ECOLE ELEMENTAIRE BLED - SAINT-MAUR-DES-FOSSES
PROCES VERBAL DU CONSEIL D’ECOLE
23 OCTOBRE 2012
Le 23 octobre 2012 à 19h à l’école élémentaire O. & E. BLED se sont réunis en conseil d’école les personnes suivantes :
Directrice : Mme NAMYSL
Municipalité : Mme COULON (Maire-Adjoint)
Déléguée Départemental de l’Education Nationale : Mme PFOHL
Les professeurs des écoles : Mme MATHIEU, Mme LEVIER, Mme POISSON, Mme MEDALLI, Mme GUEGUEN, Mme BEGUIN, Mme SASSANO, Mme MONA, Mme MADON, Mme CHARBONNEAU, Mme VANDERQUAND, Mme DASSIBAT, Mme PONS, Mme SCHMUCK, Mme PAMART
Pour le RASED : Mme BRISAC, enseignante d’adaptation
Les représentants des parents d’élèves :
PEEP : Mme MARTIN, Mme GISCOS, Mme WICIAK, Mme CHEVALLIER, M. GIBBE, Mme VANHEERSWINGHELS
API : M. BLANCHER, M. CLEVES, Mme MACE-SALE.
FCPE : M. GOMEZ, Mme SLIMOVICI, Mme LOZIA-BROWN, Mme BOURGAIN, M. AGRET
Secrétaire de séance : M. BLANCHER
La séance débute à 19h05 et se termine à 21h45.
Questions scolaires :
Vote du règlement intérieur
Le règlement intérieur est voté à l’unanimité.
Bilan de la rentrée
Mme Namysl note encore des problèmes avec les cars scolaires.
Des parents demandent à pouvoir rentrer dans la cour le jour de la rentrée (au-delà du CP pour qui c’est déjà le cas), pour identifier et saluer l’enseignante de leur enfant.
La directrice souligne la difficulté à accueillir tous les parents en même temps dans l’école, et que cela nécessiterait une rentrée échelonnée, ce qui pourrait obliger des parents à prendre plus de temps sur leur travail.
L’équipe enseignante précise que l’objectif des réunions d’information de début d’année est précisément de permettre ce contact enseignants-parents, et plusieurs enseignants regrettent l’absence de trop de parents lors de ces réunions d’information (dans certaines classes, la moitié des parents seulement étaient présents).
Les parents élus déplorent également ces absences lorsqu’elles sont le reflet d’un manque d’intérêt, mais font remarquer que tout le monde ne peut pas être disponible le samedi matin car certains parents travaillent (ou, pour certaines réunions qui n’avaient pas lieu le samedi les parents étaient aussi convoqués pour la réunion de rentrée à Jules Ferry), et souhaitent que les occasions de contacts entre parents et enseignants soient nombreuses, même si très rapides. Les enseignantes rappellent qu’elles restent disponibles pour des entretiens avec les parents, nombreux au cours de l’année.
Il est demandé si la Mairie peut fermer l’avenue Carnot le jour de la rentrée ou au moins à 8h30 et à 16h30, car les parents bloquent la sortie en empêchent les enfants de sortir à 16h30.
Actions : Mme Coulon doit voir avec les services compétents de la mairie s’il est possible de fermer l’avenue Carnot entre les rue Inkermann et Delerue entre 8h et 9h puis entre 16h et 17h le jour de la rentrée 2013
Projet d’école
Dans l’attente des nouvelles dispositions gouvernementales sur la loi d’orientation, un avenant a été apporté au projet d’école. Il est construit autour de deux axes :
Le vocabulaire : un défi vocabulaire sera organisé en interne, basé sur 4 à 5 champs lexicaux.
La production d’écrits : les élèves réaliseront 3 journaux scolaires (édition à Noël, Pâques et fin juin).
L’école envisage de les vendre pour la somme modique de 20 centimes afin de couvrir les frais de photocopies et valoriser le travail des élèves (« comme un vrai journal »).
