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4 000 / 8 000 euros 7 hôpitaux, maisons-Dieu, maladreries (1344-1775) Divers actes en faveur des hôpitaux & maladreries suivants : • Maison Dieu de Pleurs, diocèse de Troyes : Jehan évêque de Troyes accorde 40 jours d’indulgence à ceux qui aideront les pauvres (1344) • Maladrerie de Beaumont le Roger (1412) • Hospice de Toulouse (2 pièces, 1440) • Hôtel Dieu d’Amiens (1451) • Hôpital Dieu de Boulogne sur la Mer (1464) • Toulouse (1473) • Maison Dieu des ladres et maladrerie de Saint Jean d’Angély (1479) • Aumôneries & hôpitaux à Poitiers (1602) • Aumône générale de Lyon (1603) • Hôpital Saint Pierre de Gravelines (1676) • Hôpital de Rethel (1677) • Ordre de Notre Dame du Mont Carmel et de Saint Lazare, pour l’Hôtel Dieu de Chastellot en Brie (1678) • Hôtel Dieu Saint Jean de Noyon (1692) • Hôtel Dieu de Chinon (1686) • Hôpital de Saint Lizier (1775). Ensemble seize pièces de parchemin, en latin ou en français, la plupart signées. estimation : 600 / 700 euros 8 les hôpitaux de Paris (1387-1787) Liasse sur les hôpitaux de Paris : • Hôtel Dieu de Paris (1387, 1646) • Maladrerie de Saint Ladre lès Paris (1409) • Hôpital des pauvres enfants de la Trinité, à Paris (1559) • les pauvres valides de Paris (1562, 1570, 1579, 1580 (3 pièces) : les pauvres ont besogné à curer et nettoyer les boues et immondices estant sur la chaussée devant le chasteau de la Bastille) • Hôtel Dieu de Pontoise (signé par Sœur Marie de Harville) (1573) • Hôpital du Saint Esprit (1575) • Hôpital Saint Jean Baptiste, dit La Charité, à Saint Germain des prés (1621) • Pauvres de Paris (1639, 1657, 1663) • Pauvres filles mendiantes de Sainte Magdelaine à Paris (1702) • Hôpital général de Paris (1704, 1706) • Hôpital royal des Quinze-vingts, à Paris (1787). Ensemble vingt pièces de parchemin, en latin ou en français, la plupart signées. estimation : 800 / 1 000 euros 9 l’hôtel-Dieu de Montfort L’Amaury (1391-XVIIIe s.) Montfort L’Amaury. 1391 - XVIIIe s. Dossier sur l’hospice de Montfort L’Amaury : • Charte de donation (vidimus de testament) faite par Guillaume Sebillon, à l’œuvre du Ciboire de l’église de Sainte Manchet (?). 23 avril 1391. Charte sur parchemin. • Jehan de Goul, changeur à Paris, se tient content envers Guillaume Aupers, du droit qu’il a pour la vente de vingt-et-un muids, cinq setiers, trois mineurs, de son sel qu’il avait au grenier à Montfort L’Amaury. 21 janvier 1414. Charte sur parchemin. • Huit actes sur papier et un acte sur parchemin, relatifs à l’hôtel Dieu de Montfort l’Amaury, et à la seigneurie du Breuil. xviiie siècle. • Acte passé par Jehan Barthomier, écuyer, bailly de Montfort L’Amaury : messire Guillaume Gurvier, prêtre, demeurant à Corbeville, baille à Jean Cerq (?) chanoine à Paris, un demi arpent de terre en jardin & pastis assis à Corbeville. 16 décembre 1558. Charte sur parchemin. Ensemble quatre actes sur parchemin et huit sur papier. estimation : 800 / 1 000 euros 10 les hôpitaux de Normandie (1400-1557) • Hôtel Dieu de Falaise (1392) • Maladrerie de Lortray (1400) • Maladrerie d’Orbec (1401) • Maladrerie Sainte Marguerite de Saint Cyr du Val Rueil (1403) • Hôtel Dieu de Vire (1416, 1420) • Certificat de mendicité par le bailly de Cotentin (1421) • Hôtel Dieu d’Évreux (1450) • Pontaudemer (1456) • Hôtel Saint Ladre près Falaise (1459) • Vire (1505) • Le mont aux malades lez Rouen (1527) • La Charité de la Sainte Croix fondée à Dieppe (1557). Ensemble douze pièces de parchemin, en latin ou en français, la plupart signées. estimation : 700 / 800 euros 11 Saint-Sauveur Lendelin (1413) Ce sont les noms & surnoms des manants & habitants de Ludeville (?) puiss[ant] de payer le fouage escheu en la vicomté de Saint Sauveur Lend[elin] en ceste présente année l’an mil IIIIc et treize, rapporté par Jehan Héron & Thomas Fouquet. 