Le programme de Jean-Luc Mélenchon : généreux, ouvert, novateur… et pourtant IL fait peur 12/03/12 19: 27








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Le programme de Jean-Luc Mélenchon : généreux, ouvert, novateur… et pourtant il fait peur 12/03/12 19:27


Il est plutôt généreux, respectueux des plus faibles, désireux de plus de démocratie, nationale et locale, porteur d’une véritable promotion des salairés et d’une réorientation de l’industrie vers plus d’équité mondiale et de respect des milieux naturels, il préconise des impôts plus justes et mieux proportionnés.

Il est moins précis et parfois équivoque concernant l’évolution des institutions et des pouvoirs publics : pourquoi une assemblée constituante, alors que le parlement réuni en congrès peut modifier autaut qu’il veut la constitution ? Pourquoi si peu au sujet du cumul des mandats ? Pourquoi est-il aussi vague sur les collectivités territoriales, se contentant de vouloir abolir la loi sur les conseillers territoriaux uniques ? Et que fait-il de la fonction publique ?

Il est carrément déficient concernant la justice (augmenter ses moyens !), la sécurité et la sûreté publiques (que devient l’armée ?), l’éducation nationale et la recherche (encore les moyens !), les transports, le tourisme, l’agriculture (et il oublie la pêche), les patrimoines culturel et naturel…

Alors que sur le logement surtout, le revenu universel (qu’il évoque un peu vite), la santé et l’hospitalité en général, il est plutôt précis et audacieux, et très rigoureux et équitable en matère de production et de consommation d’énergie.

Pourtant – et c’est son plus gros défaut – il parle très vaguement de l’accueil des réfugiés et des immigrés, de leur association politique à la vie nationale, de leur protection contre les abus des pouvoirs publics et des agents économiques. Or c’est un thème sur lequel les bons sentiments ne suffisent pas : il faut des mesures précises, inscrites dans la loi et de fortes sanctions à leur transgression.
En résumé, il reste un peu brouillon, plutôt sympathqiue concernant plus de démocratie et plus allant en regard ses services essentiels, mais avec quelques relents de « nationalisation » qui le tirent un peu vers un passé plus centraliste que démocratique.
A suivre : un examen plus détaillé.

Ce programme peut se résumer en trois mots : famille, travail, patrie. Cependant, aussi peu aimable soit-il, il repose sur des constats plutôt rigoureux, étayés par des statistiques indiscutables. Il préconise des réformes utiles dans des domaines aussi sensibles que le logement, l’agriculture, la culture, etc.
Pourtant sa xénophobie saute aux yeux : elle imprègne tous les chapitres de ce programme : « La carte de l’insécurité recoupe largement celle de l’immigration » ; l’immigration de masse rend l’assimilation impossible, et doit passer de 200.000 à 10.000 entrées par an ; le nombre de demandes d’asile accepté doit fortement diminuer et son « énorme » budget (0,2% du budget des pouvoirs publics !) réduit ; les clandestins seront tous expulsés et les manifestations en leur faveur interdites ; les étrangers condamnés pénalement seront expulsés ; les entreprises françaises emploieront d’abord des Français ; un cours de français obligatoires sera ouvertaux parents d’élèves qui ne maîtrisent pas notre langue, pour inciter les parents à « franchir le seuil de l’école » ; un délai d’un an de résidence continue en France et de cotisation sera exigé avant le bénéfice de la sécurité sociale ; l’aide médicale d’Etat réservée aux migrants clandestins sera abolie ; la lutte contre les papiers d’identité frauduleux évitera que des clandestins aient droit à la sécurité sociale, et que des immigrés légaux multiplient les papiers d’identité afin de bénéficier plusieurs fois des mêmes prestations sociales ; l’emploi de travailleurs clandestins sera très sévèrement sanctionné ; les partenariats économiques avec les pays du Maghreb seront négociés sur la base d’un arrêt des flux migratoires ; un soutien fort par l’Etat français des investissements privés français en Afrique en échange d’une inversion des flux migratoires ; la liste des emplois dits « de souveraineté » sera élargie ; les soins médicaux seront donnés par du personnel français formé en France ; l’accès au logement social sera accordé en priorité aux nationaux ; les allocations familiales seront réservées aux familles dont un parent au moins est français.
Ce programme est fortement :
- Nataliste (en particulier en conséquence de sa xénophobie ) : « instituer une véritable politique familiale volontariste, nataliste et  ambitieuse ». Revenu parental : versement d’un revenu équivalent à 80% du SMIC pendant 3 ans à partir du 2e enfant, renouvellement d’une durée de 4 ans pour le 3e enfant. Abaissement de l’âge de la retraite pour les mères ayant élevé au moins trois enfants ou un enfant handicapé. Aide à la garde des enfants, lutte contre la vulnérabilité des  familles monoparentales françaises en les accompagnant  dans leur recherche de logement ;

