Leçon préliminaire : le problème de la destinée








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8ème LEÇON

Les œuvres de Dieu (suite)

Le Monde. L’Homme.



I) Origine du monde et des êtres vivants

A) D’après la foi

    1. source de son enseignement

    2. ses affirmations dogmatiques

B) D’après la science

  1. certitudes

  2. hypothèses

    1. Formation du monde. Hypothèse de Laplace

    2. Origine des êtres vivants

      • transformisme absolu

      • transformisme mitigé

  1. Pas de conflit entre :

    1. les affirmations de la foi

    2. et les certitudes de la science


II) L’homme

A) Origine

  1. hypothèses

    1. Matérialistes

    2. Evolutionnistes

  2. Doctrine catholique

B) Nature

  1. corps

  2. âme

    1. existence

      • adversaires

      • preuves

      • objections

2. Spiritualité

    1. Facultés

      • raison

      • volonté libre

      • écriture sainte

    2. Immortalité

      • écriture sainte

      • raison

      • consentement universel

C) Unité de l’espèce humaine

  1. erreurs

  2. doctrine catholique

D) Antiquité de l’homme

  1. d’après la Foi

  2. d’après la Science


53. Mots.
Homme. Créature composée d'un corps et d’une âme raisonnable. Ainsi l’homme tient le milieu entre l’ange et l’animal. Il se distingue de l'ange parce qu’il a un corps tandis que l’ange n’en a pas. Et ce qui le met au dessus de l’animal, c’est sa raison qui le rend capable de juger, de raisonner, de discerner le bien du mal, alors que l'animal n'est guidé que par son instinct.

Corps. Ensemble des organes d'un être animé. Nous pouvons voir et toucher un corps.