11 septembre 1413. Suit le nom de 72 personnes, parmi lesquelles on relève les patronymes de Héron, Fouquet, Legras, Simon, Drunassal, Legouppil (féminisé en Lagouppille), Hue, Vasset, Hamel, Neel, Dutot, Boullent, Garin, Olivier, Le Roy (féminisé en La Reyne), Drouet, Obelin, Vasse, Dudoit, Hulart, Verel, Guillot, Jouen, Perrier, Le Plançois, Labbé, Durant, Le Clert, Clabel, Le Maignen. Longue bande de parchemin (11 x 65 cm), en langue française, munie du seing manuel du notaire. Acte important, qui, en vue d’une imposition, donne le dénombrement des habitants de cette localité dépendant de Saint Sauveur Lendelin (Manche). estimation : 700 / 800 euros 12 Indulgences (1517) Lettre des conseillers du Roy, au commis tenant les comptes du Jubilé et de la Croisade ordonnés par le Pape, de payer la somme de trois mille livres pour les pauvres malades de l’hôtel Dieu de Paris. 16 janvier 1517. Les généraux conseillers du Roy notre sire sur le fait et gouvernement de ses finances, à Jehan Gressier commis à tenir le compte des deniers provenant du Jubilé et croisade octroyé par notre saint Père le Pape ès royaume, pays et seigneuries dudit Roy, salut. Nous vous mandons que des deniers de votre commission vous payiez et bailliez au maître administrateur ou procureur de l’hostel Dieu de la ville de Paris, la somme de trois mille livres tournois, laquelle en l’honneur de Dieu le Créateur et en faveur de charité et aumône ledit sire l’a ordonnée pour aider à vivre, alimenter et entretenir les pauvres malades étant et affluant en icel hostel Dieu, et en récompense de ce que les pardons et indulgences dudit hostel Dieu octroyés aux bienfaiteurs d’icel ont été suspendus par notre saint Père le Pape au moyen de ladite croisade et durant le temps d’icelle, à icelle somme de 3000 livres avoir et prendre sur les premiers et plus clairs deniers provenus de ladite croisade, tant en ladite ville de Paris que ès environs du diocèse. 16 janvier 1517. Pièce de parchemin (32 x 21 cm), écrite en langue française ; signée. Document évoquant le jubilé et la croisade décidés par le pape Léon X, ainsi que les indulgences décrétées pour la construction de la basilique Saint Pierre à Rome. Le Roi veut que l’hôtel Dieu de Paris continue à recevoir les aumônes habituelles ; il ordonne donc que la somme de 3 000 livres soit prélevée sur les aumônes qui sont données pour la Croisade. En cette année 1517, Martin Luther présenta ses 95 thèses (dites « thèses de Wittenberg ») relatives aux indulgences, dont la publication marque symboliquement le début du protestantisme. document rarissime, hautement symbolique estimation : 700 / 800 euros 13 Jehan Sacquespée, d’Arras (1437) Les échevins d’Arras font savoir que : Jehan Sacquespée et demoiselle Ysabel Mansel, sa femme, bourgeois d’Arras, vendent à Mahieu de Saint Amand procureur en la court du Roy notre sire, pour le prix de neuf-vingt & dix (190) saluts d’or qu’ils ont reçu en deniers comptant, quatorze mencaudées et demi de terre arable en une pièce, séant derrière l’héritage des religieux de Saint Jehan de Jérusalem, et tenant à diverses autres maisons proche l’église et cimetière du Saint Sauveur; à la charge de payer annuellement