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177 descriptions de la lumière du soleil « un vif coup de lumière » 310 un coucher de soleil 141 « foudroiement joyeux du soleil » élément préféré de l’œuvre = coucher de soleil. 333 projets de séries de Claude. Zola retranscrit l’impressionnisme dans l’écriture comme le fait en 1880 Edmond de Goncourt le cornard mais sans noter le changement de la couleur avec les différentes heures. B La couleur Omniprésente 194 Z note les effets colorants de la lumière solaire 177 180 « il n’y eut plus sur leur tête que cette poussière bleue » Z veut saisir les effets éphémères de la lumière : représenter la nature comme des tâches de couleurs, de lumières et d’ombres sans tenir compte des objets que ces taches représentent, qualité de la couleur fascine Z. C le contraste Fait penser à Manet et non à Monet. Incipit se déroule dans le nuit, contraste avec les éclairs. 179 et suivantes descriptions soleil ; couchent contraste des couleurs, opposition des deux rives. D La place de l’homme L’homme n’est plus le centre de l’univers, contrairement à la trad académique de la peinture ; de plus quand il est représenté ce n’est plus la tête quoi est privilégiée ; « z : une tête posée contre un mur n’est plus qu’une tâche plus ou moins blanche sur un fond plus ou moins gris, et le vêtement juxtaposée à la figure devient par exemple une tâche plus ou moins bleue à côté de la tâche plus ou moins blanche » Salons Z défend cette impressionnisme en littérature « mon rôle est de remettre l’homme à sa place dans le création comme il produit de la terre soumis encore à toutes les influences du milieu. »= le remettre au même rang que les autres produits de la terre, le milieu prédomine. Z les descriptions sont formés par des impressions non des constats précis, impression avant que la raison n’intervienne pour identifier chaque élément : omission du détail, évite la netteté. Technique de Zola : avoir recours à des notions abstraites ou des pluriels qui favorisent la suggestion et évite toute identification précise. De plus la parataxe esrt l’équivalent stylistique de l’énumération de tâches. Parataxe énumérative par juxtaposition. Autre procédé faire jaillir du flou une note vive. Manière de rendre l’impression « c’était »= expression stylistique de l’impression passagère. F L’œil d’un peintre Le perge qui prend le plus svt en charge est Claude le professionnel du regard. L’histoire et la fiction p 216 voir note. 311 il sélectionne les éléments comme un peintre le ferait ; décrit un paysage comme un tableau avec les termes de « 1er plan » « second plan ». 318 319 même procédé. . ![]() Abondance des descriptions est un caractère naturaliste. Le fait que Z ne cherche pas la sensation rare mais privilégie la force, l’immensité. Cherche la force la grandeur « la courbe immense de la rive droite » 310 311. Impressionnisme dans le détail mais chez Zola c’est le regard de l’architecte qui combine les éléments, c’est cette forme d’imagination qui prime sur celle du peintre. Cézanne « J’ai voulu faire de l’impressionnisme quelque chose de solide et de durable comme l’art des musées ». Va plus loin que la débauche des couleurs désordonnées. Mouvement impressionniste éclate très rapidement. Chez Z il y a un romantisme sous-jacent combattu. ![]() La description se présente svt comme une sorte de digression hors d’œuvre. J Ricardou «une machine à enliser le récit». Balzac justifie description car l’habitat reflète et explique l’habitant. Zola donne un statut à ses perges dans la description pour la justifier. ![]() ![]() C’est à ses persges que le romancier confit la mission de faire la description de l’introduire et de la justifier ; elle est comprise dans le récit il n’y a plus de coupure ; le passage de la narration à la description est naturalisé par ce principe, mais il oblige d’avoir recours à des perges précis. Pbmatique de l’ouvrage de Philippe Hamon : monter que la perge en général indépendamment de tout est conditionné par un pacte de lecture particulier par un cahier des charges constant et par des consignes d’écriture précises, et que le fait par ex qu’il soit bavard muet mobile ou immobile oisif ou travailleur […] n’est qu’une conséquence de ces consignes générales d’écriture. Le perge ici est « fonction » voire « fonctionnaire » plutôt que fiction. P 22. ![]() . A Le voyeur Celui qui se promène et contemple la réalité ;conditions spatiales et psychologiques particulières, perges porte–regard curieux promeneurs désœuvrés. Extraordinaire profusion de vitrines fenêtres ouvertes, portes ouvertes … Description ambulatoire, en mouvement pendant la promenade. B Le bavard volubile Introduite par la parole d’un personnage, prend la forme d’un dialogue où un perge informe un autre, le bavard devient le porte – parole de Zola. C le technicien affairé Prise en charge par un perge dont l’action elle-même est comprise dans l’objet à décrire les boudins par le boucher qui les fait à ce moment précis la toile que Claude monte 332. Le prege zolien est un délégué, il est chargé d’assumer ce qui chez Balzac est assumé par un narrateur dictateur. C’est un motivé, il est chargé d’intégrer d’une manière des plus vraisemblables que possibles les informations à l’action. ![]() ![]() A l’incomplétude textuelle Savoir comment on lit c’est déterminer la part respective du texte et du lecteur de l’autre dans la concrétisation du sens. L’œuvre a besoin de la participation du lecteur de façon constitutive, entre texte et lecteur il y a un lien : Umberto Eco lector in fabula 1985 Vincent Jouve la lecture. Pour Eco un univers textuel est par définition inachevée : _ on ne peut proposer un univers entièrement différent du nôtre _ on ne peut pas décrire tout l’univers dans lequel se déroule l’action. Il y a tjs une référence au réel par ex dans les extraterrestres de Wells pour la guerre des mondes les extraterrestres sont décrits comme un nous déformés. B la réception comme achèvement Claude : on complète son physique de maigre barbu par brun et hirsute . La suite des actions omet certaines que nous complétons mentalement. De même la symbolique du texte est guidé par quelques indices mais nous la constituons au fil de la lecture. Dans l’œuvre la signification symbolique de la mort de Claude est que l’on, ne peut faire de l’art e se détachant entièrement de la vie, l’art ne peut aller à l’encontre de la vie. Roland Barthes S/Z Points seuil Le lecteur est à la fois orienté et libre. Statut qui vient que la lecture s’organise tjs autour de deux pôles les lieux de certitudes les passages les plus explicites d’un texte les points d’encrage les lieux de l’incertitude tous les passages obscures et ambigus d’un texte, dont le déchiffrement exige la participation du lecteur. On peut distinguer deux niveaux dans la lecture : un programmé par le texte l’autre dépendant du lecteur. ![]() A Le contrat de lecture Proposer au lecteur un certain nombre de convention ( pacte de lecture) lorsqu’un auteur inscrit son œuvre dans un genre il en programme la lecture ; il y a une convention tacite. Deux endroits où le pacte de lecture peut se nouer : _ le péritexte ( Genette : seuils) _ l’incipit, de manière moins explicite mais on pense que les infos donnés marque de la narration ton temps sera suivi dans le reste de l’œuvre. Le lecteur s’appuie sur les lieux de certitudes, points d’encrages qui balisent la lecture et sur les réseaux sémantiques ( plus mots qui revoient à un même thème) . de même le sens peut s’organiser sur une opposition antithèse. Enfin il saisit le sens à travers la relation de consécution cad sur la suite d’actions qui fondent un tout. C les lieux d’indéterminations Le texte peut programmer sa lecture en laissant des espaces blancs. D L’isotopie Quand signes textuelles renvoient un même lieu. Identifier les continuités sémantiques qui font du texte un ensemble cohérent. Plus le texte est redondant plus isotopie est évidente, plusieurs isotopies rendent l’ensemble cohérent. INCIPIT : isotopie spatial de Paris Isotopie de l’orage. Mais tout n’est pas programmé dans le texte le lecteur joue un rôle primordial. ![]() A Les réflexes de lecteur _ anticipation et simplification : Deux réflexes de base de la lecture, qui s’explique par réflexe essentielle de linguistique. Le destinataire pour comprendre l’énoncé a besoin d’y reconnaître une intention, le lecteur dès qu’il a ouvert le livre construit une hypothèse sur la teneur globale du récit : anticipe et simplifie. Le lecteur a besoin de savoir où il va besoin de comprendre et va donc simplifier. Lotman le structure du texte artistique : p406 «si l’auteur tend à augmenter le nombre de structures codées (…) le lecteur tend à simplifier » « la tendance à complexifier le caractère est une tendance de l’auteur, la structure contrastée en noir et blanc est une tendance du lecteur » Malgré l’effort du lecteur, il n’a pas tjs un savoir cohérent pour comprendre le texte. Recours à une interprétation symbolique. _ lecture comme prévision : Anticipation : le lecture sera la mise à l’épreuve des capacités prévisionnelles du lecteur. Umberto Eco le texte est une machine paresseuse ce qui exige le travail du lecteur. Lecteur anticipe , soit l’hypothèse est validée, soit invalidée alors reformule des nouvelles hypothèses. B la performance du lecteur Umb Eco que doit faire le lecteur pour réussir sa lecture, il va du plus simple au plus compliqué : 1° Actualise les structures discursives ( phase d’explication sémantique) 2° Actualise les structures narratives, dégage les grandes lignes de l’intrigue : faire le point après la lecture de plusieurs pages. 3° Actualise les structures actantielles, sujet objet destinataire destinateur opposant adjuvant. 4° Structures idéologiques : lecteur s’appuie sur le schéma actantielle : dégage les grandes lignes du texte : idéologie en découle. EX : l’échec de Claude du au fait que l’art ne peut aller contre la vie. C Compétence du lecteur Elle consiste idéalement en la connaissance d’un dictionnaire de base. La connaissance de règles de coréférence. Etre capable de comprendre les expressions déictiques et les expressions anaphoriques. Repérer les situations contextuelles et circonstancielles : ce qui permet d’interpréter les expressions en fonction de leur contexte. L ![]() Suite d’événements que l’on rencontrent fréquemment dans le vie quotidienne. Compétence idéologique du lecteur, des fois contredit l’auteur. |
![]() | «grand» et si p n’est «ni trop voisin de 0, ni trop voisin de 1», alors la loi binomiale B(n;p) admet pour approximation la loi normale... | ![]() | |
![]() | «droits» de voisin…Nous avons donc fait en sorte de tenir de fermes distances avec ledit voisin; moyennant cela, aucun problème majeur... | ![]() | |
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