1. Oubli de noms propres








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sich vergreifen (an), dont le sens propre et courant est : « se tromper », « se méprendre ». (N. d. T.)

76 C'est ce que j'appelle le rêve d'Oedipe, car ce rêve nous permet de comprendre la légende du roi Oedipe. Dans le texte de Sophocle, nous entendons de la bouche de Jocaste une allusion à un rêve de ce genre. (Cf. «Traumdeutung », p. 182; 51 édit., p. 183.)

77 La mutilation volontaire, qui ne vise pas à la destruction complète, n'a, dans l'état actuel de notre civilisation, pas d'autre choix que de se dissimuler derrière un accident ou de s'affirmer en simulant une maladie spontanée. Autrefois l'auto-mutilation était une expression de la douleur universellement adoptée, à d'autres époques elle pouvait servir d'expression aux idées de piété et de renoncement au monde.

78 En dernière analyse, ce cas ressemble tout à fait à celui de l'agression sexuelle contre une femme, agression contre laquelle la femme est incapable de se défendre par sa force musculaire, car cette force est neutralisée en partie par les instincts inconscients de la victime. Ne dit-on pas que, dans ces situations, les forces de la femme se trouvent paralysées? Mais on devrait ajouter encore les raisons pour lesquelles elles sont paralysées. À ce point de vue, le jugement spirituel, prononcé par Sancho Pansa en sa qualité de gouverneur de son île, n'est pas psychologiquement exact (Don Quichotte, 11, partie, chap. XLV). Une femme traîne devant le juge un homme qui, prétend-elle, lui aurait ravi son honneur. Sancho la dédommage, en lui remettant une bourse pleine d'or qu'il enlève au prévenu et permet à celui-ci, après le départ de la femme, de courir après elle pour tenter de lui enlever cette bourse. L'homme et la femme reviennent en luttant, et celle-ci affirme en se vantant que le forcené n'a pas été capable de la dépouiller de la bourse. À quoi Sancho d'observer : « Si tu avais mis à défendre ton honneur la moitié de l'acharnement que tu mets à défendre ta bourse, tu serais encore une honnête femme. »

79 On comprend fort bien que le champ de bataille offre à la volonté de suicide consciente, mais qui redoute la voie directe, les conditions qui se prêtent le mieux à sa réalisation. Rappelez-vous ce que le chef suédois dit dans Wallenstein au sujet de la mort de Max Piccolomini : « On dit qu'il voulait mourir. »

80 Un correspondant écrit à propos de cette question du « châtiment qu'on s'inflige soi-même à l'aide d'un acte manqué » : lorsqu'on observe la manière dont les gens se comportent dans la rue, on constate la fréquence avec laquelle de petits accidents arrivent aux hommes qui, selon la coutume, se retournent pour regarder les femmes. Tel fait un faux pas en terrain plat, tel autre se cogne contre un lampadaire, tel autre se blesse d'une autre manière.

81 Jeu de mots, fondé sur le double sens du mot Recht, qui est d'ailleurs le même que celui du mot français droit. (N. d. T.)

82 « Beitrag zur Symbolik des Alltags », par Ernst Joncs. Traduit de l'anglais par Otto Rank (Vienne). Zentraibl. f. Psychoanalyse, I, 3, 1911.

83 « Freud's Theory of Dreams», Americ.Journ. of Psychoanal., avril 1910 N 7, p. 301.

84 « Sous le gouvernement d'hommes véritablement grands, la plume est Plus Puissante que l'épée. » Cf. Oldhams : « I wear my Pen as other do their sword » (Je porte ma plume comme d'autres portent leur épée).

