Quelle réponse le Président Martely pourrait -IL apporter aux paysans?








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date de publication11.08.2018
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Quelle réponse le Président Martely pourrait -il apporter aux paysans?

Contexte

Le MARDR n’a pas de politique agricole. Le MARNDR dispose actuellement d’un plan d’investissement sectoriel biannuel au cout de 700 millions de dollars qui attend le financement de la CIRH. Originalement conçu par le MARNDR , ce plan a été remanié par l’étranger á 90% dans le cadre de la politique de main mise post embargo de 1990. En voulant l’exécuter comme décidé par la communauté internationale , on répétera les erreurs des gouvernement d’Aristide, de Gérard Latortue et de Préval dont les politiques ont été étudiées pour entretenir une classe d’experts internationaux, des ONG supra nationales et de petits copains dans le partage d’un butin dont á peine 15 á 20% sont arrivés sur le terrain. Ceci a donné lieu á la formation d’une multitude de prédateurs internationaux et nationaux qui exécutent des interventions annuelles non renouvelables sans impact sur le développement durable en termes d’aménagements structurants capables de supporter des activités de production. Préval a loupé la paysannerie avec des promesses non tenues qui ont achevé de décrédibiliser l’état. Les ONG et l’Etat ont aujourd’hui dans l’imaginaire collectif de la population la même connotation négative de grand mangeur. Toutes les actions agricoles développées sous le gouvernement de Préval en plus d’être improductives s’inscrivaient plutôt dans un projet politique macabre á plus long terme ,ignoré peut être de son ministre d’agriculture le plus proche, . »Affaiblir les structures locales de production et faire dépendre toute la production haïtienne de la république voisine pour faciliter l’occupation économique du pays par cette dernière, sans avoir recours á des bottes dominicaines sur le sol haïtien.
Problématique de la production animale

Les deux projets dont sont capables les éleveurs haïtiens en terme d’industrie d’assemblage, l’élevage des porcs et l’aviculture, sont boycottés par ceux la mêmes qui sont placés pour les promouvoir. Ils sont conduits par les ONG au millième de l’objectif national en permettant que les infirmes ressources qui les sont allouées aillent dans des projets de plus en plus politisés qui servent de propagande stérile au gouvernement. Haïti et la République Dominicaine sont contaminées par la peste porcine classique et par l’influenza aviaire qui les empêchent de commercialiser leur production porcine et avicole avec l’extérieur. La république Dominicaine a besoin d’un marché pour sa production excédentaire et la communauté internationale comme le gouvernement de Préval tenaient á lui offrir le marché haïtien de 400 millions d’œufs ,des 30 millions de poulets de chair.. Deux exemples sont pris pour illustrer cette déclaration. Une banque internationale de financement joue toutes ses cartes pour la levée de l’embargo sur les œufs de la république dominicaine malgré la présence de l’influenza aviaire chez elle, avec l’assentiment tacite de Préval. Dans les jours qui suivirent l’embargo, le président Fernandez pour humilier l’administration publique haïtienne a offert 5 millions d’œufs contaminés frappés d’embargo á mr Préval qui les a acceptés contre la volonté des cadres techniques. Pendant vingt ans les gouvernements de Lavalas ont roulé les éleveurs haïtiens dans le mensonge en promettant la production des œufs sans jamais consentir le moindre effort budgétaire pour encourager une politique de production susceptible de réduire progressivement l’importation de ces commodités. Ces deux élevages sont rentables ,ils n’ont pas besoin d’etre subventionnés.

Quant á la production des bœufs des cabrits et des moutons, aucun projet viable d’amélioration n’a vu le jour pendant les vingt ans du pouvoir Lavalas. Les petits éleveurs ont eu seulement droit á des montages qui ont enrichi les parlementaires du bloc CPP et qui ont prétendu de produire du lait pour les écoles exception faite des campagnes de vaccination contre certaines maladies grâce aux démarches personnelles du cadre technique responsable. Quant aux animaux de transport, ils ont été magistralement ignorés par Mr Préval.

Les interventions dans la pêche et dans l’apiculture sont tellement minimes qu’elles ne méritent pas d’être mentionnées. Les lacs collinaires ont fait du bruit pour épater seulement les non initiés. L’aquaculture a servi pour enrichir quelques protégés des ONG. La vérité est que on n’a pas besoin du tout d’ONG dans le développement de la production animale. On en a besoin d’entrepreneurs.
Problématique de la production vivrière

