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![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Chapitre 1 Le marché et le mécanisme d’ajustement par les prix 17.10.13 Introduction : Economie producteur consommateur Economie actuelle de marché Le marché lieu de rencontre offre/demande. Sur le marché il existe différents agents économique qui effectuent des arbitrages : Prix/offre/acheteur.
Lors de la rencontre, un prix va se négocier, c’est le prix du marché. Finalement, la demande est une fonction décroissante du prix du marché, tandis que l’offre est une fonction croissante du prix du marché. Plus les prix montent, plus la demande baisse. Demandes 50 500 Offre 5 50 Prix d’ajustement (symbolise le prix de la demande (équilibre)) Le niveau des prix permettront de déterminer les niveaux d’offre et de demande pour conduire à l’équilibre du marché. Les marchés sont plus ou moins élastiques (e) Pour que l’ajustement soit parfait, il faut une concurrence juste/saine et loyale (pure et parfaite). Pour ne pas fausser le jeu du marché. NB : Adam Smith : Grand théoricien de la liberté des marchés, fondateur du libéralisme économique. Pour les philosophes de lumières, l’Homme est libre en droit et doit exercer librement son activité par contrat. Pour ces philosophes, l’Homme est rationnel dans ses choix et recherche son intérêt personnel. Mais A. Smith dit que l’homme n’est pas seulement égoïste, il est aussi sensible à la considération des autres. Pour lui, l’addition des intérêts individuels conduit la société vers le bien-être et le progrès. « Le marché sera régulé par la main invisible du marché » c’est la loi naturelle du marché. Il dit aussi que « pour qu’il y est concurrence pure et parfaite, l’Etat ne doit pas intervenir dans la vie du marché. L’Etat doit se limiter à ses fonctions régaliennes » (fonction du roi). L’Etat libéral doit être minimal car son intervention risquerait de fausser la concurrence pur et parfaite du marché. Finalement pour A. Smith, l’Etat doit faire respecter les règles du marché et les conditions de la liberté économique. En 2013 la concurrence pure et parfaite n’existe pas, le marché livré à lui-même, n’apporte pas le bien-être. La pensée libérale s’oppose à la pensée Marxiste. Carl Marx 1818-1883 étude d’histoire et économie. « Le capitaliste se fait de l’argent sur le dos de l’ouvrier » L’histoire est marquée par des crises qui font des développements sociale et économique. Au 19ème siècle la croissance économique se fait sur le capital. Pour arrêter ce cercle vicieux de l’exploitation de l’homme par l’homme, Marx prône la lutte pour détruire le capitalisme. Remplacé par un système Etatique. 31.10.13
Le cadre institutionnel renvoi à l’environnement législatif et juridique de l’entreprise ainsi qu’aux institutions de contrôle :
Ces organismes garantissent le cadre institutionnel et le font évoluer. Il permet de garantir 3 choses :
Dans une économie de marché, le prix c’est l’expression monetaire de la valeur d’échange d’un bien ou d’un marché. Le prix a de l’influence sur le comportement des acteurs économique. Le prix est la variable d’ajustement entre l’offre et la demande.
Les prix permettent aux agents de choisir de façon rationnelle. Les agents économiques peuvent, grâce aux prix, procéder à une analyse coût/avantage/risque. Ainsi l’agent économique prend une décision optimale
Chapitre 2 La monnaie
La monnaie a trois grandes fonctions :
Une bonne monnaie doit réunir toutes ces fonctions.
C’est la quantité de monnaie en circulation dans une économie. La masse monétaire en France est de 10 000 milliard d’euros. Le PIB est de 2000 milliard d’euros. Pour étudier cette masse monétaire les économistes ont créés les agrégats classement de la masse monétaire. ![]()
Il y a eu la première monnaie « Monnaie marchandise » (coquillages...) Ensuite la monnaie métallique pièce en bronze... La monnaie divisionnaire et les pièces :
28.11.13
Une monnaie de qualité permet une stabilité externe de la monnaie et aussi ce que l’on appelle la stabilité interne.
La stabilité des prix c’est le fondement de la confiance dans une monnaie.
Une monnaie forte augmente le pouvoir d’achat vis-à-vis du reste du monde. Mais à l’inverse cela renchérit la valeur de nos biens et services pour les pays étrangers. Une bonne monnaie ne doit pas favoriser l’inflation hausse générale du niveau des prix. Elle est évaluée par l’indice qui est calculé sur un panier de produit. Une des causes de l’inflation, peut être un excès de demande sur le marché des biens et des services. Une autre cause : l’inflation importée.
Cette masse monétaire peut impacter l’économie d’un pays voir un ensemble de pays comme l’EU. En effet cette masse monétaire peut être interpréter comme l’argent susceptible d’être dépensé. Cette masse monétaire est surveillée par les banques centrales. L’agrégat M3 est le plus utilisé. La quantité de monnaie en circulation est à mettre en relation avec le volume de production. Ainsi, la croissance de la masse monétaire supérieure à la croissance de la production crée une tendance inflationniste. Les banques doivent ajustée le montant de la masse monétaire à l’évaluation de la production pour éviter l’inflation.
