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QUEL MODÈLE DE CROISSANCE

POUR LA France ?
LA leçon DES EXPERIENCES ETRANGERES

Actes du colloque

PALAIS DU LUXEMBOURG
30 JUIN 2006

SOMMAIRE

Avant-propos. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
allocutions d’ouverture
M. Pierre-Yves Collombat, Sénateur du Var . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

M. Alain Parguez, Professeur, Université de Franche-Comté . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
premiere session : le modele americain
M. James Galbraith, Professeur, University of Texas . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

M. Thomas Ferguson, Professeur, University of Massachusetts-Harbour campus . . . . . . . . . . . . 17

M. Olivier Giovannoni, Docteur, Université de Nice, University of Texas. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .19

Questions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
deuxieme session : le choix volontaire des contraintes
M. Mario Seccareccia, Professeur, Université d’Ottawa. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32

M. Henri Sader, Professeur, Canadian labor College . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35

Questions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
troisieme session : l’amerique latine et le japon
M. Luiz Carlos Bresser Pereira, Professeur, Fondation Gutelio Vargas. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42

M. Julio Lopez, Professeur, Université de Mexico. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46

M. Marc Humbert, professeur, Université de Rennes I . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
table ronde : les conditions du retablissement de la croissance
M. Jacques Fontanel, Professeur, Université de Grenoble II . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56

M. Bertrand de Largentaye, Docteur, Notre Europe. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59

M. Jean-Gabriel Bliek., Docteur, Université d’Aix-Marseille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63

M. Alain Parguez, Professeur, Université de Franche-Comté . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68

Questions et débat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
Annexe : Quelle voie pour la France ? Robert EISNER. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76


AVANT PROPOS

Les textes suivants sont le compte rendu qui se voudrait le plus exact et le plus clair possible des interventions et des échanges qui ont eu lieu le 30 juin 2006, au Sénat, salle François MITTERRAND, lors du colloque : « Quel modèle de croissance pour la France ? La leçon des expériences étrangères »
Il s’agissait pour les organisateurs d’analyser la situation française et européenne à la lumière des expériences étrangères afin de définir les axes d’une politique économique de plein emploi réaliste. Un objectif à la fois théorique et pratique hors d’atteinte en l’absence d’une circulation vivante des idées entre économistes, acteurs politiques, opinion publique.
Au terme de cette journée, plusieurs conclusions très générales se sont imposées :


  • Pour tirer des enseignements des expériences étrangères, il faut les connaître or la réalité des modèles étrangers proposés à notre admiration ou à notre réprobation, n’a que des rapports incertains avec les images véhiculées par le conformisme ambiant.

  • L’exception française, c’est d’abord l’union sacré ancienne de ses « élites », intellectuelles, médiatiques, politiques, économiques et financières pour empêcher la France de déployer toutes les potentialités de son appareil productif et donc réaliser le plein emploi. Ce que font la plupart de nos partenaires sans se poser de question, nous nous l’interdisons.

  • Le mode de construction de l’Europe choisi a été l’outil essentiel de cette politique aux effets sociaux calamiteux.

  • Cette situation étant le produit de choix politiques et non celui de la raison ou de la nécessité, d’autres choix politiques permettront de la changer radicalement.

Beau programme pour la Gauche et tous ceux qui pensent que les hommes font collectivement leur destin !
On trouvera aussi, en annexe, la traduction, avec des passages résumés, d’un article où l’économiste américain, Robert EISNER, analyse la situation française au printemps 83, moment du changement radical de la politique économique menée depuis l’arrivée de la Gauche au pouvoir.

Cet article fournit des éléments de réponse supplémentaires à l’interrogation d’un des participants au colloque, passée en maxime des manuels d’économie : le tournant de « la rigueur » que s’est imposé le premier gouvernement socialiste ne montre-t-il pas de manière définitive qu’aucune politique différant substantiellement de celle de Raymond BARRE n’est possible en France ?