Lavalas est arrivé au pouvoir avec un déficit de production vivrière en 1990. Ce déficit a nettement augmenté en 2011 au lieu de se résorber. L’intervention prioritaire minimale attendue des gouvernements de Préval pour avoir une augmentation de production était l’organisation de la production semencière dans le domaine céréalier des légumes et des tubercules. Comme politique on a eu pendant vingt ans un programme d’achat de grains sur le marché local , une politisation de l’ODVA, d’achat de plantules de banane malades qui constitue un net recul par rapport au savoir faire des agriculteurs dans la préparation traditionnelle de leurs semences. En de très rares occasions les agriculteurs ont eu droit á des semences hybrides de bonne qualité d’haricot de mais, et de millet achetées de l’étranger .Ces semences ont été critiquées amèrement par des alter mondialistes qui vivent aussi de la manne des ONG. Ces interventions n’ont été qu’une goutte d’eau dans un océan. Pourquoi les Dame sara sont obligées de s’approvisionner chaque année en république dominicaine en banane, patates, légumes, en citron achetés á l’état brut ? Pourquoi l’international et Mr Préval nous ont dénié le droit de les produire chez nous ?.

En réalité la production de semences en Haïti fait face à six grandes contraintes que Mr Préval n’a pas voulues lever :

1-L’absence d’une loi ou d’un décret loi réglementant la production de semences en Haïti

2-L’inexistence d’une structure d’Etat pour régulariser le conditionnement, la commercialisation et l’approvisionnement des producteurs dans les zones de production

3-L’absence d’institutions professionnelles partenaires viables capables de faire de l’argent dans la production et le conditionnement permanents de semences commerciales, de semences artisanales, de centres de conservation et de stockage .

4-La destruction du système de crédit par l’Etat et par les groupuscules politiques proches du pouvoir et de la coopération internationale

5-L’Exclusion des structures de déconcentration et de décentralisation de l’Etat dans la supervision de ces programmes

6-L’hégémonie de l’International dans les affaires agricoles du pays depuis l’embargo de 1990 en gérant directement tous les fonds d’aide au développement agricole du pays.

Problématique du reboisement ,de la protection des bassins versants et de la réforme agro foncière

Aucun projet de bassin versant en cours dans le pays n’est le fruit d’études conduites avec l’expérience des cadres du ministère. Les réflexions de ces derniers sont mises de coté au profit de celles des experts étrangers qui ont piteusement échoué dans tous les projets de reboisement en Haïti. Des experts haïtiens vendus qui connaissent la nature des problèmes sont recrutés par la communauté internationale pour servir d’écran de contre vérité aux critiques des agronomes du MARNDR. On réalise annuellement des pépinières de millions de plantules dans le simple but de justifier l’utilisation des fonds. Aussitôt mises en terre, ces plantules sont arrachées par les agriculteurs qui consacrent plutôt ces espaces aux cultures sarclées avec une protection artisanale minimale.

Les pratiques de conservation de sol sont réalisées sur des échantillons de sous bassins versants dans le cadre du food ou du cash for work , durent rarement un an á deux ans et donnent du travail á une fraction infirme de la masse de main d’œuvre au chômage. La démarche n’ a á sa base aucun élément de motivation et n’est soutenue ni par les officiels locaux ni par les leaders naturels des communautés.

Le programme de reboisement des bassins versants dont la relance café cacao et de la reforme agro foncière, doit être mis en œuvre avec le retour des forces armées d’Haïti, la redistribution de la PNH et l’organisation de la justice dans toutes les sections communales. C’est un programme qui doit être intégré dans la production vivrière. On les fera avec les collectivités territoriales des bourgs et des sections communales appuyées par les forces répressives. Bernard Etheart peut rester un bon conseiller á tout nouveau projet de reforme agro-foncière ,qui doit etre en lui-même un projet de société de Répons peyizan. Toute autre tentative est vouée á l’échec.

Problématique de l’irrigation

Selon les rapports des experts internationaux en construction de barrage, Haïti ne peut compter sur aucun projet de construction de barrage pour augmenter son potentiel de terres irrigués avec l’agressivité des pluies torrentielles, la fréquence annuelle des cyclones et la déclivité des montagnes fortement déboisées qui entrainent aussitôt construites la destruction immédiate de ces structures . « No place is good place » disent les experts. A défaut de barrage les experts recommandent d’utiliser les moto et les électropompes pour augmenter la surface irriguée. Le Ministre Gué a acheté un nombre important de tracteurs de motoculteurs et de pompes d’irrigation qu’on devra inventorier pour les récupérer. A ce propos , il est noté que la contrainte la plus lourde est encore l’indisponibilité de crédit aux agriculteurs pour payer les heures de pompage qui ont toujours mis en échec les projets d’irrigation réalisées avec le FIDA.