Point sur la coopérative scolaire
La coopérative de classe est alimentée par les dons des parents. La coopérative de l’école est alimentée par la vente des photos (30% du prix de la photo), les profits de la kermesse de fin d’année et 10% de la coopérative de classe (contre 20% les autres années).
La coopérative de l’école a un peu plus de 6 000 euros sur le compte. Les enseignantes et la directrice réfléchissent sur la manière d’utiliser cet argent. Les idées en cours de discussion sont : faire intervenir des artistes à l’école : cours de théâtre, chorale, arts plastiques (prix d’un intervenant sur une année : 4 000 euros).
S’il reste de l’argent, l’équipe d’enseignantes et la directrice achèteront du matériel (télévisions…)
Les parents souhaiteraient que l’argent de la coopérative puisse également financer intégralement les sorties. Les enseignantes rappellent qu’elles sont le plus souvent subventionnées par les coopératives de classe.
L’assurance de la coopérative couvre les enfants et les accompagnateurs pendant les sorties financées par la coopérative. Elle couvre également le matériel acheté par la coopérative.
Salle informatique
La salle informatique héberge 14 postes qui fonctionnent depuis l’intervention des services de la mairie en début d’année (un 15ème poste est hors service). Chaque poste dispose de Word (logiciel de traitement de texte), d’un accès à Internet, et est connecté à l’imprimante. La salle peut accueillir 28 enfants, mais dans ce cas les enfants sont serrés et il est très difficile à une enseignante d’encadrer 28 enfants en même temps et de répondre à toutes les questions.
Certaines enseignantes projettent de passer 1 heure par semaine dans la salle informatique.
Une fois que la directrice aura une assistante, la directrice ou son assistante pourront assister l’enseignante dans la salle informatique.
Afin de faciliter la stabilité des configurations, les parents suggèrent la création d’un mode d’emploi pour les fonctions les plus utilisées et les modalités de classement des données sur le serveur central.
Les enseignantes demandent si les parents ont des ordinateurs, des imprimantes à donner. Il est suggéré qu’elles mettent un mot dans les cahiers de correspondance pour faire une demande aux parents.
Nous avons fait un point sur les demandes des enseignants en formation pour cette année. Les enseignantes estiment ne pas avoir besoin de formation en informatique pour préparer les enfants au B2i.
M. Blancher (API) demande si les enseignantes souhaiteraient avoir un soutien de parents pendant les heures d’informatique, sur le même fonctionnement qu’une sortie de classe (à la médiathèque de Saint Maur par exemple). Les parents ne doivent pas intervenir plus de trois fois de suite, sinon il faut un agrément de l’Inspection de l’Educations Nationale. L’API propose de déposer un dossier pour soutenir ce projet.
Action : l’API proposera un projet aux enseignantes pour obtenir le soutien ponctuel de parents
Aide personnalisée, organisation
L’aide personnalisée s’adresse aux enfants ayant des difficultés ponctuelles.
Elle ne dure plus que 30 minutes afin de garantir aux enfants une pause méridienne de 1h30.
L’accent est mis sur les CE1 pour la rentrée. Après les vacances de la Toussaint, l’aide personnalisée sera proposée aux CP, lorsque nécessaire.
Enseignement de l’anglais
Il n’y a plus d’intervenante d’anglais. Les parents d’élèves proposent de faire une demande à l’éducation nationale
Action : La FCPE prend l’initiative d’écrire le courrier à l’Education Nationale, courrier qui sera signé par les 3 associations.
AVS
Deux AVS interviennent dans l’école. Une personne supplémentaire est attendue depuis septembre pour un enfant. La PEEP propose d’appuyer la demande auprès de l’Inspection Académique et enverra un courrier auquel la FCPE et l’API s’associeront. Il faut en général un délai de 6 mois pour une nouvelle demande.
L’équipe enseignante souligne que les contrats des AVS ne peuvent excéder 20h alors que la semaine scolaire est de 24h. De ce fait, nombre d’enfants ne peuvent pas bénéficier intégralement des heures attribuées par la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées).