quarante-huit sols à la maladrerie du Grand Vaal, quatorze sols à Mons. de Savenères et treize sols à Bertran le Jone. Approbation de maître Antoine Sacquespée, frère dudit Jehan, et de demoiselle Liennor de Lens sa femme. En témoin de quoi les échevins apposent à ces présentes lettres le sceau aux contrats de la ville d’Arras. Fait le 9 octobre, l’an 1437. Feuille de parchemin (34 x 26 cm), écrite en langue française; munie du sceau en cire verte sur double queue de parchemin. Sceau au lion chargé d’un écu; contre-sceau aux mêmes armes, dans un cercle polylobé accompagné d’une légende. Sceau apposé par devant messire Jehan de Beaufort. Jehan Sacquespée, d’une des principales familles d’Arras, confirmée dans sa noblesse par lettres de 1376; fils de Jehan Sacquespée, et de demoiselle Jehanne Walois; né vers 1398 à Arras, mort en 1484 à Compiègne; mari d’Isabelle Mansel, née vers 1410. Bourgeois d’Arras par relief en 1424. Son frère Antoine Sacquespée, mari de Liénor de Lens-Rebecque, fut échevin et mayeur d’Arras, sgr d’Escoult et de Baudimont. Il fut arreté à Arras en 1460 sous l’accusation de sorcellerie. Il échappa au bûcher, mais dut payer cent écus d’or à titre de composition. L’arrêt du parlement de Paris du 20 mai 1491 le réhabilita d’ailleurs avec tous les prétendus sorciers impliqués dans ce vaste procès (cf. A. Boghaert-Vaché, Le premier grand procès de sorcellerie aux Pays-Bas : la vauderie dans les Etats de Philippe le Bon. Arras, 1885). Jehan de Beaufort, devant qui fut apposé le sceau ci-dessus, fut une des victimes de cette «vauderie d’Arras» : on désigne par ce terme une affaire de sorcellerie dans laquelle plusieurs personnalités de la ville furent accusées & condamnées. estimation : 700 / 800 euros 14 le capitaine de Cherbourg (1500) Guillaume de La Marche, écuyer, seigneur d’Aigremont, est pourvu par le Roi de l’office de capitaine de la ville & chastel de Cherbourg. Il en prend possession par procureur qui reçoit les clefs de la ville et les transmet au lieutenant de la place, en présence d’un grand nombre de personnes. Juillet & août 1500. Cahier comprenant la copie authentique faite & signée par les tabellions de Cherbourg, le 17 août 1500, des actes suivants : • Guillaume de La Marche, écuyer, seigneur d’Aigremont, à qui le roi a naguère donné l’office de capitainerie des ville et chastel de Cherbourg en Normandie, constitue son procureur spécial noble homme Bertrand de La Roque, écuyer, seigneur de Blasins, pour prendre possession dudit office. Chalon sur Saône, 21 juillet 1500. • Lettres patentes de Loys, par la grâce de Dieu roy de France, par lesquelles il donne à son amé & féal cousin, conseiller & chambellan Guillaume de La Marche seigneur d’Aigremont, l’office de capitaine des ville & chastel de Cherbourg en son pays et duché de Normandie que soulait tenir feu Jehan de Louan, chevalier. Le roi donne mandement à son cousin le cardinal d’Amboise, gouverneur de Normandie, de mettre et instituer ledit Guillaume en possession dudit office. Lyon, 18 juin 1500. • Les généraux conseillers du Roy nostre sire sur le fait & gouvernement de ses finances, consentent à l’enterrinement & accomplissement des lettres ci-dessus. 25 juin 1500. • Les trésoriers de France consentent comme ci-dessus, mandant que les gages de son office soient versés & délivrés audit Guillaume. 