85 Alph. Maeder, Contributions à la psychopathologie de la vie quotidienne. Archives de Psychologie, t. VI, 1906.

86 Voici encore une petite collection de différents actes symptomatiques chez des personnes saines et chez des névrosés. – Un collègue un peu âgé, qui n'aime pas perdre aux cartes, s'acquitte un soir d'une dette de jeu assez importante, et cela sans aucune protestation, mais en faisant sur lui-même un effort visible. Après son départ, on découvrit qu'il avait laissé, à la place où il était assis, à peu près tout ce qu'il avait l'habitude de porter sur lui : lunettes, étui à cigares, mouchoir de poche. Cet oubli peut être traduit ainsi : « Vous êtes des brigands; vous m'avez joliment dépouillé. » – Un homme, qui souffre de temps en temps d'impuissance sexuelle (qui remonte à la profonde affection qu'étant enfant il a éprouvée pour sa mère), raconte qu'il a l'habitude d'orner manuscrits et dessins de la lettre S, qui est l'initiale du nom de sa mère. Il ne supporte pas que les lettres qu'il reçoit de chez lui voisinent sur son bureau avec d'autres lettres, d'un caractère profane; aussi conserve-t-il les premières à part. – Une jeune dame ouvre brusquement la porte de la salle de traitement dans laquelle se trouve déjà une autre malade. Elle invoque pour excuse son « étourderie »; l'analyse révèle qu'elle a été poussée à son acte par la même curiosité que celle qui lui faisait faire autrefois irruption dans la chambre de ses parents. – Des jeunes filles, fières de leur belle chevelure, savent tellement bien l'arranger à l'aide de peignes et d'épingles que leurs cheveux se défont au beau milieu de la conversation. – Certains hommes répandent à terre, pendant le traitement (dans la position couchée), de la petite monnaie qui tombe de la poche de leur pantalon et récompensent ainsi, selon leurs moyens, le travail qu'exige une heure de traitement. – Celui qui oublie chez le médecin son pince-nez, ses gants, sa pochette, montre par là-même qu'il ne s'en va qu'à regret et qu'il reviendra bientôt. E. Jones dit : « Un médecin peut presque mesurer le succès avec lequel il pratique la psychanalyse par l'importance de la collection de parapluies, ombrelles, mouchoirs, bourses, etc. qu'il réunit en l'espace d'un mois. » – Les actes les plus habituels, les plus insignifiants et accomplis avec le minimum d'attention, comme par exemple remonter une montre le soir, avant le coucher, éteindre la lumière au moment où l'on quitte une pièce, etc., sont, dans certaines occasions, sujets à des troubles qui prouvent d'une façon incontestable l'influence des complexes inconscients sur les « habitudes » les plus fortes. M. Maeder raconte, dans la revue Cœnobium, l'histoire d'un médecin d'hôpital qui avait décidé un soir de se rendre en ville pour une affaire importante, bien qu'il fût de service et n'eût pas le droit de quitter l'hôpital. En revenant, il fut tout étonné d'apercevoir de la lumière dans sa chambre. Il avait oublié, chose qui ne lui était jamais arrivée auparavant, d'éteindre la lumière en sortant. Mais il ne tarda pas à découvrir la raison de cet oubli : le directeur de l'hôpital, voyant de la lumière dans la chambre de son interne, ne pouvait pas se douter que celui-ci fût absent. – Un homme accablé de soucis et sujet à des accès de profonde dépression m'assurait qu'il trouvait régulièrement sa montre arrêtée le matin, lorsqu'il lui arrivait de se coucher la veille avec un sentiment de lassitude qui lui faisait apparaître la vie sous les couleurs les plus sombres. En oubliant de remonter sa montre il exprime donc symboliquement qu'il lui est indifférent de se réveiller ou non le lendemain. – Un autre homme, que je ne connais pas personnellement, m'écrit : « À la suite d'un grand malheur, la vie m'avait paru tellement dure et hostile que j'en étais arrivé à me dire tous les jours que je n'aurais pas assez de force pour vivre un jour de plus; aussi avais-je fini par oublier de remonter ma montre, chose qui ne m'était jamais arrivée auparavant, car c'était là un acte que j'accomplissais presque machinalement tous les soirs, avant de me mettre au lit. Je ne me souvenais plus de cette habitude que très rarement, lorsque j'avais le lendemain une affaire importante ou qui m'intéressait particulièrement. Serait-ce également un acte symptomatique? Je ne pouvais pas m'expliquer cet oubli. » – Celui qui, comme Jung (Ueber die Psychologie der Dementia praecox, p. 62, 1907) ou comme Maeder (Une voie nouvelle en psychologie : Freud et son école, Cœnobium, Lugano, 1909), veut bien se donner la peine de prêter attention aux airs que, sans le vouloir et souvent sans s'en apercevoir, telle ou telle personne fredonne, trouvera presque toujours qu'il existe un rapport entre le texte de la chanson et un sujet qui préoccupe la personne en question.