La banque centrale est la seule habilité à émettre la monnaie. Les banques de la zone euro peuvent se refinancer auprès de la BCE (Franquefort) à un taux directeur qui est actuellement à 0.25%. L’objectif d’un taux bas est de relancer l’économie. Cela permet aux banques commerciales de proposer un taux attractif, ainsi les ménages sont incités à emprunter et les entreprises à investir. Au contraire, un taux élevé freine la consommation et l’investissement, mais il favorise l’épargne et l’arrivé de capitaux étranger. De plus, les décisions des agents économiques répondent aux mécanismes incitatifs des prix. Les agents économiques sont sensibles à l’évolution des prix. Ainsi l’inflation ou la déflation modifie le niveau des prix. Certains économistes craignent pour les années à venir. Donc les agents économiques anticipent l’évolution des prix et par la même occasion leur comportement d’investissement de consommation et d’épargne. Ces phénomènes monétaires s’auto-entretiennent : Anticipation d’une hausse des prix Achat dans un but spéculatif La demande est à la hausse donc les prix baissent Augmentation de la demande Chapitre 3 L’état et le fonctionnement des marchés Introduction : Les marchés pour bien fonctionner ont besoin de l’intervention de l’Etat. En effet, l’Etat procure un cadre institutionnel relatif aux règles de la concurrence. Il utilise pour cela des autorités de régulation indépendantes qui encadrent, orientent, voir sanctionnent les marchés dans le cadre de comportements inappropriées. Le marché n’est pas parfait pour satisfaire tous les besoins, donc l’Etat est obligé de produire certains biens et services publiques. Enfin, l’Etat peut fournir des mécanismes incitatifs pour gérer efficacement les externalités.
Un marché, pour bien fonctionner, a besoin d’une information libre et transparente. Un cadre institutionnel permet de garantir la fiabilité de l’information. Les informations prennent des voies très différentes. Pour qu’elles puissent circuler librement et de façon fluides, l’Etat et les autorités de régulations indépendants agissent. 9.1.14 2) Les règles de la concurrence : Tout marché a besoin d’un cadre législatif et administratif. Jusqu’à quel point doit-il légiférer ? Ces règles ces lois doivent s’adapter aux évolutions du marché et de la société. Quelque fois le marché entraine des règlementations pour pouvoir maintenir une certaine concurrence. 3 types de marché : - monopolistique : pour caractériser les situations de marché dans lesquels les produits ne sont pas homogènes. Les producteurs s'efforcent de différencier leurs produits de ceux de la concurrence pour obtenir une sorte de monopole : Être seul à proposer un bien ou un service ayant telles ou telles caractéristiques (SAV, innovation techniques, prestige de la marque,...), c'est la situation sur les marchés de l'automobile, la publicité joue un rôle essentiel pour persuader le consommateur que le produit proposé est unique. Ce mélange de monopole et de concurrence est appelé concurrence monopolistique par les économistes. - oligopolistique : Une situation d'oligopole se rencontre lorsqu'il y a sur un marché, un nombre très faible d'offreurs (vendeurs) et un nombre important de demandeurs (clients). On parle aussi de situation de marché oligopolistique. Il s'agit d'une situation de marché imparfait : dans le cadre de la concurrence pure et parfaite, le profit de chaque producteur dépend de l'attitude des autres offreurs, alors que dans le cas d'un oligopole les offreurs sont indépendants, car la demande est plus forte que l'offre, ce qui assure à une entreprise la vente de ses produits, quel que soit le prix ou la qualité. - atomisé : un marché avec beaucoup d’intervenant. La libre concurrence : Il y a un grand nombre d'offreurs sur le marché sans position dominante. Il y a autant d'entreprise que le marché peut en accepter. On qualifie parfois un tel marché par l'expression marché atomisé. Les monopoles restent très peu longtemps en place. 3) Protection des marchés et politique de la concurrence Les cadres législatifs et réglementaires permettent dans certain cas de protéger certain secteur économique et profession. Cette protection poursuit à priori un objectif d’ordre public. Mais souvent cela freine la concurrence. Close numérus closus : système qui permettent de protéger le marché. Indépendamment de ces règles spécifiques, le législateur a tenu à surveiller l’exercice de la libre concurrence entre les entreprises quel que soit leur secteur d’appartenance. C’est le rôle de la politique de la concurrence. L’Etat défend la concurrence par différentes organisation et administration. L’Etat sanctionne la plupart des irrégularités. II) Agir sur les défaillances du marché : Idée générale : Le marché général est défaillant pour produire et assurer tous les biens et services nécessaire au bon fonctionnement d’un Etat ou d’une économie. Ce manque est comblé en partie par l’Etat. Ce manque est aussi comblé par les collectivités territoriales et certaines associations comme les ONG. Les agents privés ne sont pas incités à produire des biens public de fait de la difficulté à obtenir un retour sur investissement. Afin d’améliorer les choses, l’Etat et les collectivités territoriales produisent des biens public. 1) Les biens publics : Ce sont des biens, services ou ressources qui bénéficient à tous, et se caractérise par la non-rivalité (la consommation du bien par un individu n’empêche pas sa consommation par un autre) et la non-exclusion (personne ne peut être exclu de la consommation de ce bien). La qualité de l’air, le contrôle d’épidémies en sont des exemples. Biens publics et biens communs peuvent être locaux (ex : la lutte contre le bruit auprès d’un aéroport), régionaux (ex : la qualité de l’eau dans un bassin versant), nationaux (ex : contrôle des déchets toxiques), plurinationaux (ex : lutte contre les pluies acides) ou mondiaux (maitrise des changements climatiques et qualité de l’air). Un des problèmes majeurs posés par les biens publics est l’incapacité des marchés privés à en assurer en général une fourniture optimale.