Sécurité incendie / PPMS (Plan Particulier de Mise en Sûreté)
3 exercices de sécurité incendie sont organisés chaque année.
En ce qui concerne le PPMS, il couvre 2 risques :
Le risque sociétal : intrusion d’individus dangereux dans l’école,
Le risque météorologique (tempête, ..).
En décembre, les responsables de la mairie et de l’Education Nationale se déplaceront dans l’école pour un exercice de simulation qui permettra d’évaluer la mise en œuvre du PPMS.
Les parents élus souhaitent que les risques technologiques figurent dans le PPMS (Le Plan Particulier de Mise en Sûreté), en référence notamment à l’usine Eiffage (et les nombreuses activités industrielles) dans le port de Bonneuil. Mme Bourgain demande à Mme Coulon et Mme Namysl de relayer l’information auprès de la Mairie.
Mme Coulon explique que M. Nollan (responsable des plans de sécurité incendie) valide le PPMS de chaque école (il est rédigé par l’inspection académique). La référence pour le PPMS est le Plan des Risques Majeurs, d’origine préfectorale. Or jusqu’à présent, la zone du port de Bonneuil n’est pas considérée comme un risque majeur.
La FCPE rappelle qu’il y a eu un accident radioactif (tritium) à la Varenne. Les enfants des écoles n’étaient pas préparés.
Actions : Mme Coulon doit demander à la Mairie si on peut prévoir d’étendre les exercices à des exercices de prévention des risques technologiques et industriels
Devoirs : coder pour hiérarchiser les priorités
Les enseignantes peuvent-elles aider les enfants à prioriser leurs devoirs?
Les enseignantes répondent que la priorité est d’apprendre ses leçons (priorité à l’oral plutôt qu’à l’écrit).
La FCPE demande aux enseignantes comment elles préparent l’année prochaine dans la mesure où à la rentrée 2013, il ne devrait plus y avoir de devoirs à la maison. En effet, les devoirs devront être faits à l’école. La FCPE rappelle que cette proposition s’appuie sur des études montrant que les devoirs sont sources d’inégalités entre les enfants (certains étant très suivis par les parents, d’autres moins).
Mme Poisson (CP/CE1) répond que le fait de supprimer les devoirs à la maison ne fera que creuser les inégalités, dans la mesure où certains parents offriront des cours particuliers à leurs enfants, leur donneront par eux même des devoirs, les aideront pour justement palier à cette absence de devoirs à la maison (remplacés par des devoirs à l’école).
Mme Vaderquand (CM1/CM2) indique que les enfants doivent apprendre à apprendre, et qu’on doit les aider à utiliser et développer leur intelligence et leur mémoire. Les enseignantes répondent que les devoirs sont nécessaires, pour ces raisons, ainsi que pour revoir, approfondir et mieux assimiler les notions vues en classe, ce qui est nécessaire pour la plupart des enfants.
M. Gomez (FCPE) indique que dans de nombreux pays d’Europe, il n’y a pas de devoirs après la classe et que ces pays produisent d’excellents ingénieurs. Il est répondu que le lieu n’est pas adapté pour avoir ce type de débat sans données précises et factuelles. M. Gomez indique que développer la mémoire et consolider les apprentissages pourrait être fait en classe et que les devoirs sont là pour palier au fait qu’il y a trop d’élèves dans les classes, ce dernier point semble recueillir l’assentiment des enseignantes et des parents d’élèves.
En cas de problèmes sur les devoirs, les parents peuvent/doivent en parler à l’enseignante. Mme Slimovici (FCPE) indique que certains parents « auraient honte » d’aller voir les enseignantes pour discuter du fait que leur enfants n’arrivent pas à faire leurs devoirs dans les temps conseillés (20mn en CP, 30 mn dans les plus grandes classes).
Il est rappelé que les représentants des parents d’élèves, s’ils ont connaissance de ces difficultés, peuvent servir d’intermédiaire et inciter les parents concernés à aller en parler à l’enseignante.
Les enseignantes rappellent qu’elles sont disponibles pour recevoir les parents, et qu’elles conseillent aux parents de venir les voir pour faire un bilan, même si tout va bien.
