Accueillir, altérité, centralisation, chrétienté, complot, conscience, débat, dialogue, divin, divorcés, doctrine, dogmatisme, écoute, Ecriture, Eglise, Esprit








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Mots-clés : accueillir, altérité, centralisation, chrétienté, complot, conscience, débat, dialogue, divin, divorcés, doctrine, dogmatisme, écoute, Ecriture, Eglise, Esprit, Evangile, exculturation, femmes, incroyance, infaillible, intolérance, libéralisme, méfiance, miséricorde, morale, névrose, opposition, Parole, pauvreté, préceptes, presbytres, réforme, relativisme, sacré, sacrifices, sexualité, signes, soif, suspicion, temple, temps, tradition, unité, urgences, Vérité, vie

Extraits de

« Pour une Eglise au visage d’Evangile : 12 urgences »

Monique HEBRARD, 2014

Editions Jésuites « Fidélité »

Ce n’est pas la première fois, au cours de son histoire, que l’Eglise va mal. Il y a eu bien pire. Et si la « crise » de l’Eglise du XXIème siècle était une crise de croissance ?

En occident, la « chrétienté » qui a longtemps entretenu l’illusion d’une bonne santé, se détricote à grande vitesse, et la « Fille aînée de l’Eglise » se retrouve dépouillée de sa puissance d’antan. Mais si c’était la chance d’une nouvelle naissance ? Quelle chance que la disparition de la puissance dʼautrefois mette à jour ce trésor caché qu’est l’Evangile.
L’arrivée du pape François annonçait une possible réconciliation entre le visage de l’Eglise institutionnelle et l’Evangile. LʼEsprit-Saint nous réserve des surprises incroyables. Le programme de François est cette double écoute : des signes des temps et de L’Evangile. La tâche est immense et c’est à tous les baptisés de l’assumer avec le Pape. Cela ne sera pas facile. Déjà s’élèvent les voix des mécontents. Essayons de vivre calmement et fraternellement nos différences.

En ces temps difficiles, il ne nous reste que l’Evangile, mais quel trésor !

1 - Pour une Eglise qui écoute et qui fait du bien
« Que veux-tu que je fasse pour toi ? « (Mc 10, 51)
Ecoute de lʼAutre et écoute des autres.
Pour le pape François, ce dont l’Eglise avait le plus besoin, c’était « La capacité de soigner les blessures, de réchauffer le cœur des fidèles, la proximité, la convivialité... », « Nous sommes souvent des contrôleurs de foi, plutôt que des facilitateurs. L’Eglise ne doit pas agir comme un poste de douane. » (Homélie du 25/05/2013).

« Une Eglise missionnaire n’est pas obsédée par la transmission désarticulée d’une multitude de doctrines, à imposer avec insistance, au risque de faire s’écrouler lʼédifice moral de l’Eglise et de perdre le parfum de l’Evangile. Que l’Eglise cesse de s’enfermer dans de « petits préceptes »; l’essentiel est d’annoncer « Le Christ t’a sauvé ».
Enzo Bianchi : « Seule une Eglise qui écoute, peut aussi être une Eglise qui enseigne ».
Timothy Radcliffe à propos de l’avortement : « La vérité est simple, mais si cette simplicité n’est pas passée par la complexité de la vie humaine, cela risque d’être d’une simplicité puérile, factice et inhumaine. Nous devons devenir l’autre, entrer dans son imagination et dans les dilemmes auxquels il est confronté, avant de lui dispenser notre enseignement ».
Claude Dagens dit : « L’Evangile de Jésus -Christ est attendu comme une ressource pour vivre, à condition qu’il soit présenté à la manière de Jésus, qui demandait : Que veux-tu que je fasse pour toi ? ».
« Qu’est-ce qui pourrait rendre à l’Evangile sa force inaugurale qui ouvre un espace de vie ? interroge Maurice Bellet, prêtre et psychanalyste. C’est de refléter l’Evangile, qui est une parole « qui nous donne de naître à cette vie qui n’est plus sous l’emprise de la tristesse, de ce mensonge - meurtre qui nous détruit. »
Monseigneur Rouet a toujours rêvé que « l’Eglise encourage les gens à faire l’expérience de la bonté de l’Evangile. »

2 - Pour une Eglise qui dialogue avec le monde
Pour poursuivre notre réflexion sur les conditions d’une Parole audible par tous, il est bon de nous rappeler le Concile Vatican II, dont la nouveauté avait été un peu enterrée ces dernières années.

Lorsque le 25/01/1959, Jean XXIII annonça qu’il allait ouvrir un concile, il lui fixa deux objectifs essentiels :

-adapter l’Eglise à un monde en pleine transformation (Aggiornamento),

-opérer un retour à l’unité des chrétiens.

