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NOTRE AMBITION EST D’ETRE AUSSI SOLIDE DANS NOTRE SECTEUR QU’UN BAOBAB ![]() ![]() 1. Mot du président du conseil D’ADMINISTRATION Le plan de restructuration et de redressement de la FUCEC-TOGO et de ses institutions de base est arrivé à son terme avec la clôture de l’exercice 2006. L’évaluation de mi-parcours indiquait déjà de bonnes tendances pour ce qui a trait aux objectifs assignés. Le reformatage du réseau de trois à deux niveaux, le renforcement en effectif et en capacités ou à tout le moins des fondamentaux en ressources humaines des coopec, la liquidation ou le redressement des institutions de base, la modernisation des outils de gestion, la mise en conformité de la MAFUCECTO au code CIMA sont des paris tenus. Cela a induit un changement de paradigme : être proactif plutôt que réactif. Les COOPEC de base et leur Faîtière ont mis le cap sur la création de la richesse, de la valeur ajoutée plutôt que de courir derrière les problèmes de gestion quotidienne. L’énergie déployée dans la création des conditions à minima pour tirer tous les membres des institutions vers le haut commencent par porter. Les institutions gagnent en confiance et en crédibilité. A preuve les liquidations d’un certain nombre de COOPEC de base n’ont pas entaché ou jeté du discrédit sur celles qui fonctionnent bien. Il est noté une tendance à l’accroissement en nombre de membres et en volume d’épargne. La grande majorité des institutions affiliées ont clôturé l’exercice 2006 avec une croissance du portefeuille des prêts plus assainis, une progression dans la mobilisation de l’épargne et un résultat positif. Il serait prétentieux de croire que tout a été réglé. La recherche de l’excellence nous condamne à opter pour les meilleures pratiques de gestion dans notre secteur d’activités : secteur d’avenir et de grande compétition. Le profil des acteurs se diversifie. Les enjeux deviennent importants et la concurrence assez rude. Il faut faire davantage mais en mieux. Notre réseau retrouve sa vocation de toujours : contribuer au mieux -être des personnes par l’offre d’une gamme variée de produits et services financiers qui rencontrent leurs besoins. Notre réseau est appelé à travailler dans un environnement de plus en plus concurrentiel et de ce fait doit pouvoir soutenir celle-ci en poursuivant l’exploration de nouveaux produits et services financiers plus adaptés aux membres et la mobilisation des ressources financières endogènes. Plus que par le passé, les deux paliers du réseau (COOPEC de base, Faîtière) doivent réellement s’intégrer et mettre le membre au cœur de toute action. Le nouveau Plan d’affaires du réseau en cours d’élaboration va couronner ce chantier pour accentuer notre impact sur notre part contributive à la réduction de la pauvreté au Togo. Essossimanadada DADANEMA 2. PRESENTATION DE LA FUCEC-TOGO La Faîtière des Unités Coopératives d'Epargne et de Crédit du TOGO (FUCEC-TOGO) est le réseau de Coopératives d'Epargne et de Crédit (COOPEC) le plus ancien évoluant dans le secteur de la microfinance dans notre pays. Cette expérience a démarré en 1969 avec l’initiation de la première Caisse d’Entraide dans la sous- préfecture d’Akébou par un volontaire américain du nom de James Winter, en mission au centre rural agricole de Kougnohou auprès de l’Eglise Evangélique Presbytérienne du Togo. Des bénévoles togolais ont pris le relais du volontaire américain pour poursuivre l’essaimage des COOPEC sur le territoire national. En 1983, la FUCEC TOGO fut portée sur les fonts baptismaux par les COOPEC regroupées en unions régionales. Après un travail de fond, ce qu’il est convenu d’appeler désormais la Faîtière des Unités Coopératives d’Epargne et de Crédit du TOGO (FUCEC-TOGO) a ainsi vu le jour dans sa forme actuelle le 23 juin 2001 à Kara. L’Assemblée Générale de Kara a posé les bases de la nouvelle institution à travers un Plan d’affaires pour la restructuration et le redressement de la FUCEC-TOGO sur une base quinquennale allant de 2001 à 2006. En juin 2001, la Fédération des Unions Coopératives d’Epargne et de Crédit (FUCEC-TOGO) est devenue donc la Faîtière des Unités Coopératives d’Epargne et de Crédit (FUCEC-TOGO) pour mieux coller à sa nouvelle vision. Les Unions Régionales sont supprimées au bénéfice d’une Union Nationale dénommée Faîtière organisée en deux étages :
