Avec les politiques d’éducation prioritaire, on se pose la question de la ségrégation scolaire. IL y a des effets de stigmatisation avec ep








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MIXITE SOCIALE

Avec les politiques d’éducation prioritaire, on se pose la question de la ségrégation scolaire. Il y a des effets de stigmatisation avec EP.

Evènements de 2015 ont amené à se repencher sur les questions : Onze mesures

La mesure 8 demande de mettre l’accent sur la mixité sociale.


  • Dualisme

  • PLW

  • 59 Berthoin

  • 63 CARTE SCOLAIRE

  • 80 Expériences menées

  • 2000 LOI SRU

  • 2002 Rapport Hébrard

  • 2007 Assouplissement

  • 2015 CNESCO

  • 2015 Circulaire EPLE multicollèges



I) Histoire de la mixité

Histoire :

Dualité du système

Plan Langevin Wallon : égalité

Collège unique 1975 HABY : problème : urbanisme / filières (orientation/option)

Lycée très élitiste : histoire Napoleon, + filiariser (enseignement général, technique, professionnel)

Philo : Former les citoyens/Etat facilitateur/vivre ensembe/liberté, égalité, fraternité
Politique légitime mais en réalité absence de mixité, ségrégatif, reproduction des inégalités sociales.

PISA. Objectif de mixité n’est pas atteint.
II) Limites

Cause :

-contournement carte scolaire

-Stratégie des parents

-urbanisme (politique du logement peu efficace)

-résistance du corps enseignant

Référentiel : compétences diversité

-chefs d’établissement (politique attractive : communication)
Carte scolaire 1963 prévenir + ZEP 81 corriger (logique compensatoire)

MONS sociologue dirige CNESCO : questions des conséquences de la mixité sociale. Tous les études convergent pour dire que la mixité a des effets positifs ou neutre sur les résultats scolaires à l’exception d’une toute petite élite qui réussit moins bien qui se retrouve mélangée à des élèves différents. La mixité a un impact fort sur la cohésion sociale. Tous les élèves en bénéficient.

La mixité au sein des établissements n’est pas assez développée en France. En 2013, 10 % des élèves de troisième sont dans un collège ghetto, c’est un collège où 60% d’élèves ont des parents ouvriers, au chômage ou inactif. Même quand le collège est mixte, un principal sur deux pratique les classes de niveau. Pourquoi il y a tant de résistance à mettre en place la mixité ?

1/ MONS considère que les parents ne sont pas suffisamment informés

2/la petite élite réduite a la sensation de perdre pèse sur le politique.

3/résistance forte des enseignants peu formés pour enseigner dans les classes mixtes. 80 % des enseignants favorables à la mixité, mais seulement 50% pensent que les enseignants sont efficaces.

4/manque de formation des chefs d’établissement qui a un impact sur la formation des classes.

Il faut de la mixité mais tempérée, pas avec des écarts scolaires pas très importants.
La carte scolaire plus stricte à des effets pervers : liberté des familles restreint/dérogations/concurrence du privé

Solutions : busing, collège d’Amiens déplacé dans une autre zone, détruire les établissements les plus ségrégués

Il faut des outils de mesure de la mixité sociale, une stratégie de communication envers les parents, une stratégie de formation des enseignants et de personnels d’éducation, une politique de transport efficace et socialement accessible pour favoriser le désenclavement des élèves surtout au lycée, politique favorisant l’apprentissage des langues (Fle, et autres filières liées à langue)

III) Comment faire évoluer les pratiques et politiques d’établissement pour favoriser la mixité
Loi 2013 mixité lutte contre inégalités / Refonte Education prioritaire

Cela suppose une politique de transport, urbaine, emploi...L’Ecole ne peut pas tout mais elle a son rôle à jouer.
Etablissement :inclusive, accueil élève/famille/Composition des classes
Parcours citoyen avec travail sur thématique diversité

Regroupement d’un lycée général et pro dans meme établissement

Animer pour fédérer

Rôle de l’accompagnement (orientation) et prévention des difficultés

ormer à enseigner en classe hétérogène, développer une pédagogie différenciée et mettre en œuvre des stratégies collaboratives entre les élèves sont indispensables, sinon le bon usage de la mixité ne sera pas effectif et risque même d’être contreproductif",

Cnesco qui a organisé en juin 2015 une conférence de consensus internationale qui fait date

Si la question s'impose ainsi c'est que le système éducatif français souffre d'une triple ségrégation : sociale, scolaire et ethnique. Et ses conséquences pèsent de plus en plus sur le système éducatif. Le fait de réunir dans les mêmes établissements les élèves les plus défavorisés et les plus faibles entraine par plusieurs mécanismes à la baisse globale de niveau de l'Ecole. Car c'est bien par le bas que l'Ecole française s'enfonce avec de plus en plus d'élèves de plus en plus faibles alors que tout continue à bien fonctionner au sommet.

