Atelier de philosophie animé par alexandre schild saison 2 (2016-2017) «la fin de la philosophie»








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la conscience peut effectivement s’imaginer qu’elle est quelque chose d’autre que la conscience de la pratique existante, qu’elle [se ]représente de façon effectivement réelle quelque chose sans [se ]représenter quelque chose d’effectivement réel [je souligne] – à partir de cet instant, la conscience est en état de s’émanciper et de verser dans la formation de la théorie “pure”, théologie, philosophie, morale etc. Mais même quand cette théorie, cette théologie, cette philosophie, cette morale etc., entrent en contradiction avec les circonstances existant en l’état [mit den bestehenden Verhältnissen], cela ne peut arriver que du fait que les relations existant en l’état sur le plan social sont entrées en contradiction avec la force productive existant en l’état […].51

44) PLATON, à propos de « la nécessité d’entrer en relation [in Verbindung zu treten, autrement dit de “se lier (étroitement)”, de “s’allier”] » et ainsi vivre « en société » selon Marx :

[Socrate :] La Cité [πόλις] advient [γίγνηται] ensuite de ceci qu’il se trouve [ἐπειδὴ τυγχάνει] que chacun de nous n’est pas autarcique [αὐτάρχης], mais en manque [ἐνδεής] de beaucoup de choses. Ou bien vois-tu [Adimante] un autre principe présider à l’aménagement [οἰκίζειν] de toute Cité ? – Aucun, dit-il [Adimante]. – Ainsi donc, un autre s’adjoignant [prenant à ses côtés, “s’asssociant” à] un autre pour quelque chose d’autre [παραλαμβάνων ἄλλος ἄλλον ἐπ᾽ἄλλου], puis [s’adjoignant] untel pour les choses nécessaires à [ce ?] quelque chose d’autre [τὸν δ᾽ ἐπ᾽ἄλλου χρείᾳ], beaucoup, manquant [ainsi] de beaucoup de choses [πολλῶν δεόμενοι (de beaucoup des choses et/ou d’autres hommes ?)], se retrouvent dans une seule et même habitation à se demander et se rendre service en commun [εἰς μίαν οἴκησιν ἀγείραντες κοινωνούς τε καὶ βοηθούς] ; c’est à cette maison commune [ξυνοικία] que nous avons donné le nom de Cité.52

45) MARX et la philosophie 7, selon son Introduction de 1843/44 à ce qu’il projetait alors encore d’une Critique de la philosophie hégélienne du droit :

L’arme de la critique, en tout état de cause, ne peut pas remplacer la critique des [genitivum subjetivum = par les] armes. Il faut que la force matérielle soit abattue par la force matérielle. Mais même la théorie devient une force matérielle aussitôt qu’elle capte les masses. La théorie est capable de capter les masses aussitôt qu’elle argumente [demonstriert] ad hominem, et elle argumente ad hominem aussitôt qu’elle devient radicale. Être radical, c’est prendre la chose [die Sache53] à la racine. Mais la racine, pour l’homme, c’est l’homme lui-même. La preuve évidente du radicalisme de la théorie allemande [dans la configuration de la philosophie de Feuerbach, s’entend], donc de son énergie pratique, est qu’elle part de la supression décidément positive de la religion [ihr Ausgang von der entschiedenen positiven Aufhebung der Religion]. La critique de la religion prend fin avec la leçon que l’homme est l’être suprême [das höchste Wesen] pour l’homme, donc avec l’impératif catégorique d’abattre tous les rapports [sous-entendu : politiques, certes, mais avant tout sociaux, qui ont cours dans « la société civile »] où l’homme est un être rabaissé, asservi, abandonné, méprisé.54

D’où ces lignes conclusives :

L’Allemagne, qui est gründlich [“portée sur le fond des choses”], ne peut pas faire la révolution [revolutieren] sans faire la révolution à partir d’un fondement [von Grund aus]. L’émacipation de l’Allemand est l’émancipation de l’homme. La tête de cette émancipation est la philosophie, son cœur le prolétariat. La philosophie ne peut se réaliser effectivement sans la supression [Aufhebung] du prolétariat, le prolétariat ne peut se supprimer sans la réalisation effective [Verwirklichung] de la philosophie.

