.XXXVIRadioactivité et nucléides .1Définition .aHistorique .bRadioactivité .2Interprétation physique du phénomène (puit de potentiel) .3Caractérisation des transformations radiatives (exptl : CRAB) .XXXVIIClassification des rayonnements nucléaires .1Lois de conservation .2Types de radioactivités .aRadioactivité .bRadioactivité - .cRadioactivité + .3Rayonnement .4Application à la datation (14C) .XXXVIIIRéactions nucléaires .1Motivation énergétique .2Fission .aPrincipe .bAspects pratiques .3Fusion .aPrincipe .bAspects pratiques Conclusion
Bibliographie
540.73 ARNA, P. Arnaud, « Chimie Physique : cours », Ed. Dunod
Encyclopédie Universalis
LP 17 : Composition des vitesses pour des référentiels en translation. Effet Doppler-Fizeau : cas des ondes sonores et des ondes lumineuses. (Première S, option unité U1)
Pré-requis
Programme de seconde (son et lumière).
Notion de référentiel, principe d’inertie.
Relativité du mouvement.
Introduction
Nous avons vu en mécanique que l’étude d’un mobile en mouvement nécessitait le choix d’un référentiel. Ainsi, par exemple, le principe d’inertie ne s’applique-t-il que dans certains référentiels dits galiléens.
La raison à cela est la relativité du mouvement dont nous avons parlé dans la leçon précédente. Nous nous sommes cependant cantonnés pour le moment à une approche qualitative et nous allons aujourd’hui formaliser cette relativité du mouvement. Ceci nous permettra par la suite d’expliquer l’effet Doppler-Fizeau, phénomène courant qui a par exemple comme conséquence qu’un véhicule s’approchant de vous fait un bruit plus aigu qu’un autre identique s’éloignant., et dont les applications sont nombreuses.
.XXXIXComposition des vitesses pour des référentiels en translation .1Cas bidimensionnel (2 GBF + table traçante) .2Généralisation (pas de démonstration) .3Roulement (avec cycloïde) .XLEffet Doppler-Fizeau .1Mise en évidence et historique (cuve à eau) .2Cas unidimensionnel (table traçante + ultrasons) .3Généralisation .4Applications .aMesure du débit sanguin (avec démo) .bRadar (principe) .cMouvement des étoiles (red shift) Conclusion
Nous savons à présent comment décrire le mouvement d’un mobile dans différents référentiels en translation les uns par rapport aux autres. Les équations se compliquent notablement lorsque les mouvements des référentiels font intervenir de surcroît des mouvements de rotation. Ces cas complexes ne seront cependant pas abordés au lycée.
Nous avons aussi expliqué l’effet Doppler-Fizeauet vu comment celui-ci permet d’accéder à la vitesse d’éloignement des planètes par rapport à la Terre. Ce sont ces mesures qui sont à l’origine de la théorie du Big-Bang, en effet, la plupart des étoiles semblent s’éloigner le unes des autres on peut montrer qu’en moyenne, il existe une constante H, dite constante de Hubble, telle que . Un enjeu important en astrophysique réside dans l’évaluation précise de H, car celle-ci est directement liée à la validité des modèles actuels de l’univers.
Bibliographie
Première S, option. Ed. Nathan.
LP 18 : Compressibilité des gaz et des liquides. Loi des gaz parfaits, modèle cinétique (température). Compressions et détentes. (Première S, option unité U2)
Pré-requis
Programme de seconde.
Machines thermiques
Mécanique
Introduction
Un fluide, un gaz ou un liquide, est un milieu composé d’un très grand nombre de particules, atomes ou molécules, en interaction. Il serait a priori possible, à partir d’un modèle classique des molécules, de déterminer entièrement le mouvement de toutes les particules du fluide. Ce type de traitement est cependant irréalisable en pratique et il est nécessaire, pour pouvoir étudier un fluide de façon simple et macroscopique, de le caractériser par des paramètres eux aussi macroscopiques tels que la température et la pression sur lesquels nous allons revenir aujourd’hui. Un autre point extrêmement important est qu’à l’échelle microscopique, la mécanique classique ne suffit pas pour décrire le comportement des particules et qu’il est nécessaire de faire intervenir la mécanique quantique dont vous verrez quelques aspects l’année prochaine.
Nous allons aujourd’hui nous intéresser plus particulièrement à la pression et à la compressibilité des fluides, tout d’abord d’un point de vue microscopique, puis d’un point de vue macroscopique. Nous nous pencherons plus en détail dans la dernière partie sur les détentes et compressions adiabatiques, c’est-à-dire sans échange d’énergie thermique entre le fluide et l’extérieur.
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