Problématique de la production de cocotiers

Tous les pays de la Caraïbes ont la même maladie du cocotier y compris Miami. Tous les pays ont appliqué la même technologie pour vivre avec le mal. Haïti est le seul pays qui après avoir commencé un essai á jacmel et dans le Nord sous Jean claude Duvalier, n’est pas arrivée á produire depuis cinquante ans des variétés tolérantes malgré la réalisation de plusieurs études et l’existence de deux projets appuyés par l’IICA. L’état accepte que nos commerçants s’approvisionnent en noix de coco chez nos voisins qui ont la même maladie, pour la coquette somme de vingt millions de dollars. .Le cocotier peut être planté en bordure des maisons, en bordure des jardins, prés des embouchures de nos rivières jusqu’á cinq cent mètres d’altitude dans les endroits où la pluviométrie annuelle moyenne reste aux environs de 600 millimètres. Pourquoi mr Préval ne l’a pas encouragé ?

Problématique du Crédit agricole

Quoique l’on dise, l’expérience du BCA est loin d’être épuisée. Le problème numéro un du BCA a été la petitesse de son porte feuille qui couvrait á peine 3 á 5% des besoins en crédit de la population urbaine au détriment des agriculteurs des sections communales et la faiblesse technique des structures de recherche et de vulgarisation qui ne pouvait pas garantir les prêts. Ses acquis positifs continuent d’être exploités par toutes les ONG qui se sont aventurées dans la micro finance. Mais étant donné que les ONG devenues permanentes ont pris la place de l’Etat, la corruption qu’on reprochait au BCA s’est amplifiée avec la prolifération de ces dernières devenues politisées á l’extrême. Il faudra dépolitiser le crédit, retirer les ONG du crédit réel, amplifier la mission du BNC en créant dans son administration un porte feuille de crédit agricole ou rural pour financer en priorité les activités d’élevage 100% rentables actuellement en attendant de l’étendre á la production alimentaire qui réclame encore un peu d’humanitaire tant que l’on n’aura pas encore touché á la reforme agro foncière.

Approche nouvelle et communication stratégique

Malgré tout le constat généralisé d’échec de l’approche ONG, la communauté internationale tient á son programme d’agriculture humanitaire , ne veut pas changer d’agenda de travail et se prépare á l’aube de chaque nouveau pouvoir á offrir des voyages et des petits projets personnels aux nouveaux dirigeants pour les attirer dans ses bonnes grâces et les programmer dans la logique de la continuité du statu quo.

La politique étant la science du possible , toute réponse aux besoins de la paysannerie dans les deux premières années de Martelly ne peut se faire qu’á l’intérieur d’un plan de développement qui questionne sans la rejeter entièrement l’approche imposée au MARNDR par la communauté internationale de 1990 á 2011. Cependant, si le gouvernement doit tirer un profit quelconque des investissements de la CIRH au profit de la paysannerie , il devra revoir le mode de gestion des fonds alloués par la communauté internationale en fixant des objectifs nationaux, en établissant des responsabilités et en exigeant des devoirs de résultats officiels de la part des gestionnaires de ces fonds qui devraient se mettre á l’écoute des institutions nationales du pays.

Parallèlement le gouvernement devra donner á la communauté internationale la preuve de sa capacité de faire en agriculture en prenant sur sa responsabilité exclusive un département agricole pour développer le modèle de l’entreprenariat privé qu’il propose avec l’objectif d’assurer que 30 á 40 % de la demande en production animale et vivrière soit produit dans ce département.

Voici ce que seraient en gros les lignes d’orientation d’une politique de réponse paysan ,si Mr Martelly jure de divorcer progressivement d’avec la réalité et sauver son crédit populaire de campagne:

-Accepter la gestion des fonds par les ONG qui deviennent le bras financier du secteur agricole dans neuf départements.

-Sélectionner neuf macro ONG á condition que chaque ONG soit capable de mobiliser un financement minimum de 40 millions de dollars US pour exécuter son programme .Toute ONG incapable de mobiliser ce minimum de fonds est disqualifiée automatiquement pour travailler en toute autonomie en Haïti et doit être un sous traitant de l’ONG principale.

-Restreindre le champ d’intervention de l’ONG á un département pour pouvoir stimuler la compétition entre les ONG

-Prioriser dans chaque section communale la création des structures permanentes et professionnelles de production de semences, de reproducteurs, de production d’aliments pour bétail et de structures de crédit établies partout où existe la BNC ou á défaut une banque commerciale.

-Mettre en place une structure participative de planification de contrôle et de suivi des activités, composée de la direction départementale agricole, de l’ONG et de son administrateur ,,de l’association des casecs du département et de la banque commerciale qui devra remplacer la table sectorielle départementale de concertation.

- Développer exclusivement dans le dernier des dix départements ( Le Centre) ,sans interférence des ONG , avec les institutions privées haïtiennes le même programme agricole en construisant un entreprenariat privé dans la production des services en amont et en aval de la production animale et végétale pour démontrer ce dont les haïtiens sont capables lorsqu’ils ne sont bloqués par aucune force externe contraignante. Un objectif de ce dernier département serait de produire les 30 á 40% de la demande nationale avec toutes les garanties que de droit.
Les besoins en semences principales du pays

Semences

Sup plantées/ha

Kilos /ha

Tonnes de semences

Riz

70.000

80

5.600

Mais

240.000

`18

4.320

haricot

85.000

80/90

6.800

Millet

200.000

11

2200

Haricot sauvage

?