Quand toutes les conditions internes [à l’Allemagne] seront remplies, le jour de la résurrection à l’allemande sera annoncé par le chant du coq gaulois.55

47) RUBEL au sujet de la “négation-Aufhebung” de la philosophie comme condition de sa « réalisation effective [Verwirklichung] » selon la susdite Introduction :

Devançant une objection attendue, Marx emprunte au maître de la dialectique les concepts de « négation » et de Aufhebung, dont la synonymie apparente dissimule une ambuïté voulue : « nier la philosophie », c’est encore « philosopher » ; « réaliser la philosophie », c’est démontrer son inanité comme spécialité professionnelle56, mais pour en faire la substance spirituelle commune nourrissant le vie de tous les êtres et la changer en raison et sagesse des relations humaines quotidiennes, c’est comme si la philosophie était désormais aufgehoben – supprimée et conservée — dans une éthique informulée, parce que vécue.57

48) Le sens de l’Aufhebung dans la dialectique hégélienne selon Hegel lui-même (voir suppl. xi) :

Aufheben a dans la langue [allemande] le double sens qui lui fait signifier conserver [aufbewahren], maintenir [erhalten], et en même temps faire cesser [aufhören lassen], mettre un terme [ein Ende machen]. La conservation elle-même inclut déjà en soi [in sich] le négatif qui est qu’à quelque chose est retirée son immédiateté et par là une existence [Dasein] ouverte aux actions exercées en elle de l’extérieur [äußerlichen Einwirkungen], et ce pour le maintenir. – Ainsi quelque chose d’aufgehoben est-il en même temps quelque chose de conservé, qui n’a perdu que son immédiateté, mais n’a pas pour autant [darum] été anéanti [vernichtet]. – Lexicalement, les deux déterminations [Bestimmungen] qui viennent d’être apportées peuvent être présentées comme deux significations [Bedeutungen] de ce mot. Mais on devrait là être frappé qu’une langue soit parvenue à faire usage d’un seul et même mot pour deux déterminations opposées. Pour la pensée spéculative, il est réjouissant de trouver dans la langue des mots qui ont en eux-mêmes une signification spéculative. Le double sens du latin tollere (qui a été rendu célèbre par la plaisanterie de Cicéron « tollendum esse Octavium ») ne va pas si loin, la détermination affirmative ne va que jusqu’à l’élévation [Emporheben]58. Quelque chose n’est aufgehoben [élevé] que dans la mesure où il est entré dans l’unité avec son opposé.59

III) SUPPLÉMENTS DE TOUTES SORTES (À SUIVRE…)60


xiLa dialectique hégélienne et rôle de l’Aufhebung
Formule générale :

– [thèse (position) = A  antithèse (position de la négation) = non-A]  [contradiction : 1) thèse (positif) versus 2) antithèse (négatif) versus thèse (positif)]  [contradiction : 1) thèse (positif) versus 2) antithèse (négatif) & antithèse (négatif) versus thèse (positif)]  2’) auto-négation de l’antithèse, du négatif, et re-position de la thèse, du positif, etc.   (“mauvais” infini) : thèse-antithèse-thèse-antithèse, etc.… à l’infini (cf. les antomies cosmologiques de la métaphysique traditionnelle selon Kant) ; ou alors  2’’) Aufhebung  [3) synthèse (“bon” infini, chacun des termes de la contradiction n’étant plus affecté, de l’extérieur, par son contraire) : thèse & antithèse = A & non-A] = B…  non-B (etc.) .

Exemples (en résumé) :

– [être  néant]  [contradiction : être versus néant & néant versus être (Platon versus Gorgias… après Parménide, etc.)]  auto-négation du néant & re-position de l’être   ou Aufhebung  être & néant = devenir (être & ne pas être qua n’être plus sive n’être pas encore, mais pour cela… être !)

