La bièRE, un impact économique?








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LA BIÈRE, UN IMPACT ÉCONOMIQUE?


Travail remis à Prof. Hélène Rompré
dans le cours 300300RE-01
Initiation pratique à la méthodologie des sciences humaines 
par

Frédérik Piché-Castonguay
PICF06049308

Collégial International Sainte-Anne
31 Octobre 2012



LA BIÈRE, UN IMPACT ÉCONOMIQUE?
1


Abstract 2

Introduction 2

L’exportation et l’importation de la bière 2

L’exportation des bières canadiennes 2

L’importation des bières étrangères au Canada 4

Bénéfices de l’exportation sur le pays 6

Les emplois 6

Création et réduction d’emplois 6

Consommation
9

Conclusion 10

Bibliographie 11



Abstract


The beer market in Canada is very sought after. The presence of important exports and imports in the country demonstrates significant economic activity related to this market. In addition to providing great economic benefits to the country by imports and exports, the beer market in Canada creates jobs and increases consumption. The present exploratory study examines the impacts, both positive and negative, of this market on our country’s economy. The study evaluates all aspects of this popular market with an economic perspective. It provides fascinating statistics and graphics that help the understandings of these impacts.

Introduction


Grâce à sa grande popularité, la bière se positionne au premier rang des boissons alcoolisées les plus vendues au monde. La consommation de bière atteint 182 milliards de litres par année, soit 5800 litres à chaque seconde.1 Par exemple, 40 600 litres de bière ont été savourés à travers le monde depuis que vous avez commencé à lire ce texte. De nos jours, il est courant de voir des chiffres ahurissants dans les médias concernant les ventes de bière au lendemain d’évènements sportifs mondiaux. Une consommation aussi élevée et soutenue laisse présager un marché fort actif qui joue un rôle certain dans l’économie d’un pays. La question se pose : quel est l’impact du marché mondial de la bière sur l’économie du Canada? Il est plausible de penser qu’il y a un impact considérable étant donné les fortes exportations et importations de bière au pays, ainsi que les nombreux emplois générés par ce marché. Nous trouverons réponse à cette question dans cette analyse.

L’exportation et l’importation de la bière




L’exportation des bières canadiennes



Au Canada, le secteur des boissons alcoolisées est largement dominé par l’industrie des brasseries, dépassant les produits de distillerie ainsi que le domaine vinicole. En effet, selon Agriculture et Agroalimentaire Canada, « Le Canada a exporté 336,8 millions de litres de bière en 2010, et s'est classé au quatorzième rang des exportateurs mondiaux. »2 Les exportations de bière provenant du pays entrainent de bonnes retombées économiques. Par exemple, en 2011, les exportations de bière canadienne totalisaient 242 998 dollars.3 Un montant important comme celui-ci améliore certainement l’économie du pays. Ces chiffres remarquables sur l’exportation de la bière nous amènent à nous poser la question suivante : à qui exportons-nous nos produits de brasserie? Bien que nos étagères d’épicerie soient remplies de bières américaines, les États-Unis sont les principaux importateurs de bières canadiennes. Effectivement, toujours selon Agriculture et Agroalimentaire Canada, en 2010 le Canada a envoyé 97,9% de ses exportations de bière vers les États-Unis ce qui totalisait 239,4 millions de dollars. Le ministère ajoute même que les exportations canadiennes à destination des États-Unis ont surpassé les importations de bière américaine.4 Il y a donc plus de bière canadienne vendue dans les supermarchés américains qu’il y a de bière américaine vendue dans les commerces similaires au Canada. L’exportation destinée aux États-Unis est si importante que lorsqu’il y a une diminution de celle-ci, l’exportation totale de bière canadienne chute. Il est possible de le remarquer dans le tableau ci-dessous :


L’exportation de bière canadienne vers les États-Unis a considérablement chuté en l’espace de 10 ans. Entre 2000 et 2010, la demande pour la bière canadienne a diminué de 27,7% aux États-Unis.5 Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette situation. L'appréciation du dollar canadien, le contexte économique difficile et la diminution de la consommation de bière ont hypothétiquement contribué à la baisse des exportations de bière au cours de cette période. Reste que le Canada maintient un très bon taux d’exportation de son industrie des brasseries et réussit à bénéficier de bons excédents commerciaux. Davantage de bénéfices seront présentés dans la dernière section de ce chapitre.