Âme. Esprit immortel, destiné à être uni à un corps : a) L'âme est esprit : elle n'a rien de matériel comme le corps; on ne peut la voir, ni la toucher, ni la diviser. b) L'âme est un esprit immortel, c’est-à-dire qui a eu un commencement et ne doit pas avoir de fin. Ne pas confondre immortel avec éternel (qui n'a eu ni commencement ni fin). Dieu seul est éternel. c) L'âme est un esprit destiné à être uni à un corps. Par là l'homme diffère de l'ange. Dieu a fait l'homme à son image. Cette expression signifie que l'homme a une âme qui est « esprit » comme Dieu. Mais il est clair que la ressemblance n'est pas entière. Les qualités de l'âme humaine sont bornées ; celles de Dieu sont infinies.
DÉVELOPPEMENT
54. I. Les Oeuvres de Dieu.
Nous avons vu dans la leçon précédente que les oeuvres de Dieu sont de deux sortes : les créatures spirituelles c’est-à-dire les anges, et les créatures corporelles, c’est-à-dire le monde. Après avoir parlé des anges, la question qui se pose est donc celle de l'origine du monde. Mais le mot monde étant un terme général, il y a lieu de subdiviser la question et de considérer l'univers, tout d'abord dans son ensemble, puis plus particulièrement au point de vue de la Terre que nous habitons et des êtres vivants qui la peuplent. Parmi ces derniers, enfin, notre étude devra porter plus spécialement sur l'homme, sur son origine, sa nature et sa destinée. Sur chaque point il nous faudra rechercher quels sont les enseignements de la foi catholique d'une part, et ceux de la science d'autre part. La comparaison entre les deux nous permettra de voir s'il y a conflit entre les affirmations dogmatiques25 de la première et les conclusions certaines de la seconde.
55. II. Origine du monde d'après la Foi.
Remarque préliminaire. Il importe de remarquer, pour qu'il n'y ait pas de malentendu, que l'expression origine du monde peut être prise dans deux sens différents. Elle désigne tantôt l'origine de la matière qui compose le monde, et tantôt la formation ou organisation du monde tel que nous le voyons, avec l'ordre et l'harmonie qui y règnent. Il nous faudra donc fixer l'enseignement de l'Église à ce double point de vue. Avant de le faire, nous citerons la source à laquelle l'Église a puisé sa doctrine, c’est-à-dire le premier chapitre de la Genèse et les trois premiers versets du second.
1° Le récit mosaïque sur l'origine du monde.
Genèse chap. I 1) Au commencement Dieu créa le ciel et la terre. 2) La terre était informe et vide ; les ténèbres couvraient l'abîme. 3) Dieu dit: « Que la lumière soit ! » et la lumière fut. 4) Puis il sépara la lumière d'avec les ténèbres. 5) Il appela 1a lumière jour et les ténèbres nuit. Et il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour.
6) Dieu dit : « Qu'il y ait un firmament au milieu des eaux. » 7) Et il fit le firmament... 8) Et le nomma ciel. Et il y eut un soir, et il y eut un matin: ce fut le deuxième jour.
9) Dieu dit : « Que les eaux qui sont sous le ciel se rassemblent en un seul lieu et que l'élément aride paraisse. » 10) Il appela l'aride, terre, et mer, l'amas des eaux, et il vit que cela était bon. 11) Et il dit : « Que la terre fasse pousser du gazon, des herbes portant semence, des arbres à fruits produisant selon leur espèce, du fruit ... » 12) Et la terre fit sortir du gazon, des herbes portant semence, selon leur espèce ... et Dieu vit que cela était bon. 13) Et il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le troisième jour.
14) Dieu dit : « Qu'il y ait des luminaires dans le firmament pour séparer le jour et la nuit et qu’ils soient des signes pour marquer le temps, et les saisons, les jours et les années, 15) et servent de luminaires pour éclairer la terre. » 16) Et Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand pour présider au jour le plus petit pour présider à la nuit ; il fit aussi les étoiles... et Dieu vit que c’était bon. 19) Et il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le quatrième jour.
20) Dieu dit : « Que les eaux foisonnent d'une multitude d'êtres animés et que les oiseaux volent sur la terre. » 21) Et il créa les grands poissons et les animaux dont fourmillent les eaux, et tout volatile ailé selon son espèce... et il vit que cela était bon. 23) Et il y eut un soir, et il y eut un matin: ce fut le cinquième jour.
24) Dieu dit aussi: « Que la terre produise des êtres animés selon leur espèce, les animaux domestiques, les reptiles et les bêtes de la terre selon leur espèce... »
26) Puis Dieu dit : « Faisons l'homme à notre image et à notre ressemblance et qu'il commande aux poissons de la mer, aux oiseaux du ciel, aux animaux domestiques, à toute la terre, et à tous les reptiles qui rampent sur la terre. » 27) Et Dieu créa l'homme à son image... 31) Et il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le sixième jour. »
Chapitre II 1) « Ainsi furent achevés le ciel et la terre. 2) Puis Dieu se reposa le septième jour. 3) Et il bénit ce jour et le sanctifia, parce que ce jour-là il s'était reposé de toute l’œuvre qu'il avait créée. »
Il est facile de discerner dans le récit mosaïque deux éléments de caractère différent : l'élément théologique et l'élément scientifique.
A.ÉLÉMENT THÉOLOGIQUE. Il ne fait pas de doute que l'élément essentiel du récit mosaïque soit l'élément théologique, dogmatique et moral.
1. Au point de vue dogmatique, le but poursuivi par l’écrivain sacré était certainement d'inculquer à son peuple l'idée de création, de lui enseigner qu'un Dieu unique a créé l'univers, le ciel et la terre, au commencement des temps, qu'il n'y a rien qui ne soit son oeuvre, et que cette oeuvre est bonne et doit inspirer à l'homme des sentiments de gratitude, d'autant plus grands que Dieu l'a fait le roi de la création.