100

?

Pois Congo

?

18

?

Banane

65.000

600

39.000

Igname

37.000

500

18.500

Pomme de terre

1.500

500

750

Patate (boutures

72.000

200 kilos

7.200

Malanga btures

13.000

500

650

Manioc btures

120.000

200

24.000

Arachides

?

55

?

Cocotier

?

129 plans

200.000



4-Programmation

On conçoit pour le moment 17 programmes agricoles départementaux. Chaque département choisit dans ces dix sept programmes ceux qui conviennent le mieux en fonction des ressources naturelles disponibles. On intervient dans les zones á potentialités agricoles immédiates dans l’agriculture. ( Aires irriguées, montagnes humides, mer,) On intervient avec l’élevage dans les zones sèches et peri-urbaines . On a un programme national de santé animale.

1-Programme haricot

2-Programme Tubercules

3-Programme Riz

4-Programme Banane

5-Programme Mais

6-Programme Millet

7-Programme igname

8-Programme Maraichage

9-Programme Engrais

10-Programme Irrigation

11-Programme Pèche

12-Programme avicole

13-Programme Porcin

14-Programme sante animale

15-Programme production de cocotiers

16 Programme de recherche et de vulgarisation

17-Un programme de crédit agricole

Modalités

Dans toutes les statistiques agricoles du pays, on lit que la production agricole représente 25% du PIB national et qu’elle fournit 30 % de la consommation de la population. Il est admis que dans une exploitation agricole , une bonne semence garantit déjà á 30% la réussite de la récolte. Considérant que la paysannerie fait face á l’épineux et permanent problème de semences á chaque saison agricole , il est suggéré aux stratèges agricoles de Mr Martelly de rejeter , in limine litis, l’approche semence-graine de la FAO et des ONG adoptée depuis 20 années et de passer á la mise en place de structures permanentes de production de semences conformément aux besoins ci-dessus exprimés.

3-Choisir dans les 565 sections communales des aires appropriées de production et engager 3000 á 5000 contractuels ( planteurs avancés et jeunes agronomes au chômage ) pour produire chaque année les semences ,les reproducteurs et les aliments nécessaires pour les programmes nationaux de production animale et végétale.

Banane : Production de plantules issues de la méthode PIF tolérantes á la Sigatoka noire

Riz Production de semences de ris tolérantes á la paille noire

Programme de production de semences de Mais ,Millet

Manioc Doux et amer dans les zones sèches d’altitude moyenne 200 a 600 mètres d’altitude

-Patate dans les plaines irriguées et les montagnes humides

-Tubercule Igname , taro, patate, pomme de terre dans les montagnes humides a altitude 600 áa 2000 mètres d’altitude

-Mazoubelle ,patate plaines irriguées ,marécageuses drainées

-Cocotiers 10 champs de production de plantules dans 10 départements

-Poulets de chair et pondeuses : financer directement sur la base de crédit dans les bourgs, les villes ,et dans les sections communales á climat sec, 1000 centres de production couplés chacun á une entreprise de transformation pour la vente en morceaux des poulets capables de livrer sur une période de cinq années la production importée de l’étranger

-Etablir un centre de distribution d’aliments pour élevage porcin et avicole dans chacune des 140 communes du pays finance par le crédit, á partir d’une négociation avec le Brésil et l’argentine pour un prêt en soja et en mais.

-Financer les « groupman sante bet » en crédit pour qu’ils aient leurs pharmacies vétérinaires privés supervisées par le MARNDR. Passer avec eux des contrats supervisés de Campagne de vaccination des animaux

-Financer dans chaque ville côtière du pays un magasin de pêche á partir du crédit

-Financer un programme de 140 fermes recherche et de vulgarisation sur chacun de ces programmes sur la base des problèmes dénoncés par les producteurs.

Mettre les semences ainsi produites á la disposition des sous formes de prêts en nature via les structures décentralisées

-Commencer immédiatement après l’investiture un programme d’information et de vulgarisation agricole sur 40 radio communautaires coiffées par une station Am/FM de Port-au-Prince, ayant supporté la campagne du nouveau président pour diffuser les informations techniques agricoles déjà disponibles, pour informer des nouvelles orientations agricoles de Martelly et pour signifier á la paysannerie le type d’attention dont elle sera l’objet pendant le gouvernement de Repons Paysan.

-Demander au MARNDR de convoquer en urgence ses techniciens pour finaliser ces grandes lignes de politique agricole pour finir avec la gestion de l’urgence.

michelwilliam1000@hotmail.com

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