Le déterminisme plus profond qui préside à l'expression de nos pensées par la parole ou par l'écriture mériterait également une étude sérieuse. On se croit en général libre de choisir les mots et les images pour exprimer ses idées. Mais une observation plus attentive montre que ce sont souvent des considérations étrangères aux idées qui décident de ce choix et que la forme dans laquelle nous coulons nos idées révèle souvent un sens plus profond, dont nous ne nous rendons pas compte nous-mêmes. Les images et les manières de parler dont une personne se sert de préférence sont loin d'être indifférentes, lorsqu'il s'agit de se former un jugement sur cette personne; certaines de ces images et manières de parler sont souvent des allusions à des sujets qui, tout en restant à l'arrière-plan, exercent une influence puissante sur celui qui parle. Je connais quelqu'un qui, à une certaine époque, se servait à chaque instant, même dans des conversations abstraites, de l'expression suivante : « Lorsque quelque chose traverse tout à coup la tète de quelqu'un. » Or, je savais que celui qui parlait ainsi avait reçu, peu de temps auparavant, la nouvelle qu'un projectile russe avait traversé d'avant en arrière le bonnet de campagne que son fils, soldat combattant, avait sur la tête.

87 L'erreur est cependant douteuse : d'après la version orphique du mythe, l'émasculation de Kronos fut l'œuvre de son fils Zeus (Rocher, Lexicon der Mythologie).

88 Cette persistance d'une impression dans l'inconscient peut se manifester tantôt sous la forme d'un rêve qui suit l'acte manqué, tantôt par la répétition de cet acte ou par l'omission d'une correction, l'erreur commise échappant obstinément à la vue.

89 Alf. Adler. Drei Pschoanalysen von Zahleneinfallen und obsedierenden Zahlen. Psych-Neur. Wochenschr., N. 28, 1905.

90 À propos de Macbeth, figurant sous le NI 17 dans la Bibliothèque Universelle de Reclam, M. Adler me communique que son sujet avait adhéré, à l'âge de 17 ans, à une association anarchiste ayant pour but le régicide. C'est pourquoi il avait oublié le contenu de Macbeth. Vers la même époque, il inventa un alphabet chiffré, dans lequel les lettres étaient remplacées par des nombres.

91 Pour plus de simplicité, j'ai laissé de côté quelques autres idées, moins intéressantes, du malade.

92 M. Rudolph Schneider, de Munich, a soulevé une objection intéressante contre ces déductions tirées de l'analyse des nombres (R.Schneider. – « Zu Freud's analytischer Untersuchung des Zahleneinfalls », Internat. Zeitsch. f. Psychoanal., 1, 1920). Il prenait un nombre quelconque, par exemple le premier nombre qui lui tombait sous les yeux dans titi ouvrage d'histoire ouvert au hasard, ou il proposait à une autre personne un nombre choisi par lui et cherchait à se rendre compte si des idées déterminantes se prIéentaient, même à propos de ce nombre imposé. Le résultat obtenu fut positif. Dans un des exemples qu'il publie et qui le concerne lui-même, les idées qui se sont présentées ont fourni une détermination aussi complète et significative que dans nos analyses de nombres surgis spontanément, alors que dans le cas de Schneider le nombre, de provenance extérieure, n'avait pas besoin de raisons déterminantes. Dans une autre expérience qui, elle, portait sur une personne étrangère, il a singulièrement facilite tâche, en lui proposant le nombre 2 dont le déterminisme peut être facilement établi par chacun, à l'aide de matériaux quelconques.