Cet esprit nouveau, d’ouverture et de dialogue avec le monde sur toutes les grandes questions, s’est traduit dans la Constitution sur l’Eglise dans le monde de ce temps (Gaudium et Spes). Dans la même lancée, Paul VI rappela que l’Eglise devait « se faire dialogue et conversation » (Ecclesiam suam, 1964).

Peu à peu cet accueil bienveillant de l’Eglise à la société, a été miné par la crainte et par une réaction de protection contre la « culture de mort » redoutée par Jean-Paul II, puis contre le « relativisme » et le « libéralisme » dénoncés par Benoît XVI. La posture de l’Eglise s’est insensiblement muée en méfiance et en opposition avec la société. En France, cette attitude a atteint son paroxysme avec l’engagement de plusieurs évêques et prêtres contre la loi Taubira ouvrant le mariage aux personnes homosexuelles. Le discours du cardinal André Vingt-Trois, en ouverture de l’assemblée plénière d’avril 2013, illustrait ce pessimisme et ce sentiment que l’humanisme chrétien subissait une attaque en règle, notamment avec « L’invasion organisée et militante de la théorie du genre ».
« Notre Eglise sera- t-elle capable de changer son comportement, plutôt que de s’installer dans la névrose du complot ? » s’interrogeait le père Bernard Ugeux en 2012.
Enzo Bianchi s’indigne : « Comme si on pouvait annoncer l’Evangile seulement en condamnant l’époque actuelle ».
Mgr Doré se demande si « L’Eglise aime le monde comme Dieu l’aime ». Il y a un gros problème, souligne-t-il, quand l’institution apparaît en décalage avec l’opinion publique.
Mgr Albert Rouet proteste : « Ce n’est pas en accusant la société de tous les maux qu’on éclaire les gens. C’est à nous d’apprivoiser le monde et de nous rendre aimable. » (2010)
Mgr Yves Patenôtre, le 10/10/2012, au synode romain sur la nouvelle évangélisation : « Je souhaiterais que nous regardions, avec espérance, le monde d’aujourd’hui avec le regard du Père. Ce monde d’aujourd’hui est aimé de Dieu. Il le voit, Lui, comme le monde de ses enfants, dans la diversité des peuples, des cultures et des religions. Annoncer le Christ, c’est rejoindre les personnes au creux de ce qui fait le cœur de leur vie, pour, un jour, dans la grâce du moment, leur proposer le visage du Christ. ». Et il terminait en citant le cardinal Suhard : «  Il ne s’agit pas d’obliger le monde à entrer dans l’Eglise, telle quelle est, mais de faire une Eglise capable d’accueillir le monde tel qu’il est ».


Le dialogue que prône « Gaudium et Spes » est une reconnaissance mutuelle, qui suppose que l’Eglise n’est ni au-dessus, ni extérieure. Elle est, elle aussi, tissée avec les fils des « temps », et doit s’y comporter en solidarité fraternelle, accueillante à la complexité.

Le pape François, lui, a tranché : « Quand l’Eglise reste fermée, elle tombe malade. L’Eglise doit sortir d’elle-même. Je préfère une Eglise accidentée, exposée aux accidents, à une Eglise malade parce qu’elle ne sort pas. Le dialogue entre les chrétiens et les athées est nécessaire et précieux. Le temps est venu désormais, et le concile Vatican II a ouvert cette période, d’instaurer un dialogue ouvert et sans préjugés, qui rouvre les portes pour une rencontre sérieuse et féconde, et commencer à faire un bout de route ensemble. » (2013)

Qui dit dialogue dit accueil et enrichissement mutuel : les incroyants et les croyants d’autres religions ont aussi une part de « Bonne Nouvelle » à partager avec les chrétiens, car souvent Jésus « nous précède en Galilée ».

