«pour l’amélioration des conditions de vie de la femme : une femme, un revenu, un savoir faire et un savoir-être, pour l’épanouissement de la femme burkinabé»








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L’initiative féminine WATINOOMA de Kaya (Burkina Faso) : de l’économie de subsistance, à une véritable économie sociale
Par Uzziel TWAGILIMANA,

Conseiller Technique de Projets - Afrique

ONG (belge) Wereldsolidariteit-Solidarité Mondiale (WSM)


  1. Contexte d’émergence de l’expérience et son évolution.


L’association Watinooma (AWDFS) est une initiative des femmes du secteur N° 2 de la Commune de Kaya (situé à 100 kilomètres de Ouagadougou), au Burkina Faso1. Elle a vu le jour le 15 novembre 1994 avec un effectif de 94 membres. Elle dénombre actuellement 250 membres actifs dont 5 hommes. L’association a été créée selon la loi n° 10/92/ADP du 15 décembre 1992 régissant les coopératives et a été enregistrée au numéro 94-043. Son capital initial était de 2.085.000FCFA, soit 3.179€. Le récépissé de reconnaissance a été octroyé par le Haut Commissaire de la Province de Sanmatenga.
L’objectif de l’association est de lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale de ses membres en leur permettant de se procurer des revenus substantiels par l’entreprise des activités lucratives pouvant leur permettre d’améliorer les conditions de vie de leurs familles. Son credo est :
« pour l’amélioration des conditions de vie de la femme : une femme, un revenu, un savoir faire et un savoir-être, pour l’épanouissement de la femme burkinabé »
Pour atteindre ce but, l’association s’est fixée les objectifs spécifiques suivants :

  • mobiliser l’épargne dans les zones d’activités et en particulier dans les six zones de la commune de Kaya ;

  • Faciliter l’accès à des crédits souples pour les petites activités génératrices des revenus des groupements et pré-coopératives féminines ;

  • Contribuer à l’autonomie financière à long terme de caisses et de leurs membres

  • Promouvoir l’esprit d’entrepreneuriat collectif

  • Contribuer à l’accroissement de la production agricole et de l’élevage




  1. Partenariat et ressources de l’association



Les ressources de l’association sont constituées par les parts sociales des membres, des emprunts auprès des organismes financiers, des subventions, dons et legs, des cotisations des membres.
Le montant de droit d’adhésion est fixé à 2.500francs CFA (soit environ 3,8€) par membre tandis que la cotisation mensuelle s’élève à 100 francs CFA.
Dès sa mise sur les fonds baptismaux en 1994, l’association a bénéficié d’un partenariat diversifié : appui en fonds de roulement par le projet (gouvernemental) de Développement Intégré de la Région de Sanmatenga (PEDI), octroi d’un petit fonds de micro-crédit par l’Association de Développement de la Région de Kaya (ADRK ). Tous ces crédits ont été remboursés entièrement.
A partir de 1997, l’association est entrée en partenariat avec le Projet de Développement Intégré de la Région de Sanmatenga (DIRS) appuyé par l’ONG belge Solidarité Mondiale (WSM) et le Fonds belge de Survie (FBS). Cette collaboration s’est renforcée à partir de 2002, grâce au Programme Régional d’Appui à l’Economie sociale promu par Solidarité Mondiale dans 7 pays de l’Afrique de l’Ouest, dont le Burkina. Ce programme vise la lutte contre la pauvreté et l’insécurité alimentaire à travers quatre axes stratégiques :


  • le renforcement des initiatives d’économie sociale et mutualistes notamment par la formation et le renforcement des capacités en gestion, le micro-crédit, l’appui au développement institutionnel, l’alphabétisation opérationnelle et la réalisation des infrastructures de base.

  • la synergie entre les initiatives de santé communautaire et mutualistes avec les activités génératrices de revenus

  • le travail en réseau et d’échange d’expériences

  • le plaidoyer.