2. Au point de vue moral, l'auteur sacré tire les conclusions de l'enseignement dogmatique : il proclame l'obligation du culte et la manière de le rendre. Le Créateur, et le Créateur seul, a droit au culte des créatures. Les Hébreux ne doivent donc pas imiter les nations polythéistes et idolâtres qui adorent plusieurs dieux, qui adorent même des êtres créés, des plantes et des animaux. Mais comment rendre le culte à Jéhovah ? Par la sanctification du sabbat. À l'instar de la semaine divine, la semaine de l'homme doit se diviser en deux parts : six jours de travail et un jour de repos. Et ce jour de repos ou sabbat doit être consacré au Créateur.
B. ÉLÉMENT SCIENTIFIQUE. Mais l'élément religieux, qui est pourtant le point central du récit mosaïque, se trouve pour ainsi dire absorbé par l'élément scientifique. Non seulement l'écrivain sacré tranche la question de l'origine de la matière en affirmant le fait de la création, mais il paraît même enseigner une cosmo­gonie (grec, kosmos, monde, gonos, génération) c’est-à-dire une histoire de la forma­tion du monde. Nous pénétrons donc ici sur le domaine de la science, et la question qui se pose tout naturellement est de savoir quelle valeur a la cosmogonie mosaïque. Est elle conforme à la réalité, ou du moins aux données certaines de la science moderne ? Et si elle ne l'est pas, faut-il conclure que l'écrivain inspiré ait fait erreur ? Pour résoudre cette difficulté, il suffit d'appliquer un principe d'exégèse formulé depuis longtemps par saint Augustin. Ce grand Docteur enseignait déjà en effet que « l'écrivain sacré n'a pas voulu apprendre aux hommes les vérités concernant la constitution intime des choses visibles parce qu'elles ne devaient servir de rien pour leur salut. » C'est ce principe que Léon XIII rappelait aux exégètes dans son Encyclique Providentissimus. « Les écrivains sacrés, y est-il dit, peu préoccupés de pénétrer les secrets de la nature, décrivent et expriment quelquefois les choses ou avec des métaphores, ou selon le langage usuel de leur temps, analogue à celui qui a cours aujourd'hui dans la vie ordinaire pour beaucoup de choses, même entre les hommes les plus instruits. » Et c'est toujours le même principe que nous retrouvons dans la 7e réponse de la Commission biblique du 30 juin 1909, qui déclare que dans l'interprétation du premier chapitre de la Genèse « on ne doit pas toujours rechercher exactement la propriété du langage scientifique », l'auteur sacré « ne s'étant pas proposé d'enseigner scientifiquement la constitution intime des choses visibles et l'ordre complet de la création, mais plutôt de donner à ses nationaux une connais­sance populaire, suivant que le comportait le langage vulgaire de l'époque et adaptée aux idées et à la capacité intellectuelle des contemporains. »
Conclusion. Le récit mosaïque de la création doit donc être considéré, non comme une cosmogonie scientifique, mais comme un récit historique populaire de nos origines. Et par récit populaire il faut entendre tout récit où l'historien n'écrit pas l'histoire pour l'histoire, avec la précision rigoureuse d'un historien moderne, mais où il se borne à un choix de faits approprié au but qu'il poursuit. Or, dans le cas présent, l'inspiration qui a guidé l'écrivain sacré l'a poussé à donner un enseignement reli­gieux, et rien de plus. Il arrive, il est vrai, que celui-ci se trouve encadré dans un élément scientifique. Mais l'élément scientifique ne rentrant pas dans le but de l'auteur, il est tout naturel que ce dernier parle la langue de ses contemporains, et traite des phénomènes de la nature selon les apparences et avec une science qui ne dépasse pas celle de son époque.
2° Les affirmations dogmatiques de la Foi. Voici maintenant les enseignements que l'Église a tirés du récit mosaïque.
A. Sur la question de L’ORIGINE DU MONDE, l'Église a emprunté à l'élément théologique du récit, les dogmes, a) de la création de l'univers considéré dans son ensemble et au point de vue de la matière qui le compose ; b) de la création, soit directe soit indirecte, des êtres vivants et c) de la création spéciale de l'homme.
B. Sur la question de la FORMATION DU MONDE, l'Église, considérant le récit mosaïque comme fin récit populaire n'ayant aucune prétention scientifique, n'a jamais formulé d'enseigne­ment officiel à ce sujet. Elle estime que la question n'est pas de son res­sort, et elle l'abandonne à la recherche des savants. Donc, encore une fois, ni sur le mode de formation du monde et de la Terre, ni sur l'époque où remonte la création, la Foi catholique n'impose de dogmes.


56. III. Origine du monde et des êtres vivants d'après la Science.
État de la question. Le problème de l'origine de la matière étant insoluble par l'observation, la science positive sérieuse ne dit rien à ce sujet. Elle ignore la question ou du moins elle la laisse de côté. Seule, la philosophie matérialiste, dans le but de se passer de Dieu, suppose que la matière est éternelle ; mais c'est là une assertion qu'elle est bien incapable de démontrer expérimentalement. Les vrais savants, dignes de ce nom, ne traitent donc que les questions de la formation du monde et de l'origine des êtres vivants.
Formation du monde.
HYPOTHÈSE DE LAPLACE-FAYE. Les systèmes qui prétendent raconter l'histoire de la formation du monde, autrement dit les cosmogonies scientifiques, sont de date relativement récente. Sans doute, l'idée était déjà venue dans l'antiquité de rechercher l'origine des choses, témoin le poème de Lucrèce (de Natura rerum),qui explique la formation du monde phy­sique par une évolution lente ; mais jusqu'à l'époque moderne jusqu'à l'hypo­thèse de Laplace, qui fut, depuis, modifiée par Faye ou même remplacée par d'au­tres hypothèses, les systèmes manquaient de base scientifique.