- Nationaliste : sous l’égide d’un ministère de la souveraineté : « La loi française retrouvera sa supériorité sur le droit européen dérivé » ; les bâtiments publics de France devront en permanence porter le drapeau français et le drapeau de l’Union européenne ne sera plus autorisé ; la monnaie française sera rétablie, la contribution nette de la France au budget européen sera nulle ; la France participera à des grands projets européens innovants, bâtis à partir de partenariats volontaires, comme l’ont été Ariane ou Airbus ;

- Etatiste : l’Etat doit reprendre en main l’ensemble des politiques publiques (en particuliers les transports ferroviaires, le logement, l’université) aux collectivités territoriales, ces « féodalités locales » qui verront les impôts locaux plafonnés et leur dépenses contrôlées ;

- Très répressif : 40.000 places de prison en plus ; un traitement énergique de la délinquance des mineurs ; le rétablissement de la peine de mort ou perpétuité réelle ; la présomption de légitime défense pour les forces de l’ordre et l’aggravation des peines pour les personnes coupables de violences contre un représentant de l’autorité de l’Etat ; sécurisation des cartes vitale via la création de la carte vitale biométrique et désactivation des cartes frauduleuses.

- Antisyndical : suppression du monopole de représentativité institué après la Libération ; des syndicats plus représentatifs travaillant à la réelle défense des intérêts des salariés et moins tentés de recourir à un rapport de forces (grève, manifestation) pour pallier leur manque de légitimité.

- Militariste et expansionniste : « France puissance souveraine, France puissance d’équilibre, et France puissance mondiale. » Pour cela : commémorer l’Empire, renforcer l’industrie de la défense, former une « alliance trilatérale » France-Allemagne-Russie, avec une alliance énergétique poussée avec la Russie (et une sortie de l’OTAN), une Union paneuropéenne des Etats souverains incluant la Russie et la Suisse (mais sans la Turquie) ; la France ne discutera ni négociera avec aucun gouvernement pratiquant ou soutenant des groupes terroristes, quelle que soit la cible (Europe, Etats-Unis, Israël, Russie…) : « le terrorisme, qui a été pensé jusqu’ici comme un produit extérieur aux Etats, résultant de l’oppression et de la misère, n’est que le prolongement obscur de la politique de certains Etats ».
L’éducation nationale n’est traitée qu’en tant que discpline à restaurer et retour au patriotisme le plus étroit : « le professeur est au-dessus de l’élève. » : cela passe par des choses simples : se lever quand le professeur entre en classe », l’insécurité à l’école doit être traitée comme l’insécurité en général : tolérance zéro. L’apprentissage de la géographie française et de l’histoire de France sera obligatoire. Le baccalauréat sera obtenu uniquement par l’examen national.
La politique du logement occupe une place importante dans ce programme ; elle est sensée.