Avoir l’avis d’un membre éminent de la communauté des économistes américains, par ailleurs associé aux travaux du neuvième plan français nous a paru du plus grand intérêt.
ALLOCUTIONS D’OUVERTURE


Pierre-Yves Collombat



Sénateur du Var
J e remercierai d’abord ceux à qui je dois le plaisir de vous accueillir au Sénat pour ce colloque, je l’avoue par son thème et ses participants, un peu « décalé », par rapport à ce qui s’y fait ordinairement, les docteurs et les professeurs : James Kenneth Galbraith (University of Texas, Austin USA), Thomas Ferguson (University of Massachusset-Harbour Boston), Alain Parguez (Université de Besançon), Albert Marouani, Président de l’Université de Nice, importante cheville ouvrière de cette rencontre et l’ensemble du comité d’organisation :Julio Lopez (Université Nationale du Mexique), Luiz Carlos Bresser Peirera (Fondation Gutelio Vargas, ancien ministre des finances), Augusto Graziani (Université La Sapienza de Rome), Mario Seccareccia (Université d’Ottawa Canada), Henri Sader (Canadian Labor College Canada), Edwin Le Héron, Président de l’Association des Economistes Post Keynésiens (Bordeaux)et, le dernier mais non le moindre, mon ami Jean-Gabriel Bliek (Université d’Aix-Marseille) auquel, avec la complicité d’Alain Parguez nous devons l’idée de ce colloque. Mes remerciements tout particuliers vont à Jean-Pierre Bel, président du Groupe socialiste du Sénat, groupe auquel j’appartiens, pour avoir accepté, sans une hésitation, de nous accueillir dans cette toute nouvelle salle François Mitterrand (elle ressemble un peu à un temple, ce qui devrait favoriser la réflexion) et de soutenir notre organisation.

En bon sénateur - maire, il est retenu aujourd’hui dans son Ariège natale et c’est

Bernard Rullier, secrétaire général du Groupe et membre du Bureau National du PS qui le représente.

Le thème du colloque est suffisamment explicite pour me dispenser d’un long développement. Un mot sur le choix du thème, qui renvoie à deux constats.
Le premier, c’est ce que montre de façon fort irrévérencieuse Alain Parguez et Jean-Gabriel Bliek dans leur dernier ouvrage  Le plein emploi ou le chaos : en France, règne un étrange consensus pour faire du plein emploi un produit de la rigueur et de la lutte contre l’inflation au lieu que ce ne soit l’inverse, que la solidité financière soit un produit de la pleine activité.

Deuxième constat. A chaque fois qu’un pays étranger présente un paramètre paraissant vérifier cette doxa, on le cite volontiers en France et on y envoie des délégations pour chercher des remèdes aux problèmes français. Les dernières destinations à la mode, après les Etats-Unis et l’Angleterre sont maintenant le Danemark et le Canada qui fascinent parce qu’on y a réduit la dette publique et la fonction publique. Comme dit, enthousiaste, de retour du Canada, le président de la Commission des Finances du Sénat, Jean Arthuis, « il faudrait licencier des fonctionnaires ! » Sous-entendu, les canadiens l’ont fait, c’est extraordinaire, nous n’oserons pas.

Personne ne semble s’apercevoir qu’une économie est un tout, qui fait système et qu’on ne peut considérer l’un des éléments sans les autres. Tout le monde sait ce que valent les cartes postales, elles nourrissent plus l’affectivité que l’intelligence.
L’objet de notre rencontre est de dépasser ces clichés pour approfondir notre vision des modèles de croissance des pays étrangers, afin, nous l’espérons, et c’est en tous cas le thème de la dernière table ronde, de dégager quelques principes qui pourraient être applicables au cas français. Donc non pas aller chercher ailleurs des justifications de politiques déjà décidées mais des outils de compréhension applicables à notre situation.

Il y a beaucoup d’économistes dans cette salle mais je ne résiste pas à la tentation de rappeler ce mot de Keynes : « si les économistes pouvaient parvenir à se faire considérer comme des gens humbles et compétents sur le même pied que les dentistes, ce serait merveilleux ». Pour ce qui me concerne, je suis déjà émerveillé de voir rassemblés autant d’économistes de cette qualité dans cette salle : je voudrais donc, pour conclure, les remercier chaleureusement d’avoir fait ce déplacement à Paris.