- les externalités négatives : Coûts sociaux : travail dangereux sans contrepartie en prime de risque, trajet domicile-travail non payé, mobilité professionnelle ou précarité subie....
L'analyse exhaustive des externalités - en particulier négatives- est loin d'être évidente. Le risque de les omettre s’accroît lorsque celles-ci sont masquées par un surcroît d'activité économique qui fausse le bilan apparent et global de l'événement en cause.
L’Etat cherche à développer les externalités positives et freiner les négatives. Il peut utiliser des mesures dissuasives (taxes, impôt), il existe aussi des mesures incitatives pour développer les externalités positives. Chapitre 4) L’ouverture des économies I) La progression des échanges internationaux. 1) Le développement de l’ouverture des économies : Histoire : La seconde guerre mondiale a été marquée par la victoire des Américains. Ils ont donc imposés leur système économique libéral. En 1947 les différents Etats libres ont signés les accords du GATT (accord général sur les prix et les tarifs douaniers) qui vise à rivaliser moins de barrières mondiale. Cet accord est constitué de rounds (accords rattachés au GATT) suivis avec d’autres pays rattaché au GATT. En 1994 une étape importante avec la création de l’OMS (Organisation Mondiale du Commerce). 23.01.14 Actuellement les marchés de biens et services sont mondiaux (moins en moins de protectionnisme des produits, états qui protèges ses attraits locaux). Certains états restent protectionnistes. L’ouverture d’une économie est mesurée à travers le taux d’ouverture : (Importations + exportation) / PIB*100 2 Ex : 2011 en France Exportation : 597mds de $ Importation : 755 mds de $ PIB (France) : 712mds de $ Taux d’ouverture : 24.92% : taux faible. Taux qui ne pas aller au-delà de 100. 2009 pour : Chine : 22.15% Allemagne : 30.66% U.S.A : 9.33% Japon : 11.7% Belgique : 76.93% En général le grands pays sont peu ouvert sur le monde, ils disposent souvent de nombreuses ressources. Le taux d’ouverture d’un pays dépend de ses caractéristiques structurelles, de sa situation géographique et de ses accords. Il sera d’autant plus élevé que la taille du marché intérieur d’une nation sera importante : taille du territoire et population. 2) Les échanges à l’extérieur de la France. a) La balance commerciale : Elle comptabilise les échanges de marchandise avec le reste du monde. La balance commerciale de la France est négative depuis une vingtaine d’années. La balance est soit excédentaire (positive) ou déficitaire (négative). Pour évaluer l’importance de ce sol on calcule le taux de couverture : exportations*100 Importations Ex : 2011 en France Exportation : 597mds de $ Importation : 755 mds de $ Les exportations françaises couvre 80% des importations. Lorsque le taux de couverture est inférieur à 100 le sol commercial est déficitaire et inversement. b) La balance des invisibles : Cette balance enregistre les échanges avec le reste du monde :
c) La balance des transactions courante Elle regroupe les opérations enregistrées dans la balance des commerciales et la balance des invisibles. Son solde représente une capacité ou un besoin de financement. Il y a :
d) La balance des paiements : Elle enregistre l’ensemble des transactions d’un pays avec le reste du monde. Elle inclue la balance des transactions courantes et les entrées et sorties de capitaux Les IDE : Investissement Direct à l’Etranger. |
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![]() | «le Contrat» sont exclusivement régis par les conditions énoncées par les présentes clauses contractuelles | ![]() | |
![]() | «Le contrôle des prix n’a pas fonctionné pendant la Première Guerre mondiale lorsqu’il était ‘sélectif’; IL n’a pas marché non plus,... | ![]() | «thésaurisation» qui consiste à amasser de la monnaie en dehors du circuit économique, c’est donc une fuite hors du circuit que Say... |
![]() | «tunes» !!! J’en trouve un pour moitié prix sur les petites annonces !!! Ou encore… si je ne prends pas le lof, vous me faites 50%... | ![]() |