Les découvertes de la géologie (grec, géo, terre ; logos, discours) et de la paléon­tologie (gr. palaios, ancien; on, ontos, être ; logos, discours) servirent de point de départ à l'hypothèse de Laplace. La géologie constate en effet que la terre n'a pas toujours eu l'aspect que nous lui voyons, qu'elle a passé par des phases diverses, subissant dans sa structure et à sa surface des modifications profondes. C'est ainsi qu'elle se compose de plusieurs couches de terrains   primaires, secondaires, ter­tiaires et quaternaires   qui se superposent et se distinguent les unes des autres par la présence d'innombrables fossiles ou restes de végétaux et d'animaux. La paléontologie ayant étudié ces fossiles, conclut à son tour que les espèces se sont suc­cédé, que les végétaux ont apparu en premier lieu, puis les animaux et enfin l'homme.

Partant de ces données, Laplace a fait l'hypothèse suivante sur la formation du monde : à l'origine, la matière qui compose la terre, les autres planètes et le soleil, formait une immense masse gazeuse à l'état d'atomes isolés. Douées de la propriété d'attraction dont Newton a découvert les lois, les molécules de cette masse se sont rapprochées et combinées. Puis, grâce au mouvement de rotation dont elles étaient animées, la force centrifuge l'a emporté sur la force d'attraction. À mesure que le mouvement s'est accéléré, des lambeaux de matière gazeuse se sont détachés et ont formé les astres, les planètes et leurs satellites. Peu à peu, les éléments gazeux se sont condensés, et l'état liquide a succédé à l'état gazeux. Puis, avec le temps, la surface de l'astre s'étant refroidie, la vie a commencé.
2° Origine des êtres vivants.
À une certaine époque qu'il n'est pas possible de déterminer, mais qui remonte assez loin, la vie fait donc son apparition sur la terre. D'où viennent les premiers êtres vivants ? Qui leur a donné la vie ? Et quelle est l'origine des espèces ?À ces questions la science répond par deux hypothèses: le créationnisme et le transformisme.
A. CRÉATIONNISME. Une première hypothèse suppose que les différentes espèces, végétales et animales, du temps passé et des temps actuels, ont été successi­vement créées par Dieu, que les espèces sont fixes, qu'elles ne se transforment pas, et qu'il ne peut pas y avoir passage de l'une à l'autre par voie d'évolution.
B. TRANSFORMISME ABSOLU. Nous désignons sous ce nom l'hypothèse de la génération spontanée et l'hypothèse de la transformation des espèces. Pour pou­voir se passer de Dieu, les matérialistes prétendent, avons-nous dit, que la matière est éternelle ; mais cela ne suffit pas, et il leur faut expliquer l’origine de la vie. Ils croient résoudre la difficulté par les hypothèses de la génération spon­tanée et de la transformation des espèces. Ils affirment d'une part, que la matière éternelle a produit un jour, spontanément et par ses forces, un ou plusieurs êtres vivants, et, d'autre part, que ces premiers êtres, vivants ont donné naissance, par voie d'évolution, par des transformations tentes et progressives, aux différentes espèces, dont nous constatons l'existence soit dates le passé, soit dans le présent.

Comment cette évolution s'est-elle accomplie ? D’après les uns (Lamarck) les désirs et les besoins des individus ont créé des facultés et des organes, susceptibles de se perfectionner avec le temps et 1’usage. D'après d'autres (Darwin), les principaux agents de la transformation des espèces ont été la lutte pour la vie et la sélection naturelle.
C. TRANSFORMISME MITIGÉ. La thèse du transformisme peut être moins radicale. Le transformisme mitigé, tout en supposant que les espèces sont nées les unes des autres, garde à la base l’existence d'une cause suprême qui a créé la matière. Il admet en outre que le premier être vivant a été créé par Dieu, soit par une intervention directe du Tout-puissant, soit que Dieu ait doué la matière de forces capables de produire la vie ; il admet enfin que l'homme, du moins quant à son âme, a été créé directement par Dieu. (V. N° 58.) Telles sont les différentes hypothèses scientifiques, tant sur le mode de formation du monde que sur l’origine des êtres vivants. Quant à la date où ces divers événements se sont produits, les calculs des savants reposent sur des hypothèses trop incertaines pour que nous nous y arrêtions.

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