La Faîtière est mise en place pour un meilleur encadrement du réseau et des services professionnels de qualité aux COOPEC affiliées à des coûts partagés : formation, éducation coopérative, assurance, financement, inspection, vérification, conseils en gestion, représentation etc... Les valeurs morales sur lesquelles le réseau se fonde particulièrement pour réaliser sa vision et remplir sa mission intègrent l’importance des membres, la qualité des services, l’honnêteté, l’intégrité le professionnalisme, la justice, l’équité, l’union, la solidarité, l’efficacité, l’efficience et la responsabilité de rendre compte. En effet, à nos yeux, sans les membres, notre entreprise n’existe pas. Car il n’y a pas de COOPEC sans membres, il n’y a pas de Faîtière sans COOPEC et il n’y a pas de réseau sans COOPEC et sans Faîtière. Le service aux membres reste le socle et la justification de la présence des agents dans l’entreprise et ils doivent les servir absolument avec professionnalisme et célérité car le personnel a pleine conscience qu’ils sont la pierre angulaire du développement de notre entreprise. Les dirigeants et le personnel sont honnêtes, intègres, compétents, engagés, imbus de la culture de l’excellence, de l’esprit de travail en équipe et veillent constamment à observer une éthique professionnelle dans la prestation des services et le comportement. Les politiques et procédures sont respectées et s’appliquent sans discrimination à tous, dirigeants, personnel et membres de nos institutions dans un esprit de totale égalité. Aucune institution du réseau n’est forte seule. Ensemble, nous constituons l’incroyable force de la coopération. Le réseau se fixe des objectifs clairs et les réalise notamment par la croissance du portefeuille, sa qualité, la mobilisation de l’épargne et la rentabilité des opérations. Le réseau fait preuve d’innovation et offre des produits et services adaptés aux besoins des membres et aux meilleures conditions. Lorsqu’on nous confie des ressources et des tâches, nous rendons compte du moment et de la façon dont ces ressources sont utilisées et ces tâches accomplies. Ce sont là les valeurs auxquelles notre réseau croit et s’applique à traduire dans ses opérations. En qualité d’institution mutualiste ou coopérative d’épargne et de crédit, La FUCEC TOGO est agréée sous le N° T/1/GFLM/97/0001A par arrêté N° 155 en date du 26 novembre 1997 du Ministre de l’Economie, des Finances et des Privatisations conformément à la Loi N°95 014 du 14 juillet 1995 portant réglementation des institutions mutualistes ou coopératives d’épargne et de crédit au TOGO. Pendant plus d’une décennie, la FUCEC-TOGO avait principalement bénéficié de l’appui technique du World Council of Crédit Unions (WOCCU) sur financement de l’USAID. En 1994, du fait de la dégradation de la situation politique au Togo, l’USAID a suspendu ses interventions dans le pays. Cette suspension de la coopération américaine a eu pour conséquence le retrait non planifié du WOCCU à titre d’agence d’exécution et l’arrêt de toute subvention à un moment où l’autosuffisance opérationnelle de l’institution était de moins de 40%. Ce retrait non préparé du bailleur de fonds a eu des répercussions négatives sur la viabilité technique et financière du réseau mais ne l’a pas emporté. La FUCEC-TOGO à travers les COOPEC a fait de l’épargne préalable la condition d’accès au crédit mais a expérimenté depuis 1996 une autre expertise basée sur une approche alternative pour lutter contre la pauvreté en faisant du crédit un sillon devant conduire à l’épargne. Ce produit développé par Freedom From Hunger (FFH) et appelé communément ici « Crédit Epargne avec Education » ou « Caisse Villageoise » ailleurs est exclusivement destiné aux femmes pauvres du milieu rural et semi-urbain. La capacité de mobilisation de l’épargne, le niveau important de crédits accordés, les nombreux programmes développés sont autant d’atouts