R Schneider tire de ses expériences deux conclusions : 1º Pour les nombres nous possédons les mêmes possibilités psychiques d'association que pour les concepts. 2º Le fait que des idées déterminantes se présentent à propos de nombres conçus spontanément ne prouve nullement que ces nombres aient été provoqués par les idées découvertes par l'analyse. La première de ces deux conclusions est parfaitement exacte. On peut, pour un nombre donné, trouver une association aussi facilement que pour un mot énoncé, et peut-être même plus facilement, car les signes, peu nombreux, dont se composent les nombres possèdent une force d'association particulièrement grande. On se trouve alors tout simplement dans le cas de ce qu'on appelle l'expérience « d'association », qui a été étudiée sous tous ses aspects par l'école de Bleuler-Jung. Dans les cas de ce genre, l'idée (la réaction) est déterminée par le mot (excitation). Cette réaction pourrait cependant se manifester sous des aspects très variés, et les expériences de Jung ont montré que, quelle que soit la réaction, elle n'est jamais due au « hasard », mais que des « complexes » inconscients prennent part à la détermination, lorsqu'ils sont touchés par le mot jouant le rôle de facteur d'excitation.

Mais la deuxième conclusion de Schneider va trop loin. Du fait que des nombres (ou des mots) donnés font surgir des idées appropriées, on ne peut tirer, concernant les nombres (ou les mots) surgissant spontanément, aucune conclusion dont on ne soit pas obligé de tenir compte avant même la connaissance de ce fait. Les nombres (ou les mots) pourraient être indéterminés ou déterminés par des idées révélées par l'analyse ou par d'autres idées que l'analyse n'a pas révélées, auquel cas l'analyse nous aurait induits en erreur. On doit seulement se débarrasser du préjugé, d'après lequel le problème se poserait autrement pour les nombres que pour les mots. Nous ne nous proposons pas de donner dans ce livre un examen critique du problème et une justification de la technique psychanalytique concernant l'évocation d'idées liées aux nombres. Dans la pratique psychanalytique on admet que la deuxième possibilité est suffisante et peut être utilisée dans la plupart des cas. Les recherches de Poppelreuter, exécutées dans le domaine et à l'aide des méthodes de la psychologie expérimentale, ont d'ailleurs montré que cette deuxième possibilité est de beaucoup la plus probable. (Voir d'ailleurs à ce sujet les intéressantes considérations de Bleuler dans son ouvrage: Das autistisch undisziplinierte Denken, etc., 1919. Section 9 : « Von den Wahrscheinlichkeiten der psychologischen Erkenntniss ».)

93 « Mais l'âme, déjà libre, nage dans l'océan de lumière. »

94 « Sur le pont de la Bidassoa se tient un saint, vieux comme le monde : de la main droite il bénit les montagnes d'Espagne, de la gauche le pays des Francs. »

95 Ces idées sur la rigoureuse détermination d'actes psychiques en apparence arbitraires ont déjà donné de très beaux résultats en psychologie et, peut-être, aussi en droit. Bleuler et Jung se sont placés à ce point de vue pour rendre compréhensibles les réactions qui se produisent au cours de l'expérience dite d'association, expérience pendant laquelle la personne examinée répond à un mot prononcé devant elle par un autre mot qui lui vient à l'esprit à cette occasion (excitation et réaction verbales), le temps s'écoulant entre l'excitation et la réaction étant mesuré. Jung a montré dans ses Diagnostische Assoziationsstudien (1906) quel réactif sensible pour les états psychiques présente l'expérience d'association ainsi interprétée. Deux élèves du criminaliste H Gross (de Prague), Wertheimer et Klein, ont fondé sur ces expériences une technique du « diagnostic de la question de fait » dans les cas d'actes criminels, technique dont l'examen préoccupe actuellement psychologues et juristes.

