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![]() ![]() http//www.tarnetparis.com courriel:gerfer@noos.fr Mars 2014 N°335 SIEGE SOCIALTARN ET PARIS 17, passage Hébrard 75010 Paris Tel. / Fax 01.42.45.19.23 gerfer@noos.fr PRESIDENTS D'HONNEURJean-Paul Nouvel Pierre Galy PRESIDENTGérard Fernandez 17, passage Hébrard 75010 Paris SECRETAIRE GENERALRobert Bétaille TRESORIERE GENERALEAnne Marie Bousquet REDACTIONPierre Galy Gérard Fernandez Robert Bétaille COMMUNICATION Gérard Fernandez Tél. 06 76 24 68 70 Association loi 1901 Cotisation 1° janvier au 31 décembre COTISATIONS Personne seule 20 € Famille 30 € Syndicats d’initiative et jeunes de moins de 25 ans 10 € Bienfaiteur 35 € TARN & PARIS FETE SES 120 ANS Après avoir fêté le 100è anniversaire en 1994, nous vous proposons de renouveler cet exercice festif à l’occasion de la 120e année de notre association. Ces festivités auront lieu à l’automne 2014. Nous vous proposons de célébrer cet anniversaire à bord d’un bateau pour une croisière gastronomique sur la Seine avec la société « Les bateaux parisiens » Nous avons pré-réservé la date du 12 octobre 2014. Afin de pouvoir réserver définitivement cette date, il serait souhaitable de nous confirmer d’ores et déjà votre participation. Le détail de la journée vous sera communiqué sur la prochaine lettre après les négociations avec les Bateaux Parisiens. Réservez dès aujourd’hui la date du 12 octobre 2014 pour que nous soyons nombreux à ces agapes. ![]() Dates à retenir : Restaurant « QUEDUBON » : vendredi 25 avril 2014 - 22 rue du Plateau – 75019 Paris à 12 H 30 – Métro : Buttes Chaumont PAELLA : dimanche 22 juin 2014 – au Chantier Journée Tarnaise : mercredi 6 août 2014 – à Labastide-Rouairoux : VIE DE L’ASSOCIATIONAssemblée Générale du samedi 25 janvier 2014 Après la lecture du rapport moral et du rapport financier qui furent adoptés à l’unanimité, le Président a donné la parole aux participants afin qu’ils expriment leurs souhaits sur les manifestations à mettre en oeuvre cette année. Après ces discutions, aux environs de midi le kir verre de l’amitié a été servi aux personnes présentes avant de terminer cette rencontre au restaurant « Chez Papa »’ pour ceux qui le désiraient». Loto du samedi 22 février 2014 Les participants ont rempli des cartons de Loto, afin d essayer de gagner les bons produits venus directement de producteurs tarnais. Le gros lot était un jambon de plus de 7 kgs 300 désossé provenant de la ferme Cassar. Tous les participants n’ont pas eu la chance de repartir les bras chargés de victuailles, mais se sont consolés en dégustant fouasse et Gaillac blanc ou rouge offerts par l’Association. Aligot le samedi 8 mars 2014 Nous sommes retournés au restaurant « En attendant l’or » dans le 12è arrondissement de Paris pour déguster un aligot préparé et servi dans les pures traditions aveyronnaises. Encore une fois, nous n’avons pas été déçus. PRIN TARN du 13 au 16 mars 2014 Le marché de produits tarnais est devenu une habitude très appréciée des sympathisants et des habitants du 18e. Etaient présents : la ferme CASSAR, la ferme RAYSSAGUEL, les vignobles Jérome Bézios. Une tombola gratuite, chaque jour, permettait de gagner un filet garni offert par les exposants. Restaurant QUEDUBON le vendredi 25 avril 2014 à 12 H 30 – 22 rue du Plateau – 75019 Paris – métro Buttes Chaumont Ce restaurant de cuisine française vous proposera 2 entrées, 2 plats, 2 desserts (au choix). Prix : 28 € par personne Paëlla au Chantier (dans la mesure où il y aurait 50 inscriptions) – le 22 juin 2014 Rendez-vous à 11 H 30, car il y aura certainement un intermède théâtral Menu : Kir au Gaillac – Paëlla (faite sur place) – Dessert Prix : 28 € par personne Journée tarnaise du 6 août 2014 à Labastide Rouairoux au Musée départemental du textile (visite + exposition « Habiller le pouvoir : ors et symboles de la République -1870-1931). De plus amples renseignements vous seront donnés lors de la prochaine lettre. ECHOS DU TARNLa place