Ateliers Jeunes Chercheurs en Sciences Sociales de L'ajei








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GUILLEBAUD Christine
Courriel : cguillebaud@free.fr

Discipline : Anthropologie-Ethnomusicologie

Date de naissance : 01/10/1973

Titre de la recherche : Musique et rituels de propitiation au Kerala

Lieux du terrain : Kerala

Diplôme préparé : Post-doctorat CNRS

Année de début du diplôme : 2004

Laboratoire de rattachement en France : Laboratoire d’ethnomusicologie, UMR 7173 CNRS/Musée de l’Homme

Financement actuel : Contrat Post-doc CNRS

Thématiques de recherche         

• Réseaux de patronage des musiciens itinérants

• Musique et arts visuels

• Production et circulation des savoirs musicaux

• Anthropologie des perceptions
HACKETT Jessica
Courriel : jeleigh76@yahoo.fr

Discipline : Anthropologie

Date de naissance : 28/07/1976

Titre de la recherche : Une dynamique sociale autour de l’accouchement en milieu rural indien: le cas des matrones du Maharashtra

Lieux du terrain : Pune, Maharashtra

Diplôme préparé : Master 2

Année de début du diplôme : 2004

Directeur de recherche : Alice Desclaux

Université : Paul Cezanne (Aix-Marseille III)

Laboratoire de rattachement en France : Laboratoire d’ethnomusicologie, UMR CReSS

Laboratoire de rattachement en Inde : Centre for Cooperative Research in Social Sciences, IFP

Financement actuel : Fulbright-Hays

Résumé du projet de recherche         

Cette année ma recherche prend pour cible les matrones, ou accoucheuses traditionnelles, du Maharashtra. Je souhaiterais recueillir des informations concernant leur tradition, leur savoir, la manière dont elles transmettent ce savoir, et leurs techniques d’accouchement. À un niveau ‘local’ cette étude devrait révéler la place importante occupée par cette praticienne au sein de sa communauté. Cependant, aujourd’hui, beaucoup de jeunes femmes n’ont plus recours à cette praticienne, et préfèrent aller aux centres médicaux pour accoucher. L’objectif principal de ma recherche de en anthropologie bio-culturelle est donc de produire des informations pouvant éclairer les articulations entre les différents secteurs de soin et d’autres groupes sociaux concernant l’accouchement dans l’Inde rurale. Cette recherche sera guidée par les questions suivantes : comment les matrones du Maharashtra pratiquent leur art de l’accouchement ? Comment sont-elles accueillies et quel est leur statut au sein de leur communauté ? Qui s’adresse à la matrone pour son accouchement ? Comment les matrones transmettent-elles leur savoir ? A qui ? Comment ? Et pourquoi ? Comment ces matrones réagissent-elles à l’arrivée de la biomédecine dans leurs villages ? Est-ce qu’elles s’adaptent à ces nouvelles pratiques ou est-ce qu’elles les réfutent entièrement ou partiellement ? Comment et pourquoi ?


HOYEZ Anne-Cécile
Courriel : hoyez@yahoo.com

Discipline : Géographie

Date de naissance : 06/09/1976

Titre de la recherche : Mondialisation des pratiques de santé

Lieux du terrain : Madras – Rishikesh – Pune et autres

Diplôme préparé : Doctorat

Année de début du diplôme : 2000

Directeur de recherche : Alain Vaguet, Jean-Claude Arnaud

Université : Rouen

Laboratoire de rattachement en France : LEDRA

Laboratoire de rattachement en Inde : IFP
Résumé du projet de recherche         

La question de la mondialisation, telle qu’elle est posée dans cette thèse, touche à une pratique (le yoga) qui soulève des thématiques à la fois religieuses, thérapeutiques, politiques, identitaires, à l’échelle micro (individu) comme à l’échelle macro (la société-monde). Les grandes thématiques (santé, politique, religion) qui ressortent de ce panorama (non exhaustif) sur la mondialisation appellent donc à d’autres disciplines et concepts. Elles sont déclinées dans les domaines de l’indianisme. Certains auteurs français offrent une approche essentielle à ces deux dimensions thérapeutiques en Inde (F. Zimmermann, V. Bouillier et G. Tarabout, F. Bourdier). Ces approches sont mises en perspective par la comparaison avec les travaux réalisés par les anthropologues de la santé ou de la santé spirituelle dans d’autres sociétés (I. Rossi, F. Laplantine, etc.). Au niveau de la géographie, le traitement du sujet s’inscrit à la suite de ce qu’ont produit des auteurs comme Yi-Fu Tuan, R. Kearns & W. Gesler, ou encore C. Philo et G. Valentine, qui insistent tous sur l’importance des perceptions individuelles dans la production et la représentation des espaces thérapeutiques ainsi que sur une « géographicisation » du corps dans la compréhension des pratiques de santé actuelles.  Pour réaliser ce travail, plusieurs terrains ont été effectués en Inde (Madras, Rishikesh et Pune entre autres) et à Rouen entre 2000 et 2005.