L’importation des bières étrangères au Canada



Du côté des importations, le Canada se situe à un meilleur rang au niveau des importateurs mondiaux que celui des exportateurs. En effet, en 2010, le Canada se classe au sixième rang des importateurs mondiaux, avec l’importation de 340,7 millions de litres de bière, alors qu’il n’occupe que le quatorzième rang chez les exportateurs.6 Il y a donc une plus importante importation de bière étrangère qu’une exportation de bière canadienne. L’importation de bière entraine de grands bénéfices pour l’économie nationale tout comme son exportation. Par contre, nous remarquons une hausse de l’importation de la bière au Canada entre 2000 et 2010 contrairement à l’exportation qui était à la baisse. Reste que le Canada maintient une très bonne position économique dans ce marché. Qui sont les principaux exportateurs de bière vers le Canada? Bien entendu, les pays d’Europe possèdent une excellente réputation brassicole à l’échelle internationale, par conséquent la production de bière est très importante dans ces pays. C’est pourquoi les Pays-Bas détiennent 21,5% des parts de marché, et sont le principal exportateur de bière vers le Canada.7 La balance des importations provient principalement du Mexique (18,4%) et des États-Unis (21,3%). Les importations de bière au Canada sont en hausse depuis plusieurs années. De plus en plus de millions de dollars sont dépensés afin d’importer des bières d’Europe et d’Amérique du sud dans l’espoir de pouvoir en tirer des bénéfices financiers. Ces deux tableaux démontrent bien cette évolution positive de l’importation de bières étrangères.



Source : Statistique Canada (Carlo Rupnik)


En observant ces tableaux, il est possible de constater qu’entre 1994 et 2010, l’importation de bière vers le Canada est très clairement à la hausse. L’importation procure au pays une diversification de produits sur les étalages et comble ainsi certaines demandes. Par contre, il est nettement plus payant pour le Canada de favoriser l’exportation plutôt que l’importation. La prochaine section expliquera davantage les bénéfices de l’exportation.

Bénéfices de l’exportation sur le pays



Comme il est possible de le remarquer plus haut, les exportations de bière au Canada engendrent des recettes importantes pour l’économie du pays. Comment celles-ci ont-elles un impact sur l’économie du Canada? La réponse est bien simple. Les exportations stimulent l’économie de plusieurs façons. Les produits brassés au Canada possèdent une excellente réputation, ce qui garde le pays très actif dans ce marché. Afin de créer ces produits canadiens, d’autres marchés font leur entrée dans l’engrenage. Prenons l’exemple de la fabrication de la bière. L’ingrédient principal de ce liquide alcoolisé est l’orge.8 Celui-ci est l'une des plus importantes cultures céréalières du pays. Avec ces vastes territoires facilitant l’agriculture, le Canada est capable de produire énormément d’orge et ainsi aider les producteurs de bière. Par l’exportation de la bière, l’industrie agricole, et surtout celle de l’orge, est systématiquement stimulée, car l’une a besoin de l’autre. C’est ce qui engendre un bon revenu pour le pays et son gouvernement. De plus, une entreprise qui exporte accroit sa demande et doit ainsi augmenter son offre. C’est la loi de l’offre et la demande. Ayant une offre plus haute, celle-ci accroit ses revenus et sa rentabilité. Le pays encourage ce type d’activité économique étant donné qu’une entreprise fortement rentable engendre des impôts importants et, par conséquent, un revenu considérable qui enrichit le pays.
Pour finir, une entreprise qui augmente sa rentabilité et son revenu par l’entremise de l’exportation a le pouvoir de se diversifier en investissant dans de nouveaux projets au Canada. Une fois l’investissement réalisé, elle se trouve plus riche, et peut ainsi réaliser d’autres investissements. Bref, c’est une roue de richesse économique pour le pays qui tourne à l’infini.