de l'Albinque sera rebaptisée La place de l'Albinque sera rebaptisée place Pierre Fabre, ainsi en ont décidé les élus castrais réunis en conseil le 17 décembre dernier. A la suite du décès du fondateur du groupe pharmaceutique sud-tarnais à l'âge de 87 ans en juillet dernier, Pascal Bugis et son équipe avait souhaité rendre hommage à ce chef d'entreprise pour ce qu'il a fait pour son territoire en lui dédiant un lieu qui porterait son nom. Une enquête a été lancée auprès des Castraises et des Castrais dans le magazine municipal Castres magazine n° 234 pour déterminer le lieu qui portera le nom de cet industriel emblématique qui s'était mobilisé pour le désenclavement du Sud du Tarn. L'avenue, d'Albi, le jardin du Mail, le boulevard Miredames, le Stade Pierre Antoine, le boulevard des lices, autant de possibilités soumises à l'avis de la population. La consultation qui a duré jusqu'au 1er d'octobre a été relayée sur Internet via la page Facebook de la ville. Finalement, c'est la place de l'Albinque qui a recueilli la moitié des suffrages sur le millier de réponses recueillies. Située à l'entrée de ville, la place de l'Albinque portera le nom de l'industriel sud tarnais. (Source : Le Tarn Libre) Cordes-sur-Ciel. Le plus ancien chef tarnais fête ses 50 ans de cuisine Cinquante ans déjà: Claude Izard n’est pas si âgé que son Hostellerie du Parc, qui date de 1810, mais le chef des Cabannes égrène le temps qui passe, fait d’éternels retours et de projections sur l’avenir. Car il a toujours des projets et parle au futur. Le président fondateur des Restaurateurs de Métiers, des Cuisineries Gourmandes, qui a redécouvert le mot «provinces», qui vient de manager à Nantes le «plus grand buffet des terroirs» du monde (plus de 500m), ce croisé de la tradition, avant-gardiste du «100% fait maison» (avec le logo sur la carte) croit au temps circulaire. «Pas d’avenir sans respect du passé, des produits et des producteurs de proximité». C’est sa règle de conduite. L’authentique contre l’autant toc. En 1970, il gagne sa première «Poêle d’Or» pour le plat le plus populaire de France, le lapin aux choux. Deux ans après, il récidive avec le canard Lapeyrade. Les deux plats sont toujours des stars de la carte et gardent leurs aficionados. Cuisine et patrimoine. Depuis, il a rajouté les ris d’agneau ou de veau aux morilles, qu’on vient déguster de loin, les noisettes de cerf de Grésigne en saison de chasse, les tournedos Rossini qu’on ne fait plus nulle part, les sabayons qui se perdent dans la mémoire. On mange encore chez lui ce qu’on ne trouve plus ailleurs. Sa carte du tendre - ou carte blanche au chef, avec la surprise dans la cassolette - parcourt les grands classiques qui ont fait la gloire des cordons bleus. L’Hostellerie du Parc, ancien relais de poste, garde la chaleur des auberges de grands chemins, avec ses boiseries, ses tentures lourdes, son grand feu de cheminée et ces airs lointains de Schubert sur le «Voyage d’hiver». Une cuisine de patience et passion qui ne prend pas une ride. Allégée des liaisons dangereuses mais toujours aussi gourmande. Une cuisine hors du champ des modes fugaces et toujours dans l’air du temps. (Source :La Dépêche du Midi) Gaillac. Labastide sort deux cuvées truffées d'espoirs La cave de Labastide visait à monter d’un cran dans sa gamme, vers une sorte d’ut majeur. Il appartiendra au consommateur de dire si la «Truffe Blanche» et la «Truffe Noire» justifient les 11,50€ au caveau, mais l’ambition des responsables de la coopérative était de créer des vins capables d’être des chevaliers servants de la truffe, le nec plus ultra du goût et surtout du chic et du portefeuille. Claude Houbart, l’œnologue de la Labastide, a sélectionné les meilleures parcelles de loin de l’œil, de mauzac et de sauvignon, (en l’occurrence le marqueur d’arômes) pour la Truffe Blanche: les trois mois en fûts de chêne et l’élevage sur lies fines visent à lui donner du «gras», dans l’esprit des grands Bourgogne ou des petits