.XIVQuantité de chaleur et capacité thermique .1Echanges d’énergie thermique .2Le calorimètre de Dewar .3Capacité thermique (calorimètre + eau + résistance chauffante) .4Méthode des mélanges (masse en eau du calorimètre) .XVChangement d’état et réaction chimique .1Changement d’état (glace + eau) .2Réaction chimique (NaOH + HCl) Conclusion
Nous avons donc ici précisé la notion de chaleur, ou transfert d'énergie thermique, et défini les capacités thermiques massiques et capacités thermiques de changement d’état.
Nous avons, de plus, montré qu’une modification de la composition chimique du système pouvait s’accompagner d’une production ou consommation d’énergie thermique.
Nous verrons dans la prochaine leçon comment une variation de l’énergie thermique contenu dans un système peut, en sens inverse, amener des modifications physiques du système. Ainsi nous étudierons les phénomènes de dilatation dans les solides et les liquides.
Bibliographie
Livres de Seconde les plus vieux possibles
Bonnet Thermo
Faye Thermo
LP 8 : Capteurs. Définition et intérêt. Transducteur et capteur. Importance au laboratoire et dans l’industrie. Exemples. (Seconde, option informatique et électronique en sciences physiques)
Leçon précédente
2. Electronique numérique.
Leçon suivante
3.3. Etude et réalisation pratique d’un montage mettant en œuvre un capteur. Importance de la qualité de la connexion entre capteur et interface.
Introduction
Dans notre société envahie par l’électronique, les capteurs sont des objets du quotidien : du thermostat de votre lave-linge aux débitmètres industriels en passant par la télécommande de votre téléviseur.
Il existe donc aujourd’hui un très grand nombre de capteurs, chacun spécialisé pour une utilisation précise et nous allons ici en donner quelques exemples.
Mais commençons par donner les définitions des termes utilisés dans ce domaine. Ceci est d’autant plus important que ces définitions sont parfois multiples et nous allons nous concentrer sur celles qui semblent le plus largement admises.
.XVIDéfinition .1Capteur .aCapteur .bCapteur actif (micro) .cCapteur passif (girouette) .2Transducteur (GBF + 2 HP + ampli + oscillo) .3Conditionneur (girouette) .XVIIPropriétés des capteurs .1Caractérisation d’un capteur .aDomaine d’utilisation (girouette) .bSensibilité (girouette et CTN) .cRapidité et temps de réponse (photodiode et CTN) .2Courbe détalonnage et choix du capteur (girouette et CTN) .XVIIIExemples d’application .1Montage allumeur de réverbères .2Fabrication de la bière .3Souris Conclusion
Nous savons donc à présent ce que sont un capteur, un transducteur et un conditionneur. Il n’existe pas de bons capteurs ou de mauvais capteurs, mais des capteurs adaptés ou non aux applications auxquelles on les destine et la connaissance de leurs propriétés est indispensable au choix du capteur le mieux adapté.
Comme nous l’avons déjà mentionné, les capteurs sont nombreux au laboratoire et dans l’industrie, mais il existe en particulier un domaine dans lequel ils sont indispensables : l’étude du globe terrestre, et en particulier la météorologie, dans laquelle la précision des mesures a une répercussion directe sur la qualité des prévisions. Le nombre de connections entre le capteur et l’enregistreur doit donc être limité au maximum et celles-ci doivent être parfaitement fiables. Nous verrons lors de la prochaine leçon que remplir ces conditions n’est pas si simple qu’il y paraît.
Bibliographie
621 ASCH. G. Asch. Les capteurs en instrumentation industrielle. Ed. Dunod.
530.078 BERT. J. Bert. Physique des capteurs. Ed. Belin. (capteurs thermiques)
530.078 VAUC. M. Vauchelles. TP d’électronique. Ed. Ellipses. (page 172, réverbère)
LP 9 : Mouvement du centre d’inertie. :principe d’inertie et définition du centre d’inertie G. : modification de la vitesse de G (direction et/ou module). Exemple de la chute libre. (Première S)
Pré-requis
Notion de mouvement (MRU, MCU).
Expérience quotidienne
Leçon précédente
I.1.3.2. Principe des interactions
Leçon suivante
I.1.5.
Rotation d’un solide autour d’un axe fixe, couples.
Introduction
Dans les leçonc précédentes, nous avons vu qu’il était possible de odéliser et de quantifier l’action d’un objet sur un autre par des vecteurs de force. Mais nous n’avons pas envisagé jusqu’à présent que le cas d’objets immobiles dans le référentiel d’étude tel qu’un crayon posé sur une table, soumis à son poids et à la résultante des forces exercées par la table, la somme des deux étant nulle.
Nous allons donc ici nous interesser aux conséquences de l’application de forces à des objets en mouvement, ce qui nous conduira à énoncer le principe d’inertie (ou première loi de Newton).
(Plan)
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