Les emplois

Création et réduction d’emplois



Ainsi mentionné plus haut, le marché de la bière entraine la création d’emplois au pays dans plusieurs domaines. Que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur des brasseries, le marché de la bière provoque un fort impact sur l’économie par la création d’emplois. Plusieurs domaines entrent en compte dans le processus de vente du produit des brasseries. « La production, la mise en marché, la distribution et la vente de bières canadiennes sont à l’origine de quelque 205 000 emplois à l’échelle du pays. »9 À l’intérieur des brasseries canadiennes, la production, le conditionnement ainsi que la distribution de la bière engendre 13 000 emplois au pays.10 Il est important de comprendre que les emplois ne se créent pas seulement dans les brasseries, mais sont aussi créés par l’activité économique de ces travailleurs dans leurs propres collectivités.
Expliquons ce concept. Au moment où les brasseurs canadiens se rendent à la ferme pour acheter de l’orge, ceux-ci participent et stimulent l’économie du pays. Pourquoi? Tout simplement parce qu’en achetant son orge, le brasseur, qui a besoin d’un approvisionnement régulier, assure une demande continu à l’agriculteur. Celui-ci peut ainsi compter sur des revenus importants et réguliers. Il peut donc se permettre d’engager davantage d’employés. En tout, « quelque 152 000 personnes oeuvrent au sein de la chaine logistique qui comprend la production de l’orge, la fabrication de bouteilles et de canettes, l’impression de boites et d’étiquettes, et la vente de la bière dans les magasins de détail, les restaurants, les hôtels et dans les brasseries. »11 Il est donc possible de constater que le marché de la bière stimule plusieurs secteurs de l’économie et favorise la création de nombreux emplois.
Cependant, les entreprises se tournent vers la technologie pour répondre à une forte demande. Par conséquent, des emplois sont perdus ce qui à des conséquences négatives sur le pays. Selon le ministère de l’Agriculture et l’Agroalimentaire du Canada, « entre 1999 et 2009, le nombre d’emplois dans l’industrie canadienne des brasseries a diminué de 20,3%, passant de 10 517 à 8 377 travailleurs. »12 Il est possible d’observer visuellement ces statistiques dans le graphique ci-dessous.



Les entreprises passant d’une petite demande à une plus grande souhaitent augmenter le rendement et diminuer les coûts reliés à la production. Les opérations de production dans les brasseries sont souvent hautement automatisées, ce qui réduit le nombre d’employés puisque le rendement par travailleur augmente considérablement.13 Par contre, les travailleurs responsables de la production sont souvent parmi les mieux payés du secteur de la transformation des aliments et des boissons, ce qui améliore grandement la situation négative.14
Bref, malgré la baisse d’emploi créée par l’arrivée de la technologie, l’industrie brassicole assure le maintien et la création de nombreux emplois, que ce soit au sein des entreprises ou chez les fournisseurs en ingrédients.

Consommation


La consommation a également un impact important sur l’économie du Canada. Non seulement le marché de la bière créée des emplois, il augmente aussi grandement la consommation, et stimule par le fait même l’économie du pays. Ce phénomène s’explique par l’augmentation de la richesse dans les poches des employés. Statistique Canada relève que « de 1999 à 2009, les ventes de produits fabriqués par l’industrie canadienne des brasseries se sont accrues de 15,2%, passant de 4 054,9 millions de dollars à 4 671,2 millions de dollars. »15 Toujours selon l’institution, les ventes n’ont pas cessé de décroitre depuis 2005.16 De plus, selon l’association des brasseurs du Canada, le taux d’imposition du Canada sur la bière est de 50% et se positionne au 2e rang des pays les plus imposés au monde.17 « Annuellement, le pays réalise un gain de 4,3 milliards de dollars en taxes municipales, provinciales/territoriales et fédérales provenant de l’industrie brassicole et des consommateurs. »18 Selon un sondage19 réalisé auprès de 20 étudiants au Collégial International Sainte-Anne de Lachine, plus de 50% des répondants ont indiqué consommé entre une et cinq bières par semaine. Il y a donc définitivement une forte consommation. De plus, selon une étude effectuée par la corporation Kirin, 68,4 litres de bière sont consommés en moyenne annuellement par habitant du Canada.20 Ces chiffres sont révélateurs puisque l’état reçoit un important pourcentage d’imposition sur chaque bière consommée comme mentionné plus haut, soit 31,22 cents le litre. 21 Les revenus sont donc très importants pour le pays et donc l’impact du marché est très positif.
Les emplois créés par le marché de la bière font certainement rouler l’économie du pays. Lorsqu’une personne se fait embaucher par une entreprise, celle-ci se retrouve avec un salaire, ce qui lui permet d’accumuler des biens. Avec son argent, elle stimulera l’économie en consommant. Le marché de la bière favorise donc la création d’emploi, la consommation et contribue à augmenter le revenu du gouvernement grâce aux impôts. C’est une réaction en chaine. Bref, c’est une réaction en chaîne qui stimule l’économie!