Chablis. L’objectif était «un vin très olfactif et une longueur en bouche» précise David Morettin, responsable de la Halle aux Terroirs. La Truffe Noire associe duras, merlot et braucol, un attelage classique. Son vécu - 8 mois en fûts - sa couleur profonde et son nez expressif lui donnent une assez belle facture. «Il a été conçu pour accompagner des confits, de gibiers et, bien sûr, d’omelettes aux truffes» ajoute David. Le devenir des deux vins dépendra de leur pouvoir de séduction ou de conviction, et du pouvoir d’achat: l’expérience montre que le billet de 10€ est un seuil pour les bouteilles de Gaillac. Au-dessus, l’oxygène des acheteurs se fait plus rare. (Source :La Dépêche du Midi) Mazamet. La cité lainière brillera à la télé La devise «Crescam et Lucebo» (1) rappelle que Mazamet a été une des villes industrielles des plus prospères de France. Ce sera le titre d’une histoire fictive de 6 épisodes d’une heure environ à la télévision (sortie en 2015). Ce feuilleton racontera«la fabuleuse histoire des Bosques-Delmont» qu’a écrit Albert Enriquez, auteur du scénario qui s’est intéressé à l’idée de Gérard Liadouze (décédé l’été 2013) de puiser dans le passé prestigieux de Mazamet de 1789 au XXe siècle afin de raconter l’histoire imaginaire d’une famille d’ouvriers devenue industrielle. «Cette famille aurait pu exister car elle reproduit dans tous ses personnages le caractère des industriels opiniâtres, travailleurs, inventifs, qui n’ont pas hésité à s’expatrier en Argentine, en Australie, en Nouvelle-Zélande à des époques où ils faisaient figures de pionniers pour fournir des matières premières à leur usine. Ces personnages croiseront au fil des siècles des personnalités du monde industriel et politique de la cité. J’ai ainsi écrit un scénario de 850 pages qui devrait donner matière à la création d’une saga cinématographique», indique l’auteur. Retour en arrière avec le directeur des programmes de la SAS Macadam qui vient de s’installer au centre Bradford, André Valoir, qui a repris le flambeau de cette œuvre initiée par Gérard, son ex-associé. Il en sera le producteur-réalisateur. L’impulsion vient de la ténacité discrète de Christian Loison, adjoint au maire de Mazamet, qui depuis 20 ans «pense qu’il y a matière à s’inspirer de notre belle histoire et c’est la rencontre avec Gérard, lors d’un spectacle à l’Apollo, qui a fait cheminer ce projet. C’est parti !». Le premier épisode sera «Charlou-Bertou», les premiers et seuls personnages réels de cette saga, d’ici là un gros travail débute avec le réalisateur Serge Korber, au long parcours dans le cabaret, au cinéma et la télévision, et désormais tarnais à Brens. Contacter les chaînes de télé, créer une association afin de recruter les figurants et œuvrer aux décors. Puis viendra le temps du tournage… et au-delà de la fiction, c’est bien une autre épopée sous le zoom de la caméra que les Mazamétains vont vivre durant un an. (Source : La Dépêche du Midi) (1)»Je croîtrai et je brillerai». Le Gaillacois séduit les touristes Selon, Marion Duclot, la directrice du Pays «Vignoble gaillacois, Bastides et Val Dadou» qui chapeaute les office de tourisme sur l’ouest tarnais, «le Gaillacois est une destination qui séduit de plus en plus. Même si ce chiffre ne reflète qu’une petite partie de l’activité touristique réelle, les bureaux d’accueil ont accueilli plus de 70 000 visiteurs cette année, ce qui représente une augmentation de plus de 8% par rapport à 2012. Les visites sur le site internet sont en constante progression, notamment en connexion depuis des téléphones mobiles». Un site internet relooké en juillet (www.tourisme-vignoble-bastides.com). C’est une des actions fortes engagées cette année sur le tourisme afin d’améliorer l’offre sur le secteur et répondre aux nouvelles pratiques. En avril, l’Office de Tourisme Bastides et Vignoble du Gaillac avait obtenu la marque «Qualité Tourisme», qui vient récompenser le travail de professionnalisation de l’accueil des