Alain Parguez

Professeur à l’Université de Franche-Comté
Je commencerai en disant que cette conférence organisée par le Sénat et le groupe socialiste du Sénat est le point d’achèvement d’une série d’évènements qui m’ont redonné quelques espoirs dans l’avenir. Il y a eu avant-hier une conférence internationale organisée à l’université de Nice par le président Marouani qui portait sur le thème : existe-t-il des contraintes pour l’Europe ? Est ce que la mondialisation implique que l’on soit condamné au sous emploi. Les débats ont été extrêmement intéressants et la réponse a été bien entendu non. Cette conférence de Nice suivait un évènement qui m’a fait énormément plaisir, la thèse de mon ami Olivier Giovannoni portant sur les rapports entre répartition, croissance et politique économique qui prouve qu’il y a une génération d’économistes qui arrive, qui nous succèdera et nous apportera énormément.

L’enjeu de cette conférence est un problème extrêmement dramatique, problème que Jean-Gabriel Bliek et moi-même avons abordé dans le livre  Le plein emploi ou le chaos  que le Sénateur Collombat a rappelé.
On n’arrête pas de dire ici et là que la France serait en faillite parce que sa dette publique serait absolument gigantesque. Il est évident que cela ne veut absolument rien dire. Ceux qui disent cela sont ou bien des incompétents ou des ignorants ou bien servent des intérêts mal compris.

Il y a en revanche une véritable faillite de la France qui elle-même s’inscrit dans une faillite absolument totale de la zone euro. Cette faillite, c’est le chômage, chômage que l’on doit interpréter de manière plus large que celui recensé par l’ANPE qui ne veut absolument plus rien dire, c’est le gaspillage absolument gigantesque de la force de travail en France. Au total, il apparaît d’après nos estimations les plus modestes qu’ entre 34 et 38 % de la population active souhaitant travailler est en fait totalement évincée d’un emploi normal et ainsi condamnée à la pauvreté.

En d’autres termes une société comme la France fait apparaître des phénomènes absolument remarquables.
Premièrement, historiquement c’est à ma connaissance le seul pays où à long terme on constate cette tendance à l’appauvrissement, à une véritable destruction de la richesse fondamentale : le capital humain. On peut admettre qu’au début des années soixante on est approximativement, en mesure effective, à peu près au plein-emploi. Aujourd’hui 34 à 38 % de sous-emploi et ceci est absolument extraordinaire.
Deuxièmement, gaspillage de la force de travail, appauvrissement de la population, inégalités croissantes. On nous dit ici et là qu’il faut défendre le modèle français, si c’est cela le modèle français je dis à bas le modèle français ! Si le modèle français, c’est faire accepter à la population son appauvrissement, lui donner des emplois de misère, mettre les gens à la retraite par anticipation, les faire vivre de subsistance, de stages et de salaire minimum ou de je ne sais quoi, ce modèle vaut-il vraiment la peine ?
Troisième point tout à fait étonnant. Ce système va en s’aggravant de plus en plus. Pour certains notamment pour ce que l’on appelle l’alter gauche, l’alter mondialisme, il y aurait une contradiction entre la réduction des inégalités et la recherche du plein emploi. C’est faux : nous avons les deux phénomènes en même temps, croissance des inégalités et du chômage.

Le résultat de tout cela est que la population est totalement désespérée. Lorsque l’on demande aujourd’hui aux jeunes « quel avenir anticipez-vous ? » La réponse est : aucun ! On a parlé de la « fuite des cerveaux » mais dans tous les domaines la destruction est telle que les meilleurs éléments sont obligés de partir à l’étranger, notamment aux Etats-Unis pour que leurs compétences soient employées.

Le problème est de savoir pourquoi on en est là et que faire. Ce que nous avons voulu montrer dans notre livre  Le plein emploi ou le chaos, et c’est ma conviction profonde, c’est que cette situation n’est pas le résultat d’une obligation, d’une fatalité, (je ne crois pas aux évènements obligatoires). C’est le résultat d’un choix, d’un choix délibéré de politique économique et sociale, choix qui s’enracine dans l’histoire française et choix justement qui n’a pas cessé de s’amplifier. Ce choix reflète l’obsession de ce que l’on peut appeler la classe dirigeante française, classe qui n’est pas celle d’une économie capitaliste.