Les appuis de DIRS dès 2002 envers WATINOOMA, grâce au programme WSM/FBS consistent en :

  • l’octroi de micro-crédits

  • la formation en vue du renforcement des capacités organisationnelle, institutionnelle et technique

  • la mise en place des outils de gestion

  • l’alphabétisation des membres

  • la réfection et l’équipement du siège de l’association



  1. Structuration de l’organisation


L’AWFD comprend trois organes de gestion : l’Assemblée Générale, le Bureau Exécutif National (Conseil d’Administration) et le Commissariat aux Comptes.
L’Assemblée Générale regroupe l’ensemble des membres de l’association. Elle constitue son instance suprême et décide d’une manière générale sur la gestion et l’administration, notamment :

  • Elire ou révoquer les membres du Bureau

  • Voter le budget de chaque exercice et approuver les documents financiers

  • Donner au bureau des autorisations de gestion nécessaires

  • Entendre les rapports et comptes-rendus des missions

  • Fixer les frais d’adhésion et de cotisations ;

  • modifier si besoin les statuts et le règlement intérieur


Pour la modification des statuts, du règlement intérieur, la dissolution de l’association ou l’exclusion d’un membre, la majorité des 2/3 est exigée au suffrage.
L’assemblée générale ordinaire se réunit une fois par mois. L’Assemblée Générale Extraordinaire peut se réunir chaque fois que de besoin. La participation à l’Assemblée Générale se fait par délégation. Chacune des six zones couvertes par l’association est représentée par deux membres du Bureau et un(e) délégué(e) choisi(e) parmi les membres actifs à la base, à jour de ses cotisations.
Le Bureau Exécutif National de l’association est un organe d’exécution, chargé de l’administration générale et de la gestion de l’association. Ce bureau est composé de 13 membres.
La certification des comptes et le contrôle de gestion des ressources financières sont assurés par deux commissaires aux comptes élus pour cinq ans à l’Assemblée Générale.
En plus de ces trois organes, l’association compte des commissions spécialisées : commission petit commerce, commission embouche, commission technologie du riz et de l’arachide. Chaque commission s’organise de façon autonome en respectant l’esprit de l’association et doit régulièrement rendre compte au Bureau.

Compte tenu de l’augmentation du nombre de ses membres ainsi que de l’importance des activités de micro-crédit surtout à partir de 2002, l’organisation a introduit deux nouveaux organes : le comité de crédit (18 membres) et les responsables de zones (18 personnes).
L’ordonnateur du budget de l’association est la Présidente.



  1. Les activités de l’association




    1. Les activités génératrices de revenus et d’emplois.


Compte tenu des orientations stratégiques et des objectifs de Watinooma, l’association mène les actions principales suivantes : l’embouche bovine et ovine, la transformation agroalimentaire, le séchage de mangues et tomates, le tissage et les opérations d’achat et vente des produits agro-alimentaires. Ces activités génératrices de revenus et d’emploi sont menées individuellement ou collectivement.
L’embouche bovine consiste en l’achat d’un veau ou d’un taureau que l’on engraisse pendant six mois, pour le revendre après. C’est une activité très rentable. Par exemple, lors de la visite de l’association à Kaya en décembre 2004, les membres de l’IES nous ont informé que le veau qu’ils avaient acheté à 110.000 francs CFA (soit environ 168€) serait revendu à 175.000 francs CFA, soit 268€ après trois mois seulement d’engraissage, soit une marge bénéficiaire brute de presque 60%. De la même manière un mouton acheté à 25.000 francs CFA (environ 38€) peut être facilement vendu à 40.000 francs CFA (soit 61€) après 3 mois et demi d’engraissage. Ce prix leur permet non seulement de couvrir les coûts d’engraissage mais également de dégager un bénéfice net assez important. Notons en passant que le SMIG au Burkina est de 27.500 francs CFA.
La transformation agroalimentaire se fait d’une manière artisanale et consiste en la transformation des céréales en diverses farines enrichies. Parmi ses farines, il y a un mélange de soja, de maïs et du mil qui constitue un aliment très riche pour les enfants, les femmes nourricières ou enceintes et les convalescents. Les autres produits issus de la transformation agro-alimentaire sont les pâtes, les tourteaux d’arachide et l’huile.
En plus des activités individuelles, les actions collectives réalisées par les membres de l’association Watinooma sont le maraîchage, la production agricole du riz paddy, du mil, de l’arachide, la saponification, la vente des produits séchés, la formation des membres en techniques d’embouche.
Toutes ces activités sont appuyées par les micro-crédits individuels ou de groupe, les formations en gestion, l’alphabétisation opérationnelle en langue locale Mooré, c’est à dire liée aux activités que mènent les membres de groupements.
Entre 1997 et 2002, les membres de Watinooma ont bénéficié chaque année d’un portefeuille de crédit variant entre 5.000.000 et 6.000.000 de francs CFA qu’ils ont remboursé entièrement.
Les opérations de micro-crédits permettent à l’IES de mobiliser progressivement « l’argent chaud », c’est à dire l’épargne et le capital propre accumulé grâce à ses activités individuelles ou de groupe. Par exemple, en 2001 ils ont pu collecter une épargne totale de 1.800.000 francs CFA (soit 2.744€), tandis l’épargne mobilisé jusqu’au mois d’août 2004 s’élevait déjà à 6.318.200 francs CFA (9.632€). Cette épargne permet à l’association d’accroître progressivement son portefeuille de crédit.