visiteurs. Au mois de juin, le Pays a validé son schéma de développement touristique. «Le tourisme représente une activité économique à part entière générant plus de 42 millions d’€ de chiffres d’affaire annuel avec 160000 nuitées marchandes sur le Pays en 2012», indique Marion Duclot. L’année 2013 a également été consacrée à la poursuite du travail sur la filière oenotourisme, et la filière tourisme patrimonial et de pleine nature. L’offre randonnée s’est étoffée avec l’ouverture du GR46, liaison Conques Toulouse du chemin de Saint-Jacques de Compostelle (passant notamment à Cahuzac sur Vère, Gaillac et Rabastens où l’Eglise Notre-Dame du Bourg est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO au titre des chemins de Saint-Jacques de Compostelle). De nouveaux outils de promotion ont été mis en place comme le vitipassport. De quoi offrir aux visiteurs du Tarn d’autres attraits que la cité albigeoise ou Cordes sur-Ciel. (Source : La Dépêche du Midi) Le Tarn champion régional de consommation de Viagra Selon une enquête de la société Celtipharm de Vannes, dans le Morbihan, publiée ce vendredi par Le Télégramme, le département du Tarn figure parmi les plus grand consommateurs de Viagra. Mise sur le marché français en 1998, la pilule bleue des laboratoires Pfizer permet de combattre l'impuissance sexuelle. Relativement cher, 72 euros les quatre comprimés, le Viagra n'a pas le même succès partout en France. Si l'Est du pays en est un gros consommateur, le Centre s'en passe très bien. Ces constatations sont difficiles à interpréter, reconnaît Vincent Auvigne, épidémiologiste chargé de l'analyse de l'enquête, cité par le quotidien breton. Selon lui, "il y a un effet de frontières et d'achats de consommateurs de pays riverains. Ce qui est manifeste, c'est qu'il y a une saisonnalité de la consommation, avec une pointe estivale", ajoute-t-il, affirmant que "cette consommation est plus urbaine que rurale". Sur l'ensemble de la France, la Haute-Corse est le département où il s'achète le plus de Viagra, la Creuse est celui où il s'en consomme le moins. Dans la région, le Tarn est le plus gros consommateur de ce médicament, devant Tarn-et-Garonne, l'Aveyron et la Haute-Garonne. Suivent l'Ariège, le Lot, Lot-et-Garonne et l'Aude, dont les achats de Viagra sont supérieurs à la moyenne nationale. Seuls le Gers et les Hautes-Pyrénées ont des consommations de Viagra inférieures à la moyenne nationale.(Source : La Dépêche du Midi) Un homme de cœur nous quitte La consternation suscitée le 10 janvier par l’annonce du décès accidentel de Pierre Derrieux dans sa 93ème année a largement dépassé les limites de son village de Lincarque pour s’étendre à tout le Gaillacois. Perpétuant la tradition des vins de Gaillac, Pierre Derrieux avait hérité de son père Laurent le Château Lacroux, exploitation familiale de 38ha située sur les coteaux de l’Albigeois aux confins de l’appellation, et transmise de père en fils depuis dix générations. Travailleur infatigable et volontaire, il fut secondé dans son entreprise par Marguerite, femme de caractère et de bon sens, issue d’une famille bourgeoise de viticulteurs. Tous deux très attachés au domaine, devaient le faire prospérer au fil des années, en même temps que la famille s’enrichissait de sept enfants. Dans les années 1980, au terme d’une vie active pleinement vécue, le couple avait eu la sagesse et l’intelligence de confier à la nouvelle génération, Philippe, Jean et Bruno, le soin de prendre les bons virages qu’exigeait l’évolution des métiers de la vigne (Source : Le Tarn Libre) Saint-Amans-Soult. J-Philippe Pontier vainqueur de la Grande odyssée Il a gagné ! Mercredi à Val Cenis Lanslebourg, le musher St-Amantais Jean-Philippe Pontier a terminé sur la plus haute marche du podium la mythique Grande Odyssée Savoie Mont Blanc, la plus grande course de chiens de traîneaux à étapes au monde. Pour sa huitième participation, il a pris la tête dès la 2° étape et ne l’a plus quittée jusqu’à