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Magnifi-cat contre magnifi-dog…Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 1,46-56. (*)(*) Marie rendit grâce au Seigneur en disant : « Mon âme exalte le Seigneur, mon esprit exulte en Dieu mon Sauveur. Il s'est penché sur son humble servante ; désormais tous les âges me diront bienheureuse. Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom ! Son amour s'étend d'âge en âge sur ceux qui le craignent. Déployant la force de son bras, il disperse les superbes. Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles. Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. Il relève Israël son serviteur, il se souvient de son amour, de la promesse faite à nos pères, en faveur d'Abraham et de sa race à jamais. » Marie demeura avec Élisabeth environ trois mois, puis elle s'en retourna chez elle. « Voilà ce que le Seigneur a fait pour moi, lorsqu'il a daigné mettre fin à ce qui faisait ma honte aux yeux des hommes. » [1]. Ce cri du cœur d’Élisabeth, resté intérieur, est comme un prélude à celui de Marie qui vient la visiter. Les deux cousines rendent grâce au Seigneur en pleine communion, chacune à sa manière parce que diffèrent les merveilles que le Puissant fit pour elles. Jean aplanissant le chemin du Seigneur [2], Marie a la délicatesse d’aplanir celui de sa mère dans ses derniers mois de grossesse : elle demeura avec Élisabeth -qui restait malgré tout âgée- environ trois mois, l’humble servante se penchant sur son aînée. Foin de superbes, de puissants et de riches : ils sont dispersés, renversés, renvoyés. Il y a deux mille ans ? Pourtant, désormais tous les âges me diront bienheureuse. À moins que cette année 2008 aie été classée hors du temps par une nouvelle directive européenne (ne "change"-t-on pas d’heure deux fois par an ?…), il n’y a aucune raison que l’âge présent fasse exception à la règle. Du côté de la médecine, peut-être ? Hormis Bernhard Von Gudden [3], et si l’on fait abstraction de certaines de ses "vertus météorologiques"[4], elle non plus n’a pas beaucoup de prise sur le temps. En revanche, elle peut apporter au Magnificat une étrange consonance : Madame canine [5] tendit sa carte Vitale au Docteur en disant : « Mon âme excrète le Seigneur, mon esprit exulte en Docteur mon sauveur. Il s'est penché de loin sur l’époux de son humble servante ; désormais tous les âges le diront malade. Le Nuisant fit pour elle des merveilles ; cinquante euros est son tarif ! Sa compassion s'étend d'âge en nage [6, APR note 5] sur ceux qui le craignent. Déployant la farce de son gras [7], il rassemble les superbes. Il installe les puissants sur leurs trônes [8], il élève les dingues.[9] Il comble les affamés de chiens [10], renvoie ceux-ci de leur niche [6, APR note 8]. Il relève Raihël [11] son serviteur, il se souvient de son amour, de la promesse faite à ses pères [12, notes 1,2], en faveur d'Abracadabra [13, note 31] et de sa race à jamais. » Madame canine demeura avec Nadine [14] environ trois heures, puis elle s'en retourna chez elle. Ceci est naturellement le Magnifi-cat expurgé de tout "délire mystique" : le Magnifi-dog. Ne se sent-on pas déjà beaucoup mieux ? Afin de ne pas se limiter à un effet placebo, il convient de se munir de son ordonnance afin de s’asseoir la "santé" : c’est plus important que de disperser des superbes, renverser des puissants de leurs trônes ou de combler de biens les affamés. On se souviendra éventuellement de son amour, de la promesse faite à nos pères, quand les "urgences" auront été réglées. « Voici la servante du Seigneur ; que tout se passe pour moi selon ta parole. » Voilà une parole dont on aura du mal à trouver le plus pâle équivalent dans le Code civil.