3 - Pour une Eglise qui accepte la réalité de la fin du temps de chrétienté
« Il faut rendre à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu » (Mt 22, 21). Les lois de la République (avortement - mariage homosexuel) sont une chose et la conduite morale des chrétiens en est une autre.
Les catholiques qui s’opposent aux évolutions et aux lois touchant à la morale privée, se réfèrent plus ou moins consciemment, et avec nostalgie, au temps de chrétienté. Ils semblent oublier que notre société est devenue plurielle, et que la loi se doit de réguler des comportements qui sont déjà une réalité et qui évoluent sans cesse. Certes l’Eglise reste « experte en humanité », certes ses membres font partie de la société et peuvent donc s’exprimer, au même titre que tous les citoyens, mais elle ne peut plus surplomber la société.
En Occident, et notamment en France, la chrétienté acte une modalité du vécu de l’Eglise pendant plusieurs siècles, au cours des quels les pouvoirs temporels et religieux se sont mutuellement confortés. L’Eglise de chrétienté a traversé des époques bien sombres et même sanguinaires, mais ce temps de chrétienté a été aussi une force civilisatrice fantastique qui a fondé la culture de l’Europe. Elle a, de plus, diffusé pendant des siècles des valeurs et une vie évangélique et fraternelle. Il n’est pas question de sous-estimer ce que fut la chrétienté, mais seulement prendre acte qu’il nous faut inventer d’autres formes car l’Eglise, comme toute la société, vit un tsunami qui bouleverse toutes les données antérieures.
En France, la chrétienté commence à se fissurer dès le XIVème siècle. Ce détricotage s’accélère à partir du XVème siècle ; en 1633, procès de Galilée, bien néfaste pour la réputation de l’Eglise. Peu à peu, les sciences naissantes délogèrent la théologie de son trône de « mère de toutes les sciences ». Darwin avec sa théorie de l’évolution sembla démentir la Bible. Bref, l’homme n’avait plus besoin de Dieu pour expliquer et faire fonctionner le monde. Révolution - Philosophes des Lumières marquant l’avènement de la reconnaissance de l’individu. XIXème siècle où l’Eglise se trouve opposée aux forces du monde moderne, qui revendiquent la liberté. « Dieu est mort », l’homme a pris sa place.
L’incroyance s’installe résolument en France après la guerre de 1939 - 1944. C’est au cours de la décennie 1960 - 1970 que tout s’est accéléré à une vitesse vertigineuse. Mai 1968 a mis à mal toutes les institutions, a donné un élan irrésistible à la suprématie de l’individu et cassé la transmission des valeurs traditionnelles, pour laisser place à d’autres priorités.


Nous entrons dans une ère nouvelle. Il s’agit d’un vrai changement de civilisation. De plus en plus l’emporte l’ignorance et l’indifférence, que la sociologue des religions Danièle Hervieu- Léger définit par le terme dʼexculturation. Dans ce grand bouleversement culturel, l’anthropologie est chahutée. Le discours (logos) sur l’homme (anthropos) est un composite entre nature (base commune biologique) et culture (variable dans le temps et l’espace). La conception de l’être humain est actuellement en pleine ébullition. Il faudrait s’interroger sur le sens que ceux qui l’emploient, donnent à l’expression « anthropologie chrétienne ». N’y aurait-il que les chrétiens qui auraient la « bonne » anthropologie ?
Une nouvelle ère s’ouvre et il s’agit de laisser émerger à frais nouveaux, au sein de nos diversités, l’essence incompressible de l’humain. Le théologien Jean Rigal prêche en faveur d’un dialogue serein et mesuré entre ces deux termes, nature et culture, qu’il ne faut pas opposer comme deux camps ennemis. Il fait remarquer que le concept de naturel s’est imposé dans l’Eglise au XIXème siècle avec Léon XIII et Pie XI à propos de la sexualité. C’est l’argument majeur employé pour prôner les seules méthodes naturelles pour la régulation des naissances.

Si l’on admet que le monde évolue, il faut alors ouvrir le volet du mot « culture ». Ce mot évoque, pour beaucoup, liberté, égalité, laïcité, autonomie, plaisir, toutes les valeurs de Mai 68, que l’on associe à « sortie de religion ». La parole de l’Eglise ne sera acceptée que si elle s’inscrit dans l’évolution culturelle de la société.

Cette ouverture à la culture et à la laïcité ne fait pas l’unanimité dans le monde catholique. Certains pensent au contraire qu’il faut entrer en résistance devant l’évolution de la société afin de sauver les « valeurs chrétiennes ». La crise générale qui exacerbe l’inquiétude et engendre des peurs n’est certes pas étrangère à ces positions de repli. L’Eglise n’y échappe pas.
Les nostalgiques de « l’ordre naturel chrétien ». La planète des résistants est diverse :

-les disciples de Mgr Lefebvre

-les défenseurs de la tradition : (Fraternité St Pierre)

-l’Institut Civitas (Prêtres en soutane - prières à genoux dans les rues - slogans et harangues enflammées) s’est fait remarquer lors des manifestations contre le mariage pour tous et contre la théorie du « gender ».

Les manifestants du printemps 2013, en majorité étaient de fervents catholiques, souvent engagés dans leur paroisse, vivant douloureusement la baisse du nombre de prêtres et des pratiquants, et la perte générale des valeurs chrétiennes. Ils ont soulevé bien sûr des questions importantes et leur combat est tout à fait honorable. On peut seulement regretter qu’il ait été vécu non comme une proposition constructive au sein d’une société (et d’une Eglise) plurielle, mais comme un pôle de résistance de l’Eglise catholique aux évolutions du droit civil.