    1. La création d’une mutuelle de santé


Il a été constaté qu’il y a une étroite relation entre la réussite des activités génératrices de revenus et la santé communautaire. En effet, les membres des initiatives d’économie sociale ont besoin d’être en bonne santé pour réaliser leurs activités. Or, faute d’un mécanisme de prise en charge sanitaire, beaucoup d’activités tombent en faillite car le capital accumulé est englouti par les frais des soins médicaux.
Conscient(e)s de ce fait, les membres de Watinooma ont créé une initiative de prise en charge du risque de maladie fonctionnant sur base des principes de solidarité, de prévoyance et de gestion démocratique, connu sous le nom de « mutuelle de santé ». Cette mutuelle a été crée en janvier 2004 avec 52 adhérents et 135 bénéficiaires. Le volume des cotisations à cette date s’élevait à 118.000 francs CFA. La mutuelle a connu une période d’observation (de mobilisation des cotisations sans aucun service rendu) de 6 mois.
Au 31 août 2004, la mutuelle comptait 59 adhérents, 168 bénéficiaires et avait mobilisé 169.800 francs CFA de cotisations (soit 259€). 26 personnes avaient déjà bénéficié de ses prestations, pour un total de 40.945 francs CFA (soit 62€). Les risques couverts à 100% sont les soins de santé aux postes de santé primaires, les frais de consultation, les médicaments essentiels génériques (MEG) et les frais d’accouchement.
La mutuelle de santé est gérée par un conseil d’administration de 8 membres.