l’arrivée, réalisant une course quasi-parfaite. Année après année, Jean-Philippe Pontier n’a cessé de progresser passant de la 8° place en 2006 à la 3° ces trois dernières années. Il recueille aujourd’hui les fruits d’un travail de longue haleine avec ses chiens, de magnifiques alaskan huskies : l’attelage qui l’a conduit à la victoire étant sans nul doute le meilleur de tous. La course s’est déroulée sur 2 semaines avec plus de 800 km parcourus et 25 000m de dénivelés positifs. Les mushers et leurs compagnons à 4 pattes ont traversé pas moins de 25 stations entre Savoie et haute Maurienne Vanoise, effectué des parcours de nuit et trois bivouacs en totale autonomie dans la neige avec les chiens. Malgré une météo particulièrement capricieuse, neige, vent, pluie, Jean-Philippe a parfaitement su gérer sa course et les efforts de ses chiens qui s’entraînaient depuis fin août sur les pistes de Norvège ou vit à présent le musher Tarnais. L’heure est à présent aux réjouissances et au repos : Jean-Philippe Pontier a repris la route avec ses chiens direction la Norvège ou l’attendent sa compagne Stéphanie et leur petite fille. Dans son village natal au pied de la Montagne Noire -ou vivent ses parents- la nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre. Les Saint Amantais sont fiers de l’enfant du pays qui a fait ses premières armes sur les pistes de la Montagne Noire, en témoignent les nombreux messages sur son blog www.sled-dog-montagne-noire.com. Plus d’infos sur la course sur www.grandeodyssee.com (source : La Dépêche du Midi) Un pas décisif pour l'IGP de Lacaune Il y a un an tout juste, les salaisonniers de Lacaune avaient reçu l’avis favorable de l’INAO (institut national des appellations d’origine) pour le dossier d’IGP, indication géographique protégée, concernant le jambon de Lacaune d’une part et le saucisson et la saucisse d’autre part. Ce premier pas très concret pour sceller enfin une appellation sur les produits lacaunais vient de se concrétiser par la parution ce week-end au Journal Officiel des décrets d’homologation des cahiers des charges «Jambon de Lacaune» et «Saucisson de Lacaune et Saucisse de Lacaune» en vue de la transmission du dossier en tant qu’IGP à la commission européenne. Autrement dit, c’est une très bonne nouvelle pour le président du syndicat des salaisons de Lacaune Didier Oberti qui explique : «Ces arrêtés signifient la fin de la procédure nationale qui passe au niveau européen. Les salaisonniers peuvent ainsi espérer pouvoir bénéficier dans moins de deux ans du signe européen IGP qui garanti un lien entre les produits et leur origine géographique.» Pour l’heure, la protection est nationale de façon transitoire et donc l’indication «Jambon de Lacaune» ne peut plus être utilisée en France si elle ne répond pas au cahier des charges validé par l’arrêté. Engagée depuis 2006 après l’abandon de la quête d’une appellation AOC, rien ne semble aujourd’hui pouvoir stopper l’indication IGP. C’est juste une question de patience. (Source : La Dépêche du Midi) Albi. Le musée Toulouse-Lautrec dans le top 10 des musées de France Malgré une baisse de fréquentation qui affecte même certains grands musées parisiens, le musée Lautrec affiche des chiffres à la hausse et une belle vitalité. à l’exception de certains «mastodontes» parisiens (encore que le Louvre affiche des chiffres 2013 en baisse par rapport à 2012), la fréquentation des musées nationaux en 2013 est étale, voire en léger repli. Dans ce contexte, le musée Lautrec, avec plus de 183 000 visiteurs en 2013, tire son épingle du jeu. «C’est un niveau plus qu’honorable, en tête des musées de la région et dans le top 10 des musées de France» se réjouit Danièle Devynck, conservateur en chef du musée Lautrec. En mettant de côté l’année 2012, celle de la réouverture d’un musée entièrement repensé après 10 ans de travaux, et internationalement médiatisé pour l’occasion (212 000 visiteurs), la fréquentation est en progression constante depuis 2009, en