Parmi les manifestants il convient de faire une mention spéciale des jeunes catholiques (les veilleurs) qui aspirent à des repères solides, participent aux JMJ, et défendent les positions du Vatican en matière bioéthique et préservation de la vie. Ils ne sont pas « rétrogrades », mais différents. Et il faut les entendre.

Dans ce contexte la cohabitation des générations n’est pas facile. C’est dans cette complexité que l’Eglise doit ouvrir des chemins. Le pape François n’ignore pas que « l’humanité est à un tournant de son histoire. La religion a connu tant d’évolutions qu’il est difficile de ne pas imaginer qu’elle s’adaptera encore à la culture des temps futurs. Le dialogue entre la religion et la culture est fondamental ; le concile Vatican II l’a affirmé ».

En cette époque où l’intolérance est toujours prête à surgir, les chrétiens doivent apprendre à vivre ensemble, dans leurs différences psychologiques, spirituelles, générationnelles, et les prêtres ont à exercer, plus que jamais, leur ministère de communion entre tous.

4 - Pour une Eglise à la Tradition vivante
Telle qu’elle est définie dans le catéchisme de l’Eglise Catholique, la Tradition c’est d’abord l’Evangile prêché par les apôtres (n° 75), ensuite, la transmission faite par les évêques « pour que l’Evangile fut toujours gardé intact et vivant » (n° 77).
La constitution conciliaire Dei Verbum présente bien cette interaction entre l’Ecriture, la « Tradition Sacrée » qui vient des Apôtres, et le magistère de l’Eglise, tout en précisant : « Ce magistère n’est pas au-dessus de la Parole de Dieu, il la sert ». Et la Parole de Dieu s’articule avec les signes des temps, comme le dit le pape François : « Vatican II fut une relecture de l’Evangile, à la lumière de la culture contemporaine » (Etudes sept. 2013)
Quelles sont donc les conditions pour que le service du magistère à l’égard de la Tradition apostolique ne soit pas une appropriation de la Loi ? Le critère évangélique est clair : l’amour du prochain. Le concile donne deux autres critères : le dialogue avec le « signe des temps » et le dialogue en Eglise (collégialité et sensus fidei). Cela suppose aussi que le gouvernement de l’Eglise ne soit pas « vaticanocentrique ». L’encyclopédie Théo définit ainsi la Tradition : « Dans son sens le plus profond, la Tradition est ce courant de vie et de lumière, qui ne cesse de rendre présent à toutes les générations, le don sans retour que Dieu a fait de lui-même en Jésus-Christ ».
Rites et habitudes ne sont pas Tradition. Le cardinal Bergolio avait eu cette formule en 2008 au Québec : « Si l’Eglise veut être progressiste, elle doit assumer son patrimoine historique sans le renier et aller de l’avant ».

5 - Pour une Eglise qui ne se comporte pas en détentrice de la vérité
« Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jn 14, 6)
Benoît XVI, homélie du 2 / 09 / 2012 : « Personne ne peut détenir la vérité. C’est la Vérité qui nous possède, elle est quelque chose de vivant ».
François lui fait écho : « La Vérité n’est pas absolue; elle doit être comprise comme une relation avec le Christ. L’Eglise essaie, comme tout un chacun, d’en refléter quelque chose en suivant le Christ ».
Maurice Bellet écrit : « Le tort de l’Eglise est de se croire infaillible. Pas plus que quiconque elle ne possède la vérité. Son unique raison d’être est l’Evangile ».
Le pape François dénonce ces normes érigées en vérités éternelles : « Il y a des normes et des préceptes secondaires de l’Eglise qui ont été efficaces en leur temps mais qui, aujourd’hui, ont perdu leur valeur ou leur signification. Il est erroné de voir la doctrine de l’Eglise comme un monolithe qu’il faudrait défendre sans nuances » (Interview aux revues jésuites).

Nous sommes nombreux à rêver, avec le pape François, d’une Eglise qui reconnaisse sa fragilité, qui dise plus souvent « peut-être » ou « ne croyez-vous pas que » ou « on pourrait essayer ». La fragilité est en conformité avec la réalité de la condition humaine. Nous n’avons pas à en avoir peur, et elle ne nous condamne pas aux yeux de Dieu. Que savons-nous de Dieu ? N’y a-t-il pas plusieurs chemins pour aller à Lui, dans le temps et l’espace ?

Mais pour aimer la fragilité et la vulnérabilité, il faut avoir eu la chance d’être structuré par des repères, par des bornes, d’avoir eu une famille aimante. Notre époque de changements profonds exige à la fois la solidité des ancrages et la souplesse face aux aléas de la vie. L’Eglise peut y aider en offrant des accompagnateurs vers le seul vrai roc qui ne peut être que le Christ.
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