– [Dieu  nature (« autoposition de soi [Sichselbstsetzen] ») de Dieu comme nature (dans l’espace-temps !)] = autoposition de soi de la nature versus Dieu qua pensée consciente de soi  [contradiction : Dieu versus nature & nature versus Dieu]   ou Aufhebung  auto-négation de la nature (vie  mort)  Dieu & nature = esprit (homme),

– [vie qua « processus générique [Gattungsprozess] » qua « le général [das Allgemeine] »]  être vivant qua individu (vivant)  [contradiction : le général versus l’individu & l’individu versus le général (cf. Aristote, Schelling, Schopenhauer (Baudelaire) et Nietzsche, Stirner etc.)]  auto-négation de l’individu (mort)   ou Aufhebung : l’individu & le général = l’homme (conscience, entendement, raison, esprit… etc.).
xii) Extrait d’un ancien cours (abrégé) sur Hegel, légèrement retouché
L’ACCOMPLISSEMENT HÉGÉLIEN DU PLATONISME “MODERNE”
La pensée de Hegel se présente elle-même comme la tentative de surmonter la limite que Kant avait fixée au sujet comme pensée consciente de soi (cogito) quant à son pouvoir de s’assurer en toute certitude – fondée sur la certitude, inauguralement établie par Descartes, que ladite pensée a de son propre être à elle, – de cet être des choses que ce même Kant établissait alors expressément comme consistant dans l’objectivité de l’objet posé comme tel, en son objectivité même, par et pour ce sujet qu’il instituait du coup comme le fondement même de ce qui est ou de l’étant en son être. Selon Kant, en effet, le sujet – dans la mesure où, tout humain qu’il est, et fini au sens de « limité [begrenzt] », il n’a accès aux choses que par le truchement de sa « sensibilité [Sinnlichkeit en ce sens-là] », – ne saurait conférer l’objectivité, et donc l’être en ce sens, qu’aux choses telles qu’elles lui apparaissent au travers de celle-ci, soit aux « choses dans l’apparence », autrement dit aux « phénomènes », et non aux choses telles qu’elles sont en elles-mêmes, aux « choses en soi », aux « noumènes ».

Ainsi Hegel fut-il amené – pourquoi ? en “raison” de quelle nécessité ? et d’ailleurs pas seul (ne pas oublier Fichte et Schelling, voire Hölderlin (1770-1843), qui aura été (fin des années 1780 – début des années 1790) le camarade de Hegel et Schelling au Stift de Tübingen, et aura, peut-être, et peut-être même des plus décisivement, contribué avec à la rédaction de Das älteste Systemprogramm des deutschen Idealismus – titre donné à ce feuillet recto/verso rédigé par Hegel (vraisemblablement vers la fin des années 1790), par Franz Rosezweig en 1914, et publié par lui en 1917)… c’est là l’un des éléments saillants de notre question ! – à établir, au contraire, l’absoluité d’un sujet qu’il conçut alors comme la pensée qui, dans ce mouvement de se penser elle-même qui la caractérise en tant que pensée consciente de soi, produit du même coup, comme autant de déterminations siennes, i. e. comme autant de modes de la pensée (modi cogitandi, dirait Descartes), et, par suite, comme autant de catégories à proprement parler61, la totalité des déterminations de la chose telle qu’elle est en et par elle-même, soit la totalité des modes d’être (modi essendi) de la chose en soi. Puis à déployer explicitement cette totalité comme telle en une philosophie qui devait alors se présenter comme un système comportant, en l’occurrence – par-delà son point de départ et son assise « phénoménologique », dans cette Phénoménologie de l’Esprit qui établit l’absoluité du sujet et de la pensée à partir de « l’expérience » que la conscience humaine a et fait des choses telles qu’elles se découvrent progressivement à elle à partir d’elles-mêmes, – les trois grandes parties suivantes :