hausse de 2 % en 2013 par rapport à 2011 (32 % par rapport à 2009). Aujourd’hui le pic de fréquentation s’étale de juin à septembre et l’ouverture en journée continue porte ses fruits. «Depuis la réouverture, on accueille un public régional toulousain que l’on n’avait pas vu jusque-là ; Il faut essayer de travailler cette clientèle» analyse le conservateur. La nouvelle billetterie mise en place en 2014 va permettre de connaître de façon plus fine la provenance (pays ou département français) de tous les visiteurs. Autre source de satisfaction pour le musée, la très bonne fréquentation des enfants, en particulier dans le cadre scolaire.» C’est notre public de demain» rappelle Danièle Devynck pour justifier la politique de gratuité du musée pour les moins de 14 ans. Témoins de cette attractivité, les ateliers du musée pendant les vacances scolaires affichent toujours complet. Même succès pour les cycles de conférences, animées par les meilleurs spécialistes des XIXe et XXe siècles. Le 150e anniversaire de la naissance de Lautrec a été retenu dans la liste des grands événements commémoratifs de 2014. Ce sera l’occasion, pour le musée, de mettre en lumière le lien étroit entre Lautrec et Maurice Joyant, ami intime de l’artiste et artisan de la dotation de la collection Lautrec à la ville. (Source : La Dépêche du Midi) Fierté gaillacoise à l'Assemblée Nationale Le plus ancien vin rouge de Gaillac, le vin rouge de Cunac, s’est invité à l’Assemblée Nationale lors d’une soirée organisée par Philippe Folliot, député du Tarn, et Jean-Luc Fabre, président de la cave de Labastide-de-Lévis, entourés par deux vignerons Cunacois. Le 19 février, des centaines de personnes sont venues goûter à la "renaissance officielle du Vin de Cunac". En effet, il n’était plus possible pour les vignerons de mentionner le nom de Cunac sur les étiquettes jusqu’à la création, en 2012, d’une sous indication géographique dans l’IGP Côte du Tarn. Le vin rouge de Cunac est le plus ancien vin rouge de Gaillac reconnu officiellement et pendant près d’un demi-siècle, il a été le seul VDQS du département (source : Le Tarn Libre) CHEZ NOS AMISToulouse à Paris Samedi 5 avril 2014 : cinéma et goûter au Louxor – 170 bd Magenta – 75010 Paris – Réservation : Mme Reybert - 01 46 33 69 58 L’Amicale des Ariégeois de Paris Samedi 5 avril 2014 : Restaurant « Le Cépage Montmartrois » - 65 rue Caulaincourt – 75018 Paris Réservation : Mme Micheline Blaszczy - 01.39.64.23.38 Les gascons de Paris Dimanche 27 avril 2014: Restaurant « Au coin Pasteur » - 59 bd Pasteur – 75015 Paris Réservation : Marcel Maschlin - 01.45.43.07.03 Félibrée de Sceaux : du 29 mai au 1er juin 2014 Marché provençal, conférence, messe en occitan le dimanche 1er juin 2014 à 9 H 30 Renseignements : Pierre Galy - 01.42.01. 37.11 A VOS CASSEROLESGIGOT AU GENIEVRE Pour 6 à 8 personnes A préparer 4 jours à l’avance 1 gigot de 2 à 2,5 kg d’un mouton récemment abatu, lard, 1 poignée de baies de genièvre, grains de genièvre mûrs, 100 g de graisse d’oie (à défaut graisse de porc ou beure), sel Quatre jours avant, retirez l’os du quasi et celui du milieu. Laissez celui du manche. Répartissez régulièrement les baies de genièvre à l’intérieur du gigot, de la noix et de la sous-noix. Enveloppez le gigot dans un linge mouillé et suspendez-le dans un endroit frais et ventilé pendant 3 à 4 jours au minimum. Le jour même, salez le gigot et enduisez-le de graisse d’oie. Faites-le cuire à la broche en l’arrosant généreusement. Dans l’eau de la lèchefrite, mettez un peu de sel et de grains de genièvre. Flambez le gigot, en faisant fondre dessus le lard gras coupé en dés (si vous n’avez pas de flamboir, faites un trou au centre d’une louche et rougissez-la au feu). Lorsque la peau du gigot est très croustillante, apportez-le entier à table- Passez le jus de cuisson et servez-le en saucière. (Recette de Jean-François Rieux – Hostellerie Saint-Antoine – 81000 Albi)
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