Conclusion


En conclusion, le marché de la bière au Canada entraîne des impacts économiques considérables sur le pays. Les exportations sont particulièrement importantes pour la vie économique du pays, car elles provoquent une hausse de revenus, d’emplois et d’investissements. Les importations de leur côté engendrent des avantages considérables pour les consommateurs, comme la diminution des prix à l’achat et la diversification des produits en vente. Finalement, la hausse d’emplois créés par ce marché occasionne une plus forte consommation et du même coup amène d’importants revenus pour le gouvernement. Es-ce le cas pour tous les pays? Es-ce le cas pour le domaine du vin? Il serait intéressant d’en apprendre davantage!

Bibliographie








1 « Consommation mondiale de bière », dans Planetoscope, http://www.planetoscope.com/boisson/1162-consommation-mondiale-de-biere.html (page consulté le 28 octobre 2012).

2 Ministre de l’Agriculture et Agroalimentaire du Canada, « L’industrie canadienne des brasseries », dans Agriculture et Agroalimentaire Canada, http://www4.agr.gc.ca/AAFC-AAC/display-afficher.do?id=1171560813521&lang=fra#ft3 (page consulté le 25 octobre 2012)

3 Statistique Canada, « Importations et exportations de boissons alcoolisées, selon la valeur et le volume pour les pays sélectionnés, exercices financiers se terminant le 31 mars », Statistique Canada, http://www5.statcan.gc.ca/cansim/pick-choisir?lang=fra&p2=33&id=1830016 (page consulté le 30 octobre 2012)

4 Ministre de l’Agriculture et Agroalimentaire du Canada, « L’industrie canadienne des brasseries », dans Agriculture et Agroalimentaire Canada, http://www4.agr.gc.ca/AAFC-AAC/display-afficher.do?id=1171560813521&lang=fra#ft3 (page consulté le 25 octobre 2012)

5 Ministre de l’Agriculture et Agroalimentaire du Canada, « L’industrie canadienne des brasseries », dans Agriculture et Agroalimentaire Canada, http://www4.agr.gc.ca/AAFC-AAC/display-afficher.do?id=1171560813521&lang=fra#ft3 (page consulté le 25 octobre 2012)

6 Ibid.

7 Ibid.

8 « Les ingrédients de la bière », dans Tendance Bière, http://www.tendancesbiere.fr/parlez-vous-biere/ses-ingredients/? (page consulté le 28 octobre 2012)

9 « La bière et l’économie canadienne », dans L’Association des Brasseurs du Canada, http://www.brewers.ca/fr/la-bire-et-lconomie-candienne (page consulté le 31 octobre 2012)

10 Ibid.

11 « La bière et l’économie canadienne », dans L’Association des Brasseurs du Canada, http://www.brewers.ca/fr/la-bire-et-lconomie-candienne (page consulté le 31 octobre 2012)

12 Ibid.

13 Ministre de l’Agriculture et Agroalimentaire du Canada, « L’industrie canadienne des brasseries », dans Agriculture et Agroalimentaire Canada, http://www4.agr.gc.ca/AAFC-AAC/display-afficher.do?id=1171560813521&lang=fra#ft3 (page consulté le 25 octobre 2012)

14 Ibid.

15 Statistique Canada, « Importations et exportations de boissons alcoolisées, selon la valeur et le volume pour les pays sélectionnés, exercices financiers se terminant le 31 mars », Statistique Canada, http://www5.statcan.gc.ca/cansim/pick-choisir?lang=fra&p2=33&id=1830016 (page consulté le 30 octobre 2012)

16 Ibid.

17 « La bière et l’économie canadienne », dans L’Association des Brasseurs du Canada, http://www.brewers.ca/fr/la-bire-et-lconomie-candienne (page consulté le 31 octobre 2012)

18 « La bière et l’économie canadienne », dans L’Association des Brasseurs du Canada, http://www.brewers.ca/fr/la-bire-et-lconomie-candienne (page consulté le 31 octobre 2012)

19 Étude réalisée au mois d’octobre 2012 au Collégial International Sainte-Anne auprès de 20 élèves âgés de 18 à 19 ans.

20 Kirin Institute of Food and Lifestyle, « Report Vol. 33 Beer Consumption by Country in 2010 », http://www.kirinholdings.co.jp/english/news/2011/1221_01.html , consulté le 28 octobre 2012.

21 « Droit d’accise fédéral sur la bière », dans Ministre des finances du Canada, http://www.fin.gc.ca/n06/data/06-027_1-fra.asp (page consulté le 9 décembre 2012)

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