« Le logement social a pour finalité de faciliter temporairement la vie des Français en difficulté et faisant fonctionner la solidarité nationale à leur profit. » Il faut l’assainir par des audits des conditions d’occupation des logements sociaux, de l’application des règles concernant le surloyer ; la transparence des procédures d’attribution des logements ; le renforcement des sanctions pour les bénéficiaires de logements sociaux qui ne payent pas leurs loyers ou qui les dégradent ; l’adaptation de la loi SRU aux possibilités de chaque commune ; recentrer les aides au logement sur : familles nombreuses, femmes élevant seules leurs enfants, étudiants et jeunes travailleurs, séniors prématurément exclus du marché du travail, personnes âgées vivant seules et les personnes handicapées. Les aides au logement doivent par être conditionnées au niveau de revenu du bénéficiaire potentiel. Les conditions de rachat par les locataires de leur logement social après 10 années d’occupation du logement doivent être facilitées. Un chèque « premier logement » permettra aux jeunes accédant pour la première fois à la propriété de bénéficier d’un crédit d’impôt.

La politique du logement sera intégrée à celle de l’aménagement du territoire : favoriser les programmes immobiliers neufs dans les zones désertées, rurales en particulier ; détruire les cités construites dans les années 1955 à 1970 et les remplacer par un habitat de taille et d’esthétique traditionnelles. Modifier les règles d’urbanisation dans les zones denses : retour éventuel à un habitat vertical dans les zones très denses.
D’autres mesures de bon sens sont proposées, telles que :
- Réserver une embauche sur trois dans la fonction publique aux plus de 45 ans issus du privé ;

- Augmenter le budget de la justice (de 5% par an), doubler le nombre des magistrats (mais les rendre muets !), rendre inamovible des magistrats du parquet

- Protéger le monde rural : part significative de l’industrie en zone rurale ; maintien des services publics ; médecins ; carte hospitalière ; tourisme vert ;

- Ouvrir la culture aux publics : nommer les directeurs après débat public, mieux répartir les moyens vers la province, protéger l’édition française, valoriser le patrimoine, soutenir la création et la diffusion d’œuvres françaises ;

- Interdire la propriété des médias aux groupes industriels : « la neutralité politique de l’audiovisuel public devra être réaffirmée » ; « la liberté sur internet sera fermement défendue ».

- « produire au plus près, retraiter sur place »
 : associée à une valorisation forte du « achetons français », aux protections raisonnées aux frontières nationales, à la primauté de la sécurité alimentaire
 ;

- L’aide aux PME-PMI : banque publique de financement, crédit impôt recherche en priorité pour les PME/PMI innovantes, aide de l’Etat à leur paiement en temps utile, accès aux marchés publics simplifié ; favoriser les entrepreneurs individuels et les PME en créant trois types de taux unique d’IS de 15%, 25% et 34% ;

- La politique de l’habitat et des paysages repensera l’intégration de l’urbanisme et de l’architecture dans l’environnement naturel, la réduction des risques, et la sanction pénale des responsables de grands dégâts écologiques ;

- La recherche disposera de 3% du PIB, centré sur le développement d’énergies alternatives au nucléaire, les biotechnologies et les nanotechnologies. Pour le secteur médical : cancer, maladies cardiovasculaires, maladies neurodégénératives ;

- L’équite territoriale et l’accès facilité aux soins de santé : présence de centres hospitaliers ou médicaux pluridisciplinaires dans chaque bassin de santé, maisons de santé ; scolarité des personnels médicaux intégrant un stage territorial ; plafonnement des dépassements d’honoraires, gel du montant du forfait hospitalier et des taxes sur les mutuelles de santé, vente au détail des médicaments prescrits ;