[15, AV note 3] Dans le Code civil, oui. Au tribunal de grande instance de Pathos-City, non. [6, APR note 17] Mais il s’agit là également d’une version expurgée : « Voici les servantes du Docteur ; que tout se passe pour elles selon sa parole. » Pour cette raison, cet acte pseudo-judiciaire est un CHIFFON DE PAPIER. Parce qu’il n’est pas ce qu’il prétend être. Sauf dans son titre, qui nous met précisément sur la piste de sa véritable nature : une ORDONNANCE. Et ce sont les docteurs qui signent des ordonnances, "gentils" ou non. Françoise Thierry est officiellement Greffier : en réalité, elle est secrétaire "médicale". Son VRAI patron fait le modeste : son nom n’apparaît nulle part dans la présente grosse (!), certifiée conforme à la minute de ladite ordonnance, signée, scellée et délivrée par Nous, Greffier en chef. En foi de quoi, nous allons désceller présentement la grosse dondon avant qu’elle ne nous fasse une crise d’aérophagie, étouffant du gaz noir [16, note 1] qu’elle renferme : sans le nom du VRAI patron, elle est de toute façon caduque. Contrairement à la grossesse d’Élisabeth et de celle de Marie, nous sommes là devant une grosse manquant singulièrement de magnificence : c’est une grossesse nerveuse. Puisqu’il y a ordonnance, il y a médecin. Puisqu’il y a fausse ordonnance, il y a faux médecin. Anne-Lise Collomp n’est que son bras exécutant : il lui manquait sans doute de quoi s’offrir un peu plus de champagne pour les fêtes de fin d’année. Mais elle ne manquait pas de TOUS les CHAMPAGNE. N’est-ce pas, VRAI patron ?[17] Un petit interlude avec le Psaume du jour, avant de continuer ? 1 Sam. 2,1.4-8. Et Anne fit cette prière : « Mon cœur bondit de joie pour le Seigneur, mon front se relève pour mon Dieu ; ma bouche se rit de mes rivaux ; oui, j'exulte en ton salut. L'arc des forts se brise ; mais les chétifs ont la vigueur pour ceinture ; les repus s'embauchent pour du pain, les affamés n'ont plus à travailler. Le Seigneur fait mourir et fait vivre, il fait descendre aux enfers et en ramène ; le Seigneur appauvrit et enrichit, il abaisse, mais aussi il relève. De la poussière, il retire le faible, et du fumier, il relève le pauvre pour l'asseoir au rang des princes, lui assigner un trône de gloire. » « J'exulte à te saluer de nouveau, Philippe Champagne de Labriolle ![18] », aboie Monsieur canine. « Tu es le digne représentant de ta "médecine" : tu ne figures nulle part alors que tu es partout. Avec cette pseudo-ordonnance de non–conciliation, tu as tiré trop fort sur la corde de ton arc : il s’est brisé, NET ! Difficile d’être partout, même quand on se veut puissant et superbe : "docteur", "juge aux affaires familiales", "avocat"… pour défendre son pain, ce pain retiré de la bouche du faible. Il est à craindre que la seule chose que tu parviennes à être sans les guillemets soit le fumier.[19, note 7][20, AV note 6][21, AV note 8][22,APR note 10][23, APR note 13][24, note 11] Mon pauvre Philou, je crois bien que je vais te renvoyer les mains vides tant on te suit à la trace. Même dans un banal courrier comme celui de ton pantin Nadine, ta griffe est omniprésente. Il y a deux ans, tu "confirmais" ma "dangerosité" auprès de la chochotte [25, note 24] que nous savons. Aujourd’hui je confirme la tienne, sans guillemets bien entendu. Je confirme surtout qu’une ordonnance porte bien la patte d’un médecin. [6, AV note 18] Et pas n’importe lequel ! Quand il est question de "l’urgence que nous savions", on reconnaît là entre mille le langage de la "santé mentale". Parce que le principal intéressé est le seul à ne pas savoir "l’urgence que nous savions" !!! C’est dans le Code civil, cela ? Un "délai de deux semaines pour quitter un domicile" ne menaçant nullement ruine