La FCPE demande aux enseignantes de mettre un mot dans le cahier noir pour indiquer le temps maximum de devoirs. Les enseignantes ne sont pas d’accord. Quel que soit le volume de devoirs qu’elles donnent, on trouvera toujours des parents qui se plaindront que leur enfant a trop de devoirs, ou au contraire qu’on ne fait pas assez travailler leur enfant. Les enseignantes indiquent que sur ce point, elle donne la quantité de devoirs qu’elles estiment nécessaire pour couvrir le programme.
Questions extra scolaires
Oppidum
Le projet Oppidum (Observatoire des Pratiques Pédagogiques Innovantes et des Usages du Multimédia) est un projet de dotation de matériel informatique dans les écoles de Saint Maur des Fossés.
Cet été, les enseignants volontaires de 3 écoles ont été équipés (Marinville, Diderot, Tilleuls). La formation des enseignants s’est déroulée du 20 septembre au 15 octobre.
Bled a participé à deux Coca (Comité Oppidum de Citoyenneté Active) le 6 mars 2012, et le 29 mai 2012, au cours desquels les enseignantes ont fait part de leurs projets pédagogiques. Sur cette base, l’équipe Oppidum devait ensuite déterminer leurs besoins en matériel (tablettes et tableaux numériques, TNI..).
L’école était donc dans l’attente des travaux électriques indispensables à la bonne installation des outils informatiques. Or il semblerait que la Mairie ait perdu trace du 2ème Coca. Mme Coulon doit donc vérifier ce point.
Entre Novembre 2011 et Mars 212, les enseignantes de l’école Bled ont rencontré des chercheurs de l’Université Paris-Descartes. Or le matériel n’était pas mis à disposition des classes à la rentrée 2012.
Les enseignantes insistent sur le fait que les besoins ont été exprimés en novembre 2011, et que si le matériel n’est mis à disposition qu’en septembre 2013, cela veut dire qu’il sera mis à disposition 2 ans après le dépôt du projet et l’expression des besoins. Les enseignantes s’étonnent également d’avoir été la deuxième école à participer au projet, et que visiblement Bled a été doublée par deux écoles pour l’équipement en matériel. Mme Coulon ne semble pas en mesure de fournir des explications.
On note le mécontentement des enseignantes et des parents d’élèves. Tous soulignent qu’il n’est pas très respectueux de la part de la Mairie de ne pas avoir tenu les enseignantes au courant du décalage d’un an de l’équipement en informatique de Bled.
Mme Coulon s’engage, devant l’assemblée, à ce que le projet Oppidum soit opérationnel à Bled à la rentrée 2013. 4 écoles (dont Bled) sur 2012-2013 seront équipées pour la rentrée 2013.
Les enseignantes sont invitées à aller voir dans les écoles pour voir le matériel pour vérifier que c’est bien ce qu’elles veulent et confirmer leurs commandes. D’ici là, la mairie doit réaliser une étude sur l’installation électrique à Bled, engager les travaux nécessaires, et commander le matériel.
Mme Coulon s’engage à la mise à disposition du matériel Oppidum pour la rentrée 2013.
Mme Poisson regrette que la mairie ne soutienne pas les projets de l’école. Notamment pour son projet d’emmener les enfants de sa classe à Marolles, Mme Poisson avait demandé un animateur à la mairie dans son courrier du 3 juillet, qui est resté sans réponse. Mme Coulon répond qu’elle a transmis ce courrier au service de l’enfance et loisirs. A l’avenir, il faut écrire à la responsable du service de l’enfance et loisirs.
Mme Poisson tient toutefois à remercier les ateliers nature de Saint Maur, qui l’ont accompagnée au long de son projet à Marolles : l’équipe est très investie, très bien.