- La revalorisation de l’agriculture : création d’une caisse de compensation et d’amortissement de la dette paysanne ; d’un fonds d’intervention pour revaloriser les zones rurales en difficulté, aide à l’installation des jeunes agriculteurs, revalorisation des retraites agricoles, spécialement pour le conjoint survivant ; les administrations publiques, les cantines et restaurants d’entreprise, devront se fournir prioritairement en aliments produits en France ; le droit des agriculteurs à ressemer leur propre récolte, mesures favorisant un partage de la valeur ajoutée plus favorable aux producteurs renforcées ; la spécificité de l’agriculture doit être reconnue au sein de l’OMC… ; « le patriotisme agricole sera la règle », un mécanisme de soutien interne rétabli pour garantir aux agriculteurs des prix minimums et stables ; restriction des opérations purement spéculatives et lutte contre la manipulation des marchés et mise en œuvre de moyens publics de régulation des prix (stocks d’intervention).

- Les lois sur le temps de travail de 35 heures seront maintenues, mais la renégociation sera autorisée avec augmentation proportionnelle du salaire ; l’Etat instaurera un chèque formation ; le Pôle Emploi fera l’objet d’un audit associant les représentants des demandeurs d’emploi ; les entreprises participant à la reconstruction des filières industrielles seront incités à utiliser les compétences des jeunes issus des filières professionnelles et des seniors exclus prématurément du marché du travail.

- La protection sociale : « La base d’une protection réelle et durable de nos retraites réside sur ces fondations essentielles : l’emploi et une démographie vigoureuse » : 40 annuités de cotisation pour bénéficier d’une retraite à taux plein ; l’âge légal progressivement ramené à 60 ans et avant pour les travailleurs ayant commencé précocément ; l’élargissement de l’assiette des cotisations sociales aux revenus du capital pour financer les prestations qui relèvent du principe de solidarité nationale : minimum vieillesse, bonifications pour enfants, cotisations du salaire parental, etc. ; la création d’une cinquième branche du régime général de sécurité sociale dédiée à la dépendance.

Le président-candidat n’a pas besoin de programme : il a des aboyeurs qui tentent de terroriser les journalistes, de ridiculiser son principal adversaire, des amis propriétaires des grands médias qui censurent fortement presque toute la presse écrite et audio-visuelle.

Il voudrait, en guise de programme, se parer des habits du général de Gaulle ; des habits dans lesquels il fait plus que flotter : il ne saurait comment les enfiler.
Avec Nicolas Sarkozy, « candidat du peuple de France » nous sommes de plus en plus proches du 1984 de George Orwell : la vérité d’un jour devient le mensonge du lendemain, les pires oppositions apparaissent comme des similitudes (« La guerre, c'est la paix », « La liberté, c'est l’esclavage», proclame l’Angsoc, parti unique ; « j’ai tout fait pour protéger le travail et le pouvoir d’achat » proclame celui qui a réalisé exactement le contraire), l’histoire est refaite en permanence (comme un palimpseste qu’on regratte sans arrêt), la novlangue triomphe (la novnovlangue repose sur des « éléments de langage » imposés à tous les ministres et aux parlementaires qui soutiennent le président-candidat) ; les ministres en exercice deviennent de simples porte-voix (à commencer par la porte-parole du candidat qui tente en vain de placer un cosmétique sur les propos de son maître). Craignons que, s’il est réélu, la mort par « une balle dans la nuque » (1984) devienne le sort réservé aux opposants à son régime, qui ne manquera pas de se durcir.
Ses propos, en l’absence de programme, sont une continuelle adaptation, en temps réel peut-on dire, aux résulats des sondages d’opinion qui ne cessent de l’alimenter ; cette auto-intoxication lui fait adopter une démarche d’ivrogne : changer d’avis comme de chemise, oublier d’un jour sur l’autre ce qu’il a dit, avoir « une nouvelle idée par jour » ;Semblable à un ivrogne, également, il ne peut qu’invicter tout ce qui passe à sa portée : donne-t-il un coup de pied malencontreux dans un réverbère qu’il accuse celui-ci de crime de lèse-présidence.
Il n’est donc pas possible d’analyser un programme qui n’existe pas, qui continuera à fluctuer au gré des sondages et qui ne se fixera, peut-être, que juste avant le 1er tour des élections.
Au fil des jours, sorties du chapeau, sans la moindre analyse et sans la moindre cohérence entre elles :
- 29 janvier : Le taux normal de TVA augmentera au 1er octobre de 1,6 point, passant de 19,6% à 21,2%, et la CSG sur les revenus financiers sera relevée de deux points, afin de compenser 13 milliards d'euros de baisses de charges patronales. Sachant que la TVA est le plmus injuste des impôts le peuple appréciera. Le Sénat a rejetté ce projet la nuit du 22 février.