HRIBEK Martin
Courriel : martin_hribek@hotmail.com 

Discipline : Ethnologie

Date de naissance : 29/09/1977

Titre de la recherche : Les contextes sociaux de la Durgapuja à Calcutta

Lieux du terrain : Calcutta

Diplôme préparé : Doctorat

Année de début du diplôme : 2001

Directeur de recherche : Hana Preinhaelterová

Université : Charles (Prague)

Laboratoire de rattachement en France : Institut des Études d’Asie du Sud et d’Asie Centrale

Laboratoire de rattachement en Inde : Département de sociologie, Université de Calcutta

Financement actuel : Le programme d´échange culturel tchéque-indien, la fondation Sasakawa, la fondation scientifique tchèque, le fond de mobilité des étudiants de l´Université Charles à Prague

Résumé du projet de recherche

Étude sur l’art et le rituel : les fêtes de déesses à Calcutta. Cette recherche porte sur la fête de Durgapuja à Calcutta dans son aspect socioreligieux ainsi qu’artistique, et notamment sur la production du sens par l´entremise des actions rituelles et de l’esthétique des images des déesses. On cherche la relation entre les règles de la puja propre (le rituel selon les écritures), et les interprétations variées des actions réglées. De la même manière, on explore la « syntaxe » des images, si on peut appeler ainsi les règles de représentation des déités que les artisans suivent et rompent pour qu’elles fassent sens aux organisateurs ainsi qu’aux participants. C´est de nouveau la relation entre les sens et les règles implicites dans leurs expressions qu’intéresse le chercheur. De cette façon, on souhaite ancrer des images concrètes, des actes de vénération particuliers et des pouvoirs politiques, qui imposent un sens au détriment de l’autre, dans une « grammaire » provisoire du rituel.L’enquête de trois années a consisté en l’observation des fêtes religieuses, la conduite d’entretiens avec leurs organisateurs et participants, et l’étude des arts populaires relatifs aux fêtes. De même, on a recueilli les représentations médiatiques de la fête ainsi que des images de déesses et analysé le discours médiatique.

HUMEAU Julie
Courriel : julie_humeau@hotmail.com

Discipline : Anthropologie

Date de naissance : 11/02/1981

Titre de la recherche : Le don chez les réfugiés tibétains de Dharamsala

Lieux du terrain : Dharamsala

Diplôme préparé : Master  2  

Année de début du diplôme : 2003

Directeur de recherche : François Robinne

Université : Provence Aix-Marseille I

Laboratoire de rattachement en France : IRSEA



Résumé du projet de recherche         

Depuis l’année de maîtrise, je mène une recherche anthropologique sur les Tibétains réfugiés en Inde. Les Tibétains ont été installés dans différents camps indiens en 1959 à la suite de l’invasion chinoise au Tibet. Les Occidentaux ont très vite offert leur soutien financier pour aider à la sauvegarde de la culture tibétaine. Mes recherches se sont donc dirigées vers une des formes de don humanitaire en expansion : le parrainage. Le mémoire de maîtrise  considérait la relation parrains français, filleuls tibétains à travers l’association « Aide à l’Enfance Tibétaine ». Le terrain d’enquête se situait à la fois en France et dans le camp de réfugiés tibétains du Ladakh. Le don qui était au cœur de l’analyse m’a permis de conclure que la simple donation matérielle sous-entendait aussi un rapport symbolique entre les acteurs du parrainage. Le parrain construit un retour du don en extrayant une spiritualité qu’il attribue aux Tibétains ; le filleul a un sentiment de dette éternelle qu’il essaye de solder en apportant des éléments symboliques à son parrain. Pour la recherche de Master 2, j’envisage de concevoir le sujet, non plus sous le seul aspect d’un don particulier (dans le cadre du parrainage), mais du don dans son ensemble inséré dans ce milieu bouddhique. Il s’agit en fait de répondre à la question : comment les Tibétains bouddhistes appréhendent le don dans ce contexte d’exil ? On remarque en effet que la communauté tibétaine réfugiée en Inde vit essentiellement des dons occidentaux ce qui peut engendrer un repositionnement du don bouddhique dans les représentations tibétaines.Il s’agit de découvrir, sous un premier axe, comment les Tibétains appréhendent les dons occidentaux qui arrivent en masse dans la communauté et comment ils sont redistribués. Le deuxième angle de recherche vise à établir les réseaux du don au sein de la communauté (à qui donne-t-on, de qui reçoit-on ?). Enfin, le dernier axe s’attache à observer les pratiques du don en exil afin de comprendre comment les Tibétains intègrent les dons occidentaux aux représentations bouddhiques.