relève là encore d’une menace autre, et fantasmatique : celle de la "dangerosité". Ce faisant, il semble que dans ce même Code civil est notifié que tout propriétaire expulsant son locataire en plein hiver est passible des poursuites les plus rigoureuses. Au regard de la loi, ou l’époux ne vaut rien par rapport à un locataire –simple partenaire commercial-, ou NOUS NE SOMMES PLUS dans le regard de la loi. On a en effet peine à imaginer qu’au pays des droits d’l’homme, des députés aient pu voter sans sourciller des lois stipulant qu’une certaine catégorie d’hommes puisse avoir moins de valeur qu’un chien. On l’imagine beaucoup mieux au sein d’une certaine "médecine", chez qui c’est monnaie courante.[26] Loi ou pas loi, TOUT est acquis et tout est permis à cette "médecine", dès lors qu’elle a "certifié conforme, signé, scellé et délivré" une étiquette de "dangerosité" à quiconque. Ainsi, on se demande ouvertement « si vous préférez que j’attende que vous partiez avec les enfants, du domicile conjugal… » Aux abris, femme et enfants : le "dangereux" risque de sortir sa hache, sa tronçonneuse, son AMX 30, voire sa bombe atomique de récupération d’un ancien stock de feu l’URSS ! On sent que Nadine manque quelque peu de "sérénité" sur la question : sans doute est-ce pourquoi elle espère que femme et enfants « auront les moyens d’en retrouver ». On sent surtout que lorsqu’on est un agent assermenté de la loi et que l’on commet sciemment un acte hors-la-loi, ce n’est pas excellent pour l’entretien de la sérénité personnelle. « Pour le reste, pas de difficulté particulière » : quand on "explique" à une "juge compatissante" que « l’agressivité et la véhémence de son époux à son encontre ne permettent en aucun cas le maintien de la vie commune », nous sommes encore et toujours dans le schéma préétabli de la "dangerosité" : cet "argument" fonde pourtant TOUTE la procédure : ajoutons qu’il est caricaturalement mensonger [12, note 31], "agressivité" et "véhémence" étant contenus depuis fort longtemps dans un silence gardé. [1, note 21] N’est-ce pas prodigieux d’être "agressif" et "véhément" dans un silence de plomb ? Cette ordonnance INSULTE LA LOI elle-même de fond en comble ! Elle est donc bien d’ordre "médical" et non judiciaire. J'exulte à te saluer, Philippe Champagne de Labriolle : je t’asseoie au rang des princes des faux culs, je t’assigne un trône de HONTE. Et si tu aimes tant hanter les tribunaux de grande instance, tu fournis plus qu’il n’en faut matière à t’en repaître… » Deux ans d’insultation [27] valent bien cette exultation, non ? Et si le Magnificat était au présent ? Si l’on dit Marie bienheureuse aujourd’hui, alors c’est aussi aujourd’hui qu’à son exemple, on peut déployer la force de son bras, disperser les superbes, renverser les puissants de leurs trônes, élever les humbles, combler de biens les affamés, renvoyer les riches les mains vides. Tout l’inverse d’une "ordonnance de non-conciliation", chambre noire d’enregistrement des "incommunicabilités" [28, APR note 20] de chochottes ! Il n’y a pas photo… mais il y a un numéro. Le 09 79 08 31 98 , par exemple, peut permettre au curieux de vérifier si Philippe Champagne de Labriolle « passe d’excellentes fêtes de fin d’année avec ses enfants, en famille, en espérant qu’il aie les moyens de retrouver un minimum de sérénité », lui qui fait profession d’en retirer un maximum aux autres. Noël approche : n’est-il pas temps de songer à mettre le champagne au frais ? ____________________________ Une cockerinade par jour Pourquoi une juste "psychique" est-elle contente quand elle a fini un puzzle en 1 an ? Parce que c'est marqué "de 3 à 6 ans" sur la boîte ! |
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