Les dégats ne sont pas que scolaires. " La ségrégation sociale nuit considérablement, quels que soient les élèves, quelle que soit leur classe sociale, quel que soit leur niveau scolaire, aux attitudes citoyennes positives, aux niveaux de tolérances, à la capacité de communication avec l´autre, ou encore à la reconnaissance de l´altérité", souligne N Mons, la présidente du Cnesco. C'est ainsi que l'Ecole fabrique des élites de plus en plus triées socialement et scolairement par un processus de "parrainage institutionnel" qu'Agnès Van Zanten a bien mis en lumière. Ces fameuses élites que l'opinion publique juge aveugles à ses préoccupations...

La ségrégation sociale n’est pas une abstraction. Ce n’est pas un « ressenti » ou un fantasme. C’est, en France, une réalité dont nous connaissons l’ampleur et la cartographie. Les collèges sont très hétérogènes : si 10 % des collèges accueillent moins de 15 % d’élèves d’origine sociale défavorisée, 10 % en accueillent plus de 63 %. Pourtant, nous avons besoin de mixité sociale. Nous en avons besoin, car l’École ne peut transmettre une appartenance commune à la République sur des processus plus ou moins conscients d’exclusion et de ségrégation. Nous en avons besoin car la mixité sociale améliore le niveau des élèves les plus fragiles, sans tirer les autres vers le bas".

A l’occasion de la présentation de la démarche, engagée par l’Etat, pour renforcer la mixité sociale dans les collèges en 2015, Madame la Ministre Najat Vallaud-Belkacem a dit : « la mixité sociale ne se décrète pas, elle se construit avec les acteurs des territoires ». Le ministère de l’Education nationale a aujourd’hui pour ambition de faire émerger des solutions concrètes et pragmatiques en faveur de la mixité dans les collèges.

La mixité sociale est un objectif central des politiques éducatives, en ce qu’elle constitue un outil de lutte contre les inégalités. Pourtant fort est de constater que les dispositifs mis en place n’ont pas abouti à plus de mixité au sein des établissements
C’est ensuite apporter un bénéfice en terme d’intégration sociale et culturelle, qui par ailleurs est une mission dévolue à l’école, en favorisant le sentiment d’appartenance à un collectif, en rapprochant tous les élèves des valeurs républicaines et, in fine, cela permet la cohésion sociale. Ainsi l’absence de mixité sociale remet là encore en cause l’égalité des chances. Les politiques éducatives se doivent donc d’agir.
Comment peut-on lutter contre l’invisible ? C’est le premier paradoxe qui s’impose à tout

observateur qui s’intéresse à la ségrégation sociale à l’école. Dans notre pays, sur le terrain, pour les praticiens, les chercheurs, les parents, pour les élèves eux-mêmes, l’absence de mixité sociale dans certains établissements saute aux yeux.

  • A un réel impact sur la composition sociale des établissements

  • Est un facteur d’égalité effective des chances et de cohésion sociale

  • Est source d’intégration

  • A un impact sur le contenu de l’enseignement




  • 1963 : création de la carte scolaire

  • 1980 : début des expérimentations d’assouplissement de la carte scolaire.

  • 2000 : la carte scolaire fait son apparition dans le débat public.

  • 2007 : Assouplissement massif de la carte scolaire par le Ministère de l’Education nationale



Aux USA dès les années 1970, les premières expériences de busing1 s’accompagnaient d’un intérêt pour la mesure de la ségrégation à l’école ; en 2015, en France, malgré quelques annonces gouvernementales récentes, aucun indicateur ne mesure nationalement la ségrégation sociale à l’école, alors que l’objectif de mixité sociale dans les établissements est désormais promu dans la Loi de la Refondation de l’école de la République de 2013.
apparue en France uniquement dans les années 80 avec la thématique politique de l’immigration et celle de ségrégation scolaire dans les années 90.
C’est ainsi que, pour faire face à la hausse des effectifs suite à l’allongement de la scolarité jusqu’à 16 ans, mise en place par la réforme Berthoin de 1959,  et à la suppression du palier d’orientation de fin de classe de 5ème ainsi qu’à une hausse démographique, le gouvernement instaure une carte scolaire en 1963.
Au début elle sert à assurer une offre scolaire égale sur tout le territoire, un rapprochement des établissements des domiciles. Elle permet aussi de planifier l’ouverture de classe, ouvrir un poste enseignant et aussi réguler le flux des élèves.
Dans un second temps, on a parlé de la nécessité de mixité sociale comme justification à la sectorisation. Mais avant les années 80, la carte scolaire ne constituait pas un véritable enjeu.