pour la FUCEC TOGO pour contribuer à la réduction de la pauvreté dans notre pays. La FUCEC-TOGO a certainement atteint son objectif en matière de mobilisation de l’épargne. Son véritable défi, celui de l’avenir, reste la rentabilisation des ressources mobilisées et la sécurisation des déposants à travers une gestion plus professionnalisée des COOPEC de base et de la Caisse Centrale de la Faîtière. En termes consolidés, au 31 décembre 2006 la FUCEC-TOGO compte 58 COOPEC de base et une Caisse Centrale. Les épargnes mobilisées se chiffrent à la même date à 26 797 050 999 FCFA pour un encours des crédits et prêts aux institutions de 19 786 398 749 FCFA. L’effectif total du réseau s’élève à 214 316 membres dont :
Le Portefeuille à Risque (PAR) à 3 mois se chiffre 1 052 826 378 FCFA soit 5,32% contre 5% de norme légale. En fin décembre 2005, le Portefeuille à Risque (PAR) à 3 mois ressortait à 2,78%. La dégradation du portefeuille en fin 2006 par rapport à 2005 s’explique essentiellement par les difficultés de remboursement des crédits à la CECPO (Coopérative d’Epargne et de Crédit des Employés de l’ex OTP, actuel IFG-TOGO). Nous y reviendrons. La FUCEC-TOGO est membre propriétaire du Centre d’Innovation Financière (CIF) avec cinq autres réseaux coopératifs d’épargne et de crédit d’Afrique de l’Ouest. Elle préside l’Association Professionnelle des Institutions de Microfinance du Togo (APIM-TOGO) et est membre de International Network of Alternative Financial Institutions (INAFI-AFRIQUE), du Microfinance African Institutions Network (MAIN) et de l’Association des Institutions Intégrées de Finances de Proximité (PROXFIN). 3 L’ENVIRONNEMENT SOCIO-ECONOMIQUE DU RESEAU AU COURS DE L’EXERCICE CLOS AU 31 DECEMBRE 2006 L’exercice 2006 s’est déroulé dans un environnement économique toujours difficile. L’économie nationale est malade et fortement tributaire du contexte politique. Toutefois, elle a connu au deuxième semestre de l’exercice, une légère reprise due à la signature de l’Accord Politique Global dont la pleine application augure de la reprise de la coopération avec l’Union Européenne et les autres partenaires au développement. Un climat d’apaisement s’est instauré avec les élections législatives en vue. Le secteur de la microfinance continue de prendre sa part dans l’économie du pays. Les activités agricoles et artisanales n’ont guère eu meilleure fortune et les progressions en volume sont restées mitigées. Le secteur du coton est totalement sinistré. Néanmoins la tendance à épargner se maintient au fil des années. Cette situation s’est traduite dans les COOPEC par l’accroissement en volume de l’épargne moyenne et la capacité à rembourser s’améliore globalement en dehors du crédit à CECPO. La prudence observée à satisfaire les demandes de crédits par crainte de la progression de la délinquance dans le remboursement des concours s’estompe au profit d’un dynamisme de plus en plus soutenu. Le secteur s’affirme et s’assume. La Faîtière a bouclé son Plan d’Affaires et les réformes institutionnelles induites par sa vision à l’horizon 2006. L’assainissement du paysage de l’institution par la liquidation des COOPEC non viables et les efforts de redressement ont fini d’asseoir la crédibilité de l’institution. L’environnement institutionnel des COOPEC, surtout des plus grosses, s’est nettement professionnalisé avec l’adoption d’une politique et des pratiques de crédit-type du réseau et la mise en place d’une nouvelle convention d’affiliation dans un esprit de subsidiarité répartissant les attributions au sein des paliers du réseau dans le but de promouvoir les meilleures pratiques de gestion. En tout état de cause, 2006, a été une année moins pénible au point de vue environnement externe par rapport aux exercices précédents. L’engagement des élus pour ancrer la bonne gouvernance dans le réseau reste constant sur les exercices malgré quelques difficultés de parcours. 4. LES ACTIVITES DES ORGANES ELUS DE LA FAITIERE L’exercice 2006 s’est relativement mieux déroulé que le précédent. Les organes élus ont travaillé dans des conditions satisfaisantes et ont tenu leurs réunions telles que prévues.