  1. Impact des activités de Watinooma


5.1. Le micro-crédit : un outil d’intégration sociale et d’émancipation de la femme
Les crédits octroyés par l’association sont suivis par une structure de micro-finance agréée dénommée MUFEDE (Mutualité Femmes et Développement), qui assure notamment le placement des crédits, l’établissement de l’échéancier des remboursements, la formation en gestion et l’appui à l’établissement des états financiers. A partir de fonds de crédit alloués par le projet DIRS/Crédit et divers partenaires cités plus haut, Watinooma a conduit une politique de constitution progressive de fonds de crédit grâce au différentiel d’intérêt, et une politique de suivi rapproché par deux animatrices. Actuellement Watinooma dispose d’un portefeuille de crédit de 15 millions de francs CFA dont 4.5 millions de refinancement. Ces crédits dits « solidaires » sont octroyés à un taux de 15% l’an, dont 5% réservés au fonctionnement de Watinooma. L’expérience a montré qu’au Burkina, tout comme partout en Afrique, les femmes remboursent les crédits octroyés à presque 100% et que ces petits crédits permettent d’assurer l’émancipation et la capacitation de la femme tout en améliorant sa position au sein du ménage et de sa communauté (empowerment). Le micro-crédit est un outil intégrateur qui contribue à corriger les inéquités en matière de genre par rapport à l’accès, au contrôle des ressources et à une meilleure relation de pouvoir.
Le fonds de crédits dont a bénéficié Watinooma, grâce au programme WSM/FBS s’élève à 13 millions de CFA. Une partie de ce crédit est octroyé à des conditions de faveur (sans épargne préalable) aux groupes vulnérables, ce qui leur permet de mobiliser progressivement l’épargne dont ils ont besoin pour se tirer de la marginalisation.
Ce faisant, les gens qui hier vivaient de l’aumône ou de la solidarité traditionnelle parviennent maintenant à se prendre en charge et à mobiliser leur propre capital financier : après deux ou trois cycles de crédits dont les montants augmentent progressivement après chaque remboursement.
5.2. Contribution au développement local et à la lutte contre la pauvreté
Avec l’appui du programme WSM/FBS, l’association a construit son siège social muni d’un guichet où ses membres font des dépôts de l’épargne issue de leurs activités individuelles ou de groupe. Ce guichet sert également pour les opérations d’épargne et de remboursement des crédits. Elle a pu recruter deux animatrices chargées de la collecte de l’épargne quartier par quartier (6 zones) et de suivre le remboursement de crédits. Ce sont ces services de proximité qui favorisent le grand taux de remboursement des crédits.
En plus de ces deux collectrices de crédits en même temps animatrices, l’association dispose d’un bouvier et d’un gardien dont les salaires mensuels sont pris en charge entièrement par l’association. Le bouvier a un salaire mensuel brut de 15.000 francs CFA (soit 23€), tandis que les animatrices villageoises (collectrices) ont chacune un salaire mensuel régulier de vingt mille francs CFA (environ 30€). Au fur et à mesure que les activités de l’association seront plus rentables, l’organisation va améliorer les conditions salariales de ses employés.
Les membres de l’association sont invité(e)s à participer à toutes les rencontres organisées au niveau local par le pouvoir central, les structures étatiques déconcentrées et celles décentralisées. Ils (elles) sont consulté(e)s pour toutes les questions en lien avec le développement local.
Grâce à l’action de Watinooma, ses membres sont passés de l’anonymat, de l’isolationnisme et du développement des activités de survie et sont entrain de s’affirmer comme véritables acteurs de développement.
5.3. Une plus grande visibilité et une reconnaissance au niveau régional
Grâce au capital social mobilisé et à leur visibilité accrue, les membres de l’IES Watinooma sont invité(e)s à participer aux rencontres organisées au niveau sous-régional en lien notamment avec l’économie sociale, les mutuelles de santé et la micro-finance. En 2003 et en 2004 elles ont participé à plusieurs rencontres régionales organisées au Burkina Faso, au Bénin et au Mali.
5.4. De la sécurité existentielle à une véritable protection sociale
En outre, les femmes veulent passer de la « sécurité existentielle » et promouvoir une véritable dynamique de développement intégré, en prenant en compte non seulement la sécurisation des revenus, la protection sociale (en commençant par les initiatives mutualistes en cours dans le domaine de la santé), la capacitation, l’émancipation de la femme ainsi que la réduction des inéquités en matière de genre.
Elles essaient de lutter contre les quatre dimensions de la pauvreté : économique (manque de revenus), social (les autres décident à ma place, faute de relations), sémantique (manque de mots pour exprimer leur état) et symbolique (ne pas se retrouver dans mon environnement). Elles sont en voie de s’affirmer en tant qu’acteurs de développement qui prennent en charge leurs destinées en faisant la conjugaison homéopathique entre leurs vouloirs, leurs pouvoirs et leurs avoirs.
Pour y parvenir, elles ont beaucoup de chantiers en perspective : la construction et l’équipement d’une grande salle de réunion, l’accroissement du portefeuille de crédit, le renforcement du nombre d’adhérent(e)s à la mutuelle de santé, la construction d’un poulailler, l’extension du hangar abritant l’embouche bovine, le renforcement des capacités organisationnelles, institutionnelles et financières par les formations, l’alphabétisation, et les visites d’échange.


  1. Conclusion


Les initiatives d’économie sociale telles que celle de Watinooma ont émergé un peu partout en Afrique au cours des dix dernières années. Elles sont en majorité initiées par les femmes. Leur succès démontre la volonté des communautés à se prendre en charge, pour que la pauvreté ne devienne pas une fatalité. Toutefois, elles ont toujours besoin de quelques actions de solidarité, pour leur permettre d’être totalement autonomes et contribuer durablement à une Afrique qui résiste, qui construit et qui se développe ! l
Longue vie à l’initiative Watinooma !!


1 Le Burkina Faso est un pays de l’Afrique de l’Ouest.C’est l’un des pays les moins avancés de la planète, qui compte une population de 13.200.000 habitants, une superficie de 274.000 km2 et qui a été classé en 2003 175ème sur 177, selon l’indice de développement humain durable(IDH).




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