Actions :
Les enseignantes confirmeront leurs projets pédagogiques
Mme Coulon se mettra en rapport avec le service numérique de la mairie pour retrouver le compte-rendu du deuxième COCA. Elle s’assurera que tous les travaux sont lancés pour garantir l’installation du matériel informatique à Bled pour la rentrée 2013, et informera les enseignantes, la directrice et les parents d’élèves de l’avancement de ce projet
Entretiens des locaux
La nouvelle équipe des dames de service se compose de 5 personnes au lieu de 6 l’année dernière, en raison d’un nouveau quota d’une dame pour 70 demi-pensionnaires. Très efficaces et pleines de bonnes volontés, elles ne peuvent cependant pas nettoyer quotidiennement les 17 classes + les parties communes et la dégradation de l’entretien est visible. En cas d’absence, les dames de service ne sont jamais remplacées.
Les toilettes sont sales, le savon manque souvent (inquiétant en période de propagations de maladies virales ou microbiennes), le papier toilette est extérieur aux toilettes, les essuies mains sont difficiles à tirer donc les filles se sèchent les mains avec du papier toilettes, et rapidement le papier toilette manque. Les enseignantes n’ont pas accès aux réserves de savon et papier toilettes.
Quelle solution peut proposer la mairie ?
Le conseil demande l’obtention d’un poste à mi-temps supplémentaire. La directrice indique qu’elle saisira le service de l’hygiène s’il les conditions se dégradent.
La mairie a annoncé au mois de juin la construction de l’auvent : les parents d’élèves demandent ce qu’il en est.
Actions :
la mairie doit assurer l’entretien des locaux, et proposer des dames de service supplémentaire, au moins partagée avec une autre école (donc une dame de service à mi-temps en plus pour Bled).
La mairie doit également informer les parents d’élèves et le corps enseignant de l’école Bled de la construction d’un auvent
Les parents d’élèves souhaiteraient pouvoir communiquer avec le référent de la cantine pour avoir des informations quand c’est nécessaire
Les parents d’élèves demandent la mise en place d’un cahier de liaison avec le référent de cantine. Les parents rappellent que les animateurs cantine doivent inciter les enfants à manger mais ne pas les forcer.
Un animateur utilise des mots qu’il ne devrait pas utiliser. Mme Namysl va lui parler.
Rythme scolaire
La loi de changement de rythme scolaire n’étant pas votée, il est décidé de ne pas en parler à ce conseil d’école
Matériel scolaire
Une partie des fournitures scolaires, commandées en juin, n’est toujours pas arrivé. L’école constate des problèmes réguliers avec ce fournisseur. L’année passée, des commandes effectuées en juin 2011, n’ont été honorées qu’en janvier 2012, sans explication du fournisseur. Mme Namysl doit le relancer.
Trottoirs
Les trottoirs autour de l’école sont très sales et trop souvent jonchés de déjections canines, certaines datent de plus de deux semaines. Lors de tels constats, il est conseillé d’appeler le service technique de la mairie pour demander le passage des moto-crottes. Les parents PEEP demandent à la mairie le passage hebdomadaire d’un service de nettoyage entre les écoles Bled et Jules Ferry.
Action : la mairie doit faire la demande auprès des services techniques d’un nettoyage régulier des trottoirs entres les écoles Bled et Jules Ferry
Avancée du projet école/CMP
La FCPE demande si la convention tripartite entre mairie, CMP/CMPP et Education Nationale a été signée, pour permettre la mise en place d’un service de navette entre les écoles de Saint-Maur et le CMP et/ou CMPP. Ce service de navette doit permettre aux enfants de se rendre aux CMP/CMPP pendant le temps scolaire lorsque les autorités compétentes le jugeront nécessaire pour un enfant.
Les parties concernées (Education Nationale (M. Zylberschlag) le maire et les CMP/CMPP) y sont favorables. Les parents d’élèves demandent donc la signature d’une convention rendant possible l’utilisation de ce dispositif par l’ensemble des enfants concernés à Saint-Maur.
Actions : la Mairie, l’IEN et le CMP/CMPP doivent se réunir pour établir cette convention
Le conseil d’école s’est terminé à 21h45
Mme Namysl
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Mme Martin
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M. Blancher
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M. Gomez
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Directrice
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PEEP
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API
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FCPE
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Secrétaire de séance
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