- Le logement : toute maison et tout immeuble pourra être augmenté jusqu'à 30% de sa superficie. « Cela va donner un travail formidable à l'industrie du logement. Ce ne sont pas des emplois délocalisables ». On voit mal ce que cela signifie : augmenté comment ? à quel prix et qui paiera ? L’emploi de qui : des immigrés dont on veux réduire le flux ?
- Une banque pour les PME : création, dès février, avec une dotation d'1 milliard € de fonds propres, d'une banque de l'industrie, car les banques ne prêtent pas assez et trop cher. Ne suffirait-il de pousser les banques existantes à prêter à faible taux, avec garantie de l’Etat ?
- 22 février : augmenter « d’un peu moins de 1000 € par an » le revenu net des sept millions de Français gagnant entre 1200 € et 1500 € par mois en abaissant les charges salariales prélevées sur la feuille de paie. Le coût de la mesure, 4 milliards €, serait financée par la suppression de l’actuelle prime pour l’emploi, qui coûte 2,5 Mds € et par une hausse de 1,5 Md € de la taxe sur les dividendes ; obliger les bénéficiaires du RSA ne disposant ni d’un emploi ni d’une formation à effectuer sept heures par semaine de travail d’intérêt général payées au smic. Ces mesures ne résultent d’aucune analyse de l’emploi.
6 mars : passer de 180.000 à 100.000 immigrés adlmis par an sur le territoire national, car ils coûtent trop à la sécurité sociale. Commenté ainsi : « si Mme Le Pen dit préférer le soleil à la pluie, je suis d’accord avec elle, cela ne veut pas dire que je suis d’extrême droite. »

Encore plus fort :  « Nous allons créer un impôt sur les bénéfices minimum pour les grands groupes en France, les groupes du Cac 40, parce que j'ai découvert quelque chose qui n'est pas normal, c'est que ces grands maximisent les avantages fiscaux et une partie d'entre eux ne payent pas du tout d'impôt ». C’est pire que de le schizophrénie aigue ; c’est une forme d’aphasie très rare : N.S. ne sait plus qu’il a conseillé ce genre d’entreprise, alors qu’il était avocat d’affaires, précisément à pratiquer l’évasion fiscale.
11 mars, à Villepinte. Toujours pas de programme, mais quelques mesures concrètes :
- revoir la convention de Schengen, et si elle ne devient pas plus ferme (en termes de visas accordés aux étrnagers à l’UE), se retirer de cette convention : frayeurt des autres pays agrantie !

- imposer que les marchés publics européens soient attriobués uniquement à des entreprises qui produisent en Europe et emploient des européens (ceci est une bonne mesure, si les entreprises implantées en Europe sont capables de répondre à tous types d’appel d’offres)

- protéger la sidérurigie française, secteur stratégique. Pourquoi pas la chimie, l’électronique, le textile, etc. ?

- arriver à l’équilibre budgétaire de l’Etat en 2016 ; ça ne coûte rien de le promettre

- un train important de mesures clef : tous les mêmes repas à la cantine des écoles, les mêmes heures de piscine pôur les scolaires, pas de burka dans l’espace public. Un conession facile à la xénophobie, sans aborder le moindre problème de fond

- pas de vengeance, mais une justice qui serait AUSSI exercée par les victimes, au mépris des fondements du droit depuis la Rome antique.
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