Le Conseil d’Administration a tenu durant l’exercice huit réunions et organisé deux Assemblées Générales. Au cours de sa première réunion en date du 28 Avril 2006, outre le contrôle des activités réalisées durant le premier trimestre par la Direction Générale et le suivi du budget au 31 Mars de l’exercice, le Conseil d’ Administration a suivi une communication du Directeur Général sur l’évolution du marché de la microfinance au Togo et ses impacts potentiels sur le réseau. Il est clairement ressorti de cet exposé la nécessité de définir, pour le réseau FUCEC-TOGO, de nouvelles orientations intégrant plus que par le passé la concurrence dans ses actions afin de maintenir sa position dans le secteur. Le Conseil a également arrêté la date de l’Assemblée Générale Annuelle de l’exercice 2005 écoulé et demandé au Directeur Général d’y reprendre la même communication pour stimuler la réflexion et éveiller les Présidents des COOPEC de base face aux nouveaux enjeux. Cette réunion a par ailleurs fait le point de l’évolution des activités de la COOPEC AVE, en redressement sous la tutelle de la Faîtière. La deuxième réunion du Conseil d’Administration élargie aux autres organes s’est tenue le 8 Juin 2006 pour adopter le budget de l’Assemblée Générale Annuelle 2005, examiner les documents et les postes de dirigeants de la Faîtière à soumettre au renouvellement. Le Conseil a décidé de soumettre cinq résolutions à l’adoption de cette Assemblée. Le 24 Juillet 2006, le Conseil d’Administration a tenu sa troisième réunion élargie aux autres organes de la Faîtière. Cette réunion du Conseil a été consacrée essentiellement au projet du Centre d’Innovation Financière (CIF) de création d’une Confédération sous-régionale. Après avoir écouté la délégation du CIF, composée de son Président et de son Directeur Général, le Conseil a pris la résolution de réaffirmer de façon formelle son engagement à participer à la création et à la mise en place d’une Confédération dotée d’un Organe Financier sous-régional appartenant aux six réseaux membres du CIF dont la FUCEC-TOGO. Le 3 Août 2006, suite à l’élection de nouveaux membres par l’Assemblée Générale Ordinaire 2005, le Conseil d’Administration élargi aux autres organes, s’est réuni pour procéder à la passation des pouvoirs suivi le lendemain de sa cinquième session. Outre le point sur l’évolution de la COOPEC AVE, le Conseil a suivi et adopté, ce 4 Août 2006, le rapport budgétaire du deuxième trimestre. Il a par ailleurs écouté le compte rendu sur la réception du lot de matériel informatique reçu du Programme d’Appui à la Stratégie Nationale de Microfinance (PASNAM), lot destiné à l’informatisation des opérations de sept (07) COOPEC du réseau. Le Conseil a ensuite procédé à l’approbation de l’exécution du budget de l’Assemblée Générale Ordinaire 2005. Il a également approuvé la mise en place d’une commission devant écrire l’histoire du réseau FUCEC-TOGO en accord avec les recommandations du CIF et demandé l’affichage au sein des unités du réseau des valeurs adoptées en Assemblée Générale 2005. Durant sa réunion du 26 Octobre, le Conseil d’Administration s’est attelé à s’assurer de la bonne exécution du plan de travail et du budget de l’exercice en cours, de la bonne gestion administrative, comptable et financière de la Faîtière. Le Conseil a étudié et adopté une politique d’assistance sociale au bénéfice des membres des organes élus et du personnel en situation de détresse. Il a suivi le point de l’évolution des activités de la COOPEC AVE. Le Conseil a en outre décidé l’adhésion de la Faîtière à l’Association des Institutions intégrées de Finances de Proximité (PROXFIN). Regroupant vingt deux institutions de finance de proximité, toutes ancrées dans leur communauté, PROXFIN a pour but de favoriser la communication entre ses membres qui partagent tous le même modèle de performance et de proximité. Les institutions membres de PROXFIN sont partenaires de Développement international Desjardins et croient que « c’est au prix d’une bonne performance que les institutions peuvent réaliser leur mission de desservir adéquatement et sur une base durable les individus et les familles de leur communauté ». La septième réunion du Conseil tenue le 15 septembre 2006 a été consacrée à la restitution de la mission du Ministère des Finances/BCEAO suite à son inspection de la Faîtière. Après avoir écouté les conclusions et les recommandations de la mission, le Conseil s’est félicité de la réalisation de la mission qui est une diligence importante qui permet aux dirigeants de s’assurer de la bonne tenue de leur institution. Le Conseil a instruit le Directeur Général de prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre en œuvre les recommandations de la mission et de lui en rendre compte. Au cours de sa dernière réunion de l’exercice 2006, tenue le 22 Décembre, le Conseil d’Administration a procédé dans un premier temps au contrôle des activités réalisées par la Direction Générale notamment la formation, l’exécution des plans de transformation des COOPEC, l’inspection des COOPEC, les crédits Caisse Centrale, la situation de la COOPEC AVE sous sa tutelle. Le Conseil a ensuite suivi l’exécution du budget 2006. Il a étudié et adopté le plan de travail 2007 et les budgets y afférents. Le Conseil a fait le suivi de la mise en œuvre par la Direction Générale des recommandations de la mission d’inspection du Ministère des Finances/BCEAO de septembre 2006. Il a noté la bonne mise en œuvre des recommandations de ladite mission. |
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