Il y a eu récemment, paraît-il, un sondage disant que les français ne veulent pas du capitalisme, mais le capitalisme n’existe pas en France ! Nous sommes une société « féodalo-capitaliste », ou si l’on veut « soviéto-capitaliste », qui n’a absolument rien à voir avec une économie dynamique.

Ce choix, c’est celui de l’appauvrissement délibéré, de la réduction des salaires pour permettre des surplus à l’exportation. Pour justifier cette politique et l’imposer, on n’a pas cessé de s’inventer des contraintes. La dette publique est trop élevée ! Il faut la rembourser ! Quel était le principal argument utilisé contre Napoléon III par les Républicains ? « Napoléon III ruine la France à cause de la dette ! » Quel était le principal argument de l’Action Française avant et après 1914 contre la République : « à cause de sa dette elle a mis la France en faillite ! » etc. etc.…

Le budget est en déficit, il faut réaliser un excédent donc on ne peut absolument rien faire à cause de la mondialisation. La concurrence pourtant a toujours existé et comment se fait-il que les Etats-Unis, qui sont une économie ouverte, aient des performances remarquablement meilleures. Est ce que la part des échanges extérieurs dans l’économie française est aujourd’hui plus élevée qu’elle ne l’était autrefois, la réponse est non !
Ces contraintes que nous nous imposons ont été enracinées dans un système qui est le système européen. Je ne suis pas, et nous pourrons revenir sur ce point, bien entendu contre l’Europe, je suis contre la prise en otage de l’Europe par une idéologie fanatique ultra réactionnaire qui déconsidère complètement l’union de l’Europe. De quand date le projet d’Europe tel qu’il existe actuellement ? De quand date le pacte de stabilité ? De quand date le rôle de la banque centrale indépendante ? Ils datent des années vingt et des années trente comme ceci est remarquablement montré dans le livre d’une très grande historienne Annie Lacroix-Riz. Dans son livre récent,  le choix de la défaite, elle montre que dans les années Vingt et dans les années Trente l’obsession de la classe dirigeante française, Banque de France et Comité des Forges est : l’abolition de la République, l’instauration d’un régime fasciste et le financement du régime nazi. La même Banque de France qui refusait des avances au gouvernement du Front Populaire au nom de «  l’équilibre et de la dette » n’arrêtait pas de consentir des crédits à l’Allemagne, à la Reich Bank. Ce sont donc des projets remontant très loin. Et quelle était l’essence de ces projets ? Suspendre la démocratie, suspendre, couper tout lien entre la politique économique et sociale et le système politique. C’est cela qui est extrêmement grave. Il est absolument terrifiant d’entendre les médias  dire « les français sont bêtes » etc.… donc il faut leur imposer les prétendues « lois du marché ».

L’enjeu de nos débats est d’essayer de convaincre l’opinion que l’économie politique, la science économique n’est pour rien dans le type de politique qui est aujourd’hui imposée, que ce type de politique ne repose absolument sur rien. Lorsqu’elle repose sur des chiffres, ou ces chiffres sont truqués ou faux ou interprétés.

Trop de nos collègues, au moins en France, ne s’intéressent absolument plus à l’économie comme discipline rigoureuse, se désintéressent des faits ou bien servent les intérêts de groupes financiers qui ont avantage à cette politique, ou bien se réfugient dans une économie pure, pseudo scientifique, ce qui revient exactement au même. On doit agir et on peut agir.
Comme l’a dit le Sénateur Collombat aujourd’hui on en est à l’ère des missionnaires ; on envoie des missionnaires aux Etats-Unis, et l’on dit vouloir imposer le modèle américain présenté comme le modèle sauvage, le modèle à la John Wayne. Tout détruire serait parfait mais justement ce n’est pas vrai ! On impose aux Français l’idée d’un modèle américain qui n’existe pas. C’est absolument extraordinaire. Idem pour le modèle canadien. On peut parfaitement agir et il est absolument urgent d’agir sinon très franchement je crois que nous courons à la catastrophe, au chaos justement qui était la conclusion de notre livre.
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