation fréquente. Alors que Candide ne connaît pas l’esclave ; il le traite immédiatement comme son égal. La phrase est osée pour l’époque, pour les esclavagistes et pour les européens. A leurs époques l’esclave noir n’est pas considéré comme un être humain mais plutôt comme une race inférieure. L’objectif l’Etat horrible montre une fois de plus que Candide compathie de façon instinctif. Le début de ce texte utilise un registre pathétique. Pathétique : Attention ne pas confondre le mot pathétique car il possède 2 sens.
« J’attends mon maître » (Ligne 3) Ça montre enfaite l’esclave qui est laisser, résigner à son sort ; mais on verra par la suite du texte la lucidité de l’esclave. « Fameux » cet adjectif donne l’impression que l’esclave admire son maître. Nom du Maître : Mr Vanderdendur souvent en littérature les noms propres inventés par l’auteur ont une signification. Le début du nom sonne Hollandais La fin souligne sa caractéristique principale C’est 3 lignes décrivent les châtiments affliger aux esclaves dans certaines situation. 1er Cas de figure : injuste, inhumain est un châtiment particulièrement sévère. Dans ces quelques lignes on part d’une dégradation ( un doigt arraché, une main coupé, la jambe coupé…) Ces lignes confirment la cruauté de Mr Vanderdendur ; l’esclave décrit ses châtiments de façon objective. Façon subjective : Exprimant son point de vue propre et sentiment personnel Façon objective : Ne pas prendre parti. Cette objectivité souligne une fois de plus la résignation apparente de l’esclave qui semble justifier ce qu’il lui arrivait. La suite du texte montrera que l’esclave n’est pas aussi naïf qui veulent le faire croire. Cette résignation peut s’expliquer peut s’expliquer par le fait qui est face à un Européen blanc est donc il se méfie. Petit à petit l’esclave va se confier exprimer son véritable point de vue.
Que critique ce texte ? Déroulement de l’explication de texte à l’oral (10 minutes)
Le code Noir est un texte de loi promulguée en 1685par Louis XIV C’est un texte régi par les rapports entre maître et esclave Article 38 : L’esclave fugitif qui aurait été en fuite pendant 1 mois (…) aura les oreilles coupés et s’aura marqué d’une fleur de lys sur une épaule ; et si il récidive une autre fois (…) il aura la jaré coupé est is sera marqué d’une fleur de lys sur l’autre épaule et la 3eme fois il sera punie de mort. Il y avait dans les punitions une gradation. L’esclavagiste ne respecte pas les lois. Art 42 : Défendons de leur donné la torture, ni de le faire aucune mutilation de mort.
Il pratique l’ironie à ligne 7-8 c’est à ceux prix que vous mangé du sucre en Europe. Pour que quelque personne fortunée puisse manger, des millions d’individus dans les colonies vivent comme des bêtes. Il reprend ensuite avec distances les propos de sa mère manipulé par les blancs (ligne 9-10) le mot honneur est ironique et tu fais parler la fortune de ton père et de ta mère. Pour quelqu’un comme Voltaire, l’individu ne peut pas être vendu ; la liberté est un droit libre et égal. On ne peut pas être acheté c’est un droit inaliénable. L’esclave n’est pas dupe des mensonges des Européens. Les chiens, les singes et les perroquets sont mille fois moins malheureux que nous. Cela souligne qu’ils sont traité moins bien que les bêtes. Deuxièmement l’hyperbole qui souligne le malheur extrême des esclaves. La fin du texte montre les qualités de réflexion de l’esclave qui développe une argumentation logique. Les fétiches Hollandais (ligne 12-14) Remarques historique, les européens imposer leur religion catholique à tous les esclaves. La mauvaise foi des Européen qui est souligné ici. Si tous les hommes frères, il n’y a plus d’esclavage possible. L’esclave met en évidence le décalage entre les paroles et les actes des Européens et par la même occasion il souligne que les Européen ne respectent pas leurs propres religions. Conclusion : Voltaire met en évidence une scène ou un esclave qui n’a rien à voir avec l’image qu’on donne à l’esclavagiste à l’époque est ceux qui veulent bien plus intelligent que les esclavagistes. Un réquisitoire contre les Européens esclavagiste.
Conclusion :
Ce texte est un apologue Quelques Conseil Quand on a un long texte :
Ce comte illustre plusieurs défauts humains :
Le corpus se compose d’un texte unique. Un comte intitulé « La gazelle du Sultan », extrait des derniers de l’Arabie heureuse d’Henri De Monfreid. Dans ce récit, un personnage mets à l’épreuve l’amitié du Sultan en cachant son animal favori. Nous nous demandons quels défauts humains cette histoire illustre ? Nous verrons à la suite du texte qu’elle met en scène l’orgueil de l’homme, sa cruauté, son hypocrisie et son ingratitude. L’orgueil est les principaux défauts humain mise en évidence par se comte. En effet les personnages principaux se montrent tous d’une façon ou d’une autre orgueilleux. Osman tout d’abord puisqu’il prétend avoir tué la gazelle que pour éprouver l’amitié du Sultan. Comme le souligne la question de la ligne 16 il se demande si Yaya lui accorde plus d’importance que sa gazelle : J’ai imaginé cette histoire pour savoir si dans ton cœur je compter plus qu’une simple gazelle de six piastre. Aleman n’échappe pas à l’orgueil : pour paraître mieux informer que c’est amies elle n’hésite pas à révéler le secret de son mari alors que cela pourrai couter la vie à celui-ci. Quand à Yaya qui ne supporte pas d’avoir perdue sa gazelle la peine de mort qui réclame pour Osman montre assez bien son Orgueil. A ce défaut il faut ajouter la cruauté. Le Sultan fait preuve d’une grande barbarie quand ils décident de faire trancher la tête d’Osman pour un simple animal. Cette cruauté se retrouve chez les courtisans qui propose des châtiments encore plus inhumain notamment de crevé les yeux et couper les mains d’Osman pour l’envoyer mourir abandonné dans le désert. Ses courtisans incarnent l’hypocrisie et l’ingratitude. Ils sont prêts à raconter n’importe quoi si cela peut leur être utile. Ce sont les anciens amis d’Osman qui sont maintenant « les plus acharnés contre lui ». L’attitude de l’intendant est révélatrice : pour plaire à Yaya. Il lui amène une tête brulée de gazelle sans même savoir si elle s’agit de la bonne gazelle pourtant Osman avait sauvé autrefois cette intendant de la mort. Conclusion : En définitif, ce conte critique 5 défauts humain : Orgueil, cruauté, l’ingratitude, hypocrisie et la colère. Se comte est un apologue* : Ils ne racontent pas seulement une histoire il cherche également à défendre des valeurs morale Apologue : Court récit qui débouche sur une moralité exemple : Fables de La Fontaine, le nègre de Surigane. |
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