IMBACH Romain
Courriel : romain.imbach@laposte.net

Discipline : Géographie

Date de naissance : 01/07/1983

Titre de la recherche : La question foncière dans le quartier de Somajiguda à Hyderabad

Lieux du terrain : Hyderabad (Andhra Pradesh)

Diplôme préparé : Master 1

Année de début du diplôme : 2004

Directeur de recherche : J-L Piermay, Frédéric Landy

Université : Louis Pasteur de Strasbourg

Laboratoire de rattachement en France : UFR de Géographie

Laboratoire de rattachement en Inde : Programme de recherche franco-indien APUG (Actors, policies and urban governance in four metropolicies in India)
Résumé du projet de recherche

Ce travail de recherche, en cours de réalisation, porte sur un quartier moderne (Somajiguda) de Hyderabad (Andhra Pradesh) en pleines mutations. L’objectif est de comprendre les processus de renouvellement urbain à l’œuvre dans ce quartier péricentral actuellement soumis à des mécanismes de changement importants. On se propose donc d’observer les composantes de ces processus, ainsi que les enjeux qui les sous-tendent, en se basant sur le foncier : notamment à travers les modes d’accès au foncier, les rapports entre le type d’occupation du sol  et les statuts fonciers et les mutations dans les formes d’occupation de celui-ci. Cette étude entend également tenir compte du jeu des acteurs, de les décrire, d’identifier leurs actions et l’imbrication de l’action des uns avec celle des autres.Le travail de recherche sur le terrain a été effectué à Hyderabad entre fin janvier 2005 et fin mai 2005, et je suis actuellement en cours de rédaction, en vue de soutenir en septembre 2005.

JAUZELON Célina
Courriel : celinaindia@yahoo.com 

Discipline : Anthropologie

Date de naissance : 01/05/1974

Titre de la recherche : Les acteurs du social en Inde : de l’État Providence à l’État non gouvernemental. Le cas des femmes au Tamil Nadu

Lieux du terrain : Tamil Nadu

Diplôme préparé : Doctorat 

Année de début du diplôme : 2003

Directeur de recherche : Djallal Heuzé

Université : EHESS Paris

Laboratoire de rattachement en France : EHESS



Résumé du projet de recherche

Après avoir travaillé sur la définition du travail social en Inde dans le cadre de la maîtrise, j’ai étudié la professionnalisation du secteur associatif et la tentative de constitution du champ professionnel pour les travailleurs sociaux en Inde. À travers l’étude des acteurs (profil, formation) je souhaite étudier le fonctionnement du système de protection sociale en Inde et particulièrement dans le Tamil Nadu (décentralisation, politiques sociales, institutions…). Notre étude s’attache à analyser l’économie des échanges entre les intervenants du secteur social (gouvernement, ONG, associations de caste…) et les bénéficiaires des actions. Ces institutions et organisations participent-elles, à reproduire ou modifier, les liens et échanges au sein de la structure sociale hiérarchique ? Quel est l’impact de leur action en terme de protection sociale des citoyens indiens, dans une perspective de changement social ? De la médiatisation des ONG à leur explosion numéraire, nous interrogerons ce phénomène au niveau national, au regard d’éléments de la situation internationale. 

JOLLY Yohanna
Courriel : omtricky@yahoo.fr

Discipline : Anthropologie

Date de naissance : 25/11/1978

Titre de la recherche : Partager des croyances et des pratiques : expression de l’identité sociale et religieuse d’une caste de catholiques de rite romain au Kerala

Lieux du terrain : Kerala (Kochi et les villages alentours)

Diplôme préparé : Master 2 

Année de début du diplôme : 2003

Directeur de recherche : Christian Bromberger

Université : Provence Aix-Marseille I

Laboratoire de rattachement en France : IDEMEC
Résumé du projet de recherche         

Les chrétiens du Kerala (environ 19 % de la population) articulent leur quotidien entre deux sphères ; l’une est religieuse et comprend une éthique, une vision du monde et un rite propres. Elle représente l’Église à laquelle appartiennent les fidèles (sept sont majeures au Kerala). La seconde sphère est sociale et organise les individus en castes qui leur confèrent un statut plus ou moins prestigieux et qui sont régies par des règles de mariage, de commensalité et de contact. Ces castes (au nombre de cinq) confèrent à leurs membres une place et un statut dont ils ont conscience, d’une part dans la société chrétienne, d’autre part dans le système social global à l’idéologie hindoue dominante, le Kerala. La recherche en cours est axée sur l’une de ces castes, celle des « Latins ». Ses membres, descendants d’hindous de basses castes et de pêcheurs convertis au catholicisme romain par les missionnaires au XVIe XVIIe siècles. Ils sont, dans l’organisation des chrétiens et au regard des hindous, considérés comme de bas statut et continuent souvent d’exercer des activités jugées dégradantes par la société indienne. Ces deux sphères, sociale et religieuse, constituent pour les individus des marqueurs identitaires forts tout comme des espaces d’expression de cette identité.Il s’agit alors de faire émerger certains des mécanismes d’articulation de ces deux sphères du point de vue des Latins et au travers le recueil et l’analyse de pratiques, de croyances et de représentations propres, d’une part à ces espaces, d’autre part aux Latins.
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