96 Se plaçant à d'autres points de vue, en a donné le nom de « manie des rapports » à cette interprétation de manifestations insignifiantes et accidentelles.

97 Les inventions (que l'analyse rend conscientes) des hystériques concernant des méfaits sexuels et horribles coïncident, par exemple, dans leurs moindres détails, avec les plaintes des paranoïaques. Ce fait est remarquable, mais facile à comprendre, lorsque le contenu identique se manifeste également dans la réalité, quant aux moyens employés par les pervers pour la satisfaction de leurs tendances.

98 Qu'il ne faut pas confondre avec la connaissance vraie.

99 Cette explication du « déjà vu » n'a encore reçu l'adhésion que d'un seul observateur. Le Dr Ferenczi, auquel la troisième édition de ce livre doit tant de précieuses contributions, m'écrit : « J'ai pu me convaincue, aussi bien sur moi-même que sur d'autres, que le sentiment inexplicable de « déjà vu » peut être ramené à des rêveries inconscientes dont on garde le souvenir inconscient dans une situation donnée. Chez un de mes malades, les choses semblaient se passer autrement, mais en réalité d'une façon tout à fait analogue. Ce sentiment se reproduisait chez lui fréquemment, mais il a été possible de trouver chaque fois qu'il provenait d'un rêve refoulé ou d'une fraction de rêve refoulé de la nuit précédente. Il semble donc que le « déjà vu » peut avoir sa source non seulement dans les rêves éveillés, mais aussi dans les rêves nocturnes. » ( J'ai appris plus tard que Grasset a donné en 1904 une explication du phénomène se rapprochant sensiblement de la mienne).

100 En ce qui concerne le mécanisme de l'oubli proprement dit, je puis donner les indications suivantes : les matériaux de nos souvenirs sont sujets, d'une façon générale, à deux influences : la condensation et la déformation. La déformation est l'œuvre des tendances qui règnent dans la vie psychique et elle frappe surtout les traces de souvenirs ayant conservé une force effective et qui, pour cette raison, résistent davantage à la condensation, sans manifester aucune résistance; mais dans certains cas la déformation frappe également les matériaux indifférents qui n'ont pas reçu satisfaction au moment où ils se sont manifestés. Comme ces processus de condensation et de déformation s'étendent sur une longue durée, pendant laquelle tous les nouveaux événements contribuent à la transformation du contenu de la mémoire, nous croyons généralement que c'est le temps qui rend les souvenirs incertains et vagues. Il est plus que probable que le temps comme tel ne joue aucun rôle dans l'oubli. En analysant les traces de souvenirs refoulés, on peut constater que la durée ne leur imprime aucun changement. L'inconscient se trouve, d'une façon générale, en dehors du temps. Le caractère le plus important et le plus étrange de la fixation psychique consiste dans le fait que les impressions subsistent non seulement telles qu'elles ont été reçues, quant à leur nature, mais aussi en maintenant toutes les formes qu'elles ont revêtues au cours de leur développement ultérieur : particularité qui ne se laisse expliquer par aucune comparaison avec ce qui se passe dans les autres sphères de la vie. C'est ainsi que, d'après la théorie, tout état antérieur du contenu de la mémoire peut être évoqué en qualité de souvenir, alors même que tous les éléments qui conditionnaient ses relations primitives ont été remplacés par de nouveaux éléments.

101 Voir Traumdeutung, p. 362 (p. 449 de la 5e édition).

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