1°) Une philosophie de la logique, que Hegel définit lui-même comme « la science [je souligne] de l’idée pure, soit de l’idée dans l’élément abstrait de la pensée »62 – où l’idée doit être comprise au sens premier (pour la philosophie du moins) de l’εἶδος et ἰδέα platoniciens, et alors comme la chose elle-même en tant qu’elle manifeste, donne à « voir » (εἰδέναι, ἰδεῖν), à la pensée, ce qu’elle est en et par elle-même, i. e. son essence, cette essence qui lui confère son être ; – avec ceci toutefois que, ne pouvant subsister hors de la pensée du sujet, qui en est au contraire l’élément, cette idée est le concept, soit la détermination une et universelle de la chose en ce qu’elle est en tant que produit de la pensée consciente de soi du sujet (de son « activité mentale pure », dirait Descartes définissant ce qu’il appelle « l’intuition ») ; mais alors le concept en tant qu’il se sait être lui-même la chose elle-même telle qu’en son être même. Philosophie de la logique qui, comme telle, se trouve avoir pour tâche de décrire le processus, progressif, au travers duquel la pensée produit, une à une, dans l’immanence de l’élément qu’elle constitue pour elles, toutes les déterminations de la chose elle-même ou de l’étant en son être même, tout en se reconnaissant elle-même en celles-ci, en y reconnaissant ses propres déterminations à elle, et qui finit ainsi par contenir « la pensée en tant que cette pensée est tout aussi bien la chose en soi-même ou la chose en soi-même en tant que celle-ci est tout aussi bien la pensée pure », soit, plus précisément, « le développement de […] la conscience de soi que l’étant en et pour soi est le concept su et que le concept comme tel est l’étant en et pour soi »63 ; développement au terme duquel la pensée est alors, au titre de ce que Hegel appelle « l’idée absolue », le savoir de soi dudit processus, ou plutôt ce processus lui-même une fois parvenu au savoir de soi, et c’est dire : la méthode ; méthode dont on soulignera encore que, comme telle, elle n’est rien d’autre que le mouvement et le principe mêmes, l’« âme »64, du processus de l’autoproduction de la pensée produisant par là-même la totalité de l’étant en son être ; telle étant au demeurant toute la dialectique, spéculative, de Hegel65. À propos de laquelle il vaut la peine de prendre bonne note du commentaire de Heidegger :

La dialectique spéculative, Hegel l’appelle aussi tout simplement « la méthode ». Par ce terme, il ne désigne ni un instrument de la représentation, ni une façon particulière d’avancer en philosophie. « La méthode » est le mouvement le plus intime de la subjectivité, « l’âme de l’être », le processus de production par lequel le tissu de la réalité effective de l’absolu dans son tout est ouvré. « La méthode » : « l’âme de l’être » – nous voilà en pleine fantasmagorie. On s’imagine que notre temps a dépassé de tels égarements de la spéculation. Mais nous vivons au beau milieu de cette prétendue fantasmagorie.66

Non sans bien préciser :

1) la méthode (selon Hegel, s’entend !) n’est pas un instrument, un outil, dont la pensée se servirait dans sa démarche en quête de la connaissance, du savoir, de la science et… de la vérité ; elle est le chemin et le cheminement que constitue le déploiement même de la pensée dans la production de ses propres déterminations comme autant de déterminations de l’étant en tant que tel ; et comme telle, elle est « l’âme de l’être », et c’est dire, conformément à la définition grecque de l’âme (psuchè) comme principe de la vie, le principe de ce processus de la production de l’être comme vie.

2) la méthode est dialectique en un sens qui rassemble les deux sens traditionnels du mot, à savoir :

a) le sens platonicien : la dialectique est le parcours de la pensée à travers (dia-) le logos en tant qu’il manifeste l’étant en son être, soit l’idée, et alors au travers (dia-) des idées dans toute l’extension de leurs rapports “rationnels” (logoï), où la dialectique s’identifie finalement avec la sagesse à laquelle tend la philosophie.

b) le sens aristotélicien (qu’on retrouve dans la “dialectique transcendantale” de la Critique de la raison pure de Kant) : la dialectique est le parcours de la pensée au travers (dia-) des énoncés (logoi) opposés, voire contradictoires, que l’opinion est amenée à soutenir sur tout ce qui pas de l’ordre de la nécessité, et qu’il s’agit de confronter, dans une perspective critique, afin d’en révéler les limites respectives.

c) telle que la conçoit Hegel, la méthode est précisément dialectique en ceci que 1) le processus, nécessaire, lui, de l’autoproduction de la pensée en ses propres déterminations à elle est précisément cheminement de cette pensée au travers des déterminations de l’étant en son être que sont tout aussi bien ses propres déterminations à elle, et 2) ce processus est tel que chaque détermination de la pensée est tout aussi bien la négation d’une autre, de telle sorte qu’elles sont toutes deux également limitées l’une par rapport à l’autre, mais finalement « surmontée [aufgehoben] » (
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