Dans les années 80 en revanche, un décret rend possible une dérogation si l’établissement du secteur n’offre pas les enseignements souhaités. Cela ouvre une série d’assouplissements de la carte scolaire malgré les premières recommandations de spécialistes1 indiquant que ces assouplissements renforçaient les inégalités scolaires eu égard au fait que les choix des familles sont socialement marqués.
Une première circulaire du 29 décembre 1998 dispose que « l’objectif doit être celui de préserver ou d’instaurer une certaine mixité sociale, autant qu’il est possible ». En effet, il y a encore trop de hiérarchie entre les établissements, trop de ségrégation. C’est effectivement contraire à l’égalité des chances mais peu de propositions sont faites. Une deuxième circulaire du 20 janvier 1999 sur la relance de l’éducation prioritaire affirme par le biais de sa Ministre S. Royal que la lutte contre les ségrégations nécessite « une volonté politique des collectivités territoriales en matière d’urbanisme et de logement ».
Parallèlement à ces dispositions juridiques, toute une politique urbaine de mixité sociale se développe. Comme par exemple l’article. 441-6 du Code de la construction et de l’habitation modifié par le décret du 19 mars 1986 rappelant la « nécessaire diversité de la composition sociale de chaque quartier »  ou encore la loi de juillet 1991 d’orientation pour la ville se penchant sur l’implantation de logements sociaux, ou bien encore la loi du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU) nommant expressément et à plusieurs reprises « mixité sociale ».

Mais le tournant est véritablement marqué dans les années 2000. En effet, dans un souci de donner un sentiment de sécurité aux familles, on souhaite leur donner un libre choix quant à l’établissement fréquenté par leurs enfants. Pourtant en mars 2002, malgré le rapport présenté par Jean Hébrard2 formulant des réserves (la concentration d’élèves défavorisés fait baisser le niveau et augmente les coûts, le libre choix est contraire aux principes de la République impliquant que tous les élèves soient sur un plan d’égalité), il conclut que « l’hétérogénéité fait peur » mais aucune mesure n’est prise.

L’apogée de l’assouplissement de la carte scolaire est matérialisée par les mesures prises de X. Darcos, Ministre de l’Education nationale sous le gouvernement de N. Sarkozy, le 26 mai 2007. Le changement opéré est que l’on peut choisir un établissement hors secteur dans la limite de places disponibles et en fonction de critères de priorité

La France est marquée par un phénomène puissant de ségrégation sociale et scolaire dès le collège.

Ainsi un élève d’origine sociale très favorisée, autrement dit un enfant de chef d’entreprise,

profession libérale, cadre d’entreprise, de la fonction publique ou d’enseignant a, dans son

établissement, presque deux fois plus de camarades appartenant aux mêmes catégories sociales

que lui qu’un élève de classe moyenne ou populaire. Cette moyenne nationale élevée cache, de plus, de fortes disparités territoriales.

**Ségrégation entre établissements (privé et public)

**A l’intérieur des établissements

des effets puissants et dévastateurs sur les attitudes citoyennes des jeunes, la

vie en collectivité et les apprentissages scolaires.

Malgré les moyens, tout à fait nécessaires, distribués dans le cadre de cette

politique de compensation territorialisée, malgré l’implication des équipes pédagogiques, ces

établissements qui concentrent les élèves à risque sont affectés de plein fouet par les effets

dévastateurs de la ségrégation scolaire.