28 juin 1500. • Germain Gardin, sergent ordinaire du Roy nostre sire en la vicomté de Vallognes, à la requête de noble homme Bertrand de La Roque seigneur de Blasins, procureur de haut et puissant seigneur Guillaume de La Marche, se transporte à l’entrée du chastel de Cherbourg, et en la présence de plusieurs notables personnes dont les noms suivent, fait lecture des lettres patentes du Roy nostre sire qui donne audit Guillaume ledit office de capitaine de Cherbourg, et le met en possession réelle et corporelle dudit office et de toutes les choses dont ledit capitaine doit avoir la garde. Les hommes d’armes et les bourgeois de Cherbourg promirent obéissance et remercièrent le Roi. Et furent baillés toutes les clefs des portes de la ville, chastel et donjon de Cherbourg où sont les artilleries, poudres, pierres, arbalètes, traits et autres choses servant à la place. Ensuite, ledit procureur bailla à Guillaume du Fou seigneur de Rar...ille et du Mesnil Aubais, lieutenant en la place de Cherbourg, lesdites clefs de par monseigneur le capitaine, ainsi que la garde et charge de la place, à laquelle il jura et promit de justement et loyalement servir sous ledit capitaine, durant son bon plaisir. 17 août 1500. Cahier de six feuillets de papier (21 x 29 cm); chaque acte signé des tabellions; grand filigrane à la Licorne. Le dernier acte nomme 42 personnes notables de la ville : le lieutenant et 4 hommes d’armes de l’ordonnance du Roi, de morte paye; 9 archers des ordonnances; 27 bourgeois de Cherbourg. Guillaume de La Marche (ou de La Marck), seigneur d’Aigremont au pays de Liège : il était le second fils de Guillaume de La Marck, surnommé « le sanglier des Ardennes », décapité en 1485, et de Jeanne d’Arschot de Schonhove. Il épousa Renée du Faou, fille de Jehan du Faou & de Jehanne de La Rochefoucault, et veuve de Louis III de Rohan; en considération de ce mariage, Anne duchesse de Bretagne donna à Guillaume les seigneuries de Sainte Maure & Nouâtre. Il mourut le 20 mai 1516. estimation : 500 / 600 euros 15 jugement rendu à Rennes (1507-1508) Jugement rendu par la cour de Rennes, au sujet des terres de Bréquigny et Blosne. 1507-1508. En jugement est comparu : -maître Jullien Godet comme procureur pour maître Louys des Déserts sr du Plessey et de Villeneufve; -et Michel de Neufville comme procureur : -de damoiselle Rollande du Brais femme de François le Sénéchal, écuyer, sr du Rochier; et fille de feus Jehan du Brais et de Marguerite de Baulat, sr et dame de Baulat et de Brequigné ; -et de Hervé du Brais, écuyer, sr de Guépillon. Entre les parties a été fait distribution de conseils & avocats: -pour Jullien Godet : maître Guillaume Gedouzin, maître Yvres Brullon, maître Nicolas Racine, maître Pierre Perraud, maître Jacques de Châteautro, maître François Dupont et maître Guillaume Le Duc ; -pour Michel de Neufville : maîtres Pierre Chouart, Guillaume Lemestaier, Étienne Becdelièvre, Pierre Audren, Guillaume Lematzon, Pierre Bertran, Nicole Denys. Sur : Rolande du Brais, Hervé du Brais et Guillaume du Brais s’étaient opposés à l’encontre de Louis des Déserts au sujet d’une vente que Guillaume du Brais et Louis des Déserts avaient fait ensemble, des maisons, métairies, domaines et terres de Brequigné et Blosne, et qui appartenaient au sr de Baulat. Les vendeurs ne pouvaient donc disposer des biens vendus. Suit le déroulement du procès et la sentence, rendue en la cour du parlement de Rennes. 13 avril 1507, 26 mai 1508, 16 juillet 1508, 19 septembre 1508. Long rouleau composé de 8 feuilles de parchemin cousues (32 x 347 cm) (67+67+34+64+10+16+69+20=347), écrit en langue française et signé du seing manuel du notaire. Bréquigny et Blosne forment aujourd’hui les quartiers sud de la ville de Rennes. estimation : 300 / 500 euros 16 comté de Roussillon (1534) Constitution de fidéjussion et de rente, à souldre dans la monnaie courante du comté de Roussillon, passée par Jean Barrera, boutiquier, au profit de Barthélémy Clayra et Jehan Anglès, consuls de Saint Jean Pla de Corts (loci sancti Johannis Plani de Curtibus). 02 février 1534. Pièce de parchemin (62 x 37 cm), écrite en langue latine sur lignes non réglées; munie par deux fois du seing manuel du notaire de Céret. Au dos, notes en catalan. estimation : 400 / 600 euros 17 vente aux enchères au Havre (1574-1576) Prisée, vente aux enchères & adjudication de maisons sises sur le quai de la ville française de Grâce. 1574- 1576. Jehan Ferey, sieur de Vauchoucquet, bourgeois demeurant en la ville de Honfleur (Honnefleur), s’était obligé envers Christophe Lescuyer sergent et bourgeois d’Honfleur, en la somme de cent livres (ƒ 1). Après sommation, et ne pouvant payer, ses biens furent prisés par Denis Poret sergent royal au lieu de Grâce (ƒ 2 v°), en particulier la place & fond d’héritage bâtie de plusieurs maisons, sis sur le quai. Passés les quarante jours, le dimanche 8 août 1574, après la grand messe paroissiale, ledit sergent royal fit la première des trois criées de ces biens, en présence de nombreux témoins (ƒ 3). Le 15 août suivant, eut lieu la seconde criée « à vuye de gens et cry publicq ». Le 22 août 1574, eut lieu la tierce & dernière criée (ƒ 3- 4). Enfin, après quelques difficultés et oppositions, lesdits biens furent adjugés audit Lescuyer (ƒ 6) pour être mis aux enchères; après plusieurs enchères mises par Lescuyer et un autre bourgeois, les biens furent définitivement adjugés à Lescuyer pour 2 500 livres tournois (ƒ 6 v°). Suite à quoi plusieurs oppositions furent faites, tant par des locataires des lieux (un mercier, un hôtelier etc.) que par d’autres. 1er décembre 1574. Suivent différentes actions juridiques relatives à cette adjudication par enchères : appel contre le décret; confirmation du décret, décharge; accords entre enchérisseurs; prix de l’enchère etc. En sus de son enchère, l’enchérisseur paye la somme de 75 livres tournois pour la vacation de justice, et 32 livres tournois pour le greffier (ƒ 34 v°). 1575-1576. Registre de 57 feuillets de parchemin (28 x 32 cm), reliés par cahiers sous une couverture de vélin souple à rabat; en langue française ; signature des notaires et des parties, cachets à sec. Rarissime procès-verbal de prisée, de vente aux enchères et d’adjudication. Nombreux détails sur le déroulement des enchères et les procédures suivies. Les sergents royaux, dont l’institution remontait au saint roi Louis IX (1254), étaient les seuls habilités à faire des prisées, à mener les enchères et à prononcer l’adjudication. Ce sont les ancêtres directs des actuels commissaires-priseurs. On remarquera qu’à l’époque, les honoraires perçus par le “priseur” étaient de 3 % (75 livres pour 2 500) ; et ceux du greffier, de 1,21 %. Soit, à la charge de l’adjudicataire, un total de moins de 5 % d’honoraires (y compris le remboursement des frais, car pour réaliser le seul registre, il a fallu acheter la peau de 15 moutons...). La propriété vendue était située sur le “grand quai” de ce qui deviendra la ville du Havre (autrefois : Le Hâvre de Grâce). Jean Ferey était le fils du célèbre Michel Férey de Vauchouquet qui construisit en partie les quais et jetées du vieux port du Havre. estimation : |
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