Une perspective de long terme : volontariste et évaluée nationalement, cette politique doit

être développée dans la durée, autour d’un consensus national qui dépasse, sur plusieurs

décennies, les alternances politiques ;

- A chaque terrain sa politique : les outils de la mixité sociale à l’école (ajustements de cartes

scolaires, quotas d’élèves dans les établissements, transports…) doivent être adaptés aux

contextes locaux car construire la mixité sociale à l’école prend des formes différentes dans

la ruralité, les terrains socialement mixtes, ou au contraire les contextes socialement ultraségrégués…

- La nécessaire mesure des phénomènes de ségrégation sociale à l’école : ces politiques

doivent s’accompagner du déploiement d’un appareil statistique national et local permettant

d’en analyser l’effectivité dans la mise en oeuvre ;

- Enfin, un ensemble de conditions doivent être réunies simultanément pour assurer une

politique efficace et durable :

o une stratégie de communication en direction des parents : sur le long terme, une

politique de mixité sociale ne fonctionne que si les parents y adhèrent

o une stratégie de formation des personnels d’éducation : par exemple les

enseignants doivent être formés aux pédagogies différenciées pour gérer

l’hétérogénéité scolaire et sociale des élèves…

o une politique de transports efficaces et socialement accessibles qui favorise la

mobilité et de désenclavement des élèves, surtout au lycée ;

o et, enfin, une politique valorisant l’apprentissage des langues s’avère la base

incontournable de tous les apprentissages dans les contextes scolaires socialement

mixtes.

Les départements à faible densité de

population recrutent sur un rayon plus large, favorisant la mixité sociale des élèves. A l’inverse, en

zone urbaine, les collèges sont en concurrence (collèges « souhaités » et collèges « évités ») et

reflètent la ségrégation résidentielle.

  • Essayer de jouer sur l’offre scolaire et de formation

  • Conseiller le chef d’établissement sur la composition des classes

  • Accentuer le développement des réseaux avec l’extérieur (partenariat avec les institutions locales, les associations, les familles)

  • Casser les idées reçues sur l’établissement : on part du constat que ségrégation urbaine et scolaire sont liés. À partir de là il faudrait développer les relations avec les écoles pour donner une visibilité à l’établissement secondaire et montrer ce qui y est proposer.

  • Mettre en avant les anciens élèves de l’établissement et montrer ce qu’ils deviennent.

  • Donner la parole aux élèves de l’établissement et les faire s’investir à l’extérieur de l’établissement

  • Organiser des projets qui associent l’établissement et le voisinage, les familles etc. : bourses aux jouets, bourses aux livres, bourses aux fournitures scolaires etc.

  • Développer des projets entre les établissements du secteur

  • Développer des partenariats ou une forme de mécénat avec des structures familières aux catégories sociales aisées mais aussi populaire afin de permettre un échange culturel.

  • Nécessité de dresser un ETAT des LIEUX.

  • • Favoriser les partenariats avec les bailleurs sociaux et

  • éducateurs de la ville.

  • • Collaborer avec l'équipe de direction et l'équipe pédagogique

  • pour améliorer l'attractivité de l'école.

  • (JPO, journée collaborative, festival des arts)

  • • Faire rentrer la famille à l'école de manière positive.

  • (cérémonie de remise du DNB, participation activité de l'EPLE

l’indice d’entropie pourraient permettre de faire la lumière sur ce phénomène social. indicateur correspond à la moyenne pondérée (en fonction de la taille de l’établissement) des écarts entre la diversité sociale des collèges et celle de la population de référence de l’académie.» L’indice va de 0 à 1. Plus le collège est proche de 0, plus cela veut dire qu’il accueille des élèves aussi variés que dans son académie. A l’inverse, un collège avec un indice proche de 1 sera ségrégué car le public accueilli aura les mêmes caractéristiques (favorisé ou non). 

Choukri Ben Ayed, Le nouvel ordre éducatif local: mixité, disparités, luttes locales, PUF, 2009, 215 pages

  • Choukri Ben Ayed, « La mixité sociale dans l'espace scolaire : une non-politique publique », Actes de la recherche en sciences sociales 2009/5 (n° 180), p. 11-23.

  • Pierre Merle, « La carte scolaire et son assouplissement. Politique de mixité sociale ou de ghettoïsation des établissements ? », Sociologie 2011/1 (Vol. 2), p. 37-50.

Jean Hébrard, « La mixité sociale à l’école et au collège », Rapport à Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale, Mars 2002, 56 pages

Marco Oberti, L’école dans la ville, Paris, Presses de Sciences Po (P.F.N.S.P.), « Académique », 2007, 304 pages

Agnès Van Zanten, Jean-Pierre OBIN, La carte scolaire, PUF, Que sais-je ?, 2008, 128 pages

1 Rapport Robert Ballion et Irène Thierry, « L’assouplissement de la sectorisation à l’entrée en sixième », Rapport d’étude pour le ministre de l’Éducation nationale, Laboratoire d’économétrie de l’École polytechnique, juin 1985.

2Rapport à Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale présenté par Jean Hébrard Mars 2002 